Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-09-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 septembre 1917 29 septembre 1917
Description : 1917/09/29 (T7,N577). 1917/09/29 (T7,N577).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6438170g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 577
DE LA GUERRE
(tilt , 2. Bau)
er bEs
Álnts ÉTIIANGÈRES
Paris, S5 septembre 4947.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
1 ESTÏÕÑs MILITAIRES
P4 OPERA TrONS
>!| An Pourmm-eia^eman^e- - Pour com-
rr: OUrqOi * la campagne se prolonge
r. elltale, il est nécessaire de
P ele, oiin "1 de s'en aller, le géné-
ts
? lC"ii /é»tait coÏÏn JlHerant avec justesse que
.,dé
:JIUe désormais assurée, renvoya en
,:nl¡es ont?? le gros de ses troupes
"t la santé avait été minée par
urs d'une campagne très rude, et
successeur, le général
,rV'ileveriter la tkhe difficile d'achever
: POUr ent des contingents indigènes
■1 r les remplacer. Le terrain qu'il
CO rq'lérir était le plus insalubre de
'e- La ?10111^116 et le désert
':Ii. à arrêt nos progrès autant que
j des OUs aVIOns maintenant à lutter
i ijrrfes a"écages qu'infestait une ma-
et aU milieu desquels la
iIo sajne - cell.e'de Mahen ge —
t
t Possesion de l'ennemi. Commer-
< Sf~' ce COIn; sud-est du territoire al-
t » au point de vue
Sans iniu l^ au obstacle for-
« con
S4/e. les C?ns.titue un obstacle for-
,S et l esperalt que Les troupes indi-
l.Is RuXiliairës supporteraient
V Qii le^ blanci de son
menace de son
1 :'e 'él la mortalité parmi l'effectif
:' i Holvété très evée. En outre, un
ly.l "l )r e d é-
est clair ont péri. Mal-
es t clair que notre avance,
rCicUl i ^Pement opii iA éléments qui
quf notre avance,
cesse de façon sur ta côte, pro-
fase KilSw ®ur la côte, pro-
s la
fIS* Vm «Uloucr f fnt?: Ie nœud
IqQrdllerni maIntenant, le dernier espoir
S kf
RA
IctsDfS TROUPES
~détachées ont été in vi lés à procé-
~el nomInal, d™s-les régimen ts,
1 1c sections hors
So t sOUs leurs ordres. Cette me-
ÏVV Sél,teu Vue d'épurer rarmée ré-
'il S' déSérte de tous les éléments étran-
"la]; Som i et agents de Guillaume,
~infiltrés. On a noté des cas de
On°lé des as de
p -q '--'-'lUll de l'enne-
'I 'JJ(ll'e - Itopagande en faveur d'une
ï'Unff V es Soldats eux-mêmes se
ht ^UeStnmA fn+ • des individus
l~t itg et t "t"t de
ertele e s Installent dans les
tent de soulever les hom-
el lLe ^q et le Gouvernement pro-
""i i* f/n, ^chen6^t ^subordinntion -
01 OSSll, ;), .J..
~Svobodnoï Rossii, 15/23-8-
re UTUR --- '1.)
l\Otts télé:otre. 00rresïpond,îint de
Xç^°Us télégraphi#e » que les sous-ma-
rins allemands paraissent être toujours
aussi bien renseignés. Il en est ainsi, en-
tre autres raisons, parce que : 1) on n'a
pas pris de mesures décisives contre les
100.000 sujets ennemis résidant à New-
York. La proclamation du Président qui
leur interdisait de résider, ou de pénétrer,
dans certaines localités est restée lettre
morte. Une autre proclamation, qui leur
fermait l'accès des bateaux circulant dans
le port, n'a jamais été appliquée sérieuse-
ment. 2) La liste complète des sujets enne-
mis n'a. jamais été dressée par les autorités
fédérales, et elles ne se préoccupent pas
de le faire. 3) Le Gouvernement n'a fait
aucun effort pour débarrasser le pays des
Compagnies allemandes d'assurance « con-
tre l'incendie », ni de leurs agents, ni des
quantités de sujets ennemis qu'elles em-
ploient. 4) On n'a pas établi de censure des
courriers à destination des pays neutres.
