Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-04-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 avril 1917 09 avril 1917
Description : 1917/04/09 (T6,N404). 1917/04/09 (T6,N404).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6484902j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
MINISTÈRES DE LA GUERRE
(E.-M.-A., 2" Bau)
ET DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 404
Paris, 9 avril 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
Qd ETIONS MILITAIRES
CRITIQUE DES OPERATIONS
Front occidental. — Nos troupes ont uti-
lié le terrain pour arrêter l'ennemi par de
Coureuses contre-offensives ; lorsqu'elles
s'e retirent après avoir remporté un succès
J^al, parce qu'elles ont l'ordre de ne pas
engager trop avant, les informations fran-
cises et anglaises annoncent une défaite
de nos contingente. Ces mêmes informa-
is tendent à présenter le recul alle-
Illand comme nécessité par la pression des
orces alliées, mais les observateurs neu-
trpes ne s'y laissent pas prendre. Le moral
tenue de nos troupes dans CE com-
fats d'arrière-gardes sont, d'après tous les
bémoins oculaires, tout à fait remarqua-
les; nos soldats sont heureux de com-
battre dans une guerre nouvelle de mouve-
rnl'rlt et d'être délivrés des liens qui leur
étaient imposés par la guerre de tran-
ch.es; ils sont pénétrés de ce sentiment
qu Ils reculent uniquement par ordre et
non sous l'influence de la volbnté ennemie.
l ne retraite est toujours une épreuve pour
le ra* d'une troupe, et seule une troupe
allhée d'une confiance aveugle, et douée
Une cohésion de fer peut la supporter
aos dommage. Le succès a montré que
tre commandement ne s'était pas trom-
vi-e, - — Kôln. Ztg., 3.4.
f - Enrtre Arras et l'Aisne, la lutte con-
Ul-Ue. Des combats importants ont été li-
vrée près de Croisilles, près de la route
/tlS-Gouzeaucourt, dans la région, de Sa-
v y: sur les deux rives dé la Somme ainsi
QuSnnord de Soissons. En tous ces points,
les attaques françaises et anglaises furent
exOUssées avec des pertes. La situation,
extrHULement difficile et même dangereuse,
où c t,rouvent maintenant les Français et
les se trouvent maintenant les Français et
aUe^u Sl par suite du repli allemand, est
attestée par les plaintes constantes au su-
jet des destructions allemandes et par les
l'lcles inquiets des critiques militaires qui
M Olhmandent la plus grande prudence.
Ni "Igré cette manœuvre, soi-disant imposée
Par i'p :ente' les Allemands ont, au cours
du dernier mois sur le front occidental,
sst 2,900 prisonniers et pris 59 mitrailleu-
cru' En face de ce résultat, les communi-
la é français et anglais n'annoncent pour
môrv6 période pas même la moitié du
1.4bre. de nos prisonniers, notamment
leu prIsonniers, et un butin de 39 mitrail-
ses. Sur tous les fronts. les Allemands
leur alliés firent 6.900 prisonniers et pri-
fent TU mHrailleuses. En Champagne, les
grfl ats continuent au sud de Ripont ; une
combats °°ntmuent au sud de Ripont ; une
sa nde contre-attaque française échoua
Sous nos feux. Nordd. Allg. zt9; id.
tiVité Malgré le vent et les averses, l'ac-
rra de l'aviation a été grande sur le
'vité h ei i. aYlation a grande sur le
front ocridenta1. La supériorité allemande
Iirs due en Première ligne à la
SuPéHnrru'iê des pilotes et des observateurs,
ne ressort pas seulement du nombre
d'avions abattus, mais encore des opéra-
tions réussies par les nôtres et des obs-
tacles apportés aux reconnaissances aérien-
nes de l'ennemi. C'est ainsi que nos avia-
teurs nous signalèrent des rassemblements
de troupes près de Savy et de Roupy, ras-
semblements qui furent pris sous notre
feu. D'après les prisonniers, les pertes ont
été extrêmement lourdes. L'attaque, déjà
préparée par l'artillerie, ne se produisit
pas. Sur tout le front, entre Arras et
Soissons, les avant-gardes françaises et an-
glaises furent repoussées avec pertes. Fran-
çais et Anglais attaquèrent ensemble, con-
tre la ligne Francilly—Dallon ; ils subirent
de grandes pertes sous notre bombarde-
ment et dans les combats corps à corps.
De même échouèrent les attaques répétées
contre l'Epine de Dallon ; les attaques ten-
tées des deux côtés de la route Bapaume-
Cambrai et près de Neuville eurent le mê-
me sort. — Nordd. Allg. Ztg., 4.4.
