Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-01-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 janvier 1918 19 janvier 1918
Description : 1918/01/19 (T8,N689). 1918/01/19 (T8,N689).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338383j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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tnEs DE LA GUERRE
l 'E.-M. A., 2. BI,)
..¿.. ET DES
AIRES ÉTRANGÈRES
K' -—■—
1 N° 689
Paris, 19 janvier 1918.
r"
tBulletin Quotidien de Presse Etrangère i
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
: wétions militaires
1
, (luer. - -- OPERATIONS
iv*Nbs [Cf aérienne. LES AVIATEURS ALLE-
:\Olne à'ii" '-' F10 G(&, f. 2, col. 1]. -
! ks areils ennemis abattus par
janvier tqio allemands à la date du
tt" J caÇitaine de Richthofen.
30 • ,„,ax MÜller, 36 ; lieutenant
e f nrn ; capitaine Berthold, 28 ; lieute-
lteutenant ert, 27; lieutenant Bongartz, 27 ;
lient, (disparu), 26 ; lieutenant
hcutenantO ,s i i1 lieutenant Wusthoff, 26 *
tiek 93 chleicli 25 capitaine de Tüts-
ll'eutS' l8 i UeuÏÏ!Î.^lei.n'. 21 lieutenant
t heutf>n. -' helltAY"H' L"dUL
- "ut n issendertii, 18;
i7- "LopT-? 17 ; lieutenant Goetsch,
liant ffr Menckhoff, 17; lieute-
r leutenant Udel, 16; ser-
"Hn\u^0r Bapnr61' Hi: lieutenant Julius
hiin, elltenalit Kroll, 15; lieute-
nant Thun, 15; sergent-ma j or Tliom, 14
deckt ant llanè sergent-major Thom, U ;
f11, 13 ; capitaine Bud-
m 12 ; lip®utenant iJacobs, 12. -
* Mdri deutsche Allgemeine lPitung, 13.1.
"'Où dis onvale. - a défection russe
end disponible la flotte allemande de la
l;iltinMLes folvo t navales russes dans
i te~ ~s côte~ pas négligeables et
f. t eXPosé:, cOtes allemandes sont longues
les aux attaques, l'Allemagne
doles pr'Otéger avec une escadre de
-'Ui nOmbre Il prereaghn.ougts H. renforcée
Jllleurs et Ux crOlseurs rapides contre-tor-
)illeu 8 et s°us-mnp- L'AHemagne peut
4 "^intASI nant oUs-marins. L'AHemagne peut
e de Ses f ransporter la plus grande par-
de orees nns les ports de la mer
à 'aqueliJ la tentation d'une of-
a^Paravanf elle n'au-
*inniri pas nsé, offensive destinée
ll'-lll? \lrs mal n?, urrier, car la flotte bri-
e s'est n_-
., e-' j en nombre et en puis-
,rl'tr¡id&tl POssède rnttintenant des navires
tH es d es, les Il Htlsh-Hush-ShlPS » au-
etlt t
IJenl qtUels les Oueen-Elizabelli sem-
IlfUt int l'S, : Tnais la marine allemande
Payant ns'ifier in guerre aux bateaux de
a" la mer du Nord en y em-
3 contre f -
eul's en es contre-torpilleurs et des torpil-
son, des submersibles. Les cir-
q'e ce. se ,liant POUf elle si favorables
IJllt f/llre aIt Plesque miracle qu'un convoi
i'lt fuirît a traveié entre les Iles-Britan-
la Scand sans être mqUl-
Les ^ernands a V [e 9ans être in(Iuié-
I PUr ernand Sont sOrs d'être aver-
til, Plir leur s, espions, 18Llrs sous-marins,
etc.. S qu un convoi prend le large,
\e (lQnvnï' marche Îan »
rrionrapide dp«' à la vitesse
08 qui le compo-
tlLllt n(L qui donne difficilement plus de
à l'heure (Jr la marine al-
•""ande L d après J k .P
'htre- tor iliel nrUReti.ns russes et les
viJJP'Heor. américains, dispose de
d I¡ne esse de 11-300 nr^tonnes et plus,
1¡I'ilt itesse e 35 nœuds à l'heure qui
M. rtée pendant de courtes pé-
riodes de temps, jusqu'à 40 nœuds, avec
une puissante batterie de canons proba-
blement de 15 centimètres et de nombreux
lance-torpilles. La protection des convois
dans la mer du Nord sera donc loin d'être
facile. Il est à présumer que le nouveau
conseil naval interallié étudiera cette si-
tuation en vue d'une meilleure disposition
des forces. Il faut neutraliser l'augmen-
tation du nombre des navires rapides et
des sous-marins dont les Allemands peu-
vent disposer dans la mer du Nord, il
faut aussi considérer la possibilité que
l'Allemagne réussisse à s'emparer des
meilleurs 'r.IJ.irllÁ russes et à terminer
les - quatre croiseurs de bataille russes en
construction depuis le début de la guerre.
