Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-11-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 novembre 1917 20 novembre 1917
Description : 1917/11/20 (T7,N629). 1917/11/20 (T7,N629).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6438222r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
STERES DE LA GUERRE
(E.-M.A., 2e Bau)
ET DES
trA'n £ i-GÈREs
N° 629
Paris, 20 novembre 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
NONFIDENTIEL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
■—-————————" de la Guerre et des Affaires Étrangères.
u ESTIONS MILITAIRES
La neutralité hollaidaise. - Le projet
américain d'envoyer en Europe une armée
d'un million d'hommes dans un délai de
née l'il)is ,t pllre folie, surtout étant don-
née l'insécurité des mers. Cependant est
possible que 250.000 hommes atteignent le
vieux continent et qu'on les destine à me-
nacer, à travers notre pays la position de
Allemagne au-dessus du Rhin. Si puis-
sante que soit ootte position sur le front
occidental, il semble bien que les réserves
de l'Allemagne aient des limites et qu'elles,
soient même déjà un peu réduites. C'est
pourquoi l'esprit qui paraît animer actuel-
ement l' contre nous doit nous
~dre préoir le danger d'une percée « à
ement de l'Angleterre contre nous doit nous
travers notre territoire ». On peut sans
parer à ce danger, mais à la seule
ondition de ne pas se laisser surprendre.
Kupper) Standard, 27.10.
La neutralité suisse. - Les procédés des
lligérants envers les neutres ne laissent
dres, les scrupules moraux ou politiques
pèseraient pas lourd. La rupture du
~nt, qui a réussi aux Puissances centra-
contre la Russie, la Serbie la Rouma-
contre la Russie, la Serbie, la Rouma-
et l'Italie, n'est guère à envisager sur
front occidental, pas plus à leur profit
qu'à celui de l'Entente. L'on peut donc ad-
mettre que les adversaires recourent à
d'autres tent atives pour amener une déci-
sion. Le groupement et le transport de
masses peuvent s'opérer facilement
notre, dont on a si fréquement de la
C'est notre force de réslstanee qui sera le
facteur principal du respect de notre terri-
rendue de plus en plus difficile par les con-
faire. Notre préparation défensive a été
riiiti °tns fina on doit
rendue de plus en plus difficile par les con-
résistance de nos troupes mobilisées et à
la rapidité de la mobilisation générale, ainsi
déplacement du théâtre de la guerre en Ita-
communications entre l'Allemagne et la Vé-
^uerre en Ita"
OPERATIONS
Front Italien : PRESSE ITALIENNE. - « No-
sauver notre armée de la manœuvre d'en-
veloppement tentée par l'ennemi, venant
de Caporetto, mais a fourni aussi la possi-
bilité de restreindre sensiblement notê
égard à nos fo en se pré trop étendu eu
recevoir le choc d'une gigantesque concen-
tration de troupes ennemies sur des points
déterminés et choisis pour des attaques à
fond. Il suffit de se rappeler que tandis que
sur le front occidental nos alliés disposaient
d'une division pour 3 kilomètres de tran-
chées, nous, nous étions obligés de confier
à une seule division la garde d'environ
10 kilomètres de tranchées. Malgré ce rac-
courcissement, les Austro-Allemands, grâ/Ce
à la stagnation russe, continuent à déverser
sur notre front des masses énormes d'hom-
mes et de matériel. » — Messaggero, 16.11.
— L'effort ennemi devient de plus en
plus violent sur la plateau d'Asiago et sur
le secteur de la Brenta à la Piave moyenne,
ainsi que sur le secteur de la Piave infé-
rieure ; les résultats, en tout cas, n'en sont
que très médiocres. « Le commandement
suprême, par ailleurs, a rompu, depuis
quelque temps, avec le système des com-
muniqués laconiques [passage censuré],
auquel il a substitué celui consistant en
descriptions sommaires mais précises, in-
diquant, d'autre part, avec précision les en-
droits où se sont déroulés les combats. Nous
pouvons suivre ainsi les opérations sans
crainte de nous tromper, et avec la cer-
titude de pouvoir renseigner le public
sans commettre d'indiscrétions. C'est un
progrès et nous en donnons acte avec une
réelle satisfaction. La gravité des circons-
tances aura tout au moins servi à faire
comprendre que le peuple italien est ma-
jeur et qu'il peut être informé de tout ce
qui se passe sur le front. » — Resto del
Carlino, 16.11.
PRESSE ALLEMANDE. — Deux questions se
posaient pour Cadorna, après sa défaite :
« Faut-il retraiter par étapes, en se tenant
sur la défensive ? Faut-il faire un grand
mouvement stratégique, se reporter assez
loin en arrière, pour retrouver la liberté de
manœuvre, en attendant les renforts fran-
co-anglais ? » Le haut commandement ita-
lien n'a adopté aucune de ces deux solu-
tions ; il a tenté de les fondre en une seule.
L'armée en retraite était trop démoralisée,
pour qu'il fût possible de la ramener tout
entière en arrière de l'Adige. Elle était ser-
rée de trop près par les Allemands et Aus-
tro-Hongrois. Il se résolut à défendre le
pays, secteur par secteur. Il a douté de la
force morale de son peuple et sa résolution
a manqué de grandeur. Pour son successeur
comme pour lui la question reste la même :
« Sera-t-il possible de réorganiser l'armée
italienne et dans quel délai les corps auxi-
liaires anglo-français pourront-ils prendre
part aux opérations ? » Une armée moder-
ne qui ne dispose pas des ressources méca-
niques est un non-sens. Les pertes de maté-
riel subies par les Italiens sont si considé-
rables qu'il leur sera extrêmement difficile
de reconstituer une armée de manœuvre.
Pour longtemps encore ils seront réduits à
la défensive. L'Angleterre et la France ne
peuvent pas leur fournir le matériel -{ui
leur fait défaut, sans renoncer purement et
simplement à leurs projets d'attaques sur le
front occidental. Elles sont trop engagées
pour arrêter leurs efforts, et par là tout
compromettre. Les Italiens ne recevront
donc que très lentement du matériel de ren-
fort. D'autre part, il n'existe que deux
lignes de chemin de fer, l'une à deux
voies, l'autres à voie unique. Elles sont
d'autant plus encombrées, qu'elles ser-
vent aussi pour le front de Macédoine. - -
Cet état de' choses montre l'importance ex-
trême de notre guerre sous-marine. Sans
elle nous serions réduits à la défensive ;
nous n'aurions pu entreprendre notre atta-
que contre l'Italie. L'armée anglo-française
commencera par assurer le service d'ordre,
laissant le peuple italien aller à l'abattoir.
L'Italie s'est prise dans le filet de ses pro-
pres intrigues. Après quatre années de
guerre, nous pouvons peut-être dire : « La
guerre est un fléau redoutable ; mais peut-
être est-ce uin bonheur pour nous qu'elle se
prolonge ». A l'avenir l'Angleterre ne pour
ra nier les échecs de sa politique, l'effondre-
ment successif de la Roumanie, de la Rus-
sie, de l'Italie. Mais nous nous restons un
grand peuple conscient de notre puissance
militaire et de notre force morale. — (Erich
von Salzmann) Vossische T^dhing, 14.11.
ORGANISATION
Le commandement interallié : PRESSE
ANGLAISE. — La note lancée par le ministère
de la Guerre, le 14.11, où l'on répudie la
nouvelle d'un commandement suprême don-
né en Italie au général Favolle, ressemble
un peu à une contre-manifestation répon-
dant au discours de Paris du Premier Mi-
nistre. Ce n'est pas la première fois qu'on
observe cette tendance. Déjà, au début de
l'expédition de Salonique le ministère de
la Guerre essaya d'opposer au général Sar-
rail un rival, et l'on a dit sous le manteau
que, si le général Sir Bryan Mahon a été
envoyé dans le Soudan Occidental faire la
chasse aux nègres, c'est, au fond, parce
qu'il fit preuve, à l'égard du général Sar-
rail, d'une trop grande loyauté. En Alle- 1
magne aussi les deux tendances se sont
manifestées : il y avait la politique d'ex-
pansion maritime avec des vi.&ée)S sur les
frontières occidentales, et la politique de
l'expansion orientale. Hindenburg était un
« Orientaliste », de même Bethmann-Holl-
weg, et ils substituèrent à la stratégie qui
visait Calais et l'Atlantique une stratégie
dont les objectifs furent le corridor qui va
de Berlin à Bagdad, avec la domination de
l'Asie Mineure. Le Haut Commandement de
Berlin s'adapta à la nouvelle conception.