— Je n'ai vu personne qui n'ait ressenti
de la douleur en voyant s'abîmer Coucy-le-
Château. Car nous sommes ainsi faits, nous
autres Allemands. A peine étions-nous maî-
tres du château, que nous avions procédé
à sa réfection. Jamais la France n'a fait
autant pour ces ruines que nos soldats.
Mais du jour où la France a repoussé
avec sarcasme nos offres de paix et que
Coucy a été placé dans la nouvelle zone
de guerre, il ne devait plus être permis
à l'ennemi de se servir d'un poste d'obser-
vation qui commandait jusqu'à Laon, ni de
casemates épaisses de sept mètres. Une
tour de 64 mètres de hauteur vaut bien
son prix. Si la France veut la reconstruire,
elle pourra mettre à profit nos travaux
scientifiques. Pour le moment et puisqu'elle
veut à tout prix continuer la guerre, la vie
de n'importe quel soldat allemand nous
est plus précieuse que tous les monuments
historiques de nos ennemis. Le seul fait
à considérer, c'est que les Français ne
trouveront plus d'abri dans les sous-sols
fortifiés de Coucy. Toutes les ruines du
monde ne valent pas la vie d'un seul fils
né d'une mère allemande. — (Scheuermann)
Deutsche Tagesztg., id.
Guerre sous-marine. — Déclarations fai-
tes à Baltimore par un officier d'un na-
vire marchand anglais, dont le nom est
tenu secret : « Contrairement à l'opinion
répandue aux Etats-Unis que l'Angleterre
n'a qu'un petit nombre de sous-marins, une
flotte importante de ces navires se livre
sans cesse à des opérations actives. La mê-
me chose est vraie de la Russie. Un grand
nombre est actuellement dans la Baltique.
Ils feront plus pour assurer le succès de
la prochaine offensive alliée que tout au-
tre procédé d'attaque. Il y a actuellement
dans la Baltique trop de glaces pour qu'ils
puissent opérer, mais, quand les eaux re-
deviendront libres, il faut s'attendre à voir
le ravitaillement de l'Allemagne complète-
ment arrêté. De même, j'entends les gens
dire que nous sommes incapables de faire
face à la menace sous-marine. Les gens
sont mal renseignés. Plus de 150 sous-
marins allemands ont été détruits rien que
par des navires marchands, sang'rien dire
de ceux pris dans les filets ou coulés par
notre flotte de guerre. » - New York
Times, 4.3.
MATERIEL
France. — Venant de France, le capi-
taine Granville Fortescue déclare, à son
arrivée à New-York, que l'armée française
a récemment mis en service un canon de
520 dont les effets destructeurs sont terri-
bles. Alors que les canons lourds alle-
mands doivent être montés sur une plate-
forme, le nouveau canon français est mon-
té sur un camion automobile et peut tirer
sans qu'on procède à une installation spé-
ciale. — New York American, 3.3.
Japon. — Le Gouvernement américain a
été informé qu'une fabrique de munitions
japonaise est en pleine activité près de
Manzanillo, sur la côte occidentale du
Mexique. — Ibid.
ORGANISATION
Coopération des Alliés. — Il n'est guère
facile de connaître le résultat des conver-
sations de notre Gouvernement avec les
Alliés, du ministre Bissolati avec les Ca-
binets de Paris et de Londres, du général
Cadorna avec le général Robertson. Mais
nous sommes sûrs que les Gouvernements
ont concerté leur plan d'action en vue de
hâter la fin de la guerre et d'intensifier les
opérations décisives, qu'il s'agisse d'opéra-
tions défensives dans un secteur, quel qu'il
soit, où le péril d'une pression des armées
ennemies serait particulièrement mena-
çant. ou qu'il s'agisse d'opérations offensi-
ves, dans tout autre secteur. [Censure]. --
Messaggero, 4.4.
