Presse et revues
8 pages
Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-07-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 juillet 1917 04 juillet 1917
Description : 1917/07/04 (T6,N490). 1917/07/04 (T6,N490).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64849882
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/05/2013
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\InEs ÊTHANGÈRE3
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iV 490
Paris, 4 juillet 1917.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
Gestions MILITAIRES
Ssidé^01711 DES OPERATIONS
S têtes de P°nt de la
les tètes de pont de la
!|i ment '• h J^berait sur des positions
Inent si obérait sur des positions
.;,;'Ii f¡ es 'Si. profondément échelonnées
Plus rien attendre d'un
',ir \Vynt enveloppant. L'attaque anglaise
JlferlSiv schaete fut-elle le dernier écho de
du i ps ou le prélude de
'fiiii, ? La nrParati.on des explosions
f;nïr qui a dUré Plusieurs mois, milite
ettr d e la première hypothèse. Il est
1. lu-rner * ne Puisse plus avan-
d'e WYtschaete parce que Les
: îïi]f aut d'aLhvnL Pendraient de flanc
Vh '*
faut ubor d qu'il se donne de l'air
Jsée Id Ypres et au sud du canal de La
e 1 faut s'ati to à des attaques an-
;aises f ntre Ynrp «
riBasséeeit Nieuport, et entre le
¡tr'e: 1" - et la Sensée ou bien
kiS l 11 «u S Bassôe oit l BR uln lecourt. Si, com-
II lav aPcéie, les Allemands abandon-
^rten. i
t 0 el de Lens, cela signifiera qu'ils
r fr., t sur la position forte-
>- C £ l ar|isée en ^°f°ndeur, qui va de
Quéant profondeur, qui va de
?es sur 1 QUéant. - Les attaques fran-
î!j S des Dames ont de plus
plu s le "aractère de contre-attaques des-
mPêcher (p AlIemands de recon-
H es Perites 9eptentrionales doe. la chat-
des COIIjnes. Dans Cette région la situa-
■ ^;il t Vra Irancais n est pas tirée au clair
1 irl1 PQr lln e lIqUIdée soit par une avance
Ql!? recul; la ituation des Alle-
ent toujours leur ancienne.
J^if avant Ho ouJours leur système
assuréeUr Sur le front rus-
('!JI\.z,ov M de 7~ Sur le front rus-
, a 0(Jy Dornavatra,
,:,,¡"',tiotl-cttlrodYrnérite l'attention. - L'oc-
tl des t1 errito1 - l'es grecs par l'Entente
IIA1! (te Pas Seule m ent à des objectifs mi-
¡J;!re «Permet riw.» îevo'r l'entrée en-
tris ces c a an* v côtés de l'Entente.
de l'Entend.
ffr'b^Cees s (iUJS^ra-t-elip , défensive ?
r) lnt ti°ns p des Puissances
tQIe on yue ïniliti-
tIt. lue militaire elle devrait agir
i)'%ïen
I¡!J le le flanC maritime de la
- %SPnt à ?yrie et en Anatolie; un débar-
! fa et à îna rencontreraIt
S Ps de i??neentrer leurs troupes et cel-
;> sirJ?^iip a"iés pf et cel-
,:.10 d'nne :e lés et Pourraient menacer le
reprise. - L'in-
::llsito.ie et ldes entre les armées russes
Arménie et de Perse méridionalA gêne
ibl~ (teeS commUnications de Bara-
de Bara-
irlt' ))ti f,e (-I)iffre
,,"0() onGNISATION
"g (rn-ent8, - Le chiffre
Pui<5^ r'Iri¡l¡ lw avrn0nal€' est de 1.200
1,% le frôlés ??olns de 200.000
6té ts- On estime dans
les milieux militaires que ce chiffre est
tout à fait insuffisant, et on déclare que,
si les recrues ne se présentent pas en plus
grand nombre, l'organisation des régiments
qu'il faudra créer pour porter à leur plein
effectif l'armée régulière et la garde natio-
nale sera considérablement retardée. —
Public Ledger, 30.5.
— On annonce que, de 28.000 hommes
qu'elles avaient jusqu'ici, les divisions amé-
ricaines seront réorganisées de façon à n'eh
avoir plus que 16.000. Au lieu de compter
trois brigades, elles en compteront deux.
Chaque brigade aura quatre régiments
d'infanterie, dont l'effectif sera de 2.631
hommes et 67 officiers. Chaque régiment
aura trois compagnies de mitrailleuses. —
New York Tribune, 31.5.
