nSTÈD.ES DE LA GUERRE
ET DES
A FF AIRES ÉTRANGÈRES
k ——————
N° G74
Paris 4 janvier 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Situation générale. - PRESSE HOLLAN-
DAISE : Le résultat le plus important de la
trêve orientale se trouve sans aucun doute
dans le fait que des troupes allemandes,
autrichiennes, turques et bulgares devien-
nent ïsnnnî! lh'i sur une grande échelle et
on n'attendra pas l'année prochaine pour
les employer ailleurs, quand peut-être
l'élément militaire américain sera devenu
assez puissant en Europe. Or, pendant qu'à
Paris le conseil interallié discute et dé-
jeune, le seul chef de toutes les armées
coalisées agit. Si la Roumanie pense que
les conciliabules de Vesailles peuvent la
sauver, elle est en train de se tromper
comme au jour où la plame de Valachie
fut envahie. Quant à l'Italie ce n'est pro-
bablement pas un vain mot, si Kühimann
a déclaré que les Kah,mann
bas n'étaient qu'un derniers événements là-
bas n'étaient qu'un prologue! Il est donc
probable que les Centraux essaieront de
faire de l'Italie une autre Russie, grâce aux
coups PréciPibés et formida h i oc £ fn\^Lau n
porteront. En outre les forces , ottomanes
n'ayant plus à se battre dans le Caucase,
se dresseront contre les Anglais en Pales-
tine et en Mésopotamie etfiniront ainsi
par menacer encore une fois le canal de
Suez, point vital de la puissance britan-
nique. Reste l'armé alliée de Macédoine :
il serait possible aux Centraux de la rejeter
dans la mer mais cela terait à la Bulga-
rie toute raison de poursuivre la guerre.
Il ne faut donc pas s'étonner si, pour ne
pas perdre les Bulgares, l'on ne touche pas
aux armées de Salonique qui, du reste. ne
font de mal à personne. - Tiid. 4.12.
Front italien. - L'ennemi n'avait pas
l'intention de livr une grande ba-taiale sur
la Piave. Il espérait que grande bataille sur
mais, malheureusement pour lui, son objec-
tif n'ayant pas été atteint par l,e premier
choc, il a été forcé à une série de batailles
successives. Il continura à combattre par-
ce qu'il fie «eïneut Snfn«^.Sarrêtor«l At aussi pamee
qu'il a certains espoirs raisonnables de
succès Un changement de temps pourrait
accroitre ses chances de victoire; mais il
est implora&ble qu'il ateigne son but. Au
début de la pemcée, j'ai annoncé qu'il ne
perdrait pas moins de 300.00 hommes. En
un rno:s il a, perdu plus d'hommes qu'en
six mois sur le front russe. - (\Vlallace)
Birmigham Dai.'y Post. 27.12.
tes. Autrichiens en Belgique. — Selon nos
renseignements, il y a en Belgique une
grande quantité d, troupes autrichiennes
arrivées du front oriantel. EUes sont telle-
ment nombruses qu'on est obligé de les
loger Ju»que dan« la locaux sanitaires qui
ont servi après la bataille de Paschen-
daele. - Correo Espafiol, 27.12.
*
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MARINE MARCHANDE
6,1 Le tonnage des Etats-Unis. — Dans le
6e supplément de la Zeitschrift des Hambur-
gischen Kobonialinstituies [« Revue de l'Ins-
titut Colonial de Hambourg » J, le docteur
Kaegbein étudie le tonnage de l'Amérique
et la possibilité pour ce pays de transpor-
ter des troupes en Europe. Voici les résul-
tats de cette étude qui peint la situation
t teki e qu'elle est : 1° Depuis le commence-
ment de la guerre jusqu'au milieu de 1917,
le tonnage américain a augmenté de 106
Il s'élevait, le 30 juin 1917 au chiffre de
2.424.000 tonnes. 2° Dans les quatre mois de
juillet à octobre, en interprétant les choses
dans le sens le plus favorable, sont venus
s'y ajouter :
(t) Constructions nouvelles sur les
chantiers d'Amérique T. 4-00 à 450.000
b) Navires achetés 150.000
c) Navires prélevés sur le cabo-
tage 350.000
d) Navires allemands remis en
état. 400 à 450.000
ce qui fait, pour le début de novembre 00,.
