Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 février 1918 06 février 1918
Description : 1918/02/06 (T8,N707). 1918/02/06 (T8,N707).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384011
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
LE GUERRE
NGÈRRE
1 N° 707
;
Paris, 6 février 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
MW 4
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
N de la Guerre et des Affaires Étrangères.
MILITAIRES
OPERATIONS
générale. - PRESSE AMÉRICAINE :
de 19 7, les Alliés espéraient rem-
victoiore lais l'année Ils comp-
cela sur l'aide des armées réor-
la Russie impériale. Cette aide
pas venue, et la puissance mi-
la Russie s est effondrée. Pas
toutefois, pour que l'Allemagne
de la trahison escomptée du tsa-
résultat qu'elle en attendait.
côtés, les espoirs fondés par les
sur la Russie ont été. déçus.
l'année aussi, il est apparu
sous-marine ne pouvait re-
~gleterre à mercimais d'autre
glais n'ont pu, par leur cam-
ndres, déterminer un repli
menace dirigée par l'Italie
riche a été éliminée par les
centrales. Il faut ajouter à 06
rvention des Etats-Unis, qui
fois ne pas devoir revêtir toute
~on militaire avant 1919. Dans
comment se présente, au dé-
la situation générale ? De
wK^laSne ne pourra réa-
d'abattre l'Angleterre, ni
devra évacuer le Nord de
s iaim s que. Ne se posent plus
ion de savoir si elle payera
~,et si elle restituera l'Alsace-
rance. Mais de quelque fa-
B alJnA « ces deux problèmes,
deux mocrfitièis d'Occident,
perdu la guerre. La France
w Fe l'alliée de l'Angle-
a frappé de stérilité les
monie mondiale de l'Allema-
l'avait fait iadis pour l'Es-
la France. Seulement, il est
l'effondrement de la Rus-
tion de la menace italienne
que les Alliées puissent
pirations dans l'Est, cons-
~indépendance et affran-
mination - des Germano-Ma-
tions opprimées de l'Au-
ne *. nns ici des vi-
"J. l:Ote dalmate, ou jus-
Egée. qui sont drm autre
programme de libération
tions qu'avaient conçu les
démocratriques, après avoir
et AIÎSSANTE botte à eux
Austro-Allemanads. Il importe
d'entre ces nations soit
son int.égrité, pour bar-
le route de Bagdad. Nous
Serbie. Cest là un point
s articles du programme
ce aussi. Mais ils ne s~e-
les Peuples de l'Entente
attre lllsqu'à. la victoire
fatiguent avant, il en
faudra revenir au système de la paix ar-
mée et des budgets militaires écrasants.
C'est le gros nuage sombre de l'avenir. -
(Frank Simorids) New York Tribune, 30.12.
PRESSE ALLEMANDE. - Nos ennemis conti-
nuent à méconnaître que c'est dans un sen-
timent de force et de responsabilité que,
nous leur avons tendu la main et que nous
ne cessons de proclamer notre bonne, vo-
lonté de paix, à des conditions pleines
d'honneur. La justice de notre cause s'ap-
puie sur des victoires comme l'histoire
universelle n'en avait encore pas enregis-
tré. C'est notre armée et son haut com-
mandement, qui ont créé la. situation de
guerre actuelle, laquelle se présente pour
nous sous un jour si éminemment favora-
ble. - La chose est d'une évidence telle
qu'on serait tenté de croire que, logique-
ment nos ennemis finiraient par s'y ren-
dre. Mais pas le moins du monde ! L'Amé-
rique veut nous mettre en pièces, elle parle
« de se jeter avec toutes ses forces dans la
mêlée » : il faut que nous réparions tous
les dommages de cette guerre bien que
c'est à, nous qu'elle ait été criminellement
imposée. L'Angleterre veut combattre jus-
qu'à la victoire finale. La France le veut,
aussi, et par-dessus le marché, elle exige
encore l'Alsace-Lorraine. L'Italie elle-mê-
me, on dirait une ironie, ne veut toujours
pas renoncer à ses » justes » revendica-
tions. - upposons aonc encore une lois,
ce bilan sommaire. A l'Est l'ennemi le plus
puissant par le nombre, la DIUS grande ar-
mée d'Europe a été liquidée par Hinden-
burg. La Russie militaire est éliminée, et
du même coup, l'âme même de la guerre
offensive qu'on pouvait nous faire, à savoir
la guerre bifrontale. Autant qu'il est hu-
mainement possible de le prévoir, la situa-
tion dans l'Est ne se modifiera pas, que la
situation actuelle aboutisse ou non à la
paix. Cependant nous possédons là-bas
d'immenses territoires en gages et nous y
tenons. notre poudre sèche. La Roumanie
respire de plus en plus difficilement. Si
l'Ukraine se décide à conclure la paix. la
Roumanie perdra complètement le souffle.
