Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-04-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 avril 1917 23 avril 1917
Description : 1917/04/23 (T6,N418). 1917/04/23 (T6,N418).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484916k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
!lSTÈI\ES DE LA GUERRE
- (E.-M.-A.; 2* Bau)
L7 DES
FFAlftES 'ÉTRANGÈRES
N° 418
Paris, 23 avril 1917.
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1 CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
p CRITIQUÈ DES OPERATIONS
0cc*dent al. — La récente offensive
en Champagne présente deux ca-
ractéristiques remarquables. D'abord, elle
a off^^Rl°e*ns s de surprise que toutes les
toins de surprise que toutes les
Tout - Précédentes menées sur un vaste
trotit ; IlIBrInemi était prêt en canons et en
- Ln outre, les positions allemandes
etaierit s Pelldu UVent dissimulées par les bois sus-
NUs coteaux qui s'élèvent abrupts
Il ter de l'Aisne, si bien que, même après
ter^hi bombardement de dix jours, la
trlellt patlon d'artillerie n'était probable-
ta.ble. Dae aussi complète qu'il eût été dési-
rabie Au"Ili les succès français sont-ils
PlutAt 4 la valeur de l'infanterie qu'à
tritde l'artillerie ; c'est là peut-être
fi ^it io Pilus satisfaisant, et le plus signi-
J^tif x
r~s a fois, des excellents résultats
rl Poursuivant leurs succès, les
I? /^Çais auront sans doute, assez long-
siî!^s> à x-^Pter surtout sur leurs fantas-
fih- la sUriorité dont ceux-ci ont témoi-
eri p
vtach ce de j, e première phase, où la résis-
a]peup .^n-emi avait son maximum de
Jler en doit, seIon toute vraisemblance,
en 18 accentuant encore. - Glasgow
Ilitr 18 £ -
eff e l':;:' il y a lieu de penser avec quel-
d arts (le que si une grande partie des
]ee la gUeOIYlPlis sur le théâtre occidental
S P,Paient portés ailleurs — sur
us et nos alliés serions déjà
V Sllr le territoire de l'ennemi,
la. ls il este. no loin de ses points vitaux.
Inutile de revenir sur le passé.
ist oCCid eTPête s'étant déchaînée sur le
forte Geedelltal, il vaut mieux qu'elle per-
"01/ ab. nat, ■avec le maximum d'el-
fort atl§ la irecti°A prise, plutôt que de
fe e!,t été r - sur une autre direction
i A1 E t. ~^Jciravant, plus opportune. —
ti aNs î011^ Gi°m. d'Italia, 19.4.
bin éw-elques semaines, Saint-Quen-
ti,' lai démoli 'par les canons fran-
slr\¡{rq à. êTêrne, eh ruines, cette ville con-
*Nr» re d une très grande valeur
tN iJis i3uhMr- l^mée impériale. Sous
a ,1.1D.e tns par la mitraille, il y
n ! 11 éu îort&r
ler ?entairp ®se- Des raisons de discré-
rle elit re ne nous permettent pas de
eV¡¡cl tLv tage des secrets que recèle la-
s W fwe -
• Ces secrets, les
téiv^és ,es iJJ^ °Jent ; les troupes alle-
~t le miracle de travailler
01S' sans que les habi-
rÙille 1. 1.8 - Du sae-ilt soupçonner ce qu'elles
aie rit. rv
e Quand viendra la paix, les
Saint-Quentin produiront le mê-
bel o11s ment que la vue des temples des
^brN^ s 011 la \q 6Cr^.P^0n de la tour de
;' Ua : « Avec les trou-
* s eern i retraite n) A B C, 16.4.
— Le communiqué du 18 renforce l'im-
pression favorable, éveillée par le commu-
niqué du 17 au soir. La situation à l'Ouest
n'est pas seulement bonne, elle est très
bonne. Clausewitz l'a dit : une offensive
qui est arrêtée est manquée ; nous pouvons
donc considérer que la première partie des
batailles d'Arras, de l'Aisne et de Cham-
pagne a été gagnée par nous. Hindenburg
mène une guerre défensive d'après une
méthode nouvelle qui met à profit les ex-
périences de la guerre, de positions et de
la guerre de mouvement : elle consiste à
résister en se déplaçant à l'intérieur d'un
système de positions soigneusement éche-
lonnées. — Occupation des tranchées avan-
cées, exposées au feu roulant, par des ef-
fectifs peu nombreux ; recul élastique, ar-
rêt des attaques d'infanterie devant des
positions habilement fortifiées, et contre-
attaques efficaces en temps opportun et à
l'endroit voulu. Le résultat est le suivant :
perte peu importante de terrain, diminution
des pertes d'hommes et arrêt de l'offen-
sive en une bataille d'infanterie extraor-
dinairemnt brève : les assauts anglais ont
été mis en échec au bout de quelques jours
et les attaques françaises dès le premier
jour de l'offensive. C'est pourquoi nous
pouvons formuler ce jugement qui, au-
trefois, aurait pu être suspect d'optimisme :
la bataille est gagnée ; elle n'est pas en-
core terminée, des déplacements de notre
ligne sont encore possibles; mais le moment
le plus dangereux est passé. Il est possi-
ble aujourd'hui de désigner plus exacte-
ment le plan ennemi : il s'agissait de pér-
cer sur l'Aisne (ligne Craonne, Berry-au-
Bac, Bétheny) et en Champagne près d'Au-
berive ; le front allemand devait être ainsi
rompu au nord-est de Reims ; et l'offensive
française, correspondant à l'offensive
anglaise d'Arras, devait envelopper notre
nouvelle position « Siegfried. » Un plan de
grande envergure, bien conçu, mais qui a
complètement échoué. — Franki. Ztg., 19-4.
