Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-06-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 juin 1917 13 juin 1917
Description : 1917/06/13 (T6,N469). 1917/06/13 (T6,N469).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484967w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
rlnEs DE LA GUERRE
FAIRES ETRANGÈRES
N° 469
Paris, 13 juin 1917.
Mletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
C 0 N F I D E N T 1 E L confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
, de la Guerre et des Affaires Étrangères.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Les offensives pru-
à Ibiectifs limités, dont Arras et
forme exemmples typiques, cons-
mieux à la sitiraa t- d'attaque qui répond le
actuelle et aux effec-
valu des triomnh et d'autre. Elle nous a
des triophes complets, sans pertes
grands sacrifices elle nous a épargné les
^bitiftn déceptions qu'une
a valus à toutes les
sur le front occidental dépuis l'ar-
de l'invation à la Marne et à Ypres.
coel prudente et « à portée re-
rn.e celles du 9.4 et du 7.6,.
avec l'utilisation complète et
et des engins nou-
etnert aboutit à la défaite
1 induire x encore- réussit à l'acca-
Un à un état d'infériorité ma-
de pertes, nous
tout le mal possible :
il nous accorde
nos positions et
de ce délai, le résultat.
désasireux en ce qui
annonçait hier,
du soir, que, « dans
Zo Ytschaete, l'ennemi a péné-
Orle de nos: positions avan-
lapidaire.
le feu roulant le
notre méthode
été évacuées. Tout com-
de défense ont
~d'assaut enne-
1 donp naturellement à at.
d'assaut oone-
~Sons avancées alle-
avancées alle-
~ardernent avait écra-
Artois les contre-
les obligèrent à
Ce deuxième temps que
partie du communi-
soir : « Le com-
etTes alti,i\a , iWls d'avance et
lne action. » Les
donc encore à
et!1tJa ri ~o Uv-orls être sûrs, comme
siront « jetant dans. le
~opinion
HD la bataille dé-
de la guerre
,Pu êtrift Pré, parée avec le
le
A Après les dé-
Improvisa fi!,ri désespérée
Par con équent, le
par sont capables
Àiv Montaie! a- — Badische
¡'t!e. de Macàdoine, une
•' de Entent,, continue
à attendre les événements. Ses lignes ne
sont qu'à 130 kilomètres de Niéh. Si elle
pouvait franchir cette distance,- elle coupe-
rait le chemin de fer oriental et déciderait
- irrévocablement du sort de la Turquie. Un
tel triomphe vaudrait quelques efforts. Il
priverait l'Allemagne des ressources de
l'Asie Mineure et libérerait les armées
russe et anglaise d'Asie. Mais le général
Sarrail ne fait rien, iet, après une attente
d'une année, le monde en est arrivé à la
conclusion qu'il ne peut rien faire. Une:
avance de 130 kilomètres en Macédoine
semble être aussi difficile que la même
avance le serait en France. Sarrail com-
mande à une grande armée ; mais elle n'est
pas assez grande, et les Alliés n'ont au-
cune envie de lui envoyer des renforts pour
marquer le pas dans les Balkans. Et ainsi
Sarrail resie immobile. Son armée de six
nations n'est rien de plus qu'une garnison
d'un coin des Balkans, et Salonique est si
oubliée que les communiqués qui en vien-
nent n'ont presque aucun siens. — (Ed.)
Cleveland Plain Dealer, 8.5.
Considérations d'ensemble. — La bataille
des Flandres commence. Pour se dévelop-
per, elle devrait s'étendre du sud! d'Armen-
tières et du nord d'Ypres à la mer. Mais la
méthode anglaise comporte un bombarde-
ment préalable si intense, qu'il serait im-
possible de déployer à la fois tant d'artil-
lerie en la Ravitaillant en munitions, et de
mettre en mouvement d'un seul coup des
troupes d'assaut et des réserves suffisan-
tes. II faudrait pour cela une armée parfai-
tement exercée, et animée d'un esprit de
complet sacrifice, comme l'armée française,
qui elle-même a payé très cher son offen-
sive de l'Aisne et de la Champagne, déclen--
chée sur un front de, 60 km. Le haut com-
mandement anglais se limite donc, pour
l'attaque véritable, ùj des fronts d'en
moyenne 15 km.; dans l'arc de Wytschaete.
l'attaque eut lieu sur 30 km., mais l'objec-
tif véritable était le secteur compris entre
Saint-Eloi et Messines, où les Anglais se
frayèrent un chemin en faisant exploser de
fortes mines. Ils ont atteint, dans l'après-
midi du 7.6, Oostaverne, à l'est de Wyts-
chaete, et peut-être 'également la route
Samt-Eloi—Warneton, qu'ils, n'ont certaine-
ment pas dépassée. Le gain de terrain réa-
lisé est moindre que; celui du 9.4 entre Lens
et Arras ; on peut l'évaluier à 1 km. ou-
1 km. 200 en profondeur il est vrai que le
choc et la surprise furent également moin-
dres ; contrairement à ce qui avait eu lieu
le 94, l'artillerie allemande entra en acti-
vité dès le début de l'attaque. Comme les
Allemands n'ont pas été rejetés au delà du
canal de la Lys à l'Yperlée, vers, les for-
tifications immédiates de Lille, le déplace-
ment de la ligne allemande n'est pas bien
considérable et la rectification imposée par
la pression tactique peut être facilement
supportée. La trouée entre Ypres et Lille et
la conquête des têtes de pont de la Lys,
grand but stratégique de French et Joffre
en octobre 14, n'ont pas encore été réali-
sées par Haig. — Le front tenu par les
troupes françaises est resté relativement
calme ; cependant là aussi l'attaque par
échelons se produira tôt ou tard, à moins
que le général Pétain ne soit trop gêné
dans ses décisions par les hécatombes-
-dues au général Nivelle. En tout cas, les
Allemands, sérieusement occupés en Flan-
dre, seront contents que; leur flanc sud ne
se trouve pas menacé, ce qui- se produirait
immédiatement dans le cas d'une forte; at-
taque française partant de Toul ou de la
trouée de Belfort. Les deux partis occu-
pent des positions défensives, les Français
dans la région de Belfort, les Allemands -
dans le Sundgau. Tant que la Suisse pour-
ra, conserver des deux côtés la position de
garde de flanc qui lui est dévolue par la
nature et par les conditions politiques et
militaires le flanc sud-est. de la France, et
le flanc de l'Allemagne seront invulnéra-
bles. Il n'est pas inutile de le rappeler, en
présence des opérations qui évoluent vers
le nord. Sur le front-italien, la réaction des
Autrichiens a réduit à néant le fort succès
tactique remporté par Cadorna dans le
secteur Castagnevizza—San' Giovanni. —
(Stegemann) Bund, 10.6.
— Jamais autant de nuages n'avaient
pesé sur l'horizon militaire qu'à l'heure
présente. Le monde entier s'en rend comp-
te. Partout se perçoit une tension significa-
tive. Sur le front occidental, il est mani-
feste que l'aile gauche de l'armée anglaise
a été renforcée considérablement ces der-
niers jours par des contingents embarqués
à Douvres. Pour opérer cette concentration
on a réduit jusqu'aux garnisons des ré-
gions Les moins sûres. de l'Irlande. Au sur-
plus, les Anglais s'adjoignent toutes les
troupes auxiliaires étrangères qu'ils peu-
vent. recruter, et c'est ainsi que, devant Ar-
ras, des Portugais ont été faits prisonniers
dont l'esprit militaire paraissait de médien
cre aloi. Les Puissances occidentales ont
plus de raisons de redouter une paix boi-
teuse que la guerre. Aussi s'efforcent-elles
de prolonger celle-ci sous la forme d'une
offensive violente et riche en péripéties. Les
indiees de l'imminence de l'attaque sont
l'intensité des tirs de destruction, ainsi
que la fréquence des coups de main de
l'ennemi, qui sont surtout des reconnais-
sances destinées à compléter le service
d'information des aviateurs. On ne sait pas
encore quel terrain a choisi le maréchal
Haig pour y effectuer les engagements dé-
cisifs. Ce qu'il y a, de sûr, c'est que son aile
septentrionale s'appuiera à la mer et
qu'elle y trouvera le soutien de la flotte an
glaise en vue de la destruction des bases
maritimes allemandes. Un intérêt considé-
rable et croissant sattache de même à la
situation du front oriental. On entend par-
ler d'un réveil d'activité offensive. sur plu-
sieurs zones du front qui va de Riga à Ga
latz , mais il ne s'agit pas là de sérieuses
actions de guerre. Sur le moral SE
pes, les rapports sont contradictoires et
leur hétérogénéité en est cause. Certains
corps subiront l'ascendant de chefs d'élite
et reconnaitront la nécessité de la disci-
pline ; la majorité s'en affranchira. Une
FAIRES ETRANGÈRES
N° 469
Paris, 13 juin 1917.
Mletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
C 0 N F I D E N T 1 E L confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
, de la Guerre et des Affaires Étrangères.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Les offensives pru-
à Ibiectifs limités, dont Arras et
forme exemmples typiques, cons-
mieux à la sitiraa t- d'attaque qui répond le
actuelle et aux effec-
valu des triomnh et d'autre. Elle nous a
des triophes complets, sans pertes
grands sacrifices elle nous a épargné les
^bitiftn déceptions qu'une
a valus à toutes les
sur le front occidental dépuis l'ar-
de l'invation à la Marne et à Ypres.
coel prudente et « à portée re-
rn.e celles du 9.4 et du 7.6,.
avec l'utilisation complète et
et des engins nou-
etnert aboutit à la défaite
1 induire x encore- réussit à l'acca-
Un à un état d'infériorité ma-
de pertes, nous
tout le mal possible :
il nous accorde
nos positions et
de ce délai, le résultat.
désasireux en ce qui
annonçait hier,
du soir, que, « dans
Zo Ytschaete, l'ennemi a péné-
Orle de nos: positions avan-
lapidaire.
le feu roulant le
notre méthode
été évacuées. Tout com-
de défense ont
~d'assaut enne-
1 donp naturellement à at.
d'assaut oone-
~Sons avancées alle-
avancées alle-
~ardernent avait écra-
Artois les contre-
les obligèrent à
Ce deuxième temps que
partie du communi-
soir : « Le com-
etTes alti,i\a , iWls d'avance et
lne action. » Les
donc encore à
et!1tJa ri ~o Uv-orls être sûrs, comme
siront « jetant dans. le
~opinion
HD la bataille dé-
de la guerre
,Pu êtrift Pré, parée avec le
le
A Après les dé-
Improvisa fi!,ri désespérée
Par con équent, le
par sont capables
Àiv Montaie! a- — Badische
¡'t!e. de Macàdoine, une
•' de Entent,, continue
à attendre les événements. Ses lignes ne
sont qu'à 130 kilomètres de Niéh. Si elle
pouvait franchir cette distance,- elle coupe-
rait le chemin de fer oriental et déciderait
- irrévocablement du sort de la Turquie. Un
tel triomphe vaudrait quelques efforts. Il
priverait l'Allemagne des ressources de
l'Asie Mineure et libérerait les armées
russe et anglaise d'Asie. Mais le général
Sarrail ne fait rien, iet, après une attente
d'une année, le monde en est arrivé à la
conclusion qu'il ne peut rien faire. Une:
avance de 130 kilomètres en Macédoine
semble être aussi difficile que la même
avance le serait en France. Sarrail com-
mande à une grande armée ; mais elle n'est
pas assez grande, et les Alliés n'ont au-
cune envie de lui envoyer des renforts pour
marquer le pas dans les Balkans. Et ainsi
Sarrail resie immobile. Son armée de six
nations n'est rien de plus qu'une garnison
d'un coin des Balkans, et Salonique est si
oubliée que les communiqués qui en vien-
nent n'ont presque aucun siens. — (Ed.)
Cleveland Plain Dealer, 8.5.
Considérations d'ensemble. — La bataille
des Flandres commence. Pour se dévelop-
per, elle devrait s'étendre du sud! d'Armen-
tières et du nord d'Ypres à la mer. Mais la
méthode anglaise comporte un bombarde-
ment préalable si intense, qu'il serait im-
possible de déployer à la fois tant d'artil-
lerie en la Ravitaillant en munitions, et de
mettre en mouvement d'un seul coup des
troupes d'assaut et des réserves suffisan-
tes. II faudrait pour cela une armée parfai-
tement exercée, et animée d'un esprit de
complet sacrifice, comme l'armée française,
qui elle-même a payé très cher son offen-
sive de l'Aisne et de la Champagne, déclen--
chée sur un front de, 60 km. Le haut com-
mandement anglais se limite donc, pour
l'attaque véritable, ùj des fronts d'en
moyenne 15 km.; dans l'arc de Wytschaete.
l'attaque eut lieu sur 30 km., mais l'objec-
tif véritable était le secteur compris entre
Saint-Eloi et Messines, où les Anglais se
frayèrent un chemin en faisant exploser de
fortes mines. Ils ont atteint, dans l'après-
midi du 7.6, Oostaverne, à l'est de Wyts-
chaete, et peut-être 'également la route
Samt-Eloi—Warneton, qu'ils, n'ont certaine-
ment pas dépassée. Le gain de terrain réa-
lisé est moindre que; celui du 9.4 entre Lens
et Arras ; on peut l'évaluier à 1 km. ou-
1 km. 200 en profondeur il est vrai que le
choc et la surprise furent également moin-
dres ; contrairement à ce qui avait eu lieu
le 94, l'artillerie allemande entra en acti-
vité dès le début de l'attaque. Comme les
Allemands n'ont pas été rejetés au delà du
canal de la Lys à l'Yperlée, vers, les for-
tifications immédiates de Lille, le déplace-
ment de la ligne allemande n'est pas bien
considérable et la rectification imposée par
la pression tactique peut être facilement
supportée. La trouée entre Ypres et Lille et
la conquête des têtes de pont de la Lys,
grand but stratégique de French et Joffre
en octobre 14, n'ont pas encore été réali-
sées par Haig. — Le front tenu par les
troupes françaises est resté relativement
calme ; cependant là aussi l'attaque par
échelons se produira tôt ou tard, à moins
que le général Pétain ne soit trop gêné
dans ses décisions par les hécatombes-
-dues au général Nivelle. En tout cas, les
Allemands, sérieusement occupés en Flan-
dre, seront contents que; leur flanc sud ne
se trouve pas menacé, ce qui- se produirait
immédiatement dans le cas d'une forte; at-
taque française partant de Toul ou de la
trouée de Belfort. Les deux partis occu-
pent des positions défensives, les Français
dans la région de Belfort, les Allemands -
dans le Sundgau. Tant que la Suisse pour-
ra, conserver des deux côtés la position de
garde de flanc qui lui est dévolue par la
nature et par les conditions politiques et
militaires le flanc sud-est. de la France, et
le flanc de l'Allemagne seront invulnéra-
bles. Il n'est pas inutile de le rappeler, en
présence des opérations qui évoluent vers
le nord. Sur le front-italien, la réaction des
Autrichiens a réduit à néant le fort succès
tactique remporté par Cadorna dans le
secteur Castagnevizza—San' Giovanni. —
(Stegemann) Bund, 10.6.
— Jamais autant de nuages n'avaient
pesé sur l'horizon militaire qu'à l'heure
présente. Le monde entier s'en rend comp-
te. Partout se perçoit une tension significa-
tive. Sur le front occidental, il est mani-
feste que l'aile gauche de l'armée anglaise
a été renforcée considérablement ces der-
niers jours par des contingents embarqués
à Douvres. Pour opérer cette concentration
on a réduit jusqu'aux garnisons des ré-
gions Les moins sûres. de l'Irlande. Au sur-
plus, les Anglais s'adjoignent toutes les
troupes auxiliaires étrangères qu'ils peu-
vent. recruter, et c'est ainsi que, devant Ar-
ras, des Portugais ont été faits prisonniers
dont l'esprit militaire paraissait de médien
cre aloi. Les Puissances occidentales ont
plus de raisons de redouter une paix boi-
teuse que la guerre. Aussi s'efforcent-elles
de prolonger celle-ci sous la forme d'une
offensive violente et riche en péripéties. Les
indiees de l'imminence de l'attaque sont
l'intensité des tirs de destruction, ainsi
que la fréquence des coups de main de
l'ennemi, qui sont surtout des reconnais-
sances destinées à compléter le service
d'information des aviateurs. On ne sait pas
encore quel terrain a choisi le maréchal
Haig pour y effectuer les engagements dé-
cisifs. Ce qu'il y a, de sûr, c'est que son aile
septentrionale s'appuiera à la mer et
qu'elle y trouvera le soutien de la flotte an
glaise en vue de la destruction des bases
maritimes allemandes. Un intérêt considé-
rable et croissant sattache de même à la
situation du front oriental. On entend par-
ler d'un réveil d'activité offensive. sur plu-
sieurs zones du front qui va de Riga à Ga
latz , mais il ne s'agit pas là de sérieuses
actions de guerre. Sur le moral SE
pes, les rapports sont contradictoires et
leur hétérogénéité en est cause. Certains
corps subiront l'ascendant de chefs d'élite
et reconnaitront la nécessité de la disci-
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