Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-12-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 décembre 1917 14 décembre 1917
Description : 1917/12/14 (T7,N653). 1917/12/14 (T7,N653).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64382465
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N* 653
~ERES DE LA GUERRE
t (E.-M. A., 2e Bau)
ET DES
~FAIRES ÉTRANGÈRES
Paris, H décembre 1947.
ulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation' spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
t -
&
r OPERATIONS -
~idérations d'ensemble. — La ques-
l'armistice avec la Russie, armisti-
étendrait aussi à la Roumanie, do-
ce moment toutes les autres. En
a des semaines que les batailles
s à l'Est. C'est une conséquence de
~tion, qui a été elle-même la suite
faite militaire de la Russie. Pour
dre compte de l'importance de ces
titsi, il suffit de nous rappeler
iasme de nos ennemis lorsqu'ils
I., au début de la guerre, du rouleau
seur. Le rouleau a marché en sens
^oug rendons un juste hommage au
t à l'armée russes. Ils ont à peine
cependant ce que voulait leur gou-
nt. Une partie des troupes que nous
~ons opposées, a succombé. -Nous
pttès maintenant disposer de celles
~ent, et dont le nombre est impo-
les n'ont rien perdu de leur force.
Puissances centrales ont aussitôt
profit cette liberté de mouvement
retrouvaient à l'Est. Elles ont per-
lât italien sur l'Isonzo. Elles ont
prisonniers, elles se sont em-
2.500 canons ; elles ont détruit
nquièmes àu moins de l'armée
~a poursuite de nos troupes ne
~e que sur la Piave, sur la rive
ce fleuve dans les montagnes,
s débouchés dans la plaine. Jus-
: ordre, nous paraissons nous en
nous avons écrasé la force ol-
l'Italie, nous avons occupé une
a riche plaine de la Vénétie. La
tratégie, qui met en jeu toute
t' sait s'imposer des limites dans
k dans la poursuite de ses ob-
Depuis deux années, nos enne-
~t d'arriver à l'unité de direc-
~rs opérations militaires. L'ef-
successif de la Serbie, de la
de la Russie, qu'ils n'ont pas
temps, prouve que c'est là le
vulnérable de leur coalition. A
~lle, l'Italie à son tour est me-
) Français et Anglais sont ac-
secours. Ils n'ont pas encore
champs dè bataille. Suffiront-
tre à l'Italie de contre-atta-
~nt-ils inactifs ? Rentreront-
Aùtant de questions, dont
impatiemment la solution.
que nous paraît avoir peu
succès. Si ces troupes res-
leur absence se fera sentir
~s sont rappelées avant d'inter-
~posent au sort des troupes
de d'Erlon, en 1815; ses mar-
~arches entre Ligny et les
~pêchèrent de prendre part à
~ve. Dans tous les transports
de troupes de nos ennemis, il faut aussi te-
nir compte de l'usure du matériel de che-
min de fer. — Le Conseil de guerre interal-
lié qui vient de se réunir à Versailles, ne
réussira pas mieux que les précédents. Il
manque d'homogénéité, de compétence et de
moyens d'action. Les Alliés n'ont de com-
mun que leur rapacité : elle ne servira guè-
re à cimenter leur alliance. - (von Blume)
Post, 8.12. - x 1
Front italien. - La conquête du Sise-
mol doit avoir coûté cher au maréchal
Conrad, car il a senti le besoin de se réor-
ganiser, en se protégeant simplement par
une série de simples lignes d'avant-postes.
Il n'a certes pas renoncé à son plan de per-
cée : la journée d'hier, qui n'a été qu'une
journée de pause, doit être considérée, ce-
pendant, comme une journée destinée à
l'étude et à la préparation de nouveaux
coups que l'ennemi doit porter aux points
qu'il aura jugés comme étant' les plus sen-
sibles de notre front. Nous ne devons pas
moins nous féliciter de la rigoureuse résis-
tance des 5 et 6 décembre, sans laquelle la
lutte aurait pu avoir des conséquences fâ-
cheuses, étant donnée la supériorité de
l'ennemi en hommes et en matériel. Pour
la seconde phase de la bataille, le problème
de la défense n'est certes pas facile ; mais
celui de l'attaque imposera à nos ennemis
l'emploi de grandes forces et d'importants
sacrifices en vies humaines. — Et nous ap-
prenons l'entrée en ligne de contingents
français et anglais aux côtés des valeureu-
ses troupes de la 1re et de la 4e armées. Les
premiers ont pris position à l'est du Grap-
pa, les seconds sur le Montello. — Resto
del Carlino, 9.12.