— L'un des plus pressants besoins mili-
taires de la France est à l'heure actuelle
des unités d'artillerie de campagne. Le mi-
nistère de la Guerre a déjà reçu à ce sujet
de fortes représentations de la part des
missions françaises. Pour satisfaire aux de-
mandes de la France, le Gouvernement en-
visage la transformation d'unités de cava-
lerie en unités d'artillerie. — Id., 1.6.
EFFECTIFS, MORAL DES TROUPES
Allemagne. — On constate une recrudes-
cence des désertions allemandes. Les sol-
dats traversent la frontière par groupes.
L'un d'eux, composé de 45 hommes, vient
d'arriver à Maestricht. — Journaux hollan-
dais du 18.6.
,.- Les prisonniers faits près de Croisilles
sont presque tous des enfants de 18 à 19
ans appartenant à une division westpha-
lienne. Les deux tiers sont de la classe 1918.
Ils ont horreur des souffrances qui leur ont
été imposées. Les unités auxquelles ils ap-
partiennent ont reçu un entraînement spé-
cial comme troupes d'assaut. Leurs offi-
ciers les accusaient de lâcheté, mais une
fois prisonniers ils leur retournent le com-
pliment et demandent combien d'officiers
viennent dans les tranchées partager leurs
périls. Ils déclarent qu'il n'y a que dix of-
ficiers par bataillon. Le moral de ces trou-
pes est très bas. — Daily Telegraph, 28.6.
Autriche. — Lettre adressée à la revue
allemande d'Autriche Deutsche Arbeit
(II Travail allemand ») par un officier d'un
grade élevé attaché au commandement
d'une armée : « A propos de votre statisti-
que établissant que la Moravie seule compte
7.000 orphelins de guerre allemands, je
vous demande d'attirer l'attention sur le
fait que les Allemands et Magyars ont un
nombre de morts et de blessés incompara-
blement plus grand que les Tchèques et au-
tres non-Allemands. Ceux-ci restent comme
déserteurs dans les pays ennemis et ils se
laissent faire prisonniers ; après la guerre,
ils seront les plus nombreux dans toutes
les professions et notamment dans les fonc-
tions officielles De plus, il y a des troupes
si peu sûres, qu'on les emploie à des tra-
vaux derrière le front : les compagnies de
travailleurs sont fournies par les régi- -1
ments tchèques, c'est le seul moyen de les
empêcher de passer A l'ennemi ou de se
rendre sans combat. Je sais ce que valent
la plupart des régiments tchèques, et quel
danger constituera le retour des prisonnier*
pour les Allemands d'Autriche. En 1914 il
est tombé plus d'Allemands qu'il n'est
passé de Tchèques en Russie. On ne oourra
pas arrêter beaucoup de ces déserteurs car
les officiers tchèques convenables funt tOl;t
leur possible pour ne pas trop nuire à la
réputation de leur corps de troupes. DeIJuis
l'offensive de 1915 les Allemands et Vu\-
viennent compléter jusqu'à coueurr- de
la moitié les effectits peu sûrs et rV^Vk.
sent ainsi la réputation des traîtres Le légi-
ment 28 par exemple était <-omposé en ma-
jeure partie d'éléments aûn-icLèquos à la
bataille de l'Isonzo. » La revue ne peut
malheureusement pas répondre au v!.. , ,ï°
l'officier autrichien, dont le t~~o~
tant de valeur ; car jusqu'ici un nTn-f; Au
droit de dire des Slaves u Autnche ce
qu eux-mêmes proclament avec une lier
hystérique en plein Reichsrat en iaCp de
l'étranger aux aguets. — Rhein.West. Zt
28.6.
PRISONNIERS, INTERNÉS
Œuvre du Roi d'Espagne - A propoS.
de l'œuvre dite des prisonniers de guerre,
organisée par Alphonse XIII : De iQiLi la
fin de 1915, on y a reçu 150.000 demrtii
de nouvelles, et il a été répondu p~ou~r cba-
cune d'entre elles. Du 1er janvier 1916 à
aujourd'hui, elles ont été : pour les An-
glais, de 3.268 ; les Italiens 2.900 ; les A-ile-
mands, 10.950 ; les Autrichiens, 3.552; les
Français et les Belges, 58.000 ; pour les
personnes de la population civile de toutes
les nations en guerre, 31.519 En outre, on
a demandé 6.022 rapatriements ; prooue
tous ont été obtenus. Le nombre âe IphSÏ6
demandant des nouvelles de combattants
reçues au Palais royal dépasse souven <:e-r-
tains jours, le millier ; à chaque nouvelle
offensive importante, il augmente considê-
rablement. Au secrétariat du Roi, 'per-
sonnes sont. employées à ce travail, ex-
cuté d'une manière rritirul4,iisf,, .- HPrrrldo
de Madrid, 29.6.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Canada. — L~ recoltes s'annoncent -bien
dans le Manitoba, le askatchewan et l'A
berta. - Times 1 - 2.7.
