Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-01-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 janvier 1918 14 janvier 1918
Description : 1918/01/14 (T8,N684). 1918/01/14 (T8,N684).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63383787
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
STÈRES DE LA GUERRE
(E.-M. A., 2e Bau)
ET DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 684
Paris, ilt janvier 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
Il
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Les bruits d'offensive allemande. -
mands continuant - Tandis que les Alle-
dable offensive sur le front occidental on
observe ce fait étrange que l'état-major on
lemand promulgue un règlement relatif à
l'organisation de ce front dans un sens net-
tement défensif. Les opérations sur le front
français pour le moment. Tandis que les
jours passent, les Allemands se réconfor-
tent en faisant sortir de l'ombre d'autres
célébrités militaires. Le nm « f6 d'autres
guerre serait le général Von Loffberg qui
commandait les troupes von Loffberg en
champagne en 1915, puis sur la somme en
1916 et finalement dans les kY S«?mme en
Cambrai en 1917. Ce général serait consi-
déré, en Allemagne, comme une des per-
sonnalités militaires les pus importantes;
on lui confierait un haut ;
dans les prochaines opérations. si tarit
est qu'il y en ait. -
PRESSE ALLEMANDE. - Depuis que es. I-
devient importante de savoir si la percée
du front ennemi coûte plus de pertes qu'une
guerre de positions, qui se prlonge. pen-
dant des mois et des années. rolonge pen-
de , la dernière campagne d'Italie montre
qu'une attaque rapidement conduite n'occa-
sionne que des pertes minim?,.1^ n'occa-
percer tout de suite les dernières lignes
ennemies. Les préparatifs de l'attaque en
Italie ont été faits avant l'achèvement de
la concentration de nos armées. Les quel-
ques routes qui menaient au front de auef
bat avaient été bien utilisées. Celle qu,i pas_
sait par la montagne était la seule qui per-
mît une marche d'approche, au moment
des opérations. Nous fûmes ainsi amenés
accrocher l'ennemi avec nos avant-gardes
suivies par le gros de nos troupes massées,
en formation de marche. Avant l'attaque,
des troupes fu- rent rassemblées, en masses,
S,,Ur les routes de montagne, et concentrées
dans des bivouacs, sur les plateaux au
bord des vallées. Ces troupes ainsi massées
se déployèrent pour attaquer l'ennemi sur
les versants de la montagne. Dès qu'elles
eurent pénétré dans la t oiite première ligne
ennemie, les colonnes qui suivaient se mi-
rent e.n marche pour occuper les Positions
coquises Ces opérations de début prou-
vent que les lignes ennemies peuvent être
percées grâce à une concentration rapide
et cosidérable de troupes, pourvu que l'on
ait découvert le point faible de l'ennemi.
C'est aini que nous avons pu tourner
axemple sur le plateau de Bainsizza et à
l'est du Tagliamento, de fortes colonnes
ennemies, dont la ligne de retraite était
coupée, à se rendre immédiatement. De part
et d'autre, il faut assurer une étroite collabo-
ration des troupes de l'avant et des for-
ces qui, échelonnées à l'arrière, ne sont
pas encore en ordre de bataille. Si celles-
ci font défaut à la défense au moment criti-
que, l'assaillant peut d'autant plus facile-
ment riser la première ligne de défense
brai C'est ce qui s'est produit à Cam-
contre-attaque allemande. Nous avons for-
ce les premières lignes anglaises, alors
que plus au Sud des troupes ennemies
aménageient des positions, qui devaient
constituer la deuxième ligne anglaise.
Les considérations qui décèdent per-
dent leur valeur si les armées principales
des adversaires en présence sont engagées
dans une grande action décisive pour tout
le front. La bataille amènera alors une dé-
vaincu La retraite de toutes les troupes du
tions forcera les autres parties plus fai-
bles de l'armée à s'associer au mouvement
de front" o ccide temps derniers, l'ennemi, bir
le front occidental, manifeste une tendance
à grouper ses troupes en grosses masses
de combat Si les troupes jusqu'alors éche-
lonnées sur des lignes très étendues sont
groupées dans les deux camps, lors des
prochaines rencontres, la percée du front
ne sera que le prélude de la bataille. Ce
sont les chefs qui décideront du succès en
dirigeant les mouvements des masses de
façon à accrocher l'adversaire au point
sensible et à l'écraser. - (Max von Versen)
Tägliche Bundschau, 8.1.