- Nous ne connaissons pas le plan enne-
mi. Mais il est probable que Hindenburg se
sent attiré par les champs de bataille de
Picardie plus que par les plaines du Pô.
Homme de guerre avant tout, il doit com-
prendre que la solution du problème ne
peut être cherchée ailleurs. Seule une dé-
faillance de'notre front pourrait l'inviter à
poursuivre l'offensive en Italie. Tenons
ferme, et nous verrons probablement l'en-
nemi tourner ses efforts vers le théâtre
principal de la guerre, avec la satisfaction
d'avoir raccourci son front en Italie, et de
l'avoir muni de bonnes défenses sur le Ta-
gliamento et sur les plateaux alpins. -<
Stanipa, 10.12.
ORGANISATION
Le commandement interallié : PRESSE
AMÉRICAINE. — De l'avis des hautes autorités
militaires américaines, le conseil de guerre
interallié ne peut être efficace que s'il res-
pecte pleinement le principe national. Un
pays ne peut naturellement permettre le
contrôle de ses forces par un autre pays.
Il est d'autre part - nécessaire d'organiser
un conseil consultatif interallié qui répar-
tira les ressources économiques et financiè-
res de l'Entente au prorata des besoins de
chaque peuple. Mais un conseil de guerre
qui retirerait au généralissime de chaque
armée une partie de son autorité serait pra-
tiquement impossible. — Cleveland Plain
Dealer, 15.11.
— Lé texte de l'accord conclu à Rapàllo
indique que la France, l'Angleterre et l'Ita-
lie se sont contentées de faire un pas, beau-
coup trop court, dans la voie de la coor-
dination. L'accord est très loin, non seule-
ment de la concentration qui a donné à la
coalition germano-touranienne une seule
arme, maniée par un seul bras, mais en-
core de l'unité que des puissances démocra-
tiques coalisées pourraient, atteindre sans.
sacrifier leur indépendance ou même leur
amour-propre. Le seul changement sera
que maintenant les gouvernements alliés
seront informés die la situation militaire
sur l'ensemble des fronts. Il ést utile qu'il
en soit ainsi. Mais il faut espérer qu'on ira
plus loin dans la voie dans laquelle on
vient seulement de s'engager. — (Ed.) New
York Times, 16.11.
EFFECTIFS
Le concours des Etats-Unis : OPINION
ALLEMANDE. — Tous les journaux français
demandent à la conférence interalliée des
précisions sur la collaboration de l'Améri-
que. Le Progrès de Lyon résume l'opinion
générale, en demandant avec Lloyd George
à Wilson : « Quand l'Amérique enverra-
t-elle son premier million de soldats ? »
En Allemagne aussi cette question préoc-
cupe un certain nombre d'esprits. Au mo-
ment de Leur entrée en guerre, les Etats-
Unis n'avaient pas d'armée, au sens réel du
mat. Le système des engagements volon-
taires n'ayant pas donné les résultats
qu'ils en attendaient, ils votèrent, en mai
1917, le service militaire obligatoire, qui
devait leur donner une armée de 9.600.000
hommes. Dès lors, la presse de l'Entente
jongla avec les chiffres. Mais le front oc-
cidental n'a vu venir encore qu'un faible
détachement américain, au mois de juin.
Sans doute les journaux ont fait à ce déta-
chement une réclame énorme. C'était da
bluff, comme on le pràtique en Amérique.
Le Gouvernement français, très habile, a
exhibé un peu partout les troupes améri-
caines, pour remonter le moral des Fran-
çais. C'est bien involontairement sans doute
que la presse française a trahi le secret
en parlant, lors de la revue du 14 juillet,
du défilé « du bataillon américain ». De-
puis lors, il est arrivé de nouveaux contin-
gents américains, 40.000 hommes environ :
ce sont en grande majorité des spécialistes,
des cheminots, des bûcherons, quelques ,
aviateurs. Il y a, tout au plus, la valeur
d'une division de combattants. Ils sont
dans un secteur calme : ils n'ont au-
cune envie de s'exposer. A quelle épo-
que viendra donc la masse de l'armée
américaine ? D'après un renseignement du
New York Times, à la suite de la revue
passée le 7 octobre par la 42e division d'in-
fanterie de la garde nationale, la première
~ERES DE LA GUERRE
t (E.-M. A., 2e Bau)
ET DES
~FAIRES ÉTRANGÈRES
Paris, H décembre 1947.
ulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation' spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
t -
&
r OPERATIONS -
~idérations d'ensemble. — La ques-
l'armistice avec la Russie, armisti-
étendrait aussi à la Roumanie, do-
ce moment toutes les autres. En
a des semaines que les batailles
s à l'Est. C'est une conséquence de
~tion, qui a été elle-même la suite
faite militaire de la Russie. Pour
dre compte de l'importance de ces
titsi, il suffit de nous rappeler
iasme de nos ennemis lorsqu'ils
I., au début de la guerre, du rouleau
seur. Le rouleau a marché en sens
^oug rendons un juste hommage au
t à l'armée russes. Ils ont à peine
cependant ce que voulait leur gou-
nt. Une partie des troupes que nous
~ons opposées, a succombé. -Nous
pttès maintenant disposer de celles
~ent, et dont le nombre est impo-
les n'ont rien perdu de leur force.
Puissances centrales ont aussitôt
profit cette liberté de mouvement
retrouvaient à l'Est. Elles ont per-
lât italien sur l'Isonzo. Elles ont
prisonniers, elles se sont em-
2.500 canons ; elles ont détruit
nquièmes àu moins de l'armée
~a poursuite de nos troupes ne
~e que sur la Piave, sur la rive
ce fleuve dans les montagnes,
s débouchés dans la plaine. Jus-
: ordre, nous paraissons nous en
nous avons écrasé la force ol-
l'Italie, nous avons occupé une
a riche plaine de la Vénétie. La
tratégie, qui met en jeu toute
t' sait s'imposer des limites dans
k dans la poursuite de ses ob-
Depuis deux années, nos enne-
~t d'arriver à l'unité de direc-
~rs opérations militaires. L'ef-
successif de la Serbie, de la
de la Russie, qu'ils n'ont pas
temps, prouve que c'est là le
vulnérable de leur coalition. A
~lle, l'Italie à son tour est me-
) Français et Anglais sont ac-
secours. Ils n'ont pas encore
champs dè bataille. Suffiront-
tre à l'Italie de contre-atta-
~nt-ils inactifs ? Rentreront-
Aùtant de questions, dont
impatiemment la solution.
que nous paraît avoir peu
succès. Si ces troupes res-
leur absence se fera sentir
~s sont rappelées avant d'inter-
~posent au sort des troupes
de d'Erlon, en 1815; ses mar-
~arches entre Ligny et les
~pêchèrent de prendre part à
~ve. Dans tous les transports
de troupes de nos ennemis, il faut aussi te-
nir compte de l'usure du matériel de che-
min de fer. — Le Conseil de guerre interal-
lié qui vient de se réunir à Versailles, ne
réussira pas mieux que les précédents. Il
manque d'homogénéité, de compétence et de
moyens d'action. Les Alliés n'ont de com-
mun que leur rapacité : elle ne servira guè-
re à cimenter leur alliance. - (von Blume)
Post, 8.12. - x 1
Front italien. - La conquête du Sise-
mol doit avoir coûté cher au maréchal
Conrad, car il a senti le besoin de se réor-
ganiser, en se protégeant simplement par
une série de simples lignes d'avant-postes.
Il n'a certes pas renoncé à son plan de per-
cée : la journée d'hier, qui n'a été qu'une
journée de pause, doit être considérée, ce-
pendant, comme une journée destinée à
l'étude et à la préparation de nouveaux
coups que l'ennemi doit porter aux points
qu'il aura jugés comme étant' les plus sen-
sibles de notre front. Nous ne devons pas
moins nous féliciter de la rigoureuse résis-
tance des 5 et 6 décembre, sans laquelle la
lutte aurait pu avoir des conséquences fâ-
cheuses, étant donnée la supériorité de
l'ennemi en hommes et en matériel. Pour
la seconde phase de la bataille, le problème
de la défense n'est certes pas facile ; mais
celui de l'attaque imposera à nos ennemis
l'emploi de grandes forces et d'importants
sacrifices en vies humaines. — Et nous ap-
prenons l'entrée en ligne de contingents
français et anglais aux côtés des valeureu-
ses troupes de la 1re et de la 4e armées. Les
premiers ont pris position à l'est du Grap-
pa, les seconds sur le Montello. — Resto
del Carlino, 9.12.