Comment et où pourrait-elle se procurer le
ravitaillement, les munitions, les équipe-
ments et, de façon générale, tout ce qu'il
faut pour faire la guerre ? Sans compter
qu'il serait facile d'aborder alors cette ar-
mée isolée, et de la broyer. Il lui faudra
donc en finir. qu'elle le veuille ou non. La
Serbie et le Monténégro sont entre nos
mains. L'Italie a subi une catastrophe mi-
litaire telle qu'on n'en connaît guère d'aus-
si grave et foudroyante. — Reste l'Ouest.
La F,funce a dû nous céder dès 1914 son
meilleur territoire industriel ; iSia virilité
s'épuise ; une grande partie de son argent
est perdu en Russie. La Belgique est deve-
nue gage entre les mains allemandes.
L'Angleterre a subi de lourdes pertes, les
plus récentes' à. Cambrai. Le travaiï- de nos
sous-marins auquel elle succombera len-
tement mais infailliblement, se poursuit
jour et nuit. Les Etats-Unis eux-mêmes en
ressentent déjà les effets. Leur prétendu
secours militaire gigantesque à la 'Fi-alice
nous laisse froids, on en a déjà commenté
assez souvent lès possibilités. — C'est chez
l'ennemi que sévit la guerre, non chez
nous. Les dommages qu'elle cause multi
plient ses charges, non ILS nôtres. Autrefois,
l'Entente espérait transformer cette situa-
tion par la décision sur le champ de ba-
taille. Ce que les années 1915. 16, 17 n'ont
pas apporté, il n'y a pas de danger que 1918
l'apporte. Car voici que se lève à l'Ouest
maintenant la menace du poing, du poing
de Hindenburg, le même qui à l'Est a porté
les coups de Tannenberg et des lacs de
Mazurie. Quand, comment et où s'abattra-
t-il ? Nous l'ignorons. Mais s'il s'abat, il
atteindra son but. En présence de cette si-
tuation, les ennemis ne veulent-ils pas en-
tendre raison ? Ont-ils peur de la liquida-
tion ? Préfèrent-ils une fin épouvantable à
une épouvante sans fin ? C'est avec le sen-
timent de notre force militaire et la calme
certitude de la victoire que nous pouvons
attendre quel destin ils se 'seront choisi.
Mais nous ne pouvons attendre que si nous
ne perdons pas notre sang-froid. Et com-
bien peu nous aurions raison, militaire-
ment. de le perdre, c'est ce dont le bilan
précédent apporte l'irréfutable preuve. —
Norchleuïsche Allgemeine Zeitung, 30.1.
« Sous-marin et guerre - continentale »
[sous ce titre]. — Pour apprécier le sous-
marin comme engin de combat, il faut con-
sidérer son rôle par rapport à la situation
d'ensemble. En ce sens, on peut dire qu'il
est d'élément de la décision. Ne menace-t-il
pas directement les assises uniques et im-
muables de toute la stratégie ennemie' ?
Etant donnée pour lesi Alliés la nécessité
de faire venir par mer tous leurs moyens.
de guerre, atteindre leur tonnage c'est
leur enlever la seule possibilité qu'ils aient
die mener la guerre à bonne fin. L'impor-
tance qu'ont les chemins de fer pour les
Puissances-centrales, combattant sur les li-
gnes intérieures, cette importance, plus
grande encore, les bateaux l'ont pour l'En-
fente. 'Ce n'est pas seulement la maîtrise
de la mer qui est 'pour elle la condition
première du succès mais encore la posses-
sion d'un tonnage de grandeur voulue. '! el
est le postulat dont nos ennemis ne sau-
raient s'écarter non plus à l'avenir. Au
contraire, plus ils devront faire appel à
l'aide de l'Amérique, lointaine, plus rigou-
reuse se fera pour eux cette loi. De là le
cri qui aujourd'hui retentit de toutes Pàlrf.s
en Angleterre : « La guerre est une ques-
tion de tonnage ! n Lorsque ces assises-là
seront ébranlées, ce sera l'irrémédiable
écroulement du colosse de ,gue!'lÕe.En
définitive, le sous-marin a : 1° transformé
la situation stratégique en sapant la supé-
riorité matérielle de l'adversaire ; 2° amené
l'ennemi à un affaiblissement grandissant
précisément à l'heure de la passe d'armes
décisivie. A notre haut commandement,
NGÈRRE
1 N° 707
;
Paris, 6 février 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
MW 4
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
N de la Guerre et des Affaires Étrangères.