——— 0- ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Russie. — Le comité de la Chambre rus-
se du commerce d'exportation a reçu de son
représentant à Copenhague, M. K Léïtiès,
un long et intéressant rapport sur la néces-
sité de réorganiser les agences du commer-
ce russe à l'étranger. « Le commerce exté-
rieur, écrit M. Léïtiès, est la question essen-
tielle de notre économie politique et il est
évident que son importance dépendra sur-
tout de la régularisation de nos échanges
avec l'étranger. La guerre a soulevé toute
une série de questions d'organisation, dont
dépend l'amélioration de nos relations com-
merciales. Le monde commerçant russe ne
connaît. que trop l'insuffisance de notre per-
sonnel consulaire, la guerre nous en a
donné maintes preuves. Nos exportateurs
souhaiteraient que nos consulats fussent, à
l'exemple des consulats américains, des
points d'appui pour le commerce extérieur,
(E.-M.-A., 2" Bau)
ET DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 404
Paris, 9 avril 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
Qd ETIONS MILITAIRES
CRITIQUE DES OPERATIONS
Front occidental. — Nos troupes ont uti-
lié le terrain pour arrêter l'ennemi par de
Coureuses contre-offensives ; lorsqu'elles
s'e retirent après avoir remporté un succès
J^al, parce qu'elles ont l'ordre de ne pas
engager trop avant, les informations fran-
cises et anglaises annoncent une défaite
de nos contingente. Ces mêmes informa-
is tendent à présenter le recul alle-
Illand comme nécessité par la pression des
orces alliées, mais les observateurs neu-
trpes ne s'y laissent pas prendre. Le moral
tenue de nos troupes dans CE com-
fats d'arrière-gardes sont, d'après tous les
bémoins oculaires, tout à fait remarqua-
les; nos soldats sont heureux de com-
battre dans une guerre nouvelle de mouve-
rnl'rlt et d'être délivrés des liens qui leur
étaient imposés par la guerre de tran-
ch.es; ils sont pénétrés de ce sentiment
qu Ils reculent uniquement par ordre et
non sous l'influence de la volbnté ennemie.
l ne retraite est toujours une épreuve pour
le ra* d'une troupe, et seule une troupe
allhée d'une confiance aveugle, et douée
Une cohésion de fer peut la supporter
aos dommage. Le succès a montré que
tre commandement ne s'était pas trom-
vi-e, - — Kôln. Ztg., 3.4.
f - Enrtre Arras et l'Aisne, la lutte con-
Ul-Ue. Des combats importants ont été li-
vrée près de Croisilles, près de la route
/tlS-Gouzeaucourt, dans la région, de Sa-
v y: sur les deux rives dé la Somme ainsi
QuSnnord de Soissons. En tous ces points,
les attaques françaises et anglaises furent
exOUssées avec des pertes. La situation,
extrHULement difficile et même dangereuse,
où c t,rouvent maintenant les Français et
les se trouvent maintenant les Français et
aUe^u Sl par suite du repli allemand, est
attestée par les plaintes constantes au su-
jet des destructions allemandes et par les
l'lcles inquiets des critiques militaires qui
M Olhmandent la plus grande prudence.
Ni "Igré cette manœuvre, soi-disant imposée
Par i'p :ente' les Allemands ont, au cours
du dernier mois sur le front occidental,
sst 2,900 prisonniers et pris 59 mitrailleu-
cru' En face de ce résultat, les communi-
la é français et anglais n'annoncent pour
môrv6 période pas même la moitié du
1.4bre. de nos prisonniers, notamment
leu prIsonniers, et un butin de 39 mitrail-
ses. Sur tous les fronts. les Allemands
leur alliés firent 6.900 prisonniers et pri-
fent TU mHrailleuses. En Champagne, les
grfl ats continuent au sud de Ripont ; une
combats °°ntmuent au sud de Ripont ; une
sa nde contre-attaque française échoua
Sous nos feux. Nordd. Allg. zt9; id.
tiVité Malgré le vent et les averses, l'ac-
rra de l'aviation a été grande sur le
'vité h ei i. aYlation a grande sur le
front ocridenta1. La supériorité allemande
Iirs due en Première ligne à la
SuPéHnrru'iê des pilotes et des observateurs,
ne ressort pas seulement du nombre
d'avions abattus, mais encore des opéra-
tions réussies par les nôtres et des obs-
tacles apportés aux reconnaissances aérien-
nes de l'ennemi. C'est ainsi que nos avia-
teurs nous signalèrent des rassemblements
de troupes près de Savy et de Roupy, ras-
semblements qui furent pris sous notre
feu. D'après les prisonniers, les pertes ont
été extrêmement lourdes. L'attaque, déjà
préparée par l'artillerie, ne se produisit
pas. Sur tout le front, entre Arras et
Soissons, les avant-gardes françaises et an-
glaises furent repoussées avec pertes. Fran-
çais et Anglais attaquèrent ensemble, con-
tre la ligne Francilly—Dallon ; ils subirent
de grandes pertes sous notre bombarde-
ment et dans les combats corps à corps.
De même échouèrent les attaques répétées
contre l'Epine de Dallon ; les attaques ten-
tées des deux côtés de la route Bapaume-
Cambrai et près de Neuville eurent le mê-
me sort. — Nordd. Allg. Ztg., 4.4.