- Nous ne connaissons pas le plan enne-
mi. Mais il est probable que Hindenburg se
sent attiré par les champs de bataille de
Picardie plus que par les plaines du Pô.
Homme de guerre avant tout, il doit com-
prendre que la solution du problème ne
peut être cherchée ailleurs. Seule une dé-
faillance de'notre front pourrait l'inviter à
poursuivre l'offensive en Italie. Tenons
ferme, et nous verrons probablement l'en-
nemi tourner ses efforts vers le théâtre
principal de la guerre, avec la satisfaction
d'avoir raccourci son front en Italie, et de
l'avoir muni de bonnes défenses sur le Ta-
gliamento et sur les plateaux alpins. -<
Stanipa, 10.12.
ORGANISATION
Le commandement interallié : PRESSE
AMÉRICAINE. — De l'avis des hautes autorités
militaires américaines, le conseil de guerre
interallié ne peut être efficace que s'il res-
pecte pleinement le principe national. Un
pays ne peut naturellement permettre le
contrôle de ses forces par un autre pays.
Il est d'autre part - nécessaire d'organiser
un conseil consultatif interallié qui répar-
tira les ressources économiques et financiè-
res de l'Entente au prorata des besoins de
chaque peuple. Mais un conseil de guerre
qui retirerait au généralissime de chaque
armée une partie de son autorité serait pra-
tiquement impossible. — Cleveland Plain
Dealer, 15.11.
— Lé texte de l'accord conclu à Rapàllo
indique que la France, l'Angleterre et l'Ita-
lie se sont contentées de faire un pas, beau-
coup trop court, dans la voie de la coor-
dination. L'accord est très loin, non seule-
ment de la concentration qui a donné à la
coalition germano-touranienne une seule
arme, maniée par un seul bras, mais en-
core de l'unité que des puissances démocra-
tiques coalisées pourraient, atteindre sans.
sacrifier leur indépendance ou même leur
amour-propre. Le seul changement sera
que maintenant les gouvernements alliés
seront informés die la situation militaire
sur l'ensemble des fronts. Il ést utile qu'il
en soit ainsi. Mais il faut espérer qu'on ira
plus loin dans la voie dans laquelle on
vient seulement de s'engager. — (Ed.) New
York Times, 16.11.
EFFECTIFS
Le concours des Etats-Unis : OPINION
ALLEMANDE. — Tous les journaux français
demandent à la conférence interalliée des
précisions sur la collaboration de l'Améri-
que. Le Progrès de Lyon résume l'opinion
générale, en demandant avec Lloyd George
à Wilson : « Quand l'Amérique enverra-
t-elle son premier million de soldats ? »
En Allemagne aussi cette question préoc-
cupe un certain nombre d'esprits. Au mo-
ment de Leur entrée en guerre, les Etats-
Unis n'avaient pas d'armée, au sens réel du
mat. Le système des engagements volon-
taires n'ayant pas donné les résultats
qu'ils en attendaient, ils votèrent, en mai
1917, le service militaire obligatoire, qui
devait leur donner une armée de 9.600.000
hommes. Dès lors, la presse de l'Entente
jongla avec les chiffres. Mais le front oc-
cidental n'a vu venir encore qu'un faible
détachement américain, au mois de juin.
Sans doute les journaux ont fait à ce déta-
chement une réclame énorme. C'était da
bluff, comme on le pràtique en Amérique.
Le Gouvernement français, très habile, a
exhibé un peu partout les troupes améri-
caines, pour remonter le moral des Fran-
çais. C'est bien involontairement sans doute
que la presse française a trahi le secret
en parlant, lors de la revue du 14 juillet,
du défilé « du bataillon américain ». De-
puis lors, il est arrivé de nouveaux contin-
gents américains, 40.000 hommes environ :
ce sont en grande majorité des spécialistes,
des cheminots, des bûcherons, quelques ,
aviateurs. Il y a, tout au plus, la valeur
d'une division de combattants. Ils sont
dans un secteur calme : ils n'ont au-
cune envie de s'exposer. A quelle épo-
que viendra donc la masse de l'armée
américaine ? D'après un renseignement du
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