Le rapport du maréchal Haig. - [Cf
Bull. Si n" l col. 2]. Le rapport de
Sir D. Haig vient élucider un point très
important : l'ajournement au 31 juillet de
l'offensive, d'Ypres., fait qui a valu à Sir
D. H.alg d'abondantes critiquas, basées sur
des informattons erronées. Le plan origi-
nel était d'attaquer simultanément à Arras
et sur l'Ancre et d'effectuer un mouvement
convergeant. en partant de ces deux points.
Les Français tirent d'autres propositions
Les rendirent impossible la réalisation de ce
proiet car, suivant les instructions du
gouvernement, Sir D Haig dut modifier ses
alliés, de façon à satisfaire au désir de nos
alliés. Il ressort de l'examen des faits que
le général Nivelle qui, à cette époque, avait
réussi à prendre en France le commande-
ment en chef, avait tout naturellement éla-
boré son propre plan, qui différait consi-
dérablement de celui qui avait été approuvé
par les délégué, militaires des Puissances
alliées lors de la Conférence de Paris, en
novembre 1916. Ce qu'il demandait aux An-
glais, c'était d'effectuer une attaque sur la
crête de Vimy plus tôt que Sir D. Haig ne
l'avait projetée. Cette attaque devait« servir
la préparation à une opération décisive de
la part de française ». L'attaque de
Vimy réussit entièrement, mais lorsque les
Français voulurent développer leur mou-
vement par leur grande attaque de Cham-
pagne, il se présenta des difficultés insur-
montables, et l'opération, jugée dans son
ensemble, ne représente qu'un succès li-
mité. — (Ed.) Globe, 9.1.,
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
SITUATION GENERALE
Espagne : LA HAUSSE DES PRIX. — L'Espa-
gne n'est certainement pas le pays où l'on
vit pour manger : heureux au contraire si
l'on y peut manger pour vivre. Les chefs
du Gouvernement veulent nous tranquilliser
en affirmant que les prix de nos denrées
ont à peine varié surtout si on les compare
aux écarts énormes qu'on observe dans les
autres nations de l'Europe. Statistiques en
main, nous pouvons démontrer dans quelle
situation difficile nous ont placés les récol-
tes déficitaires de ces dernières années
aggravées par toutes sortes de circonstan-
ces défavorables. Voici des chiffres qui té-
moignent de la hausse des prix de nos pro-
duits depuis le début de la guerre :
Prix
Août 1914 actuel Hausse
Blé. 29 47 62
Maïs 25 45 80
Farine. 45 55 22
Pommes de terre 10 19 90
Haricots. 62 78 8 <
Morue. 150 244 62
Avoine 23 42 82
Orge. 23 47 83
Pois chiches. 44 75 70
Huile olive. 114 173 51
Alcools. 88 206 134
Riz 38 66 92
Essence. 71 165 13E
Selon le « Bulletin officiel Agricole », les
trois pays d'Europe où le prix du blé a le
plus augmenté sont la France, l'Espagne et
la Hollande. Triste privilège. — Correo
Catalan. 1.1.
COMMERCE EXTERIEUR
Norvège. — Le Norges Handels-og Sjö-
fartstidende [de Christiania] adresse le 4.1
cette brève question au gouvernement [Cf.
Bull. n° 677. p. 2, col. 1] : « Est-il vrai que
notre exportation de métaux, de produits
chimiques et de minerais à l'Allemagne soit
actuellement lie seul obstacle à ce que nous
recevions des approvisionnements de l'Amé-
rique et des autres pays de l'Entente ? » —
Nationaltidende [dan.], 5.1.