Russie. —Le. Comit.é tenti-al des indus.
tries qe guerre. a rétmi doicumerrts qtà
montrent la gravité de notre slfuatIon :}]1-
dustrielle. On n'a obtenu dans -le n -n"
trimestre de 1917 que 48.000.000 pouds de
fonte contre 58.000.000 pendant la 0110" S
correspondant de 1916. La baisse est égé-
lement très sensible dans l'extraction de la
houille. D'après les résultats de l'enquête
de l'Association des ingénieurs, la cn<ïuête
tion des usines, en nVfll 1917 ,a r"-r'1"0-
dans certains centres que 40 de la moyen
ne ; en gént'Tal) pH(\ nt' reprts.enrè que
"A-> ï B*u)
^,il 1' .]) F. S
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'-----
iV 490
Paris, 4 juillet 1917.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
Gestions MILITAIRES
Ssidé^01711 DES OPERATIONS
S têtes de P°nt de la
les tètes de pont de la
!|i ment '• h J^berait sur des positions
Inent si obérait sur des positions
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Plus rien attendre d'un
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f;nïr qui a dUré Plusieurs mois, milite
ettr d e la première hypothèse. Il est
1. lu-rner * ne Puisse plus avan-
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: îïi]f aut d'aLhvnL Pendraient de flanc
Vh '*
faut ubor d qu'il se donne de l'air
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e 1 faut s'ati to à des attaques an-
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¡tr'e: 1" - et la Sensée ou bien
kiS l 11 «u S Bassôe oit l BR uln lecourt. Si, com-
II lav aPcéie, les Allemands abandon-
^rten. i
t 0 el de Lens, cela signifiera qu'ils
r fr., t sur la position forte-
>- C £ l ar|isée en ^°f°ndeur, qui va de
Quéant profondeur, qui va de
?es sur 1 QUéant. - Les attaques fran-
î!j S des Dames ont de plus
plu s le "aractère de contre-attaques des-
mPêcher (p AlIemands de recon-
H es Perites 9eptentrionales doe. la chat-
des COIIjnes. Dans Cette région la situa-
■ ^;il t Vra Irancais n est pas tirée au clair
1 irl1 PQr lln e lIqUIdée soit par une avance
Ql!? recul; la ituation des Alle-
ent toujours leur ancienne.
J^if avant Ho ouJours leur système
assuréeUr Sur le front rus-
('!JI\.z,ov M de 7~ Sur le front rus-
, a 0(Jy Dornavatra,
,:,,¡"',tiotl-cttlrodYrnérite l'attention. - L'oc-
tl des t1 errito1 - l'es grecs par l'Entente
IIA1! (te Pas Seule m ent à des objectifs mi-
¡J;!re «Permet riw.» îevo'r l'entrée en-
tris ces c a an* v côtés de l'Entente.
de l'Entend.
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,:.10 d'nne :e lés et Pourraient menacer le
reprise. - L'in-
::llsito.ie et ldes entre les armées russes
Arménie et de Perse méridionalA gêne
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les milieux militaires que ce chiffre est
tout à fait insuffisant, et on déclare que,
si les recrues ne se présentent pas en plus
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qu'il faudra créer pour porter à leur plein
effectif l'armée régulière et la garde natio-
nale sera considérablement retardée. —
Public Ledger, 30.5.
— On annonce que, de 28.000 hommes
qu'elles avaient jusqu'ici, les divisions amé-
ricaines seront réorganisées de façon à n'eh
avoir plus que 16.000. Au lieu de compter
trois brigades, elles en compteront deux.
Chaque brigade aura quatre régiments
d'infanterie, dont l'effectif sera de 2.631
hommes et 67 officiers. Chaque régiment
aura trois compagnies de mitrailleuses. —
New York Tribune, 31.5.
— L'un des plus pressants besoins mili-
taires de la France est à l'heure actuelle
des unités d'artillerie de campagne. Le mi-
nistère de la Guerre a déjà reçu à ce sujet
de fortes représentations de la part des
missions françaises. Pour satisfaire aux de-
mandes de la France, le Gouvernement en-
visage la transformation d'unités de cava-
lerie en unités d'artillerie. — Id., 1.6.
