Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-05-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 mai 1917 20 mai 1917
Description : 1917/05/20 (T6,N445). 1917/05/20 (T6,N445).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484943g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
"kisïèresS hfi LA. GUERRE -
(E.-M.-A., Bau)
ET DES
AFFAIRES ETl\ANGÈRES
-----
N°445
Paris, 20 mai 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
- confidentiel, ne peuvent être réproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
,
QUESTIONS MILITAIRES \,
,
OPERATIONS
Guerre ^O'ws-iiaaSTxie. - D'Amsterdam,
d'un membre Telegraaf publie une interview
d'un membre de l'equipage du sous-ma-
rin allemand U 58, qui torpilla. 7 bateaux
le 22 février dernier. Voici quel-
ques dais le 22 février dernier. Voici quel-
ques indications touchant les opérations
des sous-marins allemands ; le nombre
total de ces sous-marins est estimé à
325 par les autorités navales allemandes, et
les pertes dues aux filets britanniques se-
raient de 80 à 1 anT regle générale, les
sous - marins opérant dans un rayon donné
se réunissent tous les matins dans un en
oit designé pour recevoir les instructions
qui le 11-r sont. elly-Olées par T. S. F., d'Héli-
tues » zone où il d{)it opérer ses « bat-
» D'ordiraire l'équipage de chaque
sous -marin cirnpte 39 hommes, mais les
plus récents, qui appartiennent à la classe
A, possèdent des équipages de 50 à 60 hom-
Les officiers sont très souvent de tout
jeunes gens, dont la plupart ont quitté les
~navales avec de fortes dettes qu'ils
rent éteindre grâce aux primes payées
pour chaque navir.e aoulé.. Ils manquent
» --- Birmi du sens de la responsabIl1-,
manifestement du Daily de la responsabili-
Birmingh. Daily Post, 15.5
CRITIQUE DES OPERATIONS
lu^iqu baIkaniq,.e. - L'activité' s'est ra-
muniqués de ces derniers jours parlent
avec beaucoup de détails des attaques par-
teurs qui c, rit eu lieu dans différents sec-
faut espérer °pP°«é quelles vive Ger .aBo-B.l-
espérer qu'une action de Plus grande
s'y développera sous peu en méttant des Allies,
s'y développe l'cr". sous peu en méttant à pro-
les conditions atmosphériques plus favo-
et les circonstances qui. empêchent
sive anglo-françaises, maintenant que l'offen-
Allemands de fournir de nouveaux ren- -
sive anglo-française les retient en Occident.
Il était grand tem]:)!! 'qlle le front de Salo.,
miques dennât signe, de VÍe, Il y a quelques,
néamoins transparaître le soupçon que le
ses descrètes, il est vrai bien ais laissant
les lauriers de Monastir, comme jadis
dans les délices ueda POlie. Le mo-
offensive, en l'attaque de sa Puisssance
offensive , en l'attaquant énergiquement et
,13.5. à 1 Ouest. et Est. (Ed.)
ORGANISATION
Goopération des Etats-Unis. - Il serait
tres désirable d'envoyer des
nes en France, mais, en-
tre tous les obstacle qui s'opposent à no-
tre. participation active immédiate à la
guerre, il en est un qui est insurmontable.
C'est que nous n'avons pas dei navires pour
transporter nos soldats. Nous ne. pourrions
guère envoyer plus d'une poignée d'hom-
mes en Europe avant un au En effet, un
recensement des navires américains pour
le commerce transatlantique montre que
nous avons à peine 56 navires capables de
transporter 1.000 hommes- ou plus par
voyage : 10 seulement d'entre eux pour-
raient en transporter plus de mille. Les
nécessités militaires interdisent naturelle-
ment de se servir de navires d'une capacité
moindre. En réquisitionnant tous les navi-
res possibles pour le transport des troupes,
nous ne pourrions encore en avoir que 96.
Admettons que cette flotte commence immé-
diatement à transporter ces hommes en
Angleterre), à raison même de 1.500. hom-
mes par voyage, ce qui est un chiffre beau-
coup trop élevé ; admettons que chaque na-
vire. fasse le trajet aller et retour en un
mois : 2 jours en mer, 11 dans chaque sens,
ce qui ne laisse que 4 jours pour le char-
gement et 4 jours pour le déchargement.
Admettons que les sous-marins ne coulent
pas un seul de ces navires, que les ma-
chines fonctionnent parfaitement, que- le
chargement et le déchargement se fassent
avec une exactitude impeccable et sans au-
cun retard, et que rien, ne vienne troubler
le plan, notre flotte entière ne pourrait mal-
gré tout transporter en Europe qu'un million
d'hommes en un an. Et encore à condition
qu'ils n'aient que leurs havresacs sur le
dos, et n'emmènent avec eux 'ni approvi-
sionnement , ni matériel, ni canons, ni équi-
pements. Ce n'est même là qu'une hypothèse
irréalisable. Car, en réalité, nous ne dis-
poserions guère, au grand maximum, pour
transporter nos troupes., que du tiers de
notre tonnage total disponible pour les
transports. La flotté de guerre est obligée
en effets d'en incorporer les deux autres
tiers, pour, avoir toute sa valeur militaire.
De ce tiers., 'il faudrait encore déduire les
navires indispensables pour nourrir, appro-
visionner et fournir de munitions l'Angle-
terre, la France et la Russie. Nous ne pou-
vons donc pas compter être un facteur im-
portant de la guerre sur le continent euro-
péen avant un délai considérable, — (Boston
News Bureau), cité par Commercial and
Financial Chronicle, 14.4. ,
— Les Alliés désiraient notre entrée dans
la guerre pour son effet moral et parce
qu'elle mettrait fin aux intrigues alleman-
des, et supprimerait toute chance de con-
flit entre l'Angleterre et les Etats-Unis.
Qnant à notre aide efficace, ils souhaite-
raient voir quelques troupes américaines
combattre aux côtés des leurs le plus tôt pos-
sible, en tant que, signe de notre coopéra-
tion morale plutôt que comme effort mili-
taire véritable de notre part. Outre cela,
nous devons nous préparer à leur donner
une aide militaire importante, car il ne
semble pas possible de terminer la guerre-
cette année. Les généraux français et an-
glais sont loin de penser que l'Allemagne
ait dit son dernier mot Les Français recon-
naissent franchement que leur effort mili-
taire a passé son zénith ; celui de' l'An-
gleterre atteindra le sien cette année. Si-la
Russie réussit à réorganiser son armée,
il se peut qu'une grande expédition amé-
ricaine ne soit pas nécessaire. Mais la si
tuation russe restera longtemps douteuse,
et il se peut que les Etats-Unis aient à four-
nir des troupes pour les batailles décisi-
ves, en 1918, comme il semble probable, ou
même, ce qui n'est pas impossible, en 1919.
En attendant, il nous faut combattre les
sous-marins, ravitailler les, Alliés, les aider
de nos deniers, et nous préparer, en ayant
soin, (M. Albert Thomas fut particulière-
ment catégorique là-dessus quand je le vis),
de ne pas détourner à notre usage un
gramme de l'acier dont ils ont besoin. -
(Frank Simonds) New York Tribune, 15.4
— C'est à la Russie surtout que les Etats
Unis devraient venir en aide. Et, pour en-
trer de tout leur enthousiasme dans la
guerre, 'il faut aux Américains l'inspiration
d'une tâche-définie à accomplir. Or, il nou
faudrait un an pour être prêts à combattre
en France, mais nous pourrions faire cam-
pagne dans les Balkans dès l'automne pro-
chain. Prenons donc comme tâche l'ouver-
ture des Dardanelles. Adoptons, comme cri
de guerre de la démocratie : » Les Turcs
à la porte d'Europe ! A Constantinople »
— (Richnjond Pearson Hobson) New York
American, id. - N -
— Notre .première préoccupation doit
- être de lever une armée. Quant à son em-
ploi, le meilleur sera de l'envoyer en Fran-
ce, pour faire son instruction dans iltmos-
phère de la guerre, et sous la direction
d'hommes au courant des dernières mé-
thodes. Envoyons immédiatement, dans un
camp qui serait voisin de Boulogne, à
proximité de l'armée belge, une division à
effectifs complets, dont chaque brigade se-
rait composée d'un régiment de l'armée ré-
gulière, et de deux 'régiments de la garde
nationale ayant servi au moins six mois
sur la frontière du Mexique. Après un mois
de travail intensif, envoyons cette division
sur le front, et mettos - en une autre à sa
place à Boulogne, et ainsi de suite jusqu'à
ce que la nouvelle armée nationale soit
prête. (Général Francis -GI'c-ene-l New Yo> l;
Times, id.
— Maintenant que nous sommes en guer-
re,-il convient de se demander si notre pro-
gramme de constructions navales ne de-
vrait pas être modifié. Il faut quatre uns
pour construire un dreadnought ou un croi-
seur de bataille, et* les vaisseaux de ligne
que nous possédons, unis à ceux 'de l'An-
gleterre, sont plus que suffisants pour as-
surer une victoire décisive sur la flotte
el l !('mond.e. Mars les sous-marins -novis har-
cèlent. Ne saurait-il pas sage, dans ces con-
ditions, de suspendre la construction des
(E.-M.-A., Bau)
ET DES
AFFAIRES ETl\ANGÈRES
-----
N°445
Paris, 20 mai 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
- confidentiel, ne peuvent être réproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
,
QUESTIONS MILITAIRES \,
,
OPERATIONS
Guerre ^O'ws-iiaaSTxie. - D'Amsterdam,
d'un membre Telegraaf publie une interview
d'un membre de l'equipage du sous-ma-
rin allemand U 58, qui torpilla. 7 bateaux
le 22 février dernier. Voici quel-
ques dais le 22 février dernier. Voici quel-
ques indications touchant les opérations
des sous-marins allemands ; le nombre
total de ces sous-marins est estimé à
325 par les autorités navales allemandes, et
les pertes dues aux filets britanniques se-
raient de 80 à 1 anT regle générale, les
sous - marins opérant dans un rayon donné
se réunissent tous les matins dans un en
oit designé pour recevoir les instructions
qui le 11-r sont. elly-Olées par T. S. F., d'Héli-
tues » zone où il d{)it opérer ses « bat-
» D'ordiraire l'équipage de chaque
sous -marin cirnpte 39 hommes, mais les
plus récents, qui appartiennent à la classe
A, possèdent des équipages de 50 à 60 hom-
Les officiers sont très souvent de tout
jeunes gens, dont la plupart ont quitté les
~navales avec de fortes dettes qu'ils
rent éteindre grâce aux primes payées
pour chaque navir.e aoulé.. Ils manquent
» --- Birmi du sens de la responsabIl1-,
manifestement du Daily de la responsabili-
Birmingh. Daily Post, 15.5
CRITIQUE DES OPERATIONS
lu^iqu baIkaniq,.e. - L'activité' s'est ra-
muniqués de ces derniers jours parlent
avec beaucoup de détails des attaques par-
teurs qui c, rit eu lieu dans différents sec-
faut espérer °pP°«é quelles vive Ger .aBo-B.l-
espérer qu'une action de Plus grande
s'y développera sous peu en méttant des Allies,
s'y développe l'cr". sous peu en méttant à pro-
les conditions atmosphériques plus favo-
et les circonstances qui. empêchent
sive anglo-françaises, maintenant que l'offen-
Allemands de fournir de nouveaux ren- -
sive anglo-française les retient en Occident.
Il était grand tem]:)!! 'qlle le front de Salo.,
miques dennât signe, de VÍe, Il y a quelques,
néamoins transparaître le soupçon que le
ses descrètes, il est vrai bien ais laissant
les lauriers de Monastir, comme jadis
dans les délices ueda POlie. Le mo-
offensive, en l'attaque de sa Puisssance
offensive , en l'attaquant énergiquement et
,13.5. à 1 Ouest. et Est. (Ed.)
ORGANISATION
Goopération des Etats-Unis. - Il serait
tres désirable d'envoyer des
nes en France, mais, en-
tre tous les obstacle qui s'opposent à no-
tre. participation active immédiate à la
guerre, il en est un qui est insurmontable.
C'est que nous n'avons pas dei navires pour
transporter nos soldats. Nous ne. pourrions
guère envoyer plus d'une poignée d'hom-
mes en Europe avant un au En effet, un
recensement des navires américains pour
le commerce transatlantique montre que
nous avons à peine 56 navires capables de
transporter 1.000 hommes- ou plus par
voyage : 10 seulement d'entre eux pour-
raient en transporter plus de mille. Les
nécessités militaires interdisent naturelle-
ment de se servir de navires d'une capacité
moindre. En réquisitionnant tous les navi-
res possibles pour le transport des troupes,
nous ne pourrions encore en avoir que 96.
Admettons que cette flotte commence immé-
diatement à transporter ces hommes en
Angleterre), à raison même de 1.500. hom-
mes par voyage, ce qui est un chiffre beau-
coup trop élevé ; admettons que chaque na-
vire. fasse le trajet aller et retour en un
mois : 2 jours en mer, 11 dans chaque sens,
ce qui ne laisse que 4 jours pour le char-
gement et 4 jours pour le déchargement.
Admettons que les sous-marins ne coulent
pas un seul de ces navires, que les ma-
chines fonctionnent parfaitement, que- le
chargement et le déchargement se fassent
avec une exactitude impeccable et sans au-
cun retard, et que rien, ne vienne troubler
le plan, notre flotte entière ne pourrait mal-
gré tout transporter en Europe qu'un million
d'hommes en un an. Et encore à condition
qu'ils n'aient que leurs havresacs sur le
dos, et n'emmènent avec eux 'ni approvi-
sionnement , ni matériel, ni canons, ni équi-
pements. Ce n'est même là qu'une hypothèse
irréalisable. Car, en réalité, nous ne dis-
poserions guère, au grand maximum, pour
transporter nos troupes., que du tiers de
notre tonnage total disponible pour les
transports. La flotté de guerre est obligée
en effets d'en incorporer les deux autres
tiers, pour, avoir toute sa valeur militaire.
De ce tiers., 'il faudrait encore déduire les
navires indispensables pour nourrir, appro-
visionner et fournir de munitions l'Angle-
terre, la France et la Russie. Nous ne pou-
vons donc pas compter être un facteur im-
portant de la guerre sur le continent euro-
péen avant un délai considérable, — (Boston
News Bureau), cité par Commercial and
Financial Chronicle, 14.4. ,
— Les Alliés désiraient notre entrée dans
la guerre pour son effet moral et parce
qu'elle mettrait fin aux intrigues alleman-
des, et supprimerait toute chance de con-
flit entre l'Angleterre et les Etats-Unis.
Qnant à notre aide efficace, ils souhaite-
raient voir quelques troupes américaines
combattre aux côtés des leurs le plus tôt pos-
sible, en tant que, signe de notre coopéra-
tion morale plutôt que comme effort mili-
taire véritable de notre part. Outre cela,
nous devons nous préparer à leur donner
une aide militaire importante, car il ne
semble pas possible de terminer la guerre-
cette année. Les généraux français et an-
glais sont loin de penser que l'Allemagne
ait dit son dernier mot Les Français recon-
naissent franchement que leur effort mili-
taire a passé son zénith ; celui de' l'An-
gleterre atteindra le sien cette année. Si-la
Russie réussit à réorganiser son armée,
il se peut qu'une grande expédition amé-
ricaine ne soit pas nécessaire. Mais la si
tuation russe restera longtemps douteuse,
et il se peut que les Etats-Unis aient à four-
nir des troupes pour les batailles décisi-
ves, en 1918, comme il semble probable, ou
même, ce qui n'est pas impossible, en 1919.
En attendant, il nous faut combattre les
sous-marins, ravitailler les, Alliés, les aider
de nos deniers, et nous préparer, en ayant
soin, (M. Albert Thomas fut particulière-
ment catégorique là-dessus quand je le vis),
de ne pas détourner à notre usage un
gramme de l'acier dont ils ont besoin. -
(Frank Simonds) New York Tribune, 15.4
— C'est à la Russie surtout que les Etats
Unis devraient venir en aide. Et, pour en-
trer de tout leur enthousiasme dans la
guerre, 'il faut aux Américains l'inspiration
d'une tâche-définie à accomplir. Or, il nou
faudrait un an pour être prêts à combattre
en France, mais nous pourrions faire cam-
pagne dans les Balkans dès l'automne pro-
chain. Prenons donc comme tâche l'ouver-
ture des Dardanelles. Adoptons, comme cri
de guerre de la démocratie : » Les Turcs
à la porte d'Europe ! A Constantinople »
— (Richnjond Pearson Hobson) New York
American, id. - N -
— Notre .première préoccupation doit
- être de lever une armée. Quant à son em-
ploi, le meilleur sera de l'envoyer en Fran-
ce, pour faire son instruction dans iltmos-
phère de la guerre, et sous la direction
d'hommes au courant des dernières mé-
thodes. Envoyons immédiatement, dans un
camp qui serait voisin de Boulogne, à
proximité de l'armée belge, une division à
effectifs complets, dont chaque brigade se-
rait composée d'un régiment de l'armée ré-
gulière, et de deux 'régiments de la garde
nationale ayant servi au moins six mois
sur la frontière du Mexique. Après un mois
de travail intensif, envoyons cette division
sur le front, et mettos - en une autre à sa
place à Boulogne, et ainsi de suite jusqu'à
ce que la nouvelle armée nationale soit
prête. (Général Francis -GI'c-ene-l New Yo> l;
Times, id.
— Maintenant que nous sommes en guer-
re,-il convient de se demander si notre pro-
gramme de constructions navales ne de-
vrait pas être modifié. Il faut quatre uns
pour construire un dreadnought ou un croi-
seur de bataille, et* les vaisseaux de ligne
que nous possédons, unis à ceux 'de l'An-
gleterre, sont plus que suffisants pour as-
surer une victoire décisive sur la flotte
el l !('mond.e. Mars les sous-marins -novis har-
cèlent. Ne saurait-il pas sage, dans ces con-
ditions, de suspendre la construction des
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