viron 3.750.000 T. servant au com-
merce extérieur. 3° Dans ce tonnage, le tra-
fic entre l'Europe et l'Amétrique ne disposa
que de 3 à 400.000 tonnes (surtout des na-
vires allemands réquisitionnés) ce qui por-
ta le chiffre total, pour ce trafic, à 700.000
tonnes, en y comprenant les 3 à 400.000
tonnes qui étaient déjà au service de l'En-
tente. 4° Le reste du tonnage du commerce
extérieur était affecté au service de sur-
veillance, ou assurait les relàtions de l'A-
mérique avec les autres pays à l'exception
de l'Europe. 5° Le tonnage des neutres a
fourni tout ce qu'il pouvait donner. 6° Dans
les conditions les plus favorables et abs-
traction faite des pertes, voici quelle pourra
être la progression dans l'augmentation du
tonnage américain :
Au début de novembre 1917 T. 700 000
» de janvier 1918 1.600.000
1) d'avril 1918 2.250.000
» de juillet 1918 2.700!000
» d'octobre 1918 3.200.000
» de janvier 1919. 3.800.000
7° L'Entente n'a aucun autre moyen de se
procurer du tonnage que de s'adresser à
l'Amérique. - En 1917, le tonnage de
l'Entente a diminué de moitié. 8° La guerre
sous-marine permet de prévoir, pour A-an
prochain, un déficit de 3.750.000 T. 9°
Toute la production de l'Amérique ne ser-
virait qu'à combler le déficit. Il n'y aurait
pas de tonnage en surplus, pour te trans-
port des troupes. 10° Pour le transport des
troupes, l'Amérique sera obligée de faire
des emprunts à sa flotte commerciale, navi-
guant hors d'Europe. Elle compromettra
les Van économiques et politiques
qu'elle a obtenus dans le continent améri-
cain, si elle prélève sur cette flotte plus de
1/2 million de tonnes. 11° La densité des
transports dépend de la grandeur du ton..
nage, mis régulièrement à la disposition de
l'armée. D'après ce a qui a été dit au para-
graphe 10, on peut admettre qu'il ne reste-
ra-plus au commencement de l'année pro-
chaine que 4 à 500.000 tonnes. 12° Ce ton-
nage permettrait de transporter en janvier
100.000 hommes, puis de six semaines en
six semaines 60.000, 40.000, et ainsi de suite
jusqu'à ce que tout le tonnage soit absor-
bé par ce transport et les services qui en
dépendent. Il n'est pas vraisemblable que
les impérieuses nécessités du ravitaillement
permettent de disposer d'un tannage plus
important pour le transport des troupes.
— Rheinisch-Westfdlische Zeitung, 29.12.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La Finlande. — L'évacuation projetée des
troupes russes de Finlande a causé beau-
coup d'inquiétude dans les milieux bour-
geois de Russie. Le Dien du 20.12 examine
la question dans un leader qui tire un inté-
rêt particulier de la relation que ce journal
établit entre les bruits d'évacuation et les
négociations de Brest-Litovsk. « Nous sa-
vons, dit-il, aussi peu que le reste de Pé-
trograd jusqu'où va pour le moment la
limite de l'influence allemande sur la
Russie. Comme tout Pétrograd, nous avons
la sensation d'une menace suspendue sur
la capitale. On nous apprend que les trou-
pes russes sont sur le point d'être retirées
de Finlande. Est-ce vrai ? On dit que les
troupes se retirent parce que la Finlande
indépendante le désire. A cette occasion
nous voudrions savoir avant tout quand
la Russie a reconnu l'indépendancevde la
Finlande. La Finlande ne fait-elle vrai-
ment plus partie du front ; tout danger
d'une descente de forces ennemies a-t-il
déjà disparu, et quelle est la différence
entre une évacuation de la Finlande et un
abandon de Pétrograd, quelle est la diffé-
rence entre le retrait des Russes de Fin-
lande et un abandon de Sveaborg et de la
flotte ? Est-ce que les généraux allemands
de Brest-Litovsk auraient ordonné cette
mesure ? » Dagens Nyheler [suéd.], 24.12.
— De Stockholm, 23.12 : Le « Svenska
Telegrambyraa » [agence télégraphique de
Stockholm] dément officiellement le bruit
lancé dans les journaux bourgeois de Pé-
trograd, d'après lequel la Suède concentre-
rait des troupes' contre la Finlande. —
Nationaltidende [dan.], 24.12.
Le Livre Vert brésilien. — De Rio-de-
Janeiro : Le Gouvernement publiera sous
peu un Livre Vert qui doit renfermer des
documents d'une importance considérable
pour l'histoire diplomatique de la guerre.
