Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-01-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 janvier 1918 15 janvier 1918
Description : 1918/01/15 (T8,N685). 1918/01/15 (T8,N685).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338379n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 685
;TÈI\ES DE LA GUERRE -
(K.-M. Il., 2. BaU)
* ET DES
1-V1HES ÉTRANGÈRES
-
Paris, 15 janvier 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Situation générale. - PrESSE ALLEMANDE :
la situation militaire a changé ; Un nou-
veau plan d'opérations s' im Pose, J usqu'à
ce jour les Anglais ont attaché Une impor-
lance capilale à la protection directe du
Pas de ~Calais et à l'occupation de la région
de Calais et de Dunkerque. Ils ne veulent
pas un affaiblissement du front sur cette
côte qui fait face a l'Angleterre et comme
s l'ont fait dans le passé, ils laisseront
nécessairement à l'avenir la masse de
l'armée anglaise entre la Somme et la côte
des Flandres, D'autre part, l'année 1917 a
"ntré qUe les Anglais ne pouvaient pas
les positions allemandes de la pas
dre et de l'Artois. La situation des Fran-
çais est toute dilIér>ente, Dès le début leur
;'nlrée en Alsace a indiqué dans quelle di-
réction ils voulaient concentrer leurs efforts.
La marche des Allemancts, sur Paris modi-
a le plan des opérations des Français.
leu 'Is n °"t pas été n °%és
de prêter leur appui aux Anglais, ils ont
attaqué à Verdun. Il est bien fvï I ,ont
essaient de progresser au delà de Verdun,
dans la direction du Nord-Est. Les Anglais
et les Français ont donc des points de vue
complètement différents. Le commande-
ment français est sous les ordres des An-
glais. C'est le point de vue anglais qui rè-
e toutes les batailles. La côte d'Angleterre
doit être directement protégée. Les derniers
succès des Allemands ont montré pour-
tant que les lignes anglaises n'étaient pas
partout assez fortes pour être « réele-
ment » défendues. Notre victoire a suivi
immédiatement » de prélèvement peu impor-
tant de troupes anglaises acheminées vers
l'Italie. Nous Pouvons conclure que les
Français ne peuvent nu
sur l'appui des Anglais que ceux
terviendront Pas dans les ,batailles livrées
sur le front français. S'il retardent une
offensive de grande en Ve rgu re, en 1918, les
Anglais et les Français permettront aux
troupes américaines d'y p~ a~
réalilé, l'ennemi a effectié au cours des
dernières semaines d'importantes concen-
trations de troupes - comme celles de
troupes françaises à Thann et Il. Saml-
n'e semblait slratégiqne. tirer
parti d'un parei effort stratégique. Cette
concentration de troupes françaises n'était
importante que comme préparation d'une
offensive. Or, voici qu'en quelques nomls
de la ligne que va de Calai. à Ver l'artillerie tire avec violence. - (Max von
- La nouvelle situation stratégique de
sera pas modifiée j>a.r les négociations de
Brest-Litovsk, quelle qu'en soit l'Issue.
l'Entente s'en rend compte La. presse. de
la sérieuse crainte éprouve d'une
offensive allemande à l'Ouest. Les deux
groupes de puissances déplacent leurs trou-
pes et ils s'attendent à de grandes batail-
les. Au cours des deux dernières semai-
nes, il n'y a eu nulle part d'engagements
importants. De nombreuses patrouilles, et
des détachements d'assaut ont, de part et
d'autre, essayé de reconnaître les lignes
ennemies. L'artillerie s'est généralement
bornée à des tirs de harcèlement. Quand
le temps le lui a permis, elle a opéré des
tirs de destruction sur les batteries et les
tranchées ennemies. Les opérations vont
provisoirement conserver ce caractère. Il
en est toujours ainsi pendant la longue pé-
riode de préparation qui précède les gran-
des batailles. Pendant la période de tran-
sition actuelle, les points sensibles du front
restent les mêmes. A Cambrai la. situa-
tion est plus calme sur la ligne Grain-
court-Ferme de Gillemont. Les Anglais
semblent renoncer, pour le moment, à re-
prendre leurs positions de Villers-Guislain.
L'aviation - a fait preuve, de part et d'au-
tre, d'une très grande activité. Les batte-
ries contre avions ont été sensiblement
renforcées, en tous les points importants.