Les Etats-Unis peuvent envoyer dans les
eaux européennes quelques-uns de Iouts
formidables navires de bataille et le Ja-
pon quelques-uns de ses très puissants
croiseurs type » Kongo ». Il peut se faire
aussi que la nomination du vice-amiral
sir Rosslyn Wemyss ouvre une nouvelle
période où seront « découplées » les flottes.
- (Contre-amiral Ettore Bravette) Mes-
saggero, 15.1.
Front italien. — L'ennemi organise ses
defenses sur toute la longueur du nouveau
front. Il a volontairement abandonné la
tête de pont qu'il conservait, dans la boucle
de Zenson, pour procéder activement tout
le long de la Piave, à des travaux de cou-
verture. Mais il fortifie encore la ligne du
Tagliamentot, qui doit constituer pour lui
verture. dé fense du Frioul, au cas d'un
a véritable défense du Frioul, au cas d'un
retour offensif de notre part. K organise
également le massif du Grappa. Des barra-
ges successifs ont été établis dans la val-
lée de la Brenta ; les positions du val Fren-
zela ont été renforcées. On constate, sur
notre front, un certain arrêt des opéra-
tions ; nous ne saurions dire dans quelle
mesure il s'explique par les préparatifs que
l'on signale sur le front anglo-français. -
(Luigi Ambrosini) Stampa 15.1.
— La neige est tombée sur la montagne.
Elle n'empêche pas encore tout mouvement:
l'ennemi se trouve toutefois dans des con-
ditions pénibles ; il doit hiverner sur des
positions difficiles, qui ne lui offrent au-
cune facilité de ravitaillement ; le massif
du Grappa surtout n'a pas de routes, et
les rares chemins muletiers sont rendus
impraticables par la neige gelée. Peut-être
devra-t-il évacuer quelques-unes des posi-
tions avancées dont la conquête lui avait
coûté de si grands sacrifices — (A. Fracca-
roli) Corriere della Sera, 15.1.
EFFECTIFS
Grande-Bretagne. — Lorsque le public
sait que l'on n'emploie qu'une petite partie
des prisonniers allemands, qu'un nombre
important d'insoumis se réfugient en Ir-
lande où ils vivent tranquillement, que l'on
oppose tant de lenteur à l'application des
règlements concernant l'enrôlement des
sujets étrangers des pays alliés, il se refuse
à croire que la question des effectifs soit
réellement urgente. La négligence du Gou-
vernement a encouragé l'egoïsme de ceux
qui ont trouvé sous le régime de guerre un
emploi facile et lucratif, et qui considèrent
leur abri et leurs salaires élevés comme
des intérêts inaliénables. Le ministre a
fait appel au nombre considérable d'hom-
mes ayant dépassé la limite d'âge de mODi,
lisation, et qui, jouissant de revenus per-
sonnels, pourraient sans trop de sacrifices
participer aux travaux les plus urgents des
industries nationales. Rien ne consoliderait
mieux la position du Gouvernement que
d'insister pour que chaque rentier ne tra-
vaillant pas ait à produire un certificat de
travail national s'il veut continuer à fait.
partie d'une communauté qui se voit obli-
gée de limiter ses approvisionnements. -
(Ed.) Pall Mail Gazette, 15.1.
Le conoours des Etats-Unis. — OPINION
allemande : En allant au fond des déclara-
tions faites au Sénat américain par le mi-
nistre de la guerre Baker, on constate que,
tout bien compté, l'Amérique a environ un
million et demi d'hommes sous les armes.
Ce que Baker oublie de préciser c'est le
chiffre exact des forces américaines en
France. Des neutres, très au courant de la
question, disent les bases fragiles sur les-
quelles reposent les « grandes espérances »
de l'Entente. D'ailleurs, une fois de plus
se justifie l'appréciation portée par les An-
glais sur les Américains, il y a quelques
années : « Les Américains croient qu'il leur
suffit de se gratter la tête, pour être supé-
rieurs à tout le monde. Quand ils se sont
mêlés d'une question, on ne se trouve pas
plus avancé. » — Magdeburgische Zeitung,
——— ———
- POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La Finlande et l'Allemagne. — Les rap-
ports entre les deux pays sont intimes de-
puis des siècles. Ils remontent au moyen
âge lorsque, après la conquête par la
Suède, les bourgeois de Lubeck, de Dant-
zig et de Rêvai vinrent aider la Finlande à
remiser ses richesses économiques. Une
communauté de religion rendit. à l'époque
de la Réforme, les liens plus étroits encore
entre l'Allemagne et la Finlande, devenue
une des citadelles de la loi luthérienne. Sur
les champs, de bataille, des milliers de Fin-
landais combattirent, pendant la, guerre de
Trente ans, pour la cause du protestan-
tisme, à côté de l'Allemagne. - Lorsque, à
la mort de Charles XII la puissance de la
Suède sur les régions du nord de l'Europe
passa aux mains de la Russie, les rapports
continuèrent entre Allemands et Finlan-
dais. L allemand se développa de plus en
plus comme langue officielle en Finlaml.'
tnEs DE LA GUERRE
l 'E.-M. A., 2. BI,)
..¿.. ET DES
AIRES ÉTRANGÈRES
K' -—■—
1 N° 689
Paris, 19 janvier 1918.
r"
tBulletin Quotidien de Presse Etrangère i
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
: wétions militaires
1
, (luer. - -- OPERATIONS
iv*Nbs [Cf aérienne. LES AVIATEURS ALLE-
:\Olne à'ii" '-' F10 G(&, f. 2, col. 1]. -
! ks areils ennemis abattus par
janvier tqio allemands à la date du
tt" J caÇitaine de Richthofen.
30 • ,„,ax MÜller, 36 ; lieutenant
e f nrn ; capitaine Berthold, 28 ; lieute-
lteutenant ert, 27; lieutenant Bongartz, 27 ;
lient, (disparu), 26 ; lieutenant
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tiek 93 chleicli 25 capitaine de Tüts-
ll'eutS' l8 i UeuÏÏ!Î.^lei.n'. 21 lieutenant
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r leutenant Udel, 16; ser-
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nant Thun, 15; sergent-ma j or Tliom, 14
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m 12 ; lip®utenant iJacobs, 12. -
* Mdri deutsche Allgemeine lPitung, 13.1.
