Presse et revues
10 pages
Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-05-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 mai 1917 22 mai 1917
Description : 1917/05/22 (T6,N447). 1917/05/22 (T6,N447).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64849459
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/05/2013
LA aGUERRE
AIRES ETRANGERES
N° 447
Paris, U. mai 4917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère -
: CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère -
conndentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
\lUETIONS ILITAIRES
OPERATIONS
en qULiqll. - Les troupes qui ont su,
ont itali. eii Les troupes qui ont su,
lui uu voclil sommets du mont
USi^ toiiQ i U1i accompli un prodige
d'armes des corn-
les autres fronts.
fronts.
surinonter les autres
Ce Sont tOUjours les mêmes sol-
'l^Cissa.e ftiême J^ mais c'est une autre
moyens d'action sont plus
les Irliéthodes sont nouvelles. -
des sont nouvelles. —
fois-el encore les Italiens ont été
loi de ttprotecti. on des flancs ;
t:iUre s,e de toute surprise
lltrelert se garantir de toute surprise
v.eUlnte "lCde Garde el la Brenta s'ils ne
.sl'le SÙl' lS' eXoser tôt ou tard leur offen-
sive Co Isonzo à un enace de fianc- Le
la,ut cnSrlnaadempn+ ^-
M»1 actuelip allen s'appuie, dans
uUises sur les positions con-
août iiQicUr les Positions con-
e,()t¡Vél).n.rral ,elles présentent le grave i-
s? arn*- ^'être dominées par grave in-
» Pluies ; de Plus les communl-
(ilit a.\7c l'arS de 1US' les communi-
Cadorna paraît
lancé sOn COmpte deces obstacles, car il
dour réd\1' attaque principale plus au nord
Jale Plus au nord
da la lea .rn° del'Isonzo deuxièl9 août 1916
à le plateau
tvja ?H5e e aviains des An,?? avancée de Plava.
ec C^lenSl le Plateau
e fla position au-dessus
et Zb. S'ab' «52 'etIL 6S^auteurs s'élè-
Tarlcée de plava-
ïôiiits e ae devwmi es au"dessus
W0ii k v £ l° £ Position autri-
e soramet du saillant peut
h ceii^PWCncefttriTCi1(î saillant peut
bt,ell e t -4-ligi aIs et des rançais sur la
tt'elhtl¡ J\ÍS(h". e, lOffenSIve Italienne n'a
rad 'l s L' .)l \J ici qu d.
e «xteusitS?S 1 résultats res-
Ssivp Ii.oeÍze BJftension donnée par Con-
Jj6Uves autciz
SUI' le ChYle: Vlent de faire ses
lero.Dlû.ecte la.ZOharso, Gomme ailleurs, le
le tfl?Vl-<»Wes iSL"?6 'fichées ;
es. il~risOrIlliers- annoncés
alut-re llép'3nd, en. effet, à l'ap- ,
, S me. - (Stegemann)
de gros Cf»M'
, j^ten-e refi' voulurent
&l'g L1\.iJ.glet Ls ItalIens voulurent
en le ç'I~ CCO rd :ef1¿'Sa d'accepter
Oca.tiOll1'd. 1;'J:tàr On rr¡Va à une fop-
ep lis p ~il t, ,~llacun d'eux une
aiice. le a également re-
Correspond. de
Etats-Unis. — Les déclarations, complète-
ment inattendues, de M. Daniels, disant que
la construction des nouveaux dreadnoughts
et des croiseurs de bataille sera interrompue
pour permettre aux chantiers de construire
des navires marchands, sera accueillie avec
alarme et avec émoi. Ce ne fut qu'au prix
des plus grands efforts que furent votés l'an-
née dernière et cette année des programmes
de construction pourvoyant à un accroisse-
ment convenable de notre flotte. Aujour-
d'hui, -il semble que toute cette énergie aura
été dépensée en vain. On donne comme ex-
cuse que la 'situation de nos chantiers est
telle que nous ne pouvons en même temps
faire face aux besoins en navires mar-
chands et continuer à construire des navi-
res de guerre. Mais il appartient au Gou-
vernement de surmonter * les obstacles. — v
(Ed.) New York -Times, 20. 4.
ORGANISATION
Allemagne. — Dans sa réponse écrite
adressée le 7.5 au député Dr Müller (de Mei-
ningen), le ministre de la Guerre fait con-
naître la décision prise par lui de retirer des
premières lignes les hommes .âgés de plus
de 45 ans et qui s'y trouvent depuis au
moins 6 mois. Sont considérées comme étant
de « première ligne » les troupes prenant
effectivement part aux combats, c'est-à-dire
celles qui occupent les tranchées, les batte-
ries, et les troupes auxiliaires (pionniers,
-lanceurs de bombes, -etc.). Les colonnes de
ravitaillement; même les colonnes de muni-
tions, les troupes d'étapes, etc., ne sont pas
considérées comme étant des troupes de
première ligne. La relève, des hommes se
trouvant dans les conditions est presque
terminée ; en février il ne restait plus
qu'environ 1.000 hommes- dont la relève n'a-
vait pu être faite faute de remplaçants.
Mais l'opération est en voie d'exécution. Le
ministère de la Guerre prie le Dr Muller «de
faire comprendre à ses nombreux corres-
pondants qui se plaignent à tort de n'avoir
pas été relevés, que la situation de la pa-
trie ne lui permet pas de dégager les vieilles
classes de tout service militaire, quel qu'en
soit le désir du ministère. » Berlin. Tagbl.,
16.5. -. 1
PERTES
Guerre aérienne. — Du 9 au 14 avril,-
49 avions allemands et 29 anglais furent
abattus ; le nombre des avions anglais repré-
sente les pertes totales et probablement plus
de la moitié du nombre des avions alle
mands représente aussi une destruction to-
tale. Pendant ces 6 jours, nos pertes sem-
blent légères parce que, très probablement
nous avons dû avoir un certain nombre
d'aéroplanes descendus à l'intérieur de nos
lignes. Le 9, nous avons perdu 16 appa-
reils et les Allemands, 17 ; le 10, 1 et les
Allemands, 7 ; le 12, 9 et les Allemands, 9 ;
le 13, jour des grands combats qui nous
donnèrent Bailleul, Willerval, Vimy et Gi-
venchy, les pertes s'abaissèrent à 5 appa-
reils allemands contre 3 britanniques. Le
lendemain, jour où nous primes Liévin et
les faubourgs de Lens, les pertes furent de
10 appareils allemands et 13 britanniques.
Le 15, jour où nous ne prîmes aucun, vil-
lage, 15 appareils allemands furent abattus
ou forcés d'atterrir. désemparés, contre 10
britanniques. Mais la journée de beaucoup
la plus dure fut celle du 24 avril, qui ne
marqua aucun gain de terrain, quoique le
combat fût intense de Croisilles au nord
de Gavrelle : nous avons enregistré le to-
tal étonnant de 40 avions allemands pera.
contre 2 britanniques. Sur ces 40, 15 appa-
reils furent abattus et détruits et 24 for-
cés d'atterrir désemparés, et un grand avion
allemand fut abattu dans nos lignes.
journée du 23 avril, jour où commença la
seconde bataillei d'Arras, fut marquée par ,
de grosses pertes : 6 appareils ennemis'
s'écrasèrent sur le sol et 15 autres furent
forcés d'atterrir désemparés, tandis qu'un
autre était abattu par nos. canons contre
avions ; si bien que 62 appareils allemands
furent abattus en 2 jours, dont la majorité
fut détruite, contre 6 appareils britanni-
ques manquants. Le 25, les Allemands per-
dirent 15 aéroplanes, et nous 6, et le 27.
ils en perdirent 13 et nous 6 ; le 30, 20
avions' allemands furent abattus contre 15
des nôtres. Du 9 au 30 avril, les Allemands
ont perdu 198 appareils et les Anglais, 104,
Du 1er au 9 mai, la proportion fut même.
meilleure. Le 2, nous en avons abattu 17
et perdu 4 ; le 3, 10 abattus et 1 perdu ; le
4, il abattus et 2 perdus ; le 5, 10 abattus
et 2 perdus ; le 6, 11 abattus et 2 perdus ;
le 7, 7 abattus et 3 perdus ; le 8, - jour ou
nous avons perdu Fresnoy, — 15 abattus et
8 perdus. Les chiffres du mois de mai sont
donc de 81 avions ennemis abattus et 22
perdus par nous, ce qui porte -les pertes
totales d'un mois de combat à 279 avions
ennemis contre 126 des nôtres. A suppo-
ser que les pertes allemandes enregistrées
fussent la moitié seulement des pertes to-
tales, il y aurait cependant encore une mar-
ge importante en notre faveur. — (Edg.
Wallace) Birmingh. Daily Post, 16.5.
ESPIONNAGE
Suisse. — Vient de paraître un livre
d'Emile Thilo : La répression de l'espion-
nage en Suisse. Etude systématique des ju-
gements rendus par la Cour pénale fédérale
en 1916 et 1917 (Lausanne, F. Haeschel-
Dufey). — Gazette de Lausanne, 17.5.