Elles forcent l'avion, ennemi à voler très
haut ; il en résulte qu'il lui est moins fa.-
cile de viser ses objectifs et de les at-
teindre. La défense contre avions est re-
lativement peu efficace ; ce qui se passe
à Londres nous en donne la preuve. La
défense aérienne de la ville est très for-
tement organisée. Les résultats sont insi-
gnifiants. En Italie aussi, la situation se
stabilise. Entre le lac de Garde et Asiago,
des opérations importantes ne semblent
pas possibles en cette saison. Entre la'
Brenta et la Piave, les Autrichiens ont
évacué le mont Tomba, ainsi que, sur la
Piave, Zenson, leur dernière tête de pont
sur la rive ouest du fleuve. Le front ac-
tuellement tenu par les Italiens est environ
le tiers de la longueur du front qu'ils te-
naient avant l'offensive austro-allemande.
Malgré ses pertes, l'armée italienne peut
encore suffire à cette tâche, d'autant plus
qu'elle est soutenue par plus de dix divi-
sions franco-anglaises. L'Italie remplace-
ra plus difficilement le matériel qu'elle a
perdu. Sur le front nord, les pertes italien-
nes semblent compensées par d'importants
renforts d'artillerie française. Le retour de
Sarrail à Paris soulève une fois de plus
la question du rappel de l'armée qui porte
son nom. Sur le front de Macédoine, rien
ne semble indiquer le départ de cette ar-
mée. Il se pourrait qu'elle soit ramenée sur
les importantes têtes de pont de Salonique
et de Valona. En Asie mineure, les Turcs
ont abandonné la Svrie méridionale, sans
doute à cause des difficultés du ravitaille-
ment. — Tlambllr(JC.. Fremdenblatt, 9.1.
Afrique orientale portugaise. — Nous ap-
prenons, que le Gouvernement a reçu un
télégramme disant que de très graves évé-
nements viennent de se produire en Afri-
que orientale. Les forces allemandes ont
occupé une grande partie des territoires de
la Compagnie du Nyassa. et nos troupes
sont épuisées. — Seculo, 8.1.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La République finlandaise. — De toutes
les grandes Puissances, l'Empire allemand
a été la première à reconnaître l'indépen-
dance de la République finlandaise. C'est
là un résultat considérable de la guerre
mondiale, important pour la politique eu-
ropéenne, et en particulier pour les inté-
rêts allemands. Il y a dans l'autonomie
de, la Finlande une garantie de la continuité
et du développement des échanges fruc-
tueux, entre elle et l'Alle lagne, tant au
point de vue de la civilisa 'on qu'au point
de vue de la vie économique. Si la Finlande
était restée sous le joug russe, ses rela-
tions avec l'Allemagne n'auraient certaine-
ment pas été de longue durée. La nouvelle
Finlande, au contraire, ne négligera rien
pour maintenir et améliorer ses rapports
avec l'Empire allemand qui a facilité son
essor au cours des dernières années du
temps de paix. — Frankfurter Zeilung, 8.1.
BUTS ET CONSEQUENCES
DE LA GUERRE
L'avenir du slavisme. — On peut se de-
mander si la. situation mondiale du slavis-
me ne s'est pas accrue par la guerre. Il
y a lieu de le penser. Ce que le tsaris-
me a perdu en puissance militaire se trou-
ve plus que compensé pair le prosélytisme
passionné de la démocratie russe. L'an-
cien « danger russe », le cauchemar des
peuples, disparaît tout d'abord au regard,
tandis que des nations longtemps recou-
vertes. par le colosse, et à peine connues
de. nom du reste de l'univers, se dressent
et entrent en lutte pour la liberté. Il faut
voir aussi à quel degré s'est.porté, en dé-
pit de la défaite, l'orgueil national des
Tchèques. Le règlement intérieur des na-
tionalités en Autriche devra compter ex-
pressément avec cette renaissance de la
conscience et des prétentions slaves. Si l'on
décidait de la réduire par la, violence en
Hongrie, le problème de l'unité impériale
austro-hongroise deviendrait insoluble. -
Frankfurter Zeitung, 6.1.
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La Russie et l'Entente. — OPINION AN-
GLAISE : La Russie sortira-t-elle de l'allian-
ce avec des ressentimer à notre égard.
ou simplement parce qu'elle se trouve ab-
solument incapable de continuer la lutte ?
