Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-11-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 novembre 1917 13 novembre 1917
Description : 1917/11/13 (T7,N622). 1917/11/13 (T7,N622).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6438215m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 622
MINISTERES DE LA GUERRE
(E.M.A, 2e Bau)
TDEs *U )
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Paris, 13 novembre 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
\(UJTIONS MILITAIRES
Allemands ne se so,t pas engagés: Les
Allemands italiSennïp PRESSE ANGLAISE : Les
aventure italienne, au début de l'hiver,
tie ou de ,d, otaJ.lté de la plaine vénitienne.
Ils pensaient que les Italiens hésiteraient
abandonner les positions de l'Isonzo
assez longtemps pour leur permettre de
leur barrer la retraite. Les armées ita-
liennes auraient été alors cernées et reje-
tées ver rs , s lagune? s 4e f la côte. « Tel était
de plus ennemi Le commandement ita-
trait des Italiens au delà du Tagliamento
nemi; il le forçait lui aussi à quitter
sonzo et à venir Se ba ttre en terrain t lé-
ouvert et il le mettait en Présence d'une
Ouest ce sont les Allemands qui sont
ménacées La situation dans 'Ouest do..
mine toute la guerre. » - Westminster
gazette • «o-11.
PRESSE ITALIENNE. - Le Tagliamento est
un torrent dont l'aspect change en peu de
troupes, qui se ière malchance, nos
troupes qui se repliant l'ont trouvé en
que et ont pu construire rapidement de
nouveaux Il. Ponts. Ouand l'ennemi à son
tour a voulu passer, le lit du fleuve était
- Notre ligne se dS, e della Sera- 8.11.
vers la Livenza- On gaftdU Tagliamento
transformés s°nt Pa* sait que ces deux
transformés pour une grande armée, en
base d'opérations défensives et encore
de [," posi 1 Itiler a u eon t l'a ire, d' ex ce 1-
dents positions pour retenir l'ennemi, afin
tirer sur la ligne choisie par le Haut de se re-
sur s'accomplisssent normalement, sans que
l'ennemi exerce une pression quelconque
sion. Les troupes de Les ar-
rière gardes suffisent. Les premières, face
main qui pourraient entraver les mouve-
PRESSE ALLEMANDE, - Pendant quelqnes
jours les communiqués en Quartier
plutôts discrets. Les formUles" nons aVons
gardé le contacts ou pas événernerits
impacience d'apprendre le point culmi-
par le communiqué du 5 novembre. Les di-
visions alliées ont forcé, le 4 novembre,
le passage du Tagliamento. Mieux encore,
elles ont réussi à « se porter plus en avant »,
infligeant ainsi un démenti à la presse de
l'Entente, à sa confiance en Cadorna, qui
devait nous empêcher de franchir le fleu-
ve. Il est possible de le dire aujourd'hui.
Nos critiques militaires n'ont pas un seul
instant douté de l'obligation pour Cadorna
de se fortifier sur une ligne de défense
située beaucoup plus à l'Ouest. Après un
désastre sans précédent, après la perte de
210.000 prisonniers, de 1.800 canons, sans
parler des morts et blessés, les débris de ses
2e et 3e armées ne pouvaient plus songer
à vaincre. Avant la bataille, Cadorna dis-
posait de 700.000 hommes, en chiffres
ronds. Cette force vient d'être réduite,
d'après des renseignements certains, de
460.000 hommes. Il ne reste plus à Cador-
na que 240.000 hommes de ses 2e et 3e ar-
mées. Ajoutons-y 300.000 hommes de trou-
pes de réserve, rassemblées d'abord à
Udine et renforcées depuis dans le sec-
teur à l'ouest du Tagliamento. Mais tou-
tes ces forces de l'Italie, qui ont perdu 400
batteries, des dépôts de munitions, des ar-
mes d'infanterie, ne pourront être utilisées
qu'après avoir été reconstituées. Il faudra
des mois peut-être pour rendre à ces trou-
pes, qui étaient les meilleures de l'Italie,
leur valeur d'autrefois. Sans doute l'Ita-
lie dispose d'autres armées de réserve dans
les secteurs de Vérone, Padoue, Venise,
ainsi qu'en Lombardie. Si elle n'est pas
sans défense, elle est hors d'état, sans un
secours étranger, de nous empêcher de
continuer à tirer profit de notre victoire.