— Seculo [portug.], 27.12.
ET DES
A FF AIRES ÉTRANGÈRES
k ——————
N° G74
Paris 4 janvier 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Situation générale. - PRESSE HOLLAN-
DAISE : Le résultat le plus important de la
trêve orientale se trouve sans aucun doute
dans le fait que des troupes allemandes,
autrichiennes, turques et bulgares devien-
nent ïsnnnî! lh'i sur une grande échelle et
on n'attendra pas l'année prochaine pour
les employer ailleurs, quand peut-être
l'élément militaire américain sera devenu
assez puissant en Europe. Or, pendant qu'à
Paris le conseil interallié discute et dé-
jeune, le seul chef de toutes les armées
coalisées agit. Si la Roumanie pense que
les conciliabules de Vesailles peuvent la
sauver, elle est en train de se tromper
comme au jour où la plame de Valachie
fut envahie. Quant à l'Italie ce n'est pro-
bablement pas un vain mot, si Kühimann
a déclaré que les Kah,mann
bas n'étaient qu'un derniers événements là-
bas n'étaient qu'un prologue! Il est donc
probable que les Centraux essaieront de
faire de l'Italie une autre Russie, grâce aux
coups PréciPibés et formida h i oc £ fn\^Lau n
porteront. En outre les forces , ottomanes
n'ayant plus à se battre dans le Caucase,
se dresseront contre les Anglais en Pales-
tine et en Mésopotamie etfiniront ainsi
par menacer encore une fois le canal de
Suez, point vital de la puissance britan-
nique. Reste l'armé alliée de Macédoine :
il serait possible aux Centraux de la rejeter
dans la mer mais cela terait à la Bulga-
rie toute raison de poursuivre la guerre.
Il ne faut donc pas s'étonner si, pour ne
pas perdre les Bulgares, l'on ne touche pas
aux armées de Salonique qui, du reste. ne
font de mal à personne. - Tiid. 4.12.
Front italien. - L'ennemi n'avait pas
l'intention de livr une grande ba-taiale sur
la Piave. Il espérait que grande bataille sur
mais, malheureusement pour lui, son objec-
tif n'ayant pas été atteint par l,e premier
choc, il a été forcé à une série de batailles
successives. Il continura à combattre par-
ce qu'il fie «eïneut Snfn«^.Sarrêtor«l At aussi pamee
qu'il a certains espoirs raisonnables de
succès Un changement de temps pourrait
accroitre ses chances de victoire; mais il
est implora&ble qu'il ateigne son but. Au
début de la pemcée, j'ai annoncé qu'il ne
perdrait pas moins de 300.00 hommes. En
un rno:s il a, perdu plus d'hommes qu'en
six mois sur le front russe. - (\Vlallace)
Birmigham Dai.'y Post. 27.12.
tes. Autrichiens en Belgique. — Selon nos
renseignements, il y a en Belgique une
grande quantité d, troupes autrichiennes
arrivées du front oriantel. EUes sont telle-
ment nombruses qu'on est obligé de les
loger Ju»que dan« la locaux sanitaires qui
ont servi après la bataille de Paschen-
daele. - Correo Espafiol, 27.12.
*
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MARINE MARCHANDE
6,1 Le tonnage des Etats-Unis. — Dans le
6e supplément de la Zeitschrift des Hambur-
gischen Kobonialinstituies [« Revue de l'Ins-
titut Colonial de Hambourg » J, le docteur
Kaegbein étudie le tonnage de l'Amérique
et la possibilité pour ce pays de transpor-
ter des troupes en Europe. Voici les résul-
tats de cette étude qui peint la situation
t teki e qu'elle est : 1° Depuis le commence-
ment de la guerre jusqu'au milieu de 1917,
le tonnage américain a augmenté de 106
Il s'élevait, le 30 juin 1917 au chiffre de
2.424.000 tonnes. 2° Dans les quatre mois de
juillet à octobre, en interprétant les choses
dans le sens le plus favorable, sont venus
s'y ajouter :
(t) Constructions nouvelles sur les
chantiers d'Amérique T. 4-00 à 450.000
b) Navires achetés 150.000
c) Navires prélevés sur le cabo-
tage 350.000
d) Navires allemands remis en
état. 400 à 450.000
ce qui fait, pour le début de novembre 00,.