La différence est capitale. A nous de dire
aux Russes que nous sommes avec eux en
principe, et que nous ne saurions voir avec
;TÈI\ES DE LA GUERRE -
(K.-M. Il., 2. BaU)
* ET DES
1-V1HES ÉTRANGÈRES
-
Paris, 15 janvier 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Situation générale. - PrESSE ALLEMANDE :
la situation militaire a changé ; Un nou-
veau plan d'opérations s' im Pose, J usqu'à
ce jour les Anglais ont attaché Une impor-
lance capilale à la protection directe du
Pas de ~Calais et à l'occupation de la région
de Calais et de Dunkerque. Ils ne veulent
pas un affaiblissement du front sur cette
côte qui fait face a l'Angleterre et comme
s l'ont fait dans le passé, ils laisseront
nécessairement à l'avenir la masse de
l'armée anglaise entre la Somme et la côte
des Flandres, D'autre part, l'année 1917 a
"ntré qUe les Anglais ne pouvaient pas
les positions allemandes de la pas
dre et de l'Artois. La situation des Fran-
çais est toute dilIér>ente, Dès le début leur
;'nlrée en Alsace a indiqué dans quelle di-
réction ils voulaient concentrer leurs efforts.
La marche des Allemancts, sur Paris modi-
a le plan des opérations des Français.
leu 'Is n °"t pas été n °%és
de prêter leur appui aux Anglais, ils ont
attaqué à Verdun. Il est bien fvï I ,ont
essaient de progresser au delà de Verdun,
dans la direction du Nord-Est. Les Anglais
et les Français ont donc des points de vue
complètement différents. Le commande-
ment français est sous les ordres des An-
glais. C'est le point de vue anglais qui rè-
e toutes les batailles. La côte d'Angleterre
doit être directement protégée. Les derniers
succès des Allemands ont montré pour-
tant que les lignes anglaises n'étaient pas
partout assez fortes pour être « réele-
ment » défendues. Notre victoire a suivi
immédiatement » de prélèvement peu impor-
tant de troupes anglaises acheminées vers
l'Italie. Nous Pouvons conclure que les
Français ne peuvent nu
sur l'appui des Anglais que ceux
terviendront Pas dans les ,batailles livrées
sur le front français. S'il retardent une
offensive de grande en Ve rgu re, en 1918, les
Anglais et les Français permettront aux
troupes américaines d'y p~ a~
réalilé, l'ennemi a effectié au cours des
dernières semaines d'importantes concen-
trations de troupes - comme celles de
troupes françaises à Thann et Il. Saml-
n'e semblait slratégiqne. tirer
parti d'un parei effort stratégique. Cette
concentration de troupes françaises n'était
importante que comme préparation d'une
offensive. Or, voici qu'en quelques nomls
de la ligne que va de Calai. à Ver
- La nouvelle situation stratégique de
sera pas modifiée j>a.r les négociations de
Brest-Litovsk, quelle qu'en soit l'Issue.
l'Entente s'en rend compte La. presse. de
la sérieuse crainte éprouve d'une
offensive allemande à l'Ouest. Les deux
groupes de puissances déplacent leurs trou-
pes et ils s'attendent à de grandes batail-
les. Au cours des deux dernières semai-
nes, il n'y a eu nulle part d'engagements
importants. De nombreuses patrouilles, et
des détachements d'assaut ont, de part et
d'autre, essayé de reconnaître les lignes
ennemies. L'artillerie s'est généralement
bornée à des tirs de harcèlement. Quand
le temps le lui a permis, elle a opéré des
tirs de destruction sur les batteries et les
tranchées ennemies. Les opérations vont
provisoirement conserver ce caractère. Il
en est toujours ainsi pendant la longue pé-
riode de préparation qui précède les gran-
des batailles. Pendant la période de tran-
sition actuelle, les points sensibles du front
restent les mêmes. A Cambrai la. situa-
tion est plus calme sur la ligne Grain-
court-Ferme de Gillemont. Les Anglais
semblent renoncer, pour le moment, à re-
prendre leurs positions de Villers-Guislain.
L'aviation - a fait preuve, de part et d'au-
tre, d'une très grande activité. Les batte-
ries contre avions ont été sensiblement
renforcées, en tous les points importants.