— Laon, 18 avril : Après une préparation
d'artillerie qui dura 10 jours, les Français,
blancs, jaunes et noirs, renforcés en un
endroit par des brigades russes, passèrent
à l'attaque, le 16 au matin. Déjà la prépa-
ration d'artillerie n'avait pas eu le succès
attendu ; de puissantes batteries alleman-
des firent taire les canons ennemis, et
deux divisions françaises souffrirent de
notre bombardement, au point qu'elles du-
rent être retirées du front avant l'attaque.
Les Français, sans cesse sous notre feu,
pénétrèrent en beaucoup d'endroits de no-
tre première ligne ; mais celle-ci n'était pas
rompue ; elle avait été repliée, et soudain
nos troupes s'avancèrent à nouveau chas-
sant l'ennemi, le poursuivant même jus-
que dans ses propres positions. La bataille
actuelle ne ressemble pas aux combats
précédents de la guerre de positions ; des
prisonniers français ont été faits à plu-
sieurs kilomètres derrière le front fran-
çais, au moment de nos contre-attaques,
et, hier matin, à 12 kilomètres environ
derrière le front allemand, nos soldats, ont
fait prisonniers un capitaine avec 5 hom-
mes, composant le reste de sa compagnie,
qui s'étaient égarés après avoir perdu con-
tact avec le commandement. Cette mobi-
lité du front ne -j)ermet pas d'indiquer les
endroits où l'ennemi a atteint notre posi-
tion avancée et ceux où il a été repoussé.
Tous les prisonniers français ont déclaré
qu'on avait compté, dès le premier jour,
sur une percée large et profonde, et qu'on
leur - avait aussi affirmé que cette bataille
apporterait la grande décision. Nos troupes
n'ignorent pas non plus l'importance de
l'heure présente ; dans aucune des grandes
batailles livrées sur le front occidental, Je
moral de nos soldats ne fut meilleur, et
leur confiance plus absolue. (Scheuermann)
Leipz. Nst. Nach., 19.4.
EFFECTIFS
On ignore généralement qu'un grand nom-
bre d'Islandais habitent le Canada. Leur
émigration date de la première décade du
siècle dernier. Ils ont fait souche dans la
province de Manitoba et représentent au-
jourd'hui une colonie d'environ 30.000 âmes,
ayant conservé ses traditions et sa langue.
Les plus grands journaux islandais pa-
raissent au Canada ; le principal est le
Logberg. [La montagne de la loi]. Une forte
proportion de ces Islandais s'est enrôlée
dans l'armée canadienne ; et c'est ainsi
qu'environ 2.000 d'entre eux se battent, à
l'heure actuelle, contre les Allemands sur
le front français. — Nationaltidende dan.),
25.3.
——— le ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
Suède. — De Stockholm, 2.4 : Le mi-
nistre de l'Intérieur, M. von Sydow, a con-
firmé aux Dagens Nyheter qu'il n'y aura
pas cette année d'heure d'été en Suède..
Cette idée a été abandonnée à cause de l'op-
position faite, surtout par le Danemark,
mais aussi par la Norvège. — Tidens
Tegn, 3.4.
COMMERCE EXTERIEUR
Espagne. — Le ministre des Affaires
étrangères avise les gouverneurs de pro-
vince qu'à la suite des négociations pour-
suivies avec le Gouvernement allemand.
celui-ci déclare avoir donné les ordres né-
cessaires pour que les navires espagnols
qui transportent exclusivement des fruits,
destinés à des ports neutres ou belligérants
non compris dans les zones de guerre, y
compris, par conséquent, ceux de la côte
française situés à l'ouest de la pointe Espi-
guette, soient respectés par les forces nava-
les de l'Empire, aux conditions suivantes :
1° que le Gouvernement espagnol garan-
tisse que chaque navire fruitier ne porte
- (E.-M.-A.; 2* Bau)
L7 DES
FFAlftES 'ÉTRANGÈRES
N° 418
Paris, 23 avril 1917.
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1 CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
p CRITIQUÈ DES OPERATIONS
0cc*dent al. — La récente offensive
en Champagne présente deux ca-
ractéristiques remarquables. D'abord, elle
a off^^Rl°e*ns s de surprise que toutes les
toins de surprise que toutes les
Tout - Précédentes menées sur un vaste
trotit ; IlIBrInemi était prêt en canons et en
- Ln outre, les positions allemandes
etaierit s
NUs coteaux qui s'élèvent abrupts
Il ter de l'Aisne, si bien que, même après
ter^hi bombardement de dix jours, la
trlellt patlon d'artillerie n'était probable-
ta.ble. Dae aussi complète qu'il eût été dési-
rabie Au"Ili les succès français sont-ils
PlutAt 4 la valeur de l'infanterie qu'à
tritde l'artillerie ; c'est là peut-être
fi ^it io Pilus satisfaisant, et le plus signi-
J^tif x
r~s a fois, des excellents résultats
rl Poursuivant leurs succès, les
I? /^Çais auront sans doute, assez long-
siî!^s> à x-^Pter surtout sur leurs fantas-
fih- la sUriorité dont ceux-ci ont témoi-
eri p
vtach ce de j, e première phase, où la résis-
a]peup .^n-emi avait son maximum de
Jler en doit, seIon toute vraisemblance,
en 18 accentuant encore. - Glasgow
Ilitr 18 £ -
eff e l':;:' il y a lieu de penser avec quel-
d arts (le que si une grande partie des
]ee la gUeOIYlPlis sur le théâtre occidental
S P,Paient portés ailleurs — sur
us et nos alliés serions déjà
V Sllr le territoire de l'ennemi,
la. ls il este. no loin de ses points vitaux.
Inutile de revenir sur le passé.
ist oCCid eTPête s'étant déchaînée sur le
forte Geedelltal, il vaut mieux qu'elle per-
"01/ ab. nat, ■avec le maximum d'el-
fort atl§ la irecti°A prise, plutôt que de
fe e!,t été r - sur une autre direction
i A1 E t. ~^Jciravant, plus opportune. —
ti aNs î011^ Gi°m. d'Italia, 19.4.
bin éw-elques semaines, Saint-Quen-
ti,' lai démoli 'par les canons fran-
slr\¡{rq à. êTêrne, eh ruines, cette ville con-
*Nr» re d une très grande valeur
tN iJis i3uhMr- l^mée impériale. Sous
a ,1.1D.e tns par la mitraille, il y
n ! 11 éu îort&r
ler ?entairp ®se- Des raisons de discré-
rle elit re ne nous permettent pas de
eV¡¡cl tLv tage des secrets que recèle la-
s W fwe -
• Ces secrets, les
téiv^és ,es iJJ^ °Jent ; les troupes alle-
~t le miracle de travailler
01S' sans que les habi-
rÙille 1. 1.8 - Du sae-ilt soupçonner ce qu'elles
aie rit. rv
e Quand viendra la paix, les
Saint-Quentin produiront le mê-
bel o11s ment que la vue des temples des
^brN^ s 011 la \q 6Cr^.P^0n de la tour de
;' Ua : « Avec les trou-
* s eern i retraite n) A B C, 16.4.
— Le communiqué du 18 renforce l'im-
pression favorable, éveillée par le commu-
niqué du 17 au soir. La situation à l'Ouest
n'est pas seulement bonne, elle est très
bonne. Clausewitz l'a dit : une offensive
qui est arrêtée est manquée ; nous pouvons
donc considérer que la première partie des
batailles d'Arras, de l'Aisne et de Cham-
pagne a été gagnée par nous. Hindenburg
mène une guerre défensive d'après une
méthode nouvelle qui met à profit les ex-
périences de la guerre, de positions et de
la guerre de mouvement : elle consiste à
résister en se déplaçant à l'intérieur d'un
système de positions soigneusement éche-
lonnées. — Occupation des tranchées avan-
cées, exposées au feu roulant, par des ef-
fectifs peu nombreux ; recul élastique, ar-
rêt des attaques d'infanterie devant des
positions habilement fortifiées, et contre-
attaques efficaces en temps opportun et à
l'endroit voulu. Le résultat est le suivant :
perte peu importante de terrain, diminution
des pertes d'hommes et arrêt de l'offen-
sive en une bataille d'infanterie extraor-
dinairemnt brève : les assauts anglais ont
été mis en échec au bout de quelques jours
et les attaques françaises dès le premier
jour de l'offensive. C'est pourquoi nous
pouvons formuler ce jugement qui, au-
trefois, aurait pu être suspect d'optimisme :
la bataille est gagnée ; elle n'est pas en-
core terminée, des déplacements de notre
ligne sont encore possibles; mais le moment
le plus dangereux est passé. Il est possi-
ble aujourd'hui de désigner plus exacte-
ment le plan ennemi : il s'agissait de pér-
cer sur l'Aisne (ligne Craonne, Berry-au-
Bac, Bétheny) et en Champagne près d'Au-
berive ; le front allemand devait être ainsi
rompu au nord-est de Reims ; et l'offensive
française, correspondant à l'offensive
anglaise d'Arras, devait envelopper notre
nouvelle position « Siegfried. » Un plan de
grande envergure, bien conçu, mais qui a
complètement échoué. — Franki. Ztg., 19-4.