MILITAIRES
OPERATIONS
générale. - PRESSE AMÉRICAINE :
de 19 7, les Alliés espéraient rem-
victoiore lais l'année Ils comp-
cela sur l'aide des armées réor-
la Russie impériale. Cette aide
pas venue, et la puissance mi-
la Russie s est effondrée. Pas
toutefois, pour que l'Allemagne
de la trahison escomptée du tsa-
résultat qu'elle en attendait.
côtés, les espoirs fondés par les
sur la Russie ont été. déçus.
l'année aussi, il est apparu
sous-marine ne pouvait re-
~gleterre à mercimais d'autre
glais n'ont pu, par leur cam-
ndres, déterminer un repli
menace dirigée par l'Italie
riche a été éliminée par les
centrales. Il faut ajouter à 06
rvention des Etats-Unis, qui
fois ne pas devoir revêtir toute
~on militaire avant 1919. Dans
comment se présente, au dé-
la situation générale ? De
wK^laSne ne pourra réa-
d'abattre l'Angleterre, ni
devra évacuer le Nord de
s iaim s que. Ne se posent plus
ion de savoir si elle payera
~,et si elle restituera l'Alsace-
rance. Mais de quelque fa-
B alJnA « ces deux problèmes,
deux mocrfitièis d'Occident,
perdu la guerre. La France
w Fe l'alliée de l'Angle-
a frappé de stérilité les
monie mondiale de l'Allema-
l'avait fait iadis pour l'Es-
la France. Seulement, il est
l'effondrement de la Rus-
tion de la menace italienne
que les Alliées puissent
pirations dans l'Est, cons-
~indépendance et affran-
mination - des Germano-Ma-
tions opprimées de l'Au-
ne *. nns ici des vi-
"J. l:Ote dalmate, ou jus-
Egée. qui sont drm autre
programme de libération
tions qu'avaient conçu les
démocratriques, après avoir
et AIÎSSANTE botte à eux
Austro-Allemanads. Il importe
d'entre ces nations soit
son int.égrité, pour bar-
le route de Bagdad. Nous
Serbie. Cest là un point
s articles du programme
ce aussi. Mais ils ne s~e-
les Peuples de l'Entente
attre lllsqu'à. la victoire
fatiguent avant, il en
faudra revenir au système de la paix ar-
mée et des budgets militaires écrasants.
C'est le gros nuage sombre de l'avenir. -
(Frank Simorids) New York Tribune, 30.12.
PRESSE ALLEMANDE. - Nos ennemis conti-
nuent à méconnaître que c'est dans un sen-
timent de force et de responsabilité que,
nous leur avons tendu la main et que nous
ne cessons de proclamer notre bonne, vo-
lonté de paix, à des conditions pleines
d'honneur. La justice de notre cause s'ap-
puie sur des victoires comme l'histoire
universelle n'en avait encore pas enregis-
tré. C'est notre armée et son haut com-
mandement, qui ont créé la. situation de
guerre actuelle, laquelle se présente pour
nous sous un jour si éminemment favora-
ble. - La chose est d'une évidence telle
qu'on serait tenté de croire que, logique-
ment nos ennemis finiraient par s'y ren-
dre. Mais pas le moins du monde ! L'Amé-
rique veut nous mettre en pièces, elle parle
« de se jeter avec toutes ses forces dans la
mêlée » : il faut que nous réparions tous
les dommages de cette guerre bien que
c'est à, nous qu'elle ait été criminellement
imposée. L'Angleterre veut combattre jus-
qu'à la victoire finale. La France le veut,
aussi, et par-dessus le marché, elle exige
encore l'Alsace-Lorraine. L'Italie elle-mê-
me, on dirait une ironie, ne veut toujours
pas renoncer à ses » justes » revendica-
tions. - upposons aonc encore une lois,
ce bilan sommaire. A l'Est l'ennemi le plus
puissant par le nombre, la DIUS grande ar-
mée d'Europe a été liquidée par Hinden-
burg. La Russie militaire est éliminée, et
du même coup, l'âme même de la guerre
offensive qu'on pouvait nous faire, à savoir
la guerre bifrontale. Autant qu'il est hu-
mainement possible de le prévoir, la situa-
tion dans l'Est ne se modifiera pas, que la
situation actuelle aboutisse ou non à la
paix. Cependant nous possédons là-bas
d'immenses territoires en gages et nous y
tenons. notre poudre sèche. La Roumanie
respire de plus en plus difficilement. Si
l'Ukraine se décide à conclure la paix. la
Roumanie perdra complètement le souffle.