Assurer sa liaison avec les renforts en-
vn¥(5o H A ri fflftpi'rp pt. de France doit Al m
le premier soin de Cadorna. Nous verrons
jusqu'à quel point sont fondés ses espoirs
et ceux de ses alliés de voir la situation
changer de face. Ni la France, ni l'Angle-
terre ne peuvent, à notre avis intervenir
à temps avec les éléments nécessaires. Il
faudrait que l'Angleterre renonçât à détrui-
re notre base de sous-marins dans les
Flandres. Elle voudrait bien, certains in-
dices le laissent supposer, se dégager de
cette lutte sans issue, en Sauvant les ap-
parences. Elle se plaint du mauvais temps,
de la difficulté de continuer les opérations
Certainement la nouvelle va être bientôt
lancée que le maréchal Haig a atteint
tous ses objectifs de l'année 1917. Ce pieux
mensonge n'aidera aucunement les Iù".
liens. Les deux Puissances occidentales fe-
ront bien de ne pas trop dégarnir leur
front en face d'une Allemagne « épuisée ».
Ils viennent d'en faire, une fois de plus,
l'éxpérience ; ce terme, sans cesse répété
depuis trois ans; est d'une inexactitude qui
fait sourire. Les journaux de nos ennemis
laissent entendre que l'armée de Sarrai
pourrait être jetée en Italie. Vénizélos est
à Paris ; il dira si l'armée grecque offre
des garanties suffisantes. La Grèce est la
voisine de l'Italie, le peuple qu'elle hait le
mieux. Bientôt la canonnade retentira —
qu'on nous permette la métaphore — du
Tagliamento jusqu'à l'Epire. La Grèce a
bien des revanches à prendre, et elle se
souviendra de tout le mal que lui ont fait
les Puissances de l'Entente depuis l'hiver
de 1915. Vénizélos peut mettre à la dispo-
sition de l'Entente une partie de la nou-
velle armée grecque. Ces troupes inexpéri-
mentées arrêteront-elles nos vétérans des
armées balkaniaues ? Il nous est permis
d'en douter. — La détresse de l'Italie a été
vite connue dans la Tripolitaine. Là aussi
les Italiens sont battus par nos alliés turcs.
Dans la région de Gaza, l'Angleterre sem-
ble tenter une offensive de dégagement. Les
communiqués des deux adversaires sont
tellement contradictoires, qu'il est impos-
sible de savoir exactement ce qui se passe.
Les cruelles expériences des Anglais dans
leurs combats passés contre les Turcs prou-
vent qu'ils ne réussiront dans leurs entre-
prises que s'ils engagent d'importants ef-
fectifs. Les ont-ils sur le front du Sinai ?
Il nous est permis d'en douter. — Nous
n'avons donc pas quitté le « point culmi-
nant des combats ». Des décisions vont in-
tervenir sur les théâtres d'opérations, prin-
cipaux et secondaires. Il n'y a plus qu'un
seul point où continue l'ancienne guerre de
positions : c'est celui où les troupes amé-
ricaines s'efforcent de cueillir leurs pre-
miers lauriers. — (Moraht) Deutsche Tages-
zeitung, 6.11.
- Après un arrêt de quelques jours dans
leur marche, nos troupes viennent de forcer
le puissant obstacle formé par le Taglia-
mento. Des temps d'arrêt sont nécessaires
dans la poussée de l'arrière vers l'avant ;
celui-ci aura été de très courte durée. Le
2 novembre, notre communiqué annonçait :
« De la vallée de Fella à la mer Adriatique
la rive gauche du Tagliamento est déga-
gée ». Il disait trois jours plus tard : « Le
passage du fleuve est forcé » D'autre part
l'armée de Krobatin débouchant de Carin-
thie et marchant sur le cours supérieur du
Tagliamento, les Italiens ne peuvent plus
compter tenir sur cette ligne- Les détails
manquent encore sur la marche de cette
opération très importante pour la situation
des Italiens sur le Tagliamento moyen et
inférieur. Le coup porté par nos troupes a
été dirié contre le fhm. rr"',l1l"L .-1- -.---,.
italiennes rejetées du secteur de l'Isonzo.