MARINE MARCHANDE
Danemark. — Les longues négociations
entre le Gouvernement, la Commission du
fret et les Sociétés, d'armateurs ont abouti
hier à un résultat que l'on donne comme
satisfaisant. On est parvenu à se mN'
d'accord sur un règlement d'après lequel
(E.-M. A., 2e Bau)
ET DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 684
Paris, ilt janvier 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
Il
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Les bruits d'offensive allemande. -
mands continuant - Tandis que les Alle-
dable offensive sur le front occidental on
observe ce fait étrange que l'état-major on
lemand promulgue un règlement relatif à
l'organisation de ce front dans un sens net-
tement défensif. Les opérations sur le front
français pour le moment. Tandis que les
jours passent, les Allemands se réconfor-
tent en faisant sortir de l'ombre d'autres
célébrités militaires. Le nm « f6 d'autres
guerre serait le général Von Loffberg qui
commandait les troupes von Loffberg en
champagne en 1915, puis sur la somme en
1916 et finalement dans les kY S«?mme en
Cambrai en 1917. Ce général serait consi-
déré, en Allemagne, comme une des per-
sonnalités militaires les pus importantes;
on lui confierait un haut ;
dans les prochaines opérations. si tarit
est qu'il y en ait. -
PRESSE ALLEMANDE. - Depuis que es. I-
devient importante de savoir si la percée
du front ennemi coûte plus de pertes qu'une
guerre de positions, qui se prlonge. pen-
dant des mois et des années. rolonge pen-
de , la dernière campagne d'Italie montre
qu'une attaque rapidement conduite n'occa-
sionne que des pertes minim?,.1^ n'occa-
percer tout de suite les dernières lignes
ennemies. Les préparatifs de l'attaque en
Italie ont été faits avant l'achèvement de
la concentration de nos armées. Les quel-
ques routes qui menaient au front de auef
bat avaient été bien utilisées. Celle qu,i pas_
sait par la montagne était la seule qui per-
mît une marche d'approche, au moment
des opérations. Nous fûmes ainsi amenés
accrocher l'ennemi avec nos avant-gardes
suivies par le gros de nos troupes massées,
en formation de marche. Avant l'attaque,
des troupes fu- rent rassemblées, en masses,
S,,Ur les routes de montagne, et concentrées
dans des bivouacs, sur les plateaux au
bord des vallées. Ces troupes ainsi massées
se déployèrent pour attaquer l'ennemi sur
les versants de la montagne. Dès qu'elles
eurent pénétré dans la t oiite première ligne
ennemie, les colonnes qui suivaient se mi-
rent e.n marche pour occuper les Positions
coquises Ces opérations de début prou-
vent que les lignes ennemies peuvent être
percées grâce à une concentration rapide
et cosidérable de troupes, pourvu que l'on
ait découvert le point faible de l'ennemi.
C'est aini que nous avons pu tourner
axemple sur le plateau de Bainsizza et à
l'est du Tagliamento, de fortes colonnes
ennemies, dont la ligne de retraite était
coupée, à se rendre immédiatement. De part
et d'autre, il faut assurer une étroite collabo-
ration des troupes de l'avant et des for-
ces qui, échelonnées à l'arrière, ne sont
pas encore en ordre de bataille. Si celles-
ci font défaut à la défense au moment criti-
que, l'assaillant peut d'autant plus facile-
ment riser la première ligne de défense
brai C'est ce qui s'est produit à Cam-
contre-attaque allemande. Nous avons for-
ce les premières lignes anglaises, alors
que plus au Sud des troupes ennemies
aménageient des positions, qui devaient
constituer la deuxième ligne anglaise.
Les considérations qui décèdent per-
dent leur valeur si les armées principales
des adversaires en présence sont engagées
dans une grande action décisive pour tout
le front. La bataille amènera alors une dé-
vaincu La retraite de toutes les troupes du
tions forcera les autres parties plus fai-
bles de l'armée à s'associer au mouvement
de front" o ccide temps derniers, l'ennemi, bir
le front occidental, manifeste une tendance
à grouper ses troupes en grosses masses
de combat Si les troupes jusqu'alors éche-
lonnées sur des lignes très étendues sont
groupées dans les deux camps, lors des
prochaines rencontres, la percée du front
ne sera que le prélude de la bataille. Ce
sont les chefs qui décideront du succès en
dirigeant les mouvements des masses de
façon à accrocher l'adversaire au point
sensible et à l'écraser. - (Max von Versen)
Tägliche Bundschau, 8.1.