Beaucoup de lettres gagnent directement
ces pays, et échappent à la censure an-
glaise. 5) On n'a pas établi de censure des
télégrammes à destination des localités
voisines de la frontière mexicaine et de
la Floride. 6) On n'a édicté que des restric-
tions illusoires sur les voyages au Mexique
et dans l'Amérique Centrale. — New York
Tribune, 19.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Suisse : LE CONTROLE AMÉRICAIN. — Nous
apprenons que, depuis le commencement de
septembre, une commission américaine
d'une vingtaine de membres, établie à Bel-
legarde, assume le contrôle de l'ensemble
des importations à destination de la Suisse.
LæJ autorités françaises n'ont conservé
que la surveillance du trafic des voya-
geurs. — Vossische Zeitung, 22.9.
RAVITAILLEMENT
Le ravitaillement de l'Entente par l'Amé-
rique. — INTERVIEW DE LORD RHONDDA,
CONTROLEUR DES VIVRES. — « Pendant les
douze mois qui vont venir, nos besoins
minima de vivres pour lesquels nous au-
rons recours aux Etats-Unis et au Canada,
se monteront à plus de 10 millions de ton-
nes et représenteront une dépense, sans
compter les frais de transport, supérieure
à £ 250.000.000, c'est-à-dire approximati-
vement, à trois ou quatre millions de dol-
lars par jour. Plusieurs mesures ont été
prises récemment en vue d'établir une
coopération plus étroite. La première de
ces mesures est la formation par les gou-
vernements français, italien et anglais d'un
comité des viandes et graisses, sur le mo-
dèle du Comité des blés qui, depuis oc-
tobre dernier, a acheté aux Etats-Unis et
au Canada tout le blé dont avaient besoin
les Alliés. Désormais tous les achats de
jambon, lard fumé, beurre et fromages
qui seront faits aux Etats-Unis et au Ca-
nada seront centralisés par ce comité nou-
vellement formé. Nous éviterons ainsi la
concurrence qui jusqu à présent existait
entre les Alliés pour leurs achats. Il se
peut qu'avant longtemps on établisse d'au-
tres comités du même genre pour centra-
liser tous les achats, des Alliés portant sur
d'autres produits d'alimentation. En outre,
on hate la formation d'un Conseil interal-
lié chargé de s'occuper de la répartition
de toutes les fournitures de guerre que
nous faisons venir des Etats-Unis. » ,-
Times, 27.9.
Italie : LA RÉORGANISATION DES SERVICES DE
L'ALIMENTATION. — Le Gouvernement, quoi-
que convaincu de la nécessité pressante
qu'il y aurait à rattacher le Commissariat
de l'Alimentation au ministère de l'Intérieur.
a néanmoins décidé de ne prendre aucune
mesure définitive quant à la réorganisation
des services dudit commissariat, jusqu'à
ce que le Parlement, qui doit se réunir bien-
tôt, puisse donner son avis sur ce projet
de réforme. Commentant cette décision, la
Gazzetta del Papa/a, 26.9, qui suppose que
la théorie exposée autrefois par M. Boselli
au sujet des crises extra parlementaires, a
de nouveau prévalu, écrit : S'il entre dans
nos idées qu'un président du Conseil doit
s'abstenir de provoquer une crise de Ca-
binet sans l'assentiment de la Chambre, il
nous semble pourtant que le scrupule du
Gouvernement poussé jusqu'au point de re-
culer devant un replâtrage partiel, est une
exagération absurde et dangereuse. Nous
ne connaissons pas l'opinion du Gouver-
nement sur l'œuvre du Commissariat de
l'Alimentation ; mais supposons un instant
que le Gouvernement considère les métho-
des qui furent celles du Commissariat com-
me incompatibles avec les exigences de la
vie économique nationale. Alors, le re-
tard apporté à la réorganisation des servi- •
ces du ravitaillement, ne serait-il pas pré-
judiciable aux intérêts du pays ? Car, pen-
dant cette attente, est-ce que les choses
ne continueront pas à aller comme par le
passé, si ce n'est même plus mal ? A
moins que le Gouvernement n'ait jugé que
tout allait pour le mieux dans le meilleur
des mondes : ce serait là, pourtant. le seul
moyen d'expliquer la décision du Gouver-
nement.