L'avance de Krobatin a singulièrement faci-
lité le passage difficile du moyen Taglia-
mento. même si elle n'était qu'esquissée au
moment du passage du fleuve. Nous ne le
saurons au juste que plus tard. Le commu-
niqué italien du 4 novembre parle, nous le
savons, d'une pression constante, à l'aile
gauche. Ce qui est important c'est, aujour-
d' hui comme au début de la percée, la for-
me angulaire du front, et les résultats stra-
tégiques, rendus possibles, comme en Hou-
marne, par une marche convergente. Le
côte nord de l'angle se prolonge jusqu'au
MINISTERES DE LA GUERRE
(E.M.A, 2e Bau)
TDEs *U )
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Paris, 13 novembre 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
\(UJTIONS MILITAIRES
Allemands ne se so,t pas engagés: Les
Allemands italiSennïp PRESSE ANGLAISE : Les
aventure italienne, au début de l'hiver,
Ils pensaient que les Italiens hésiteraient
abandonner les positions de l'Isonzo
assez longtemps pour leur permettre de
leur barrer la retraite. Les armées ita-
liennes auraient été alors cernées et reje-
tées ver rs , s lagune? s 4e f la côte. « Tel était
de plus ennemi Le commandement ita-
trait des Italiens au delà du Tagliamento
nemi; il le forçait lui aussi à quitter
sonzo et à venir Se ba ttre en terrain t lé-
ouvert et il le mettait en Présence d'une
Ouest ce sont les Allemands qui sont
ménacées La situation dans 'Ouest do..
mine toute la guerre. » - Westminster
gazette • «o-11.
PRESSE ITALIENNE. - Le Tagliamento est
un torrent dont l'aspect change en peu de
troupes, qui se ière malchance, nos
troupes qui se repliant l'ont trouvé en
que et ont pu construire rapidement de
nouveaux Il. Ponts. Ouand l'ennemi à son
tour a voulu passer, le lit du fleuve était
- Notre ligne se dS, e della Sera- 8.11.
vers la Livenza- On gaftdU Tagliamento
transformés s°nt Pa* sait que ces deux
transformés pour une grande armée, en
base d'opérations défensives et encore
de [," posi 1 Itiler a u eon t l'a ire, d' ex ce 1-
dents positions pour retenir l'ennemi, afin
tirer sur la ligne choisie par le Haut de se re-
sur s'accomplisssent normalement, sans que
l'ennemi exerce une pression quelconque
sion. Les troupes de Les ar-
rière gardes suffisent. Les premières, face
main qui pourraient entraver les mouve-
PRESSE ALLEMANDE, - Pendant quelqnes
jours les communiqués en Quartier
plutôts discrets. Les formUles" nons aVons
gardé le contacts ou pas événernerits
impacience d'apprendre le point culmi-
par le communiqué du 5 novembre. Les di-
visions alliées ont forcé, le 4 novembre,
le passage du Tagliamento. Mieux encore,
elles ont réussi à « se porter plus en avant »,
infligeant ainsi un démenti à la presse de
l'Entente, à sa confiance en Cadorna, qui
devait nous empêcher de franchir le fleu-
ve. Il est possible de le dire aujourd'hui.
Nos critiques militaires n'ont pas un seul
instant douté de l'obligation pour Cadorna
de se fortifier sur une ligne de défense
située beaucoup plus à l'Ouest. Après un
désastre sans précédent, après la perte de
210.000 prisonniers, de 1.800 canons, sans
parler des morts et blessés, les débris de ses
2e et 3e armées ne pouvaient plus songer
à vaincre. Avant la bataille, Cadorna dis-
posait de 700.000 hommes, en chiffres
ronds. Cette force vient d'être réduite,
d'après des renseignements certains, de
460.000 hommes. Il ne reste plus à Cador-
na que 240.000 hommes de ses 2e et 3e ar-
mées. Ajoutons-y 300.000 hommes de trou-
pes de réserve, rassemblées d'abord à
Udine et renforcées depuis dans le sec-
teur à l'ouest du Tagliamento. Mais tou-
tes ces forces de l'Italie, qui ont perdu 400
batteries, des dépôts de munitions, des ar-
mes d'infanterie, ne pourront être utilisées
qu'après avoir été reconstituées. Il faudra
des mois peut-être pour rendre à ces trou-
pes, qui étaient les meilleures de l'Italie,
leur valeur d'autrefois. Sans doute l'Ita-
lie dispose d'autres armées de réserve dans
les secteurs de Vérone, Padoue, Venise,
ainsi qu'en Lombardie. Si elle n'est pas
sans défense, elle est hors d'état, sans un
secours étranger, de nous empêcher de
continuer à tirer profit de notre victoire.