Le rapport du maréchal Haig. - [Cf
Bull. Si n" l col. 2]. Le rapport de
Sir D. Haig vient élucider un point très
important : l'ajournement au 31 juillet de
l'offensive, d'Ypres., fait qui a valu à Sir
D. H.alg d'abondantes critiquas, basées sur
des informattons erronées. Le plan origi-
nel était d'attaquer simultanément à Arras
et sur l'Ancre et d'effectuer un mouvement
convergeant. en partant de ces deux points.
Les Français tirent d'autres propositions
Les rendirent impossible la réalisation de ce
proiet car, suivant les instructions du
gouvernement, Sir D Haig dut modifier ses
alliés, de façon à satisfaire au désir de nos
alliés. Il ressort de l'examen des faits que
le général Nivelle qui, à cette époque, avait
réussi à prendre en France le commande-
ment en chef, avait tout naturellement éla-
boré son propre plan, qui différait consi-
dérablement de celui qui avait été approuvé
par les délégué, militaires des Puissances
alliées lors de la Conférence de Paris, en
novembre 1916. Ce qu'il demandait aux An-
glais, c'était d'effectuer une attaque sur la
crête de Vimy plus tôt que Sir D. Haig ne
l'avait projetée. Cette attaque devait« servir
la préparation à une opération décisive de
la part de française ». L'attaque de
Vimy réussit entièrement, mais lorsque les
Français voulurent développer leur mou-
vement par leur grande attaque de Cham-
pagne, il se présenta des difficultés insur-
montables, et l'opération, jugée dans son
ensemble, ne représente qu'un succès li-
mité. — (Ed.) Globe, 9.1.,
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
SITUATION GENERALE
Espagne : LA HAUSSE DES PRIX. — L'Espa-
gne n'est certainement pas le pays où l'on
vit pour manger : heureux au contraire si
l'on y peut manger pour vivre. Les chefs
du Gouvernement veulent nous tranquilliser
en affirmant que les prix de nos denrées
ont à peine varié surtout si on les compare
aux écarts énormes qu'on observe dans les
autres nations de l'Europe. Statistiques en
main, nous pouvons démontrer dans quelle
situation difficile nous ont placés les récol-
tes déficitaires de ces dernières années
aggravées par toutes sortes de circonstan-
ces défavorables. Voici des chiffres qui té-
moignent de la hausse des prix de nos pro-
duits depuis le début de la guerre :
Prix
Août 1914 actuel Hausse
Blé. 29 47 62
Maïs 25 45 80
Farine. 45 55 22
Pommes de terre 10 19 90
Haricots. 62 78 8 <
Morue. 150 244 62
Avoine 23 42 82
Orge. 23 47 83
Pois chiches. 44 75 70
Huile olive. 114 173 51
Alcools. 88 206 134
Riz 38 66 92
Essence. 71 165 13E
Selon le « Bulletin officiel Agricole », les
trois pays d'Europe où le prix du blé a le
plus augmenté sont la France, l'Espagne et
la Hollande. Triste privilège. — Correo
Catalan. 1.1.
COMMERCE EXTERIEUR
Norvège. — Le Norges Handels-og Sjö-
fartstidende [de Christiania] adresse le 4.1
cette brève question au gouvernement [Cf.
Bull. n° 677. p. 2, col. 1] : « Est-il vrai que
notre exportation de métaux, de produits
chimiques et de minerais à l'Allemagne soit
actuellement lie seul obstacle à ce que nous
recevions des approvisionnements de l'Amé-
rique et des autres pays de l'Entente ? » —
Nationaltidende [dan.], 5.1.
MARINE MARCHANDE
Danemark. — Les longues négociations
entre le Gouvernement, la Commission du
fret et les Sociétés, d'armateurs ont abouti
hier à un résultat que l'on donne comme
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