Hollande : LA QUESTION DU CHARBON. —
L'Angleterre serait disposée à livrer à la
Hollande 100.000 à 200.000 tonnes de char-
bon par mois à condition que la Hollande
cpdrl à la Commission du « Belgian Relief »
un tonnage égal à celui qui serait néces-
saire pour le transport du combustible.
Journaux hollandais, 12.9. — La Wirt-
schaftlische Pressestelle [agence allemande
de renseignements à La Haye] prétend que
l'arrêt, des importations de charbon alle-
mand n'est pas définitif et qu'il ne s'agit
que d'une interruption temporaire et très
courte, due à des difficultés locales et tran-
sitoires. — Gazette de Hollande, 13.9.
DE LA GUERRE
(tilt , 2. Bau)
er bEs
Álnts ÉTIIANGÈRES
Paris, S5 septembre 4947.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
1 ESTÏÕÑs MILITAIRES
P4 OPERA TrONS
>!| An Pourmm-eia^eman^e- - Pour com-
rr: OUrqOi * la campagne se prolonge
r. elltale, il est nécessaire de
P ele, oiin "1 de s'en aller, le géné-
ts
? lC"ii /é»tait coÏÏn JlHerant avec justesse que
.,dé
:JIUe désormais assurée, renvoya en
,:nl¡es ont?? le gros de ses troupes
"t la santé avait été minée par
urs d'une campagne très rude, et
successeur, le général
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: POUr ent des contingents indigènes
■1 r les remplacer. Le terrain qu'il
CO rq'lérir était le plus insalubre de
'e- La ?10111^116 et le désert
':Ii. à arrêt nos progrès autant que
j des OUs aVIOns maintenant à lutter
i ijrrfes a"écages qu'infestait une ma-
et aU milieu desquels la
iIo sajne - cell.e'de Mahen ge —
t
t Possesion de l'ennemi. Commer-
< Sf~' ce COIn; sud-est du territoire al-
t » au point de vue
Sans iniu l^ au obstacle for-
« con
S4/e. les C?ns.titue un obstacle for-
,S et l esperalt que Les troupes indi-
l.Is RuXiliairës supporteraient
V Qii le^ blanci de son
menace de son
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est clair ont péri. Mal-
es t clair que notre avance,
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~détachées ont été in vi lés à procé-
~el nomInal, d™s-les régimen ts,
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So t sOUs leurs ordres. Cette me-
ÏVV Sél,teu Vue d'épurer rarmée ré-
'il S' déSérte de tous les éléments étran-
"la]; Som i et agents de Guillaume,
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~Svobodnoï Rossii, 15/23-8-
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Xç^°Us télégraphi#e » que les sous-ma-
rins allemands paraissent être toujours
aussi bien renseignés. Il en est ainsi, en-
tre autres raisons, parce que : 1) on n'a
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100.000 sujets ennemis résidant à New-
York. La proclamation du Président qui
leur interdisait de résider, ou de pénétrer,
dans certaines localités est restée lettre
morte. Une autre proclamation, qui leur
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le port, n'a jamais été appliquée sérieuse-
ment. 2) La liste complète des sujets enne-
mis n'a. jamais été dressée par les autorités
fédérales, et elles ne se préoccupent pas
de le faire. 3) Le Gouvernement n'a fait
aucun effort pour débarrasser le pays des
Compagnies allemandes d'assurance « con-
tre l'incendie », ni de leurs agents, ni des
quantités de sujets ennemis qu'elles em-
ploient. 4) On n'a pas établi de censure des
courriers à destination des pays neutres.
Beaucoup de lettres gagnent directement
ces pays, et échappent à la censure an-
glaise. 5) On n'a pas établi de censure des
télégrammes à destination des localités
voisines de la frontière mexicaine et de
la Floride. 6) On n'a édicté que des restric-
tions illusoires sur les voyages au Mexique
et dans l'Amérique Centrale. — New York
Tribune, 19.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Suisse : LE CONTROLE AMÉRICAIN. — Nous
apprenons que, depuis le commencement de
septembre, une commission américaine
d'une vingtaine de membres, établie à Bel-
legarde, assume le contrôle de l'ensemble
des importations à destination de la Suisse.