Tirpitz grogna un peu, mais Hindenburg
et Falkenhayn poussèrent vers l'Est. En
Angleterre, du diable si le ministère ce
la Guerre se montre aussi obéissant ! La
politique n'a, selon lui, rien à voir avec la
guerre, et la Méditerranée peut devenir un
lac allemand avant qu'il consente à.
jeter un regard sur l'Adriatique. Bien que
(E.-M.A., 2e Bau)
ET DES
trA'n £ i-GÈREs
N° 629
Paris, 20 novembre 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
NONFIDENTIEL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
■—-————————" de la Guerre et des Affaires Étrangères.
u ESTIONS MILITAIRES
La neutralité hollaidaise. - Le projet
américain d'envoyer en Europe une armée
d'un million d'hommes dans un délai de
née l'il)is ,t pllre folie, surtout étant don-
née l'insécurité des mers. Cependant est
possible que 250.000 hommes atteignent le
vieux continent et qu'on les destine à me-
nacer, à travers notre pays la position de
Allemagne au-dessus du Rhin. Si puis-
sante que soit ootte position sur le front
occidental, il semble bien que les réserves
de l'Allemagne aient des limites et qu'elles,
soient même déjà un peu réduites. C'est
pourquoi l'esprit qui paraît animer actuel-
ement l' contre nous doit nous
~dre préoir le danger d'une percée « à
ement de l'Angleterre contre nous doit nous
travers notre territoire ». On peut sans
parer à ce danger, mais à la seule
ondition de ne pas se laisser surprendre.
Kupper) Standard, 27.10.
La neutralité suisse. - Les procédés des
lligérants envers les neutres ne laissent
dres, les scrupules moraux ou politiques
pèseraient pas lourd. La rupture du
~nt, qui a réussi aux Puissances centra-
contre la Russie, la Serbie la Rouma-
contre la Russie, la Serbie, la Rouma-
et l'Italie, n'est guère à envisager sur
front occidental, pas plus à leur profit
qu'à celui de l'Entente. L'on peut donc ad-
mettre que les adversaires recourent à
d'autres tent atives pour amener une déci-
sion. Le groupement et le transport de
masses peuvent s'opérer facilement
notre, dont on a si fréquement de la
C'est notre force de réslstanee qui sera le
facteur principal du respect de notre terri-
rendue de plus en plus difficile par les con-
faire. Notre préparation défensive a été
riiiti °tns fina on doit
rendue de plus en plus difficile par les con-
résistance de nos troupes mobilisées et à
la rapidité de la mobilisation générale, ainsi
déplacement du théâtre de la guerre en Ita-
communications entre l'Allemagne et la Vé-
^uerre en Ita"
OPERATIONS
Front Italien : PRESSE ITALIENNE. - « No-
sauver notre armée de la manœuvre d'en-
veloppement tentée par l'ennemi, venant
de Caporetto, mais a fourni aussi la possi-
bilité de restreindre sensiblement notê
égard à nos fo en se pré trop étendu eu
recevoir le choc d'une gigantesque concen-
tration de troupes ennemies sur des points
déterminés et choisis pour des attaques à
fond. Il suffit de se rappeler que tandis que
sur le front occidental nos alliés disposaient
d'une division pour 3 kilomètres de tran-
chées, nous, nous étions obligés de confier
à une seule division la garde d'environ
10 kilomètres de tranchées. Malgré ce rac-
courcissement, les Austro-Allemands, grâ/Ce
à la stagnation russe, continuent à déverser
sur notre front des masses énormes d'hom-
mes et de matériel. » — Messaggero, 16.11.
— L'effort ennemi devient de plus en
plus violent sur la plateau d'Asiago et sur
le secteur de la Brenta à la Piave moyenne,
ainsi que sur le secteur de la Piave infé-
rieure ; les résultats, en tout cas, n'en sont
que très médiocres. « Le commandement
suprême, par ailleurs, a rompu, depuis
quelque temps, avec le système des com-
muniqués laconiques [passage censuré],
auquel il a substitué celui consistant en
descriptions sommaires mais précises, in-
diquant, d'autre part, avec précision les en-
droits où se sont déroulés les combats. Nous
pouvons suivre ainsi les opérations sans
crainte de nous tromper, et avec la cer-
titude de pouvoir renseigner le public
sans commettre d'indiscrétions. C'est un
progrès et nous en donnons acte avec une
réelle satisfaction. La gravité des circons-
tances aura tout au moins servi à faire
comprendre que le peuple italien est ma-
jeur et qu'il peut être informé de tout ce
qui se passe sur le front. » — Resto del
Carlino, 16.11.
