Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-09-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 septembre 1917 27 septembre 1917
Description : 1917/09/27 (T7,N575). 1917/09/27 (T7,N575).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6438168d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 5751
>" GUERRE
;E.M.A O
E..I. *' Bau\
Er DEs
FInts £l'I\A:'iGÈRES
Paris, 27 septembre 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
-. QUESTIONS MILITAIRES
I
de Cett eratlons générales. — L'expérience
*om lves démontré que les grandes
SOnt ens de Percée, même lorsqu'elles
th^rePrî<5oc, Par des armées comptant
él'ées CIOn.S d'hommes, doivent être consi-
tu avortées dès que l'offensive
en al SUr un front étendu, se dissout
nspaces 6 localisées dans des
J rrné sl1 restreints. Cela vient d'être con-
le é sr ") tOccidental. Le front al-
Nonf s'est considérablement renforcé,
bllellle aIls Son artlllerie, dont le feu
St?eilt diriïfA et concentré, non seule-
tin SllCCè rbat les batteries anglaises, avec
St SOI1 S Incontestable, mais encore con-
"es <a et, ,par des feux de destruction,
aq,,, infanterie aux points de ras-
.I,S ement des troupes Les pertes enne-
augmenptf AHns des proportions
?• Lies °fSaiS reprochent aux
I¡r}\t¡ns de les era^niSrert ouJ0urs dans les
Ales plus eXposées; les Austra-
L> ?a s f„ont autanlt î faisant allusion à
( !h e î 'tes de Gnl
'I~ade~se~ et de Bullecourt ;
eès 1 è listes de nert es parues à Mont-
5hC°1i
n eOllllhenanadeThs auraient perdu, depuis
qnlé, ent de l'offensive de cette
t«Jn V$6-000 hommp® Mais le sans-gêne
: ¡ ets, nis arrêterait pas à ces méconten-
eHts à ces pertes. Tout autres sont
tanc cireo, rist a-rces qui tendent à paralyser la
rnfle!'Cée d de l'offensive dont le but est
t nos T
;¡ ç&, toui * Lorsqu'elle com-
nOI( certitUde l Angleterre avait compté
iléb e de corn e SUr la collaboration de sa
On cSnmptt ai•t même sur un
N>»i an #laiae S allemande. Mais
Iq n aIls le d e troupes qui devait avoir
.p aUe n'st. pas intervene.
*%>M" «cogoS.-f^t-êtne était Ce .parce que les
ou elle était mouillée dans - les
si J®. depuis le f™ouillée dans les
%'on Si entoueIS le début de la guerre,
SOrt; craignai r de champs de mines
d'lIn; de la fl¿ les pertes résultant d'une
ve lLa lffi otte^, et aussi celles résultant
3*8 e s £ a le M
par ataille riavale inévitable ou causées
;es !,:stdo!ltesaIïn.s qUI auraient entouré
efc?eut-êre !nA
s des même a-t-on tenu
des batteries côtières al-
Ch très Tho n res. Celles-ci. bien défi-
très nO M brellsesconstituent avec
rVVJi .<* du littoral qui garnissent la
s PlUes Canons oral, une défense que
de marine anglais les
lnleteqUet ne. POlirraient rompre. Il est
i >4 le^ discute à nouveau, en
re, 1 cÓ rquernent éVentuel de
W^aîS-estftaUcr ile 0rTnUler
r- Cile à. io e Hollande. Cette
est leile à fo,M,,I -
à formuler, mais difficile à
n\ îrler des rtîfïCULtés d'ordre
~e DoUrrait que cette invasion
Aller56 résiJlandais
1,3tarle dès le
série^ uÏÏ1^ de Ia part
L re de la DVina prouve
que nous disposerions, pour ce faire, de
troupes suffisantes sans être forcés d'affai-
blir nos autres fronts. — (Général von
Ardenne) Berliner Tageblatt, 19.9.
— LE MAJOR MORAHT a fait une confé-
rence à la salle Blüthmer sur la situation
militaire et la paix. « Il a constaté que
l'Entente n'a rien obtenu de son offensive
de la Somme, ni des autres. Le gain de
terrain est minime et n'a d'importance
qu'au point de vue tactique. Nous n'avons
pas étfe ébranlés et même nos fronts ont
été raccourcis. Nos ennemis peuvent ins-
crire à leur passif entre le 16 avril - et
8 septembre, la perte d'un million 500.000
hommes. Nous sommes restés vainqueurs
dans la défensive, non sur notre propre ter-
ritoire, mais en territoire ennemi. Nos at-
taques défensives ont atteint leur apogée à
la prise de Riga et notre avance en Livo-
nie, offensive à objectif limité, est un suc-
cès qui aplanit le chemin qui mène à la
paix. Il ne faut pas que notre volonté de
vaincre faiblisse ; souscrire à l'emprunt
c'est fournir au moins un obus ; concen-
trons toutes nos forces vers le but final.
L'Angleterre espère obtenir par des négo-
ciations ce qu'elle ne peut obtenir par les
armes. Elle veut se créer une plate-forme
puissante par tous les moyens et notam-
ment par une pression constante sur les
neutres, et de cette plate-forme elle repren-
dra la lutte pour la (paix. Cette lutte sera
chaude et nous nous demandons si nos
diplomates seront à la hauteur de leur tâ-
che. Mais nous aussi, nous avons une
base solide de discussion ; nous avons :
10 La menace contre la situation écono-
mique de l'Angleterre, créée par la guerre
sous-marine ; 2° l'écroulement de la Rus-
sie ; 3° l'imipossibilité de nous vaincre par
les armes. » Deutsche Tageszeitung, 20.9.
ORGANISATION
Troupes américaines en France. — Décla-
ration de M. Charles A. Whitney, de Pa-
ris, à son arrivée « dans un port améri-
cain de l'Atlantique » : « J'ai vu les trou-
pes américaines dans leurs camps qui
sont répartis sur une grande étendue de
pays, en Lorraine, et elles m'ont paru
être en excellent état, physique et moral.
Un officier français, qui est en contact
quotidien avec le général Persihing, m'a dit
qu'à son avis les troupes américaines se-
raient asssez versées dans les méthodes
de la guerre moderne pour pouvoir « pren-
dre les tranchées » le 1er octobre », — New
York Times, 29.8.
MORAL DES TROUPES
Allemagne. — Les hommes que j'ai vus
hier me permettent d'affirmer hautement
que le moral est excellent. Cette phrase
n'est pas une fanfaronnade, c'est l'expres-
sion sérieuse de la disposition d'esprit de
vainqueurs, d'un entêtement contre l'ave-
nir et contre le sort. C'étaient des Soua-
bels wurtembergeois, sortant des enton-
noirs de la région comprise entre Lange-
marck et Saint-Julien, du milieu d'un feu I
roulant comme on' n'en avait encore ja- I
mais vu et d'attaques d'une extrême vio- |
lence. Leur division avait beaucoup souf- J
fert, c'est incontestable. Mais elle a te-
nu, et de ce fait l'ennemi a subi de ter-
ribles pertes. Cette division a contribué à
inscrire des chiffres cruels dans les listes
des pertes anglaises et écossaises. Ils
étaient unanimes à se réjouir de la gran-
de victoire et exprimaient tous cet avis :
jamais l'Anglais ne passera. C'est absolu-
ment impossible qu'il puisse supporter
longtemps des coups aussi terribles. Les
exploits techniques de l'Allemagne, le nou-
veau développement de son artillerie, l'aug-
mentation et l'emploi plus judicieux de nos
avions compensent la supériorité de l'en-
nemi en hommes et en matériel. Le front
allemand est infrangible ; pourquoi l'An-
glais ne veut-il pas négocier ? Il n'y a pas
de décision sur le champ de bataille, il ne
reste qu'à Be mettre autour du tapis vert.
Si la Russie s'arrêtait. Alors ! On n'au-
rait qu'à faire venir les canons sur le
front occidental ; nous ne demandons pas
un seul homme du front oriental. Mais
dans ce cas il ne sera plus question ni
de tapis vert ni de négociations. — (Georg
Queri) Berliner Tageblatt, 20.9.
PERTES
Portugal. — Deux notes authentiques et
concernant notre coopération à la guerre
et fournies, l'une par le lieutenant-colonel
Cardoso avant son retour au Portugal et
l'autre provenant de diverses informations
officielles disent que nous avons déjà
en France, 157 hommes tués, que 179 y
ont été blessés, 458 intoxiqués par les gaz et
81 disparus ou prisonniers. — Primeiro de
Janeiro, 22.9.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne. -7- L'Allemagne a produit en
1916, 35.000 tonnes de cuivre au lieu de
25.300 tonnes en 1913. Mùnchen-Augsburger
Abendzeitung, 21.9.
FINANCES
Etats-Unis. — L'argument suivant lequel
la fortune et les ressources des Etats-Unis
ont été diminuées de tout l'argent dépensé
pour la guerre est spécieux et absolument
faux. Il y a une grosse différence entre les
dépenses du Gouvernement et celles des
individus. Le peuple américain a souscrit
pour $ 2 milliards de titres à l'Emprunt de,
la Liberté ; le Gouvernement lui doit donc
$ 2 milliards de plus qu'il y a quelques
mois. Mais, quand cet argent aura été dé-
pensé en totalité, la situation se présentera
ainsi : le peuple américain aura prêté à
son Gouvernement $ 2 milliards d'argent et
aura reçu en échange $ 2 milliards de
>" GUERRE
;E.M.A O
E..I. *' Bau\
Er DEs
FInts £l'I\A:'iGÈRES
Paris, 27 septembre 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
-. QUESTIONS MILITAIRES
I
de Cett eratlons générales. — L'expérience
*om lves démontré que les grandes
SOnt ens de Percée, même lorsqu'elles
th^rePrî<5oc, Par des armées comptant
él'ées CIOn.S d'hommes, doivent être consi-
tu avortées dès que l'offensive
en al SUr un front étendu, se dissout
nspaces 6 localisées dans des
J rrné sl1 restreints. Cela vient d'être con-
le é sr ") tOccidental. Le front al-
Nonf s'est considérablement renforcé,
bllellle aIls Son artlllerie, dont le feu
St?eilt diriïfA et concentré, non seule-
tin SllCCè rbat les batteries anglaises, avec
St SOI1 S Incontestable, mais encore con-
"es <a et, ,par des feux de destruction,
aq,,, infanterie aux points de ras-
.I,S ement des troupes Les pertes enne-
augmenptf AHns des proportions
?• Lies °fSaiS reprochent aux
I¡r}\t¡ns de les era^niSrert ouJ0urs dans les
Ales plus eXposées; les Austra-
L> ?a s f„ont autanlt î faisant allusion à
( !h e î 'tes de Gnl
'I~ade~se~ et de Bullecourt ;
eès 1 è listes de nert es parues à Mont-
5hC°1i
n eOllllhenanadeThs auraient perdu, depuis
qnlé, ent de l'offensive de cette
t«Jn V$6-000 hommp® Mais le sans-gêne
: ¡ ets, nis arrêterait pas à ces méconten-
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tanc
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t nos T
;¡ ç&, toui * Lorsqu'elle com-
nOI( certitUde l Angleterre avait compté
iléb e de corn e SUr la collaboration de sa
On cSnmptt ai•t même sur un
N>»i an #laiae S allemande. Mais
Iq n aIls le d e troupes qui devait avoir
.p aUe n'st. pas intervene.
*%>M" «cogoS.-f^t-êtne était Ce .parce que les
ou elle était mouillée dans - les
si J®. depuis le f™ouillée dans les
%'on Si entoueIS le début de la guerre,
SOrt; craignai r de champs de mines
d'lIn; de la fl¿ les pertes résultant d'une
ve lLa lffi otte^, et aussi celles résultant
3*8 e s £ a le M
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;es !,:stdo!ltesaIïn.s qUI auraient entouré
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Ch très Tho n res. Celles-ci. bien défi-
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s PlUes Canons oral, une défense que
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i >4 le^ discute à nouveau, en
re, 1 cÓ rquernent éVentuel de
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est leile à fo,M,,I -
à formuler, mais difficile à
n\ îrler des rtîfïCULtés d'ordre
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— LE MAJOR MORAHT a fait une confé-
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l'Entente n'a rien obtenu de son offensive
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qu'au point de vue tactique. Nous n'avons
pas étfe ébranlés et même nos fronts ont
été raccourcis. Nos ennemis peuvent ins-
crire à leur passif entre le 16 avril - et
8 septembre, la perte d'un million 500.000
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taques défensives ont atteint leur apogée à
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nie, offensive à objectif limité, est un suc-
cès qui aplanit le chemin qui mène à la
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vaincre faiblisse ; souscrire à l'emprunt
c'est fournir au moins un obus ; concen-
trons toutes nos forces vers le but final.
L'Angleterre espère obtenir par des négo-
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armes. Elle veut se créer une plate-forme
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ment par une pression constante sur les
neutres, et de cette plate-forme elle repren-
dra la lutte pour la (paix. Cette lutte sera
chaude et nous nous demandons si nos
diplomates seront à la hauteur de leur tâ-
che. Mais nous aussi, nous avons une
base solide de discussion ; nous avons :
10 La menace contre la situation écono-
mique de l'Angleterre, créée par la guerre
sous-marine ; 2° l'écroulement de la Rus-
sie ; 3° l'imipossibilité de nous vaincre par
les armes. » Deutsche Tageszeitung, 20.9.
ORGANISATION
Troupes américaines en France. — Décla-
ration de M. Charles A. Whitney, de Pa-
ris, à son arrivée « dans un port améri-
cain de l'Atlantique » : « J'ai vu les trou-
pes américaines dans leurs camps qui
sont répartis sur une grande étendue de
pays, en Lorraine, et elles m'ont paru
être en excellent état, physique et moral.
Un officier français, qui est en contact
quotidien avec le général Persihing, m'a dit
qu'à son avis les troupes américaines se-
raient asssez versées dans les méthodes
de la guerre moderne pour pouvoir « pren-
dre les tranchées » le 1er octobre », — New
York Times, 29.8.
MORAL DES TROUPES
Allemagne. — Les hommes que j'ai vus
hier me permettent d'affirmer hautement
que le moral est excellent. Cette phrase
n'est pas une fanfaronnade, c'est l'expres-
sion sérieuse de la disposition d'esprit de
vainqueurs, d'un entêtement contre l'ave-
nir et contre le sort. C'étaient des Soua-
bels wurtembergeois, sortant des enton-
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marck et Saint-Julien, du milieu d'un feu I
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mais vu et d'attaques d'une extrême vio- |
lence. Leur division avait beaucoup souf- J
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nu, et de ce fait l'ennemi a subi de ter-
ribles pertes. Cette division a contribué à
inscrire des chiffres cruels dans les listes
des pertes anglaises et écossaises. Ils
étaient unanimes à se réjouir de la gran-
de victoire et exprimaient tous cet avis :
jamais l'Anglais ne passera. C'est absolu-
ment impossible qu'il puisse supporter
longtemps des coups aussi terribles. Les
exploits techniques de l'Allemagne, le nou-
veau développement de son artillerie, l'aug-
mentation et l'emploi plus judicieux de nos
avions compensent la supériorité de l'en-
nemi en hommes et en matériel. Le front
allemand est infrangible ; pourquoi l'An-
glais ne veut-il pas négocier ? Il n'y a pas
de décision sur le champ de bataille, il ne
reste qu'à Be mettre autour du tapis vert.
Si la Russie s'arrêtait. Alors ! On n'au-
rait qu'à faire venir les canons sur le
front occidental ; nous ne demandons pas
un seul homme du front oriental. Mais
dans ce cas il ne sera plus question ni
de tapis vert ni de négociations. — (Georg
Queri) Berliner Tageblatt, 20.9.
PERTES
Portugal. — Deux notes authentiques et
concernant notre coopération à la guerre
et fournies, l'une par le lieutenant-colonel
Cardoso avant son retour au Portugal et
l'autre provenant de diverses informations
officielles disent que nous avons déjà
en France, 157 hommes tués, que 179 y
ont été blessés, 458 intoxiqués par les gaz et
81 disparus ou prisonniers. — Primeiro de
Janeiro, 22.9.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne. -7- L'Allemagne a produit en
1916, 35.000 tonnes de cuivre au lieu de
25.300 tonnes en 1913. Mùnchen-Augsburger
Abendzeitung, 21.9.
FINANCES
Etats-Unis. — L'argument suivant lequel
la fortune et les ressources des Etats-Unis
ont été diminuées de tout l'argent dépensé
pour la guerre est spécieux et absolument
faux. Il y a une grosse différence entre les
dépenses du Gouvernement et celles des
individus. Le peuple américain a souscrit
pour $ 2 milliards de titres à l'Emprunt de,
la Liberté ; le Gouvernement lui doit donc
$ 2 milliards de plus qu'il y a quelques
mois. Mais, quand cet argent aura été dé-
pensé en totalité, la situation se présentera
ainsi : le peuple américain aura prêté à
son Gouvernement $ 2 milliards d'argent et
aura reçu en échange $ 2 milliards de
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