EFFECTIFS, MORAL DES TROUPES
Allemagne. — On constate une recrudes-
cence des désertions allemandes. Les sol-
dats traversent la frontière par groupes.
L'un d'eux, composé de 45 hommes, vient
d'arriver à Maestricht. — Journaux hollan-
dais du 18.6.
,.- Les prisonniers faits près de Croisilles
sont presque tous des enfants de 18 à 19
ans appartenant à une division westpha-
lienne. Les deux tiers sont de la classe 1918.
Ils ont horreur des souffrances qui leur ont
été imposées. Les unités auxquelles ils ap-
partiennent ont reçu un entraînement spé-
cial comme troupes d'assaut. Leurs offi-
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viennent dans les tranchées partager leurs
périls. Ils déclarent qu'il n'y a que dix of-
ficiers par bataillon. Le moral de ces trou-
pes est très bas. — Daily Telegraph, 28.6.
Autriche. — Lettre adressée à la revue
allemande d'Autriche Deutsche Arbeit
(II Travail allemand ») par un officier d'un
grade élevé attaché au commandement
d'une armée : « A propos de votre statisti-
que établissant que la Moravie seule compte
7.000 orphelins de guerre allemands, je
vous demande d'attirer l'attention sur le
fait que les Allemands et Magyars ont un
nombre de morts et de blessés incompara-
blement plus grand que les Tchèques et au-
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déserteurs dans les pays ennemis et ils se
laissent faire prisonniers ; après la guerre,
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les professions et notamment dans les fonc-
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si peu sûres, qu'on les emploie à des tra-
vaux derrière le front : les compagnies de
travailleurs sont fournies par les régi- -1
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empêcher de passer A l'ennemi ou de se
rendre sans combat. Je sais ce que valent
la plupart des régiments tchèques, et quel
danger constituera le retour des prisonnier*
pour les Allemands d'Autriche. En 1914 il
est tombé plus d'Allemands qu'il n'est
passé de Tchèques en Russie. On ne oourra
pas arrêter beaucoup de ces déserteurs car
les officiers tchèques convenables funt tOl;t
leur possible pour ne pas trop nuire à la
réputation de leur corps de troupes. DeIJuis
l'offensive de 1915 les Allemands et Vu\-
viennent compléter jusqu'à coueurr- de
la moitié les effectits peu sûrs et rV^Vk.
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ment 28 par exemple était <-omposé en ma-
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malheureusement pas répondre au v!.. , ,ï°
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droit de dire des Slaves u Autnche ce
qu eux-mêmes proclament avec une lier
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l'étranger aux aguets. — Rhein.West. Zt
28.6.
PRISONNIERS, INTERNÉS
Œuvre du Roi d'Espagne - A propoS.
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organisée par Alphonse XIII : De iQiLi la
fin de 1915, on y a reçu 150.000 demrtii
de nouvelles, et il a été répondu p~ou~r cba-
cune d'entre elles. Du 1er janvier 1916 à
aujourd'hui, elles ont été : pour les An-
glais, de 3.268 ; les Italiens 2.900 ; les A-ile-
mands, 10.950 ; les Autrichiens, 3.552; les
Français et les Belges, 58.000 ; pour les
personnes de la population civile de toutes
les nations en guerre, 31.519 En outre, on
a demandé 6.022 rapatriements ; prooue
tous ont été obtenus. Le nombre âe IphSÏ6
demandant des nouvelles de combattants
reçues au Palais royal dépasse souven <:e-r-
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rablement. Au secrétariat du Roi, 'per-
sonnes sont. employées à ce travail, ex-
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de Madrid, 29.6.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
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Canada. — L~ recoltes s'annoncent -bien
dans le Manitoba, le askatchewan et l'A
berta. - Times 1 - 2.7.
Russie. —Le. Comit.é tenti-al des indus.
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montrent la gravité de notre slfuatIon :}]1-
dustrielle. On n'a obtenu dans -le n -n"
trimestre de 1917 que 48.000.000 pouds de
fonte contre 58.000.000 pendant la 0110" S
correspondant de 1916. La baisse est égé-
lement très sensible dans l'extraction de la
houille. D'après les résultats de l'enquête
de l'Association des ingénieurs, la cn<ïuête
tion des usines, en nVfll 1917 ,a r"-r'1"0-
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