——— ——
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne. — L'Allemagne est bien pour-
vue de charbon, mais elle manque de fee
En temps. de paix, elle était obligée d'-eii
importer pour plus de la moitié de sa con-
sommation. Aussi n'est-ce pas probable-
ment par hasard que la « partie fran-
AIRES ETRANGERES
N° 447
Paris, U. mai 4917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère -
: CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère -
conndentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
\lUETIONS ILITAIRES
OPERATIONS
en qULiqll. - Les troupes qui ont su,
ont itali. eii Les troupes qui ont su,
lui uu voclil sommets du mont
USi^ toiiQ i U1i accompli un prodige
d'armes des corn-
les autres fronts.
fronts.
surinonter les autres
Ce Sont tOUjours les mêmes sol-
'l^Cissa.e ftiême J^ mais c'est une autre
moyens d'action sont plus
les Irliéthodes sont nouvelles. -
des sont nouvelles. —
fois-el encore les Italiens ont été
loi de ttprotecti. on des flancs ;
t:iUre s,e de toute surprise
lltrelert se garantir de toute surprise
v.eUlnte "lCde Garde el la Brenta s'ils ne
.sl'le SÙl' lS' eXoser tôt ou tard leur offen-
sive Co Isonzo à un enace de fianc- Le
la,ut cnSrlnaadempn+ ^-
M»1 actuelip allen s'appuie, dans
uUises sur les positions con-
août iiQicUr les Positions con-
e,()t¡Vél).n.rral ,elles présentent le grave i-
s? arn*- ^'être dominées par grave in-
» Pluies ; de Plus les communl-
(ilit a.\7c l'arS de 1US' les communi-
lancé sOn COmpte deces obstacles, car il
dour réd\1' attaque principale plus au nord
Jale Plus au nord
da la lea .rn° del'Isonzo deuxièl9 août 1916
à le plateau
tvja ?H5e e aviains des An,?? avancée de Plava.
ec C^lenSl le Plateau
e fla position au-dessus
et Zb. S'ab' «52 'etIL 6S^auteurs s'élè-
Tarlcée de plava-
ïôiiits e ae devwmi es au"dessus
W0ii k v £ l° £ Position autri-
e soramet du saillant peut
h ceii^PWCncefttriTCi1(î saillant peut
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tt'elhtl¡ J\ÍS(h". e, lOffenSIve Italienne n'a
rad 'l s L' .)l \J ici qu d.
e «xteusitS?S 1 résultats res-
Ssivp Ii.oeÍze BJftension donnée par Con-
Jj6Uves autciz
SUI' le ChYle: Vlent de faire ses
lero.Dlû.ecte la.ZOharso, Gomme ailleurs, le
le t
es. il~risOrIlliers- annoncés
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, S me. - (Stegemann)
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, j^ten-e refi' voulurent
&l'g L1\.iJ.glet Ls ItalIens voulurent
en le ç'I~ CCO rd :ef1¿'Sa d'accepter
Oca.tiOll1'd. 1;'J:tàr On rr¡Va à une fop-
ep lis p ~il t, ,~llacun d'eux une
aiice. le a également re-
Correspond. de
Etats-Unis. — Les déclarations, complète-
ment inattendues, de M. Daniels, disant que
la construction des nouveaux dreadnoughts
et des croiseurs de bataille sera interrompue
pour permettre aux chantiers de construire
des navires marchands, sera accueillie avec
alarme et avec émoi. Ce ne fut qu'au prix
des plus grands efforts que furent votés l'an-
née dernière et cette année des programmes
de construction pourvoyant à un accroisse-
ment convenable de notre flotte. Aujour-
d'hui, -il semble que toute cette énergie aura
été dépensée en vain. On donne comme ex-
cuse que la 'situation de nos chantiers est
telle que nous ne pouvons en même temps
faire face aux besoins en navires mar-
chands et continuer à construire des navi-
res de guerre. Mais il appartient au Gou-
vernement de surmonter * les obstacles. — v
(Ed.) New York -Times, 20. 4.
ORGANISATION
Allemagne. — Dans sa réponse écrite
adressée le 7.5 au député Dr Müller (de Mei-
ningen), le ministre de la Guerre fait con-
naître la décision prise par lui de retirer des
premières lignes les hommes .âgés de plus
de 45 ans et qui s'y trouvent depuis au
moins 6 mois. Sont considérées comme étant
de « première ligne » les troupes prenant
effectivement part aux combats, c'est-à-dire
celles qui occupent les tranchées, les batte-
ries, et les troupes auxiliaires (pionniers,
-lanceurs de bombes, -etc.). Les colonnes de
ravitaillement; même les colonnes de muni-
tions, les troupes d'étapes, etc., ne sont pas
considérées comme étant des troupes de
première ligne. La relève, des hommes se
trouvant dans les conditions est presque
terminée ; en février il ne restait plus
qu'environ 1.000 hommes- dont la relève n'a-
vait pu être faite faute de remplaçants.
Mais l'opération est en voie d'exécution. Le
ministère de la Guerre prie le Dr Muller «de
faire comprendre à ses nombreux corres-
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pas été relevés, que la situation de la pa-
trie ne lui permet pas de dégager les vieilles
classes de tout service militaire, quel qu'en
soit le désir du ministère. » Berlin. Tagbl.,
16.5. -. 1
PERTES
Guerre aérienne. — Du 9 au 14 avril,-
49 avions allemands et 29 anglais furent
abattus ; le nombre des avions anglais repré-
sente les pertes totales et probablement plus
de la moitié du nombre des avions alle
mands représente aussi une destruction to-
tale. Pendant ces 6 jours, nos pertes sem-
blent légères parce que, très probablement
nous avons dû avoir un certain nombre
d'aéroplanes descendus à l'intérieur de nos
lignes. Le 9, nous avons perdu 16 appa-
reils et les Allemands, 17 ; le 10, 1 et les
Allemands, 7 ; le 12, 9 et les Allemands, 9 ;
le 13, jour des grands combats qui nous
donnèrent Bailleul, Willerval, Vimy et Gi-
venchy, les pertes s'abaissèrent à 5 appa-
reils allemands contre 3 britanniques. Le
lendemain, jour où nous primes Liévin et
les faubourgs de Lens, les pertes furent de
10 appareils allemands et 13 britanniques.
Le 15, jour où nous ne prîmes aucun, vil-
lage, 15 appareils allemands furent abattus
ou forcés d'atterrir. désemparés, contre 10
britanniques. Mais la journée de beaucoup
la plus dure fut celle du 24 avril, qui ne
marqua aucun gain de terrain, quoique le
combat fût intense de Croisilles au nord
de Gavrelle : nous avons enregistré le to-
tal étonnant de 40 avions allemands pera.
contre 2 britanniques. Sur ces 40, 15 appa-
reils furent abattus et détruits et 24 for-
cés d'atterrir désemparés, et un grand avion
allemand fut abattu dans nos lignes.
journée du 23 avril, jour où commença la
seconde bataillei d'Arras, fut marquée par ,
de grosses pertes : 6 appareils ennemis'
s'écrasèrent sur le sol et 15 autres furent
forcés d'atterrir désemparés, tandis qu'un
autre était abattu par nos. canons contre
avions ; si bien que 62 appareils allemands
furent abattus en 2 jours, dont la majorité
fut détruite, contre 6 appareils britanni-
ques manquants. Le 25, les Allemands per-
dirent 15 aéroplanes, et nous 6, et le 27.
ils en perdirent 13 et nous 6 ; le 30, 20
avions' allemands furent abattus contre 15
des nôtres. Du 9 au 30 avril, les Allemands
ont perdu 198 appareils et les Anglais, 104,
Du 1er au 9 mai, la proportion fut même.
meilleure. Le 2, nous en avons abattu 17
et perdu 4 ; le 3, 10 abattus et 1 perdu ; le
4, il abattus et 2 perdus ; le 5, 10 abattus
et 2 perdus ; le 6, 11 abattus et 2 perdus ;
le 7, 7 abattus et 3 perdus ; le 8, - jour ou
nous avons perdu Fresnoy, — 15 abattus et
8 perdus. Les chiffres du mois de mai sont
donc de 81 avions ennemis abattus et 22
perdus par nous, ce qui porte -les pertes
totales d'un mois de combat à 279 avions
ennemis contre 126 des nôtres. A suppo-
ser que les pertes allemandes enregistrées
fussent la moitié seulement des pertes to-
tales, il y aurait cependant encore une mar-
ge importante en notre faveur. — (Edg.
Wallace) Birmingh. Daily Post, 16.5.
ESPIONNAGE
Suisse. — Vient de paraître un livre
d'Emile Thilo : La répression de l'espion-
nage en Suisse. Etude systématique des ju-
gements rendus par la Cour pénale fédérale
en 1916 et 1917 (Lausanne, F. Haeschel-
Dufey). — Gazette de Lausanne, 17.5.
——— ——
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne. — L'Allemagne est bien pour-
vue de charbon, mais elle manque de fee
En temps. de paix, elle était obligée d'-eii
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