viron 3.750.000 T. servant au com-
merce extérieur. 3° Dans ce tonnage, le tra-
fic entre l'Europe et l'Amétrique ne disposa
que de 3 à 400.000 tonnes (surtout des na-
vires allemands réquisitionnés) ce qui por-
ta le chiffre total, pour ce trafic, à 700.000
tonnes, en y comprenant les 3 à 400.000
tonnes qui étaient déjà au service de l'En-
tente. 4° Le reste du tonnage du commerce
extérieur était affecté au service de sur-
veillance, ou assurait les relàtions de l'A-
mérique avec les autres pays à l'exception
de l'Europe. 5° Le tonnage des neutres a
fourni tout ce qu'il pouvait donner. 6° Dans
les conditions les plus favorables et abs-
traction faite des pertes, voici quelle pourra
être la progression dans l'augmentation du
tonnage américain :
Au début de novembre 1917 T. 700 000
» de janvier 1918 1.600.000
1) d'avril 1918 2.250.000
» de juillet 1918 2.700!000
» d'octobre 1918 3.200.000
» de janvier 1919. 3.800.000
7° L'Entente n'a aucun autre moyen de se
procurer du tonnage que de s'adresser à
l'Amérique. - En 1917, le tonnage de
l'Entente a diminué de moitié. 8° La guerre
sous-marine permet de prévoir, pour A-an
prochain, un déficit de 3.750.000 T. 9°
Toute la production de l'Amérique ne ser-
virait qu'à combler le déficit. Il n'y aurait
pas de tonnage en surplus, pour te trans-
port des troupes. 10° Pour le transport des
troupes, l'Amérique sera obligée de faire
des emprunts à sa flotte commerciale, navi-
guant hors d'Europe. Elle compromettra
les Van économiques et politiques
qu'elle a obtenus dans le continent améri-
cain, si elle prélève sur cette flotte plus de
1/2 million de tonnes. 11° La densité des
transports dépend de la grandeur du ton..
nage, mis régulièrement à la disposition de
l'armée. D'après ce a qui a été dit au para-
graphe 10, on peut admettre qu'il ne reste-
ra-plus au commencement de l'année pro-
chaine que 4 à 500.000 tonnes. 12° Ce ton-
nage permettrait de transporter en janvier
100.000 hommes, puis de six semaines en
six semaines 60.000, 40.000, et ainsi de suite
jusqu'à ce que tout le tonnage soit absor-
bé par ce transport et les services qui en
dépendent. Il n'est pas vraisemblable que
les impérieuses nécessités du ravitaillement
permettent de disposer d'un tannage plus
important pour le transport des troupes.
— Rheinisch-Westfdlische Zeitung, 29.12.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La Finlande. — L'évacuation projetée des
troupes russes de Finlande a causé beau-
coup d'inquiétude dans les milieux bour-
geois de Russie. Le Dien du 20.12 examine
la question dans un leader qui tire un inté-
rêt particulier de la relation que ce journal
établit entre les bruits d'évacuation et les
négociations de Brest-Litovsk. « Nous sa-
vons, dit-il, aussi peu que le reste de Pé-
trograd jusqu'où va pour le moment la
limite de l'influence allemande sur la
Russie. Comme tout Pétrograd, nous avons
la sensation d'une menace suspendue sur
la capitale. On nous apprend que les trou-
pes russes sont sur le point d'être retirées
de Finlande. Est-ce vrai ? On dit que les
troupes se retirent parce que la Finlande
indépendante le désire. A cette occasion
nous voudrions savoir avant tout quand
la Russie a reconnu l'indépendancevde la
Finlande. La Finlande ne fait-elle vrai-
ment plus partie du front ; tout danger
d'une descente de forces ennemies a-t-il
déjà disparu, et quelle est la différence
entre une évacuation de la Finlande et un
abandon de Pétrograd, quelle est la diffé-
rence entre le retrait des Russes de Fin-
lande et un abandon de Sveaborg et de la
flotte ? Est-ce que les généraux allemands
de Brest-Litovsk auraient ordonné cette
mesure ? » Dagens Nyheler [suéd.], 24.12.
— De Stockholm, 23.12 : Le « Svenska
Telegrambyraa » [agence télégraphique de
Stockholm] dément officiellement le bruit
lancé dans les journaux bourgeois de Pé-
trograd, d'après lequel la Suède concentre-
rait des troupes' contre la Finlande. —
Nationaltidende [dan.], 24.12.
Le Livre Vert brésilien. — De Rio-de-
Janeiro : Le Gouvernement publiera sous
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