Elles forcent l'avion, ennemi à voler très
haut ; il en résulte qu'il lui est moins fa.-
cile de viser ses objectifs et de les at-
teindre. La défense contre avions est re-
lativement peu efficace ; ce qui se passe
à Londres nous en donne la preuve. La
défense aérienne de la ville est très for-
tement organisée. Les résultats sont insi-
gnifiants. En Italie aussi, la situation se
stabilise. Entre le lac de Garde et Asiago,
des opérations importantes ne semblent
pas possibles en cette saison. Entre la'
Brenta et la Piave, les Autrichiens ont
évacué le mont Tomba, ainsi que, sur la
Piave, Zenson, leur dernière tête de pont
sur la rive ouest du fleuve. Le front ac-
tuellement tenu par les Italiens est environ
le tiers de la longueur du front qu'ils te-
naient avant l'offensive austro-allemande.
Malgré ses pertes, l'armée italienne peut
encore suffire à cette tâche, d'autant plus
qu'elle est soutenue par plus de dix divi-
sions franco-anglaises. L'Italie remplace-
ra plus difficilement le matériel qu'elle a
perdu. Sur le front nord, les pertes italien-
nes semblent compensées par d'importants
renforts d'artillerie française. Le retour de
Sarrail à Paris soulève une fois de plus
la question du rappel de l'armée qui porte
son nom. Sur le front de Macédoine, rien
ne semble indiquer le départ de cette ar-
mée. Il se pourrait qu'elle soit ramenée sur
les importantes têtes de pont de Salonique
et de Valona. En Asie mineure, les Turcs
ont abandonné la Svrie méridionale, sans
doute à cause des difficultés du ravitaille-
ment. — Tlambllr(JC.. Fremdenblatt, 9.1.
Afrique orientale portugaise. — Nous ap-
prenons, que le Gouvernement a reçu un
télégramme disant que de très graves évé-
nements viennent de se produire en Afri-
que orientale. Les forces allemandes ont
occupé une grande partie des territoires de
la Compagnie du Nyassa. et nos troupes
sont épuisées. — Seculo, 8.1.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La République finlandaise. — De toutes
les grandes Puissances, l'Empire allemand
a été la première à reconnaître l'indépen-
dance de la République finlandaise. C'est
là un résultat considérable de la guerre
mondiale, important pour la politique eu-
ropéenne, et en particulier pour les inté-
rêts allemands. Il y a dans l'autonomie
de, la Finlande une garantie de la continuité
et du développement des échanges fruc-
tueux, entre elle et l'Alle lagne, tant au
point de vue de la civilisa 'on qu'au point
de vue de la vie économique. Si la Finlande
était restée sous le joug russe, ses rela-
tions avec l'Allemagne n'auraient certaine-
ment pas été de longue durée. La nouvelle
Finlande, au contraire, ne négligera rien
pour maintenir et améliorer ses rapports
avec l'Empire allemand qui a facilité son
essor au cours des dernières années du
temps de paix. — Frankfurter Zeilung, 8.1.
BUTS ET CONSEQUENCES
DE LA GUERRE
L'avenir du slavisme. — On peut se de-
mander si la. situation mondiale du slavis-
me ne s'est pas accrue par la guerre. Il
y a lieu de le penser. Ce que le tsaris-
me a perdu en puissance militaire se trou-
ve plus que compensé pair le prosélytisme
passionné de la démocratie russe. L'an-
cien « danger russe », le cauchemar des
peuples, disparaît tout d'abord au regard,
tandis que des nations longtemps recou-
vertes. par le colosse, et à peine connues
de. nom du reste de l'univers, se dressent
et entrent en lutte pour la liberté. Il faut
voir aussi à quel degré s'est.porté, en dé-
pit de la défaite, l'orgueil national des
Tchèques. Le règlement intérieur des na-
tionalités en Autriche devra compter ex-
pressément avec cette renaissance de la
conscience et des prétentions slaves. Si l'on
décidait de la réduire par la, violence en
Hongrie, le problème de l'unité impériale
austro-hongroise deviendrait insoluble. -
Frankfurter Zeitung, 6.1.
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La Russie et l'Entente. — OPINION AN-
GLAISE : La Russie sortira-t-elle de l'allian-
ce avec des ressentimer à notre égard.
ou simplement parce qu'elle se trouve ab-
solument incapable de continuer la lutte ?
La différence est capitale. A nous de dire
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