Assurer sa liaison avec les renforts en-
vn¥(5o H A ri fflftpi'rp pt. de France doit Al m
le premier soin de Cadorna. Nous verrons
jusqu'à quel point sont fondés ses espoirs
et ceux de ses alliés de voir la situation
changer de face. Ni la France, ni l'Angle-
terre ne peuvent, à notre avis intervenir
à temps avec les éléments nécessaires. Il
faudrait que l'Angleterre renonçât à détrui-
re notre base de sous-marins dans les
Flandres. Elle voudrait bien, certains in-
dices le laissent supposer, se dégager de
cette lutte sans issue, en Sauvant les ap-
parences. Elle se plaint du mauvais temps,
de la difficulté de continuer les opérations
Certainement la nouvelle va être bientôt
lancée que le maréchal Haig a atteint
tous ses objectifs de l'année 1917. Ce pieux
mensonge n'aidera aucunement les Iù".
liens. Les deux Puissances occidentales fe-
ront bien de ne pas trop dégarnir leur
front en face d'une Allemagne « épuisée ».
Ils viennent d'en faire, une fois de plus,
l'éxpérience ; ce terme, sans cesse répété
depuis trois ans; est d'une inexactitude qui
fait sourire. Les journaux de nos ennemis
laissent entendre que l'armée de Sarrai
pourrait être jetée en Italie. Vénizélos est
à Paris ; il dira si l'armée grecque offre
des garanties suffisantes. La Grèce est la
voisine de l'Italie, le peuple qu'elle hait le
mieux. Bientôt la canonnade retentira —
qu'on nous permette la métaphore — du
Tagliamento jusqu'à l'Epire. La Grèce a
bien des revanches à prendre, et elle se
souviendra de tout le mal que lui ont fait
les Puissances de l'Entente depuis l'hiver
de 1915. Vénizélos peut mettre à la dispo-
sition de l'Entente une partie de la nou-
velle armée grecque. Ces troupes inexpéri-
mentées arrêteront-elles nos vétérans des
armées balkaniaues ? Il nous est permis
d'en douter. — La détresse de l'Italie a été
vite connue dans la Tripolitaine. Là aussi
les Italiens sont battus par nos alliés turcs.
Dans la région de Gaza, l'Angleterre sem-
ble tenter une offensive de dégagement. Les
communiqués des deux adversaires sont
tellement contradictoires, qu'il est impos-
sible de savoir exactement ce qui se passe.
Les cruelles expériences des Anglais dans
leurs combats passés contre les Turcs prou-
vent qu'ils ne réussiront dans leurs entre-
prises que s'ils engagent d'importants ef-
fectifs. Les ont-ils sur le front du Sinai ?
Il nous est permis d'en douter. — Nous
n'avons donc pas quitté le « point culmi-
nant des combats ». Des décisions vont in-
tervenir sur les théâtres d'opérations, prin-
cipaux et secondaires. Il n'y a plus qu'un
seul point où continue l'ancienne guerre de
positions : c'est celui où les troupes amé-
ricaines s'efforcent de cueillir leurs pre-
miers lauriers. — (Moraht) Deutsche Tages-
zeitung, 6.11.
- Après un arrêt de quelques jours dans
leur marche, nos troupes viennent de forcer
le puissant obstacle formé par le Taglia-
mento. Des temps d'arrêt sont nécessaires
dans la poussée de l'arrière vers l'avant ;
celui-ci aura été de très courte durée. Le
2 novembre, notre communiqué annonçait :
« De la vallée de Fella à la mer Adriatique
la rive gauche du Tagliamento est déga-
gée ». Il disait trois jours plus tard : « Le
passage du fleuve est forcé » D'autre part
l'armée de Krobatin débouchant de Carin-
thie et marchant sur le cours supérieur du
Tagliamento, les Italiens ne peuvent plus
compter tenir sur cette ligne- Les détails
manquent encore sur la marche de cette
opération très importante pour la situation
des Italiens sur le Tagliamento moyen et
inférieur. Le coup porté par nos troupes a
été dirié contre le fhm. rr"',l1l"L .-1- -.---,.
italiennes rejetées du secteur de l'Isonzo.
L'avance de Krobatin a singulièrement faci-
lité le passage difficile du moyen Taglia-
mento. même si elle n'était qu'esquissée au
moment du passage du fleuve. Nous ne le
saurons au juste que plus tard. Le commu-
niqué italien du 4 novembre parle, nous le
savons, d'une pression constante, à l'aile
gauche. Ce qui est important c'est, aujour-
d' hui comme au début de la percée, la for-
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