— Laon, 18 avril : Après une préparation
d'artillerie qui dura 10 jours, les Français,
blancs, jaunes et noirs, renforcés en un
endroit par des brigades russes, passèrent
à l'attaque, le 16 au matin. Déjà la prépa-
ration d'artillerie n'avait pas eu le succès
attendu ; de puissantes batteries alleman-
des firent taire les canons ennemis, et
deux divisions françaises souffrirent de
notre bombardement, au point qu'elles du-
rent être retirées du front avant l'attaque.
Les Français, sans cesse sous notre feu,
pénétrèrent en beaucoup d'endroits de no-
tre première ligne ; mais celle-ci n'était pas
rompue ; elle avait été repliée, et soudain
nos troupes s'avancèrent à nouveau chas-
sant l'ennemi, le poursuivant même jus-
que dans ses propres positions. La bataille
actuelle ne ressemble pas aux combats
précédents de la guerre de positions ; des
prisonniers français ont été faits à plu-
sieurs kilomètres derrière le front fran-
çais, au moment de nos contre-attaques,
et, hier matin, à 12 kilomètres environ
derrière le front allemand, nos soldats, ont
fait prisonniers un capitaine avec 5 hom-
mes, composant le reste de sa compagnie,
qui s'étaient égarés après avoir perdu con-
tact avec le commandement. Cette mobi-
lité du front ne -j)ermet pas d'indiquer les
endroits où l'ennemi a atteint notre posi-
tion avancée et ceux où il a été repoussé.
Tous les prisonniers français ont déclaré
qu'on avait compté, dès le premier jour,
sur une percée large et profonde, et qu'on
leur - avait aussi affirmé que cette bataille
apporterait la grande décision. Nos troupes
n'ignorent pas non plus l'importance de
l'heure présente ; dans aucune des grandes
batailles livrées sur le front occidental, Je
moral de nos soldats ne fut meilleur, et
leur confiance plus absolue. (Scheuermann)
Leipz. Nst. Nach., 19.4.
EFFECTIFS
On ignore généralement qu'un grand nom-
bre d'Islandais habitent le Canada. Leur
émigration date de la première décade du
siècle dernier. Ils ont fait souche dans la
province de Manitoba et représentent au-
jourd'hui une colonie d'environ 30.000 âmes,
ayant conservé ses traditions et sa langue.
Les plus grands journaux islandais pa-
raissent au Canada ; le principal est le
Logberg. [La montagne de la loi]. Une forte
proportion de ces Islandais s'est enrôlée
dans l'armée canadienne ; et c'est ainsi
qu'environ 2.000 d'entre eux se battent, à
l'heure actuelle, contre les Allemands sur
le front français. — Nationaltidende dan.),
25.3.
——— le ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
Suède. — De Stockholm, 2.4 : Le mi-
nistre de l'Intérieur, M. von Sydow, a con-
firmé aux Dagens Nyheter qu'il n'y aura
pas cette année d'heure d'été en Suède..
Cette idée a été abandonnée à cause de l'op-
position faite, surtout par le Danemark,
mais aussi par la Norvège. — Tidens
Tegn, 3.4.
COMMERCE EXTERIEUR
Espagne. — Le ministre des Affaires
étrangères avise les gouverneurs de pro-
vince qu'à la suite des négociations pour-
suivies avec le Gouvernement allemand.
celui-ci déclare avoir donné les ordres né-
cessaires pour que les navires espagnols
qui transportent exclusivement des fruits,
destinés à des ports neutres ou belligérants
non compris dans les zones de guerre, y
compris, par conséquent, ceux de la côte
française situés à l'ouest de la pointe Espi-
guette, soient respectés par les forces nava-
les de l'Empire, aux conditions suivantes :
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