Comment et où pourrait-elle se procurer le
ravitaillement, les munitions, les équipe-
ments et, de façon générale, tout ce qu'il
faut pour faire la guerre ? Sans compter
qu'il serait facile d'aborder alors cette ar-
mée isolée, et de la broyer. Il lui faudra
donc en finir. qu'elle le veuille ou non. La
Serbie et le Monténégro sont entre nos
mains. L'Italie a subi une catastrophe mi-
litaire telle qu'on n'en connaît guère d'aus-
si grave et foudroyante. — Reste l'Ouest.
La F,funce a dû nous céder dès 1914 son
meilleur territoire industriel ; iSia virilité
s'épuise ; une grande partie de son argent
est perdu en Russie. La Belgique est deve-
nue gage entre les mains allemandes.
L'Angleterre a subi de lourdes pertes, les
plus récentes' à. Cambrai. Le travaiï- de nos
sous-marins auquel elle succombera len-
tement mais infailliblement, se poursuit
jour et nuit. Les Etats-Unis eux-mêmes en
ressentent déjà les effets. Leur prétendu
secours militaire gigantesque à la 'Fi-alice
nous laisse froids, on en a déjà commenté
assez souvent lès possibilités. — C'est chez
l'ennemi que sévit la guerre, non chez
nous. Les dommages qu'elle cause multi
plient ses charges, non ILS nôtres. Autrefois,
l'Entente espérait transformer cette situa-
tion par la décision sur le champ de ba-
taille. Ce que les années 1915. 16, 17 n'ont
pas apporté, il n'y a pas de danger que 1918
l'apporte. Car voici que se lève à l'Ouest
maintenant la menace du poing, du poing
de Hindenburg, le même qui à l'Est a porté
les coups de Tannenberg et des lacs de
Mazurie. Quand, comment et où s'abattra-
t-il ? Nous l'ignorons. Mais s'il s'abat, il
atteindra son but. En présence de cette si-
tuation, les ennemis ne veulent-ils pas en-
tendre raison ? Ont-ils peur de la liquida-
tion ? Préfèrent-ils une fin épouvantable à
une épouvante sans fin ? C'est avec le sen-
timent de notre force militaire et la calme
certitude de la victoire que nous pouvons
attendre quel destin ils se 'seront choisi.
Mais nous ne pouvons attendre que si nous
ne perdons pas notre sang-froid. Et com-
bien peu nous aurions raison, militaire-
ment. de le perdre, c'est ce dont le bilan
précédent apporte l'irréfutable preuve. —
Norchleuïsche Allgemeine Zeitung, 30.1.
« Sous-marin et guerre - continentale »
[sous ce titre]. — Pour apprécier le sous-
marin comme engin de combat, il faut con-
sidérer son rôle par rapport à la situation
d'ensemble. En ce sens, on peut dire qu'il
est d'élément de la décision. Ne menace-t-il
pas directement les assises uniques et im-
muables de toute la stratégie ennemie' ?
Etant donnée pour lesi Alliés la nécessité
de faire venir par mer tous leurs moyens.
de guerre, atteindre leur tonnage c'est
leur enlever la seule possibilité qu'ils aient
die mener la guerre à bonne fin. L'impor-
tance qu'ont les chemins de fer pour les
Puissances-centrales, combattant sur les li-
gnes intérieures, cette importance, plus
grande encore, les bateaux l'ont pour l'En-
fente. 'Ce n'est pas seulement la maîtrise
de la mer qui est 'pour elle la condition
première du succès mais encore la posses-
sion d'un tonnage de grandeur voulue. '! el
est le postulat dont nos ennemis ne sau-
raient s'écarter non plus à l'avenir. Au
contraire, plus ils devront faire appel à
l'aide de l'Amérique, lointaine, plus rigou-
reuse se fera pour eux cette loi. De là le
cri qui aujourd'hui retentit de toutes Pàlrf.s
en Angleterre : « La guerre est une ques-
tion de tonnage ! n Lorsque ces assises-là
seront ébranlées, ce sera l'irrémédiable
écroulement du colosse de ,gue!'lÕe.En
définitive, le sous-marin a : 1° transformé
la situation stratégique en sapant la supé-
riorité matérielle de l'adversaire ; 2° amené
l'ennemi à un affaiblissement grandissant
précisément à l'heure de la passe d'armes
décisivie. A notre haut commandement,
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Jean de Montreuil Jean de Montreuil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Jean de Montreuil" or dc.contributor adj "Jean de Montreuil")
- Auteurs similaires Jean de Montreuil Jean de Montreuil /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Jean de Montreuil" or dc.contributor adj "Jean de Montreuil")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k63384011/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k63384011/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k63384011/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k63384011/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k63384011
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k63384011
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k63384011/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest