Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-08-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 août 1917 06 août 1917
Description : 1917/08/06 (T7,N523). 1917/08/06 (T7,N523).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6438116p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ttSTÈRÈS DE LA GUERRE
(E.-M. A., Ba«)
ET DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
T\" 523
Paris, 6 août 1917.
Bulletin Quotidien de , Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Front occidental. - Le choix d. teii-ain
de l'offensive actuelle marque un retour
aux plans de 1914. L'an dernier, nous nous
battions luin dans le Sud, sur la Somme
eL sur l'Ancre. Au Printemps de cette an-
née, c'est à notre gauche que nous avons
fait nos principaux efforts. Aujourd'hui
nous ess,ayons de développer la victoire
de Messines, et la pointe de l'attaque se
trouve encore Dlus au nord. Nous attein-
drions Roulers, à gauche, ou Menin, à
droite, si l'avance se poursuivait assez loin.
Mais nous ne devons pas nous bercer d'es-
poirs chimériques. Il ne faut pas nous at-
tendre à des succès immédiats et sensation
nels. — (Ed.) Manches-t. Guard. 1.8.
- Sur le front des Flandres, la bataille
d'infanterie s'est allumée dans la matinée
du a juillet. Le commandement britanni-
que a cherché 1 r T accumulation extra-
ordinaire de canons ffma.tériel de
guerre à fnir-n ™ ®er Ia vigoureuse riposte
allemande qui n i , ~~d'e
nombreux batteries glaises et infligé de
lourdes pertes aux troupes britanniques
des la phase de préparation de la bataille.
Un nomhr i
Un nombr,e de pÎus en plus grand de nou-
.I6S ■ dans le-combat, tan-
dIS que les escadres aériennes britanniques
des en œuvre pour préparer, par
des ns de reconnaissance et de
bombardement, le début de l'offensive-
Toute la nuit du 3,0 au 31 juillet, le bombar-
dement ennemi continua avec la plus ex-
trême violence et atteignit vers 5 heures du
matin entre Steenstraete et la Lys, l'inten-
sité du -feu roulant. le plus puissant. A
6 heures 1/2 l'infanterie anglaise s'élança
en fortes masses sur tout le front. La ba-
twai-n iLei fait rage. En Artois le feu de l'artil-
erie s'est maintenu avec la même intensité.
Des tentatives anglaises d'attaque furent
Imprimées par nos tirs de destruction. Sur
< l'Aisne la nouvelle, attaque du 30 juillet a
cotîté d autres sacrifices inutiles à l'infan-
terie française décimée. Par un étonnant
i adiogramme de Lyon, en date du 30 juillet,
à 10 heures du matin, le Gouvernement
français cherche à détourner l'attention pu-
e ci® nouvel insucrès, en donnant
pour la cpntième fois, d'une manière exagé-
rée et défigurée, le nombre des prisonniers
et des canons capturés dans les combats
d'avril. Les contre-attaques allemandes sur
le front de l'Aisne et sur le Chemin des
Dames ont fait passer les français du rôle
d'aïï'ailSîîtef - ti Vont même jusqu'à cela
les inquiète. - Ils vont. même jusquà dire
aùp! Tm des Dames est devenu un
second Verdun. Jusqu'à présent, on croyait,
en Aiio présent, on croyait
en Allemagne tont. au moins, qu'au Chemin
des Dames les Allemands se trouvaient sur
la défensive Pt qu'au contraire c'étaient les
Français qui avaient projeté de percer là le
front allemand le 19 avril, de délivrer par
une immense offensive les territoires occu-
pés et de: pousser jusqu'au Rhin. Les con-
tré-attaques allemandes ont eu simplement
pour objet de reconquérir certains points
importants qui avaient été perdus dans les
premiers jours de l'offensive. Rien ne
prouve mieux la valeur des résultats at-
teints que la déclaration officielle fran-
çaise qui qualifie de nouveau Verdun la ba-
taille de printemps sur l'Aisnie,. Les rap-
ports sur les pertes allemandes ne réussi-
ront guère à faire impression ; car aux 71
divisions allemandes que le radiogramme
français donne comme engagées sur l'Aisne
et en Champagne, ont été opposées 120 di-
visions françaises qui ont été pour la plu-
part décimées dans les attaques effroyable
ment sanglantes d'avril et de mai. -c (Offi
ciel, 31.7) Journaux allemands du 1.8.
MATERIEL
Allemagne — Les Allemands emploient
un nouveau procédé pour empêcher l'ac-
tion des aviateurs alliés. Ils allument une
pièce d'artifice projetant des flammes qui
illuminent l'air sur une grande largeur.
Les aviateurs qui passent dans cette lueur
en sont à peu près aveuglés tandis que
leur appareil est visible d'en bas. —
Telegraaf, 24.7.
ORGANISATION, MORAL DES TROUPES
Angleterre. — Une soixantaine de mem-
bres des deux Chambres se sont réunis
lè 1.8 à la Chambre des Communes, sur
l'invitation de la Fédération générale des
syndicats, en vue d'examiner la question
du relèvement de la solde des soldats et
des marins. Le président, M. O'Grady, a
fait observer que les hommes de troupe
britanniques ne recevaient que 1/6 de la
solde des Australiens et des Néo-Zélan-
dais. Le comité directeur de la Fédération
estimé que la solde devrait être au mini-
mum de 3 shillings par jour. Cette mesure
entraînerait une dépense annuelle de
£ 125 millions. L'assemblée a adopté a"
l'unanimité un vœu relatif à la création
d'un comité mixte, comprenant six mem-
bres de la Chambre des Lords et six des
Communes. Ce comité avisera aux meil-
leurs moyens d'obtenir une augmentation
sérieuse et immédiate de la solde. Tims,
2.8.
Autriche-Hongrie. — D'après les déclara-
tions des officier prisonniers, l'infanterie
autrichienne a, depuis trois ans de guerre,
subi des pertes énormes. Les deux tiers des
effectifs ont été détruits. De l'ancienne ar-
mée austro-hongroise il ne reste plus qu'un
noyau, autour duquel on a rassemblé peu
à peu des effectifs nouveaux, fournis par les
classes les plus anciennes ou les plus jeu-
nes. Les prisonniers sont robustes,, sains,
et paraissent bien nourris. La Monarchie
tire ses troupes de races en grande partie
agricoles, résistantes aux privations et à
la fatigue. D'autre part, l'armée bénéficie
des restrictions alimentaires imposées aux
populations. Un compte d'ailleurs sur la ré-
colte des terres à blé de Roumanie, métho-
diquement exploitées. La population rou-
maine, soumise à une discipline militaire,
a été contrainte à une culture intensive.
Les autorités austro-allemandes auraient
renvoyé les prisonniers roumains à leurs
villages; avec l'ordre péremptoire de tra-
vailler la terre. Mais on redoute les mesu-
res prises. par l'Amérique pour empêcher
les neutres de ravitailler les Empires cen-
traux. Quoi qu'il arrive, l'armée sera la der-
nière à souffrir, de la faim. Les troupes en-
voyées sur le front italien sont les meilleu
res de l'armée autrichienne. Les cadres res-
tent excellents. Les officiers, recrutés sur-
tout dans la moyenne et la petite bourgeoi-
sie, n'ont pas l'esprit très ouvert ni très
hardi ; mais leur sentiment de l'honneur
et du devoir est très élevé. Les officiers
tchèques eux-mêmes, malgré leur sympa-
thie pour l'Italie, ont toujours combattu
jusqu'au bout avec un parfait loyalisme. Le
démembrement de l'Autriche ne pourra être
imposé que du dehors ; l'idée de l'Etat y est.
encore trop forte Les officiers prisonniers
vantent beaucoup l'artillerie Skoda. On au-
rait abandonné la fabrication des 420, trop
rapidement détériorés. Les 305 rendent au
contraire les plus grands services. On ap-
précie beaucoup les 90 construits par les
usines Skoda pour la Chine, et séquestrés
par le Gouvernement au début de la guerre,
on apprécie,encore certaines pièces de 90 et
de 100 mm. en Stahlbronze, bronze auquel
des procédés spéciaux donnent la résis-
tance de l'acier. (Luigi Ambrosini) Stampa.
1 8.
s ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Brésil. — De Rio-de-Janeiro, 30.7 : M. José
Bezerra, ministre de l'Agriculture, va faire
distribuer de grandes quantités de semen-
ces de blé et d'autres céréales aux cultiva-
teurs de tous les Etats du Brésil, afin de
faire augmenter la production du grain. Le
ministre garantit aux cultivateurs le place-
ment de leurs récoltes en Belgique, en An-
gleterre, aux Etats-Unis et dans tous les
autres pays alliés. — Lucta, 30.7.
MARINE MARCHANDE
Etats-Unis. —- En vue de faciliter le re-
crutement des officiers pour la nouvelle
flotte marchande qu'on, se propose de cons-
truire, le ministère du Commerce a décidé
de suspendre l'application de la loi qui vut
que les officiers des navires américains
soient tous des citoyens américains. On
admettra les sujets des pays alliés, et ceux
des pays neutres, à condition qu'il soit éta-
bli, pour ces derniers, qu'ils ne sont pas
germanophiles. — New York Tribune, 5.7.
(E.-M. A., Ba«)
ET DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
T\" 523
Paris, 6 août 1917.