LæJ autorités françaises n'ont conservé
que la surveillance du trafic des voya-
geurs. — Vossische Zeitung, 22.9.
RAVITAILLEMENT
Le ravitaillement de l'Entente par l'Amé-
rique. — INTERVIEW DE LORD RHONDDA,
CONTROLEUR DES VIVRES. — « Pendant les
douze mois qui vont venir, nos besoins
minima de vivres pour lesquels nous au-
rons recours aux Etats-Unis et au Canada,
se monteront à plus de 10 millions de ton-
nes et représenteront une dépense, sans
compter les frais de transport, supérieure
à £ 250.000.000, c'est-à-dire approximati-
vement, à trois ou quatre millions de dol-
lars par jour. Plusieurs mesures ont été
prises récemment en vue d'établir une
coopération plus étroite. La première de
ces mesures est la formation par les gou-
vernements français, italien et anglais d'un
comité des viandes et graisses, sur le mo-
dèle du Comité des blés qui, depuis oc-
tobre dernier, a acheté aux Etats-Unis et
au Canada tout le blé dont avaient besoin
les Alliés. Désormais tous les achats de
jambon, lard fumé, beurre et fromages
qui seront faits aux Etats-Unis et au Ca-
nada seront centralisés par ce comité nou-
vellement formé. Nous éviterons ainsi la
concurrence qui jusqu à présent existait
entre les Alliés pour leurs achats. Il se
peut qu'avant longtemps on établisse d'au-
tres comités du même genre pour centra-
liser tous les achats, des Alliés portant sur
d'autres produits d'alimentation. En outre,
on hate la formation d'un Conseil interal-
lié chargé de s'occuper de la répartition
de toutes les fournitures de guerre que
nous faisons venir des Etats-Unis. » ,-
Times, 27.9.
Italie : LA RÉORGANISATION DES SERVICES DE
L'ALIMENTATION. — Le Gouvernement, quoi-
que convaincu de la nécessité pressante
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de l'Alimentation au ministère de l'Intérieur.
a néanmoins décidé de ne prendre aucune
mesure définitive quant à la réorganisation
des services dudit commissariat, jusqu'à
ce que le Parlement, qui doit se réunir bien-
tôt, puisse donner son avis sur ce projet
de réforme. Commentant cette décision, la
Gazzetta del Papa/a, 26.9, qui suppose que
la théorie exposée autrefois par M. Boselli
au sujet des crises extra parlementaires, a
de nouveau prévalu, écrit : S'il entre dans
nos idées qu'un président du Conseil doit
s'abstenir de provoquer une crise de Ca-
binet sans l'assentiment de la Chambre, il
nous semble pourtant que le scrupule du
Gouvernement poussé jusqu'au point de re-
culer devant un replâtrage partiel, est une
exagération absurde et dangereuse. Nous
ne connaissons pas l'opinion du Gouver-
nement sur l'œuvre du Commissariat de
l'Alimentation ; mais supposons un instant
que le Gouvernement considère les métho-
des qui furent celles du Commissariat com-
me incompatibles avec les exigences de la
vie économique nationale. Alors, le re-
tard apporté à la réorganisation des servi- •
ces du ravitaillement, ne serait-il pas pré-
judiciable aux intérêts du pays ? Car, pen-
dant cette attente, est-ce que les choses
ne continueront pas à aller comme par le
passé, si ce n'est même plus mal ? A
moins que le Gouvernement n'ait jugé que
tout allait pour le mieux dans le meilleur
des mondes : ce serait là, pourtant. le seul
moyen d'expliquer la décision du Gouver-
nement.
Hollande : LA QUESTION DU CHARBON. —
L'Angleterre serait disposée à livrer à la
Hollande 100.000 à 200.000 tonnes de char-
bon par mois à condition que la Hollande
cpdrl à la Commission du « Belgian Relief »
un tonnage égal à celui qui serait néces-
saire pour le transport du combustible.
Journaux hollandais, 12.9. — La Wirt-
schaftlische Pressestelle [agence allemande
de renseignements à La Haye] prétend que
l'arrêt, des importations de charbon alle-
mand n'est pas définitif et qu'il ne s'agit
que d'une interruption temporaire et très
courte, due à des difficultés locales et tran-
sitoires. — Gazette de Hollande, 13.9.
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