— Je n'ai vu personne qui n'ait ressenti
de la douleur en voyant s'abîmer Coucy-le-
Château. Car nous sommes ainsi faits, nous
autres Allemands. A peine étions-nous maî-
tres du château, que nous avions procédé
à sa réfection. Jamais la France n'a fait
autant pour ces ruines que nos soldats.
Mais du jour où la France a repoussé
avec sarcasme nos offres de paix et que
Coucy a été placé dans la nouvelle zone
de guerre, il ne devait plus être permis
à l'ennemi de se servir d'un poste d'obser-
vation qui commandait jusqu'à Laon, ni de
casemates épaisses de sept mètres. Une
tour de 64 mètres de hauteur vaut bien
son prix. Si la France veut la reconstruire,
elle pourra mettre à profit nos travaux
scientifiques. Pour le moment et puisqu'elle
veut à tout prix continuer la guerre, la vie
de n'importe quel soldat allemand nous
est plus précieuse que tous les monuments
historiques de nos ennemis. Le seul fait
à considérer, c'est que les Français ne
trouveront plus d'abri dans les sous-sols
fortifiés de Coucy. Toutes les ruines du
monde ne valent pas la vie d'un seul fils
né d'une mère allemande. — (Scheuermann)
Deutsche Tagesztg., id.
Guerre sous-marine. — Déclarations fai-
tes à Baltimore par un officier d'un na-
vire marchand anglais, dont le nom est
tenu secret : « Contrairement à l'opinion
répandue aux Etats-Unis que l'Angleterre
n'a qu'un petit nombre de sous-marins, une
flotte importante de ces navires se livre
sans cesse à des opérations actives. La mê-
me chose est vraie de la Russie. Un grand
nombre est actuellement dans la Baltique.
Ils feront plus pour assurer le succès de
la prochaine offensive alliée que tout au-
tre procédé d'attaque. Il y a actuellement
dans la Baltique trop de glaces pour qu'ils
puissent opérer, mais, quand les eaux re-
deviendront libres, il faut s'attendre à voir
le ravitaillement de l'Allemagne complète-
ment arrêté. De même, j'entends les gens
dire que nous sommes incapables de faire
face à la menace sous-marine. Les gens
sont mal renseignés. Plus de 150 sous-
marins allemands ont été détruits rien que
par des navires marchands, sang'rien dire
de ceux pris dans les filets ou coulés par
notre flotte de guerre. » - New York
Times, 4.3.
MATERIEL
France. — Venant de France, le capi-
taine Granville Fortescue déclare, à son
arrivée à New-York, que l'armée française
a récemment mis en service un canon de
520 dont les effets destructeurs sont terri-
bles. Alors que les canons lourds alle-
mands doivent être montés sur une plate-
forme, le nouveau canon français est mon-
té sur un camion automobile et peut tirer
sans qu'on procède à une installation spé-
ciale. — New York American, 3.3.
Japon. — Le Gouvernement américain a
été informé qu'une fabrique de munitions
japonaise est en pleine activité près de
Manzanillo, sur la côte occidentale du
Mexique. — Ibid.
ORGANISATION
Coopération des Alliés. — Il n'est guère
facile de connaître le résultat des conver-
sations de notre Gouvernement avec les
Alliés, du ministre Bissolati avec les Ca-
binets de Paris et de Londres, du général
Cadorna avec le général Robertson. Mais
nous sommes sûrs que les Gouvernements
ont concerté leur plan d'action en vue de
hâter la fin de la guerre et d'intensifier les
opérations décisives, qu'il s'agisse d'opéra-
tions défensives dans un secteur, quel qu'il
soit, où le péril d'une pression des armées
ennemies serait particulièrement mena-
çant. ou qu'il s'agisse d'opérations offensi-
ves, dans tout autre secteur. [Censure]. --
Messaggero, 4.4.
——— 0- ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Russie. — Le comité de la Chambre rus-
se du commerce d'exportation a reçu de son
représentant à Copenhague, M. K Léïtiès,
un long et intéressant rapport sur la néces-
sité de réorganiser les agences du commer-
ce russe à l'étranger. « Le commerce exté-
rieur, écrit M. Léïtiès, est la question essen-
tielle de notre économie politique et il est
évident que son importance dépendra sur-
tout de la régularisation de nos échanges
avec l'étranger. La guerre a soulevé toute
une série de questions d'organisation, dont
dépend l'amélioration de nos relations com-
merciales. Le monde commerçant russe ne
connaît. que trop l'insuffisance de notre per-
sonnel consulaire, la guerre nous en a
donné maintes preuves. Nos exportateurs
souhaiteraient que nos consulats fussent, à
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