Bulletin Quotidien de , Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Front occidental. - Le choix d. teii-ain
de l'offensive actuelle marque un retour
aux plans de 1914. L'an dernier, nous nous
battions luin dans le Sud, sur la Somme
eL sur l'Ancre. Au Printemps de cette an-
née, c'est à notre gauche que nous avons
fait nos principaux efforts. Aujourd'hui
nous ess,ayons de développer la victoire
de Messines, et la pointe de l'attaque se
trouve encore Dlus au nord. Nous attein-
drions Roulers, à gauche, ou Menin, à
droite, si l'avance se poursuivait assez loin.
Mais nous ne devons pas nous bercer d'es-
poirs chimériques. Il ne faut pas nous at-
tendre à des succès immédiats et sensation
nels. — (Ed.) Manches-t. Guard. 1.8.
- Sur le front des Flandres, la bataille
d'infanterie s'est allumée dans la matinée
du a juillet. Le commandement britanni-
que a cherché 1 r T accumulation extra-
ordinaire de canons ffma.tériel de
guerre à fnir-n ™ ®er Ia vigoureuse riposte
allemande qui n i , ~~d'e
nombreux batteries glaises et infligé de
lourdes pertes aux troupes britanniques
des la phase de préparation de la bataille.
Un nomhr i
Un nombr,e de pÎus en plus grand de nou-
.I6S ■ dans le-combat, tan-
dIS que les escadres aériennes britanniques
des en œuvre pour préparer, par
des ns de reconnaissance et de
bombardement, le début de l'offensive-
Toute la nuit du 3,0 au 31 juillet, le bombar-
dement ennemi continua avec la plus ex-
trême violence et atteignit vers 5 heures du
matin entre Steenstraete et la Lys, l'inten-
sité du -feu roulant. le plus puissant. A
6 heures 1/2 l'infanterie anglaise s'élança
en fortes masses sur tout le front. La ba-
twai-n iLei fait rage. En Artois le feu de l'artil-
erie s'est maintenu avec la même intensité.
Des tentatives anglaises d'attaque furent
Imprimées par nos tirs de destruction. Sur
< l'Aisne la nouvelle, attaque du 30 juillet a
cotîté d autres sacrifices inutiles à l'infan-
terie française décimée. Par un étonnant
i adiogramme de Lyon, en date du 30 juillet,
à 10 heures du matin, le Gouvernement
français cherche à détourner l'attention pu-
e ci® nouvel insucrès, en donnant
pour la cpntième fois, d'une manière exagé-
rée et défigurée, le nombre des prisonniers
et des canons capturés dans les combats
d'avril. Les contre-attaques allemandes sur
le front de l'Aisne et sur le Chemin des
Dames ont fait passer les français du rôle
d'aïï'ailSîîtef - ti Vont même jusqu'à cela
les inquiète. - Ils vont. même jusquà dire
aùp! Tm des Dames est devenu un
second Verdun. Jusqu'à présent, on croyait,
en Aiio présent, on croyait
en Allemagne tont. au moins, qu'au Chemin
des Dames les Allemands se trouvaient sur
la défensive Pt qu'au contraire c'étaient les
Français qui avaient projeté de percer là le
front allemand le 19 avril, de délivrer par
une immense offensive les territoires occu-
pés et de: pousser jusqu'au Rhin. Les con-
tré-attaques allemandes ont eu simplement
pour objet de reconquérir certains points
importants qui avaient été perdus dans les
premiers jours de l'offensive. Rien ne
prouve mieux la valeur des résultats at-
teints que la déclaration officielle fran-
çaise qui qualifie de nouveau Verdun la ba-
taille de printemps sur l'Aisnie,. Les rap-
ports sur les pertes allemandes ne réussi-
ront guère à faire impression ; car aux 71
divisions allemandes que le radiogramme
français donne comme engagées sur l'Aisne
et en Champagne, ont été opposées 120 di-
visions françaises qui ont été pour la plu-
part décimées dans les attaques effroyable
ment sanglantes d'avril et de mai. -c (Offi
ciel, 31.7) Journaux allemands du 1.8.
MATERIEL
Allemagne — Les Allemands emploient
un nouveau procédé pour empêcher l'ac-
tion des aviateurs alliés. Ils allument une
pièce d'artifice projetant des flammes qui
illuminent l'air sur une grande largeur.
Les aviateurs qui passent dans cette lueur
en sont à peu près aveuglés tandis que
leur appareil est visible d'en bas. —
Telegraaf, 24.7.