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l;iltinMLes folvo t navales russes dans
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f. t eXPosé:, cOtes allemandes sont longues
les aux attaques, l'Allemagne
doles pr'Otéger avec une escadre de
-'Ui nOmbre Il prereaghn.ougts H. renforcée
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à 'aqueliJ la tentation d'une of-
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*inniri pas nsé, offensive destinée
ll'-lll? \lrs mal n?, urrier, car la flotte bri-
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., e-' j en nombre et en puis-
,rl'tr¡id&tl POssède rnttintenant des navires
tH es d es, les Il Htlsh-Hush-ShlPS » au-
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IJenl qtUels les Oueen-Elizabelli sem-
IlfUt int l'S, : Tnais la marine allemande
Payant ns'ifier in guerre aux bateaux de
a" la mer du Nord en y em-
3 contre f -
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i'lt fuirît a traveié entre les Iles-Britan-
la Scand sans être mqUl-
Les ^ernands a V [e 9ans être in(Iuié-
I PUr ernand Sont sOrs d'être aver-
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tlLllt n(L qui donne difficilement plus de
à l'heure (Jr la marine al-
•""ande L d après J k .P
'htre- tor iliel nrUReti.ns russes et les
viJJP'Heor. américains, dispose de
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facile. Il est à présumer que le nouveau
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l'Allemagne réussisse à s'emparer des
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les - quatre croiseurs de bataille russes en
construction depuis le début de la guerre.
Les Etats-Unis peuvent envoyer dans les
eaux européennes quelques-uns de Iouts
formidables navires de bataille et le Ja-
pon quelques-uns de ses très puissants
croiseurs type » Kongo ». Il peut se faire
aussi que la nomination du vice-amiral
sir Rosslyn Wemyss ouvre une nouvelle
période où seront « découplées » les flottes.
- (Contre-amiral Ettore Bravette) Mes-
saggero, 15.1.
Front italien. — L'ennemi organise ses
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le long de la Piave, à des travaux de cou-
verture. Mais il fortifie encore la ligne du
Tagliamentot, qui doit constituer pour lui
verture. dé fense du Frioul, au cas d'un
a véritable défense du Frioul, au cas d'un
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également le massif du Grappa. Des barra-
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lée de la Brenta ; les positions du val Fren-
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notre front, un certain arrêt des opéra-
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mesure il s'explique par les préparatifs que
l'on signale sur le front anglo-français. -
(Luigi Ambrosini) Stampa 15.1.
— La neige est tombée sur la montagne.
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l'ennemi se trouve toutefois dans des con-
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positions difficiles, qui ne lui offrent au-
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les rares chemins muletiers sont rendus
impraticables par la neige gelée. Peut-être
devra-t-il évacuer quelques-unes des posi-
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coûté de si grands sacrifices — (A. Fracca-
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Grande-Bretagne. — Lorsque le public
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des prisonniers allemands, qu'un nombre
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lande où ils vivent tranquillement, que l'on
oppose tant de lenteur à l'application des
règlements concernant l'enrôlement des
sujets étrangers des pays alliés, il se refuse
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réellement urgente. La négligence du Gou-
vernement a encouragé l'egoïsme de ceux
qui ont trouvé sous le régime de guerre un
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lisation, et qui, jouissant de revenus per-
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mieux la position du Gouvernement que
d'insister pour que chaque rentier ne tra-
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(Ed.) Pall Mail Gazette, 15.1.
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mêlés d'une question, on ne se trouve pas
plus avancé. » — Magdeburgische Zeitung,
——— ———
- POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La Finlande et l'Allemagne. — Les rap-
ports entre les deux pays sont intimes de-
puis des siècles. Ils remontent au moyen
âge lorsque, après la conquête par la
Suède, les bourgeois de Lubeck, de Dant-
zig et de Rêvai vinrent aider la Finlande à
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communauté de religion rendit. à l'époque
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une des citadelles de la loi luthérienne. Sur
les champs, de bataille, des milliers de Fin-
landais combattirent, pendant la, guerre de
Trente ans, pour la cause du protestan-
tisme, à côté de l'Allemagne. - Lorsque, à
la mort de Charles XII la puissance de la
Suède sur les régions du nord de l'Europe
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