PRESSE ALLEMANDE. — Deux questions se
posaient pour Cadorna, après sa défaite :
« Faut-il retraiter par étapes, en se tenant
sur la défensive ? Faut-il faire un grand
mouvement stratégique, se reporter assez
loin en arrière, pour retrouver la liberté de
manœuvre, en attendant les renforts fran-
co-anglais ? » Le haut commandement ita-
lien n'a adopté aucune de ces deux solu-
tions ; il a tenté de les fondre en une seule.
L'armée en retraite était trop démoralisée,
pour qu'il fût possible de la ramener tout
entière en arrière de l'Adige. Elle était ser-
rée de trop près par les Allemands et Aus-
tro-Hongrois. Il se résolut à défendre le
pays, secteur par secteur. Il a douté de la
force morale de son peuple et sa résolution
a manqué de grandeur. Pour son successeur
comme pour lui la question reste la même :
« Sera-t-il possible de réorganiser l'armée
italienne et dans quel délai les corps auxi-
liaires anglo-français pourront-ils prendre
part aux opérations ? » Une armée moder-
ne qui ne dispose pas des ressources méca-
niques est un non-sens. Les pertes de maté-
riel subies par les Italiens sont si considé-
rables qu'il leur sera extrêmement difficile
de reconstituer une armée de manœuvre.
Pour longtemps encore ils seront réduits à
la défensive. L'Angleterre et la France ne
peuvent pas leur fournir le matériel -{ui
leur fait défaut, sans renoncer purement et
simplement à leurs projets d'attaques sur le
front occidental. Elles sont trop engagées
pour arrêter leurs efforts, et par là tout
compromettre. Les Italiens ne recevront
donc que très lentement du matériel de ren-
fort. D'autre part, il n'existe que deux
lignes de chemin de fer, l'une à deux
voies, l'autres à voie unique. Elles sont
d'autant plus encombrées, qu'elles ser-
vent aussi pour le front de Macédoine. - -
Cet état de' choses montre l'importance ex-
trême de notre guerre sous-marine. Sans
elle nous serions réduits à la défensive ;
nous n'aurions pu entreprendre notre atta-
que contre l'Italie. L'armée anglo-française
commencera par assurer le service d'ordre,
laissant le peuple italien aller à l'abattoir.
L'Italie s'est prise dans le filet de ses pro-
pres intrigues. Après quatre années de
guerre, nous pouvons peut-être dire : « La
guerre est un fléau redoutable ; mais peut-
être est-ce uin bonheur pour nous qu'elle se
prolonge ». A l'avenir l'Angleterre ne pour
ra nier les échecs de sa politique, l'effondre-
ment successif de la Roumanie, de la Rus-
sie, de l'Italie. Mais nous nous restons un
grand peuple conscient de notre puissance
militaire et de notre force morale. — (Erich
von Salzmann) Vossische T^dhing, 14.11.
ORGANISATION
Le commandement interallié : PRESSE
ANGLAISE. — La note lancée par le ministère
de la Guerre, le 14.11, où l'on répudie la
nouvelle d'un commandement suprême don-
né en Italie au général Favolle, ressemble
un peu à une contre-manifestation répon-
dant au discours de Paris du Premier Mi-
nistre. Ce n'est pas la première fois qu'on
observe cette tendance. Déjà, au début de
l'expédition de Salonique le ministère de
la Guerre essaya d'opposer au général Sar-
rail un rival, et l'on a dit sous le manteau
que, si le général Sir Bryan Mahon a été
envoyé dans le Soudan Occidental faire la
chasse aux nègres, c'est, au fond, parce
qu'il fit preuve, à l'égard du général Sar-
rail, d'une trop grande loyauté. En Alle- 1
magne aussi les deux tendances se sont
manifestées : il y avait la politique d'ex-
pansion maritime avec des vi.&ée)S sur les
frontières occidentales, et la politique de
l'expansion orientale. Hindenburg était un
« Orientaliste », de même Bethmann-Holl-
weg, et ils substituèrent à la stratégie qui
visait Calais et l'Atlantique une stratégie
dont les objectifs furent le corridor qui va
de Berlin à Bagdad, avec la domination de
l'Asie Mineure. Le Haut Commandement de
Berlin s'adapta à la nouvelle conception.
Tirpitz grogna un peu, mais Hindenburg
et Falkenhayn poussèrent vers l'Est. En
Angleterre, du diable si le ministère ce
la Guerre se montre aussi obéissant ! La
politique n'a, selon lui, rien à voir avec la
guerre, et la Méditerranée peut devenir un
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