ORGANISATION, MORAL DES TROUPES
Angleterre. — Une soixantaine de mem-
bres des deux Chambres se sont réunis
lè 1.8 à la Chambre des Communes, sur
l'invitation de la Fédération générale des
syndicats, en vue d'examiner la question
du relèvement de la solde des soldats et
des marins. Le président, M. O'Grady, a
fait observer que les hommes de troupe
britanniques ne recevaient que 1/6 de la
solde des Australiens et des Néo-Zélan-
dais. Le comité directeur de la Fédération
estimé que la solde devrait être au mini-
mum de 3 shillings par jour. Cette mesure
entraînerait une dépense annuelle de
£ 125 millions. L'assemblée a adopté a"
l'unanimité un vœu relatif à la création
d'un comité mixte, comprenant six mem-
bres de la Chambre des Lords et six des
Communes. Ce comité avisera aux meil-
leurs moyens d'obtenir une augmentation
sérieuse et immédiate de la solde. Tims,
2.8.
Autriche-Hongrie. — D'après les déclara-
tions des officier prisonniers, l'infanterie
autrichienne a, depuis trois ans de guerre,
subi des pertes énormes. Les deux tiers des
effectifs ont été détruits. De l'ancienne ar-
mée austro-hongroise il ne reste plus qu'un
noyau, autour duquel on a rassemblé peu
à peu des effectifs nouveaux, fournis par les
classes les plus anciennes ou les plus jeu-
nes. Les prisonniers sont robustes,, sains,
et paraissent bien nourris. La Monarchie
tire ses troupes de races en grande partie
agricoles, résistantes aux privations et à
la fatigue. D'autre part, l'armée bénéficie
des restrictions alimentaires imposées aux
populations. Un compte d'ailleurs sur la ré-
colte des terres à blé de Roumanie, métho-
diquement exploitées. La population rou-
maine, soumise à une discipline militaire,
a été contrainte à une culture intensive.
Les autorités austro-allemandes auraient
renvoyé les prisonniers roumains à leurs
villages; avec l'ordre péremptoire de tra-
vailler la terre. Mais on redoute les mesu-
res prises. par l'Amérique pour empêcher
les neutres de ravitailler les Empires cen-
traux. Quoi qu'il arrive, l'armée sera la der-
nière à souffrir, de la faim. Les troupes en-
voyées sur le front italien sont les meilleu
res de l'armée autrichienne. Les cadres res-
tent excellents. Les officiers, recrutés sur-
tout dans la moyenne et la petite bourgeoi-
sie, n'ont pas l'esprit très ouvert ni très
hardi ; mais leur sentiment de l'honneur
et du devoir est très élevé. Les officiers
tchèques eux-mêmes, malgré leur sympa-
thie pour l'Italie, ont toujours combattu
jusqu'au bout avec un parfait loyalisme. Le
démembrement de l'Autriche ne pourra être
imposé que du dehors ; l'idée de l'Etat y est.
encore trop forte Les officiers prisonniers
vantent beaucoup l'artillerie Skoda. On au-
rait abandonné la fabrication des 420, trop
rapidement détériorés. Les 305 rendent au
contraire les plus grands services. On ap-
précie beaucoup les 90 construits par les
usines Skoda pour la Chine, et séquestrés
par le Gouvernement au début de la guerre,
on apprécie,encore certaines pièces de 90 et
de 100 mm. en Stahlbronze, bronze auquel
des procédés spéciaux donnent la résis-
tance de l'acier. (Luigi Ambrosini) Stampa.
1 8.
s ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Brésil. — De Rio-de-Janeiro, 30.7 : M. José
Bezerra, ministre de l'Agriculture, va faire
distribuer de grandes quantités de semen-
ces de blé et d'autres céréales aux cultiva-
teurs de tous les Etats du Brésil, afin de
faire augmenter la production du grain. Le
ministre garantit aux cultivateurs le place-
ment de leurs récoltes en Belgique, en An-
gleterre, aux Etats-Unis et dans tous les
autres pays alliés. — Lucta, 30.7.
MARINE MARCHANDE
Etats-Unis. —- En vue de faciliter le re-
crutement des officiers pour la nouvelle
flotte marchande qu'on, se propose de cons-
truire, le ministère du Commerce a décidé
de suspendre l'application de la loi qui vut
que les officiers des navires américains
soient tous des citoyens américains. On
admettra les sujets des pays alliés, et ceux
des pays neutres, à condition qu'il soit éta-
bli, pour ces derniers, qu'ils ne sont pas
germanophiles. — New York Tribune, 5.7.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Les Monuments historiques de la France : bulletin des diverses sections de la Commission des monuments historiques et de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites /ark:/12148/bd6t5377978f.highres Annales de la Société des architectes de l'Est et Annuaire du bâtiment : Ardennes, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Vosges /ark:/12148/bd6t543240573.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6438116p/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6438116p/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6438116p/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6438116p/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6438116p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6438116p
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6438116p/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest