Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-04-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 avril 1917 28 avril 1917
Description : 1917/04/28 (T6,N423). 1917/04/28 (T6,N423).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484921w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
N° 423
^STÈRES DE LA .GUERRE
(E.-M.-A., 2- Bau)
ET DES
AFpAIuEs ÉTRANGÈRES
Paris, 28 avril 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous; d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être - reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
CRITIQUE DES OPERATIONS
0c°^enta^ — La bataille qui a
Illence , le 23.4 est la plus rude que les
IJré pes brItanniques aient livrées jusqu'à
Présent r, La décision ne semble pas pro-
etIlne. Il se peut que la lutte se poursuive
pre des Jours ou des semaines. Elle a
"ores et déjà produit un résultat impor-
t 'atit '• i frédacteur du communiqué alle-
mand < st rédu-it à employer une rhétori-
DU11 dont je-contras te avec la sobriété des
bulletins de Sir: D. Haig est pour nous un
encouragement. Cela dit, est pour nous re-
journ tre franchemen.t que l'avance de la
qu cee du 23 n'a pas été aussi marquée.
qu'e CeIlL, du 9.4. Dans la région de Lens,.
legs davons fort peu progressé, La cote 70,
Loos, se trouve encore
qUis,es s d,e l'ennemi. Les positions con-
r i,,,, d.~
GUénlQ aus les environs de Gavrelle et de
0 UétïlapneJle sont tenues par nous que
(j^'e faf,nPrécaire. Les Allemands ont
gné te l artIllerie lourde et des mitrail-
(k s- La
tiHiCelles-ci ^^iére dont ils ont fait usage
de celles aPPelle certaines de nos pre-
nvS de -cette guerre. Il est re-
grettaeble -que l'attaque française sur l'Aisne
joué6 soit Pas déclanchée huit ou quinze
r fait aUS tôt.. a percée serait' peut-être
un f al. tpl,,ecolipli maintenant. - (Ed.) Man-
Q On •' <5.4. - v
QcttJelle aslste, au cours de la bataille
d la plus grande de l'Histoire,
c°Un eri-e du système des positions
lllfilnt erie -successives combiné avec des
liSI uOe flIl tactiques. Le tout devient
lW ïne défens active. A la place de la
l«'Igne f"I'tifléé e'auc trefois, on se sert, d'un
» s-i a l'on peut se servir
pomparafon' on a remplacé la bar-
ai on a remplacé la bar-
!^(V stinép à arrêter le voleur, par un
fecit. I.:e' bns le.quel il s'empêtre finale-
ible est de C é ta,chque de celui qui se dé-
H de créer ii6 plus grand nombre pos-
S> s ces tprSPs d'arrêt, qui finissent
de broi er«mBJ?fem«?t l'effort de l'agres-
[!Otl/ SUspede .Plus, l'avantage de profiter
tieudeter d USIons forcées (le l'offensive
lh -rIes sur les points par-
frnent m«nÏS«? 8, Jusqu'ici, la percée
n? Ct>oir* A
'hlt'¡ p Olre qu lIe, part. Mais il ne faudrait
pas croire que l OengiYe en soit arrivée à
t!'a.té: Pu s on s}lccs tactique du dé-
-
?11 se t?«ffdi uirePar une poussée
tàut Ce serait méconnai-
tempérament français et la ténacité
ra ce succès tac-
k?« d0n^l,éiPniaPr^ n:0Xp té- D'autre part,
dont eiiÇ%qu elle manifeste et
~dont n'eS dispose, on peut croire
-. pas encore arrivée à
- r. C. Endres) Frankf. Ztg,,
L
MATERIEL
Quant la lutte sera finie et qu'on pour-
ra. en connaître les détails ; quand il n'y
aura plus aucun intérêt militaire à garder
le secret sur les nouveaux explosifs em-
ployés et sur les nouvelles méthodes de
destruction, nous serons étonnés de l'es-
prit inventif des ingénieurs alliés. La chi-
mie et la mécanique allemandes, qui se
croyaient les premières du monde, auront
- été définitivement vaincues par celles de
leurs ennemis. Les hommes sont aujour-
d'hui les mêmes qu'au début; la victoire
est due, en réalité, aux canons et aux ex-
plosifs. - (E. Diaz-Retg), Diluvio, 22.4.
ORGANISATION
Coopération des Etats-Unis. — M. Roose-
velt propose l'organisation d'une armée de
deux millions d'hommes, et, afin que nous
ne paraissions pas faire « une guerre de
dollars », l'envoi immédiat en France d'un
corps expéditionnaire. Il ne se rend pas
compte que ce serait précisément agir se-
lon les désirs de l'Allemagne. Car ce serait'
désorganiser les usines et lès fermes dont,
tous, nous avons si grand besoin ; ce serait
mettre au service des troupes quantité de
navires qui sont bien mieux employés à
transporter vivres et munitions. Vouloir
faire flotter le drapeau américain dans les
tranchées de France c'est pour le moment
un peu d'ordre sentimental. Ce qu'il faut
d'abord, c'est mettre à la disposition des
-
Alliés toutes nos ressources en matériel et
en argent. — (Ed.) World, 22.3. --
- A la voix de M. Root et du Président
Hibben, de l'Université de Princeton, plus
de 12.000 manifestants ont applaudi l'idée
d'un corps expéditionnaire. La France a
terriblement souffert ; l'arrivée de troupes
américaines lui serait un grand réconfort.
Ne tardons pas ; le peuple le veut. — (Ed.)
Boston Transcript, id.
— On assiège le Président de mauvais
conseils. On le supplie de limiter la guerre
à la défense des intérêts strictement améri-
cains ; on ne veut pas entendre parler de
l'envoi de troupes en France. Ce sont des
pro-Allemand's sous le masque du paci-
fisme qui, devant l'inévitable, voudraient
du moins réduire notre participation à ces
demi-mesures. Si leur influence prévalait,
nous serions moralement déchus. — (Ed.)
Sun, 23.3. -
— La première chose à faire pour les
Etats-Unis, en dehors des mesires visant
à là défense de leur territoire, devrait être
d'envoyer en Belgique une division de leur
armée Régulière. Il n'est pas besoin d'argu-
ments pour démontrer que la question sou-
levée par l'invasion de la Belgique est la
plus importante de toute la guerre, et que
le principe impliqué est à la racine même
du conflit. Envoyer en Belgique une divi-
sion de troupes américaines, qui coopére-
raient avec les troupes belges à la défense
de la petite portion de la Belgique qui reste
encore aux mains du roi Albert, et qui les
aideraient à reconquérir leur pays, voilà
une chose que les Etats-Unis devraient con-
sidérer comme un devoir moral. Quoi qu'on
puisse penser des buts de guerre des autres
belligérants, la question belge est telle que
les avis à son égard ne peuvent être parta-
gés, et la libération de la Belgique est le
devoir du monde tout entier. — (Ed.) New
York Tribune, 243.
— Si nous taisons la guerre, il nous fau-
dra combattre. Les Etats-Unis ne peuvent
se contenter d'être un dépôt de matériel
pour les Alliés. Le Canada s'est saigné à
blanc pour envoyer sa population mascu-
line dans les Flandres. Les enrôlements
continuent. De nouveaux contingents sont
envoyés à l'étranger. Nous ne 'pouvons
nous abriter derrière le Canada. Le souci
de notre dignité nous l'interdit. Si la pré-
sence des Canadiens est nécessaire en Eu-
rope, la nôtre l'est aussi. Cette guerre est
autant la nôtre que celle du Canada. Nous
avons le même intérêt que le Canada à ce
que l'Allemagne soit battue. Il nous faut
donc prendre à la guerre la même part que
lui. — (Ed.) Chicago Tribune, id.
——— e ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Espagne. -- La Gaceta [journal officiel].
publie une ordonnance royale, interdisant
l'exportation du riz. — Diluvio, 23.4.
MARINE MARCHANDE
Italie. — Pour éviter une concurrence
qui ferait sans aucun doute hausser indû-
ment les prix d'achat des navires à vapeur,
le ministère des Transports maritimes et
ferroviaires a décidé ce qui suit : « Les ac-
quisitions de navires étrangers ne pourront
être faites par des sujets italiens qu'après.
autorisation par le ministère des Trans-
ports (Commission centrale du trafic mari-
time), aussi bien pour les navires en cons-
truction que pour les autres. Toutes tracta-
tions en cours doivent être immédiatement
dénoncées. — Resto del Carlino, 23.4.
— La Commission des prises de- Grado a
déclaré légitime et a validé la capture des
vapeurs Cervignano et Fïiuli, ancrés dans
le port de Grado, sous pavillon allemand.
au moment de l'occupation du Frioul orien-
tal et du littoral de Grado. — Id., 24.4.
FINANCES
Allemagne. — Notre dernier emprunt
nous a rapporté 12.770.000.000 de mks. C'est
un record. Nous portons ainsi le total de
nos emprunts de guerre à 60 milliards de
marks, alors que l'Angleterre n'a pu jus-
qu'ici recueillir que 40 milliards et la
France 20 milliards de marks. Nous ras-
^STÈRES DE LA .GUERRE
(E.-M.-A., 2- Bau)
ET DES
AFpAIuEs ÉTRANGÈRES
Paris, 28 avril 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous; d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être - reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
CRITIQUE DES OPERATIONS
0c°^enta^ — La bataille qui a
Illence , le 23.4 est la plus rude que les
IJré pes brItanniques aient livrées jusqu'à
Présent r, La décision ne semble pas pro-
etIlne. Il se peut que la lutte se poursuive
pre des Jours ou des semaines. Elle a
"ores et déjà produit un résultat impor-
t 'atit '• i frédacteur du communiqué alle-
mand < st rédu-it à employer une rhétori-
DU11 dont je-contras te avec la sobriété des
bulletins de Sir: D. Haig est pour nous un
encouragement. Cela dit, est pour nous re-
journ tre franchemen.t que l'avance de la
qu cee du 23 n'a pas été aussi marquée.
qu'e CeIlL, du 9.4. Dans la région de Lens,.
legs davons fort peu progressé, La cote 70,
Loos, se trouve encore
qUis,es s d,e l'ennemi. Les positions con-
r i,,,, d.~
GUénlQ aus les environs de Gavrelle et de
0 UétïlapneJle sont tenues par nous que
(j^'e faf,nPrécaire. Les Allemands ont
gné te l artIllerie lourde et des mitrail-
(k s- La
tiHiCelles-ci ^^iére dont ils ont fait usage
de celles aPPelle certaines de nos pre-
nvS de -cette guerre. Il est re-
grettaeble -que l'attaque française sur l'Aisne
joué6 soit Pas déclanchée huit ou quinze
r fait aUS tôt.. a percée serait' peut-être
un f al. tpl,,ecolipli maintenant. - (Ed.) Man-
Q On •' <5.4. - v
QcttJelle aslste, au cours de la bataille
d la plus grande de l'Histoire,
c°Un eri-e du système des positions
lllfilnt erie -successives combiné avec des
liSI uOe flIl tactiques. Le tout devient
lW ïne défens active. A la place de la
l«'Igne f"I'tifléé e'auc trefois, on se sert, d'un
» s-i a l'on peut se servir
pomparafon' on a remplacé la bar-
ai on a remplacé la bar-
!^(V stinép à arrêter le voleur, par un
fecit. I.:e' bns le.quel il s'empêtre finale-
ible est de C é ta,chque de celui qui se dé-
H de créer ii6 plus grand nombre pos-
S> s ces tprSPs d'arrêt, qui finissent
de broi er«mBJ?fem«?t l'effort de l'agres-
[!Otl/ SUspede .Plus, l'avantage de profiter
tieudeter d USIons forcées (le l'offensive
lh -rIes sur les points par-
frnent m«nÏS«? 8, Jusqu'ici, la percée
n? Ct>oir* A
'hlt'¡ p Olre qu lIe, part. Mais il ne faudrait
pas croire que l OengiYe en soit arrivée à
t!'a.té: Pu s on s}lccs tactique du dé-
-
?11 se t?«ffdi uirePar une poussée
tàut Ce serait méconnai-
tempérament français et la ténacité
ra ce succès tac-
k?« d0n^l,éiPniaPr^ n:0Xp té- D'autre part,
dont eiiÇ%qu elle manifeste et
~dont n'eS dispose, on peut croire
-. pas encore arrivée à
- r. C. Endres) Frankf. Ztg,,
L
MATERIEL
Quant la lutte sera finie et qu'on pour-
ra. en connaître les détails ; quand il n'y
aura plus aucun intérêt militaire à garder
le secret sur les nouveaux explosifs em-
ployés et sur les nouvelles méthodes de
destruction, nous serons étonnés de l'es-
prit inventif des ingénieurs alliés. La chi-
mie et la mécanique allemandes, qui se
croyaient les premières du monde, auront
- été définitivement vaincues par celles de
leurs ennemis. Les hommes sont aujour-
d'hui les mêmes qu'au début; la victoire
est due, en réalité, aux canons et aux ex-
plosifs. - (E. Diaz-Retg), Diluvio, 22.4.
ORGANISATION
Coopération des Etats-Unis. — M. Roose-
velt propose l'organisation d'une armée de
deux millions d'hommes, et, afin que nous
ne paraissions pas faire « une guerre de
dollars », l'envoi immédiat en France d'un
corps expéditionnaire. Il ne se rend pas
compte que ce serait précisément agir se-
lon les désirs de l'Allemagne. Car ce serait'
désorganiser les usines et lès fermes dont,
tous, nous avons si grand besoin ; ce serait
mettre au service des troupes quantité de
navires qui sont bien mieux employés à
transporter vivres et munitions. Vouloir
faire flotter le drapeau américain dans les
tranchées de France c'est pour le moment
un peu d'ordre sentimental. Ce qu'il faut
d'abord, c'est mettre à la disposition des
-
Alliés toutes nos ressources en matériel et
en argent. — (Ed.) World, 22.3. --
- A la voix de M. Root et du Président
Hibben, de l'Université de Princeton, plus
de 12.000 manifestants ont applaudi l'idée
d'un corps expéditionnaire. La France a
terriblement souffert ; l'arrivée de troupes
américaines lui serait un grand réconfort.
Ne tardons pas ; le peuple le veut. — (Ed.)
Boston Transcript, id.
— On assiège le Président de mauvais
conseils. On le supplie de limiter la guerre
à la défense des intérêts strictement améri-
cains ; on ne veut pas entendre parler de
l'envoi de troupes en France. Ce sont des
pro-Allemand's sous le masque du paci-
fisme qui, devant l'inévitable, voudraient
du moins réduire notre participation à ces
demi-mesures. Si leur influence prévalait,
nous serions moralement déchus. — (Ed.)
Sun, 23.3. -
— La première chose à faire pour les
Etats-Unis, en dehors des mesires visant
à là défense de leur territoire, devrait être
d'envoyer en Belgique une division de leur
armée Régulière. Il n'est pas besoin d'argu-
ments pour démontrer que la question sou-
levée par l'invasion de la Belgique est la
plus importante de toute la guerre, et que
le principe impliqué est à la racine même
du conflit. Envoyer en Belgique une divi-
sion de troupes américaines, qui coopére-
raient avec les troupes belges à la défense
de la petite portion de la Belgique qui reste
encore aux mains du roi Albert, et qui les
aideraient à reconquérir leur pays, voilà
une chose que les Etats-Unis devraient con-
sidérer comme un devoir moral. Quoi qu'on
puisse penser des buts de guerre des autres
belligérants, la question belge est telle que
les avis à son égard ne peuvent être parta-
gés, et la libération de la Belgique est le
devoir du monde tout entier. — (Ed.) New
York Tribune, 243.
— Si nous taisons la guerre, il nous fau-
dra combattre. Les Etats-Unis ne peuvent
se contenter d'être un dépôt de matériel
pour les Alliés. Le Canada s'est saigné à
blanc pour envoyer sa population mascu-
line dans les Flandres. Les enrôlements
continuent. De nouveaux contingents sont
envoyés à l'étranger. Nous ne 'pouvons
nous abriter derrière le Canada. Le souci
de notre dignité nous l'interdit. Si la pré-
sence des Canadiens est nécessaire en Eu-
rope, la nôtre l'est aussi. Cette guerre est
autant la nôtre que celle du Canada. Nous
avons le même intérêt que le Canada à ce
que l'Allemagne soit battue. Il nous faut
donc prendre à la guerre la même part que
lui. — (Ed.) Chicago Tribune, id.
——— e ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Espagne. -- La Gaceta [journal officiel].
publie une ordonnance royale, interdisant
l'exportation du riz. — Diluvio, 23.4.
MARINE MARCHANDE
Italie. — Pour éviter une concurrence
qui ferait sans aucun doute hausser indû-
ment les prix d'achat des navires à vapeur,
le ministère des Transports maritimes et
ferroviaires a décidé ce qui suit : « Les ac-
quisitions de navires étrangers ne pourront
être faites par des sujets italiens qu'après.
autorisation par le ministère des Trans-
ports (Commission centrale du trafic mari-
time), aussi bien pour les navires en cons-
truction que pour les autres. Toutes tracta-
tions en cours doivent être immédiatement
dénoncées. — Resto del Carlino, 23.4.
— La Commission des prises de- Grado a
déclaré légitime et a validé la capture des
vapeurs Cervignano et Fïiuli, ancrés dans
le port de Grado, sous pavillon allemand.
au moment de l'occupation du Frioul orien-
tal et du littoral de Grado. — Id., 24.4.
FINANCES
Allemagne. — Notre dernier emprunt
nous a rapporté 12.770.000.000 de mks. C'est
un record. Nous portons ainsi le total de
nos emprunts de guerre à 60 milliards de
marks, alors que l'Angleterre n'a pu jus-
qu'ici recueillir que 40 milliards et la
France 20 milliards de marks. Nous ras-
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