Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-02-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 février 1917 15 février 1917
Description : 1917/02/15 (T5,N351). 1917/02/15 (T5,N351).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65032928
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2013
N° 351
DE LA GUERRE
lL-M-A. 2* Bau)
Er DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Paris, 15 février 1917
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
L at Occidental — Dê Rotterdam, il.z :
culminant de la campagne sous-
pr'al1t allemande doit coïncider avec une
::(lt'ntl uffensive allemande sur le front oe-
IO!j d' les sous-marins ayant pour mis-
il10'1 d arrêter le ravitaillement en muni-
<2. de armées britanniques. — Times,
fi CnpnQUE DES OPERATIONS
PtolQt()ccidental. — Les événements mi
le but de la cote 304 permettent de deviner
fr!t doc t regroupements qui ont eu lieu
slld l'Avitn^ et le cours de la Meuse au
JrJs (le V rdun" Des patrouilles envoyées
1-s ii es françaises en Alsace et en
Ifaille amreconnu que des mouvements
Sent r'aieht dans ces secteurs jusqu'à pré-
Sfî n e. calmes; nous avons naturelle-
Prpsse les mesures nécessaires. La
rne de nnemIe a souvent parlé d'une « ar-
là Ve » dans le sens d'une ré-
sior?^ strat^?uvre dans le sens d'une ré-
e ItratI, gique niobile,qui serait envoyée
là où l'on peut espérer obtenir une déci-
trr^1 n ,a jamais pu et ne pourra
iaThlais Pose^er une telle force, car les
pe (ju 1unique ennemi manœu-
ta ! Par
-extérieures et les difficul-
'esl'irilt-' ttotrp Z„e.seIVe stratégique, venant de
)lii erieUr
court m 1 v ra toujours le chemin le
bdJernie t, et l « armée de manœuvre »
,pn qUearIverait trop tard. Le froid,
r>éni! fut favorable à notre pré-
l¡rrnireot et les chemins devenus fermes
ir ip
Nt **hkï^ 1c0o-2 noiV^JP0* du matériel aux
bl., locentration. (Moraht) Berlin.
t
,/¡lef'S rlental. - Les petites offensives
v°Qits Pa^w^,Russes n'ont fait que pro-
ri contrat ^ttaques et n'ont atteint
lif'itlent t raIre de oe qu'elles recher-
lr%it t moral des troupes ennemies an
!v rj êtrp relevé se trouve sensible-
frC}f Ti en fut ainsi dans la région
"a et ân sud de la Bukovine. Sur le
n, les ennemis ont attaqué
Ner- 1 Près ées de la Casina et de la Su-
ft,'zef' à la s d'Oitoz : il- s'agissait de s'op-
« 2 si, pression des armées Kövess et
arm , voie de communication
l\a.ttrrnées lYlées du sud de la Bukovine et
le a ur la Putna et le Séreth. Mais
la.tz fl'ces eellollé et la pression subsiste.
nv,Cf^ :s eon^^I1 trées entre Ocna et Ga-
Pu entre Ocna et Ga-
J1 lie Pu faire reculer nos positions.
trJir M~er POllv rnd donc pas bien comment
e récemment que la vic-
tiùe fin ^le était Lassurée- réalité, la si-
31p" nnal était assurée. En réalité, la si.
r~"? esIe est très sombre ; le Gou-
ta JVf1^ ? est n£ r,f°^cuP'é par le danger in-
.s très éS on croit que le temps
u Utfp ^rv\ie Sn^ où la police, nouvel-
Il de mitrailleuses, commen-
<( antre-offensive » contre les
forces révolutionnaires. — (Moraht) Berlin.
Tagbl., 10.2.
Considérations d'ensemble. — Pour qui
se rend compte des préparatifs techniques
considérables que nécessite la guerre sous-
marine renforcée, il est clair que la déci-
sion de l'entreprendre a été prise il y a
longtemps. L'effet de surprise cherché par
les Allemands a été obtenu si l'on en juge
par le discours de M. Bonar Law, où il est
question de chercher de nouvelles méthodes
pour combattre les sous-marins. Il est vrai-
semblable que ceux-ci vont être réunis en
flottilles. La participation des Etats-Unis à
la guerre n'y changerait, pas grand'chose
pour le moment : l'exemple de l'Angleterre
montre qu'une grande armée ne se crée pas
en un jour. — Le front anglais en France
doit s'étendre sur 145 kilomètres. Il ne pa-
raît pas qu'il y ait encore un commande-
ment unique ; avant d'agir, il faut que les
deux généralissimes et les deux gouverne-
ments alliés soient d'accord : rien d'éton-
nant que la conduite de la guerre soit ren-
due par là très difficile. Sur le front orien-
tal, les Allemands signalent de grands mou-
vements de troupes russes ; en particulier
sur le Séreth inférieur ; est-ce pour atta-
quer en Valachie, ou pour parer à une
offensive austro-allemande ? L'avenir le di-
ra. — (Col. Egli) Basler Nachr., 11.2.
— Le ralentissement de l'avance alle-
mande en Roumanie indique que, dans cette
région aussi, on va bientôt passer de la
guerre de mouvement à la guerre de tran-
chées. Et la question se pose de savoir où
les Allemands feront leur prochain effort.
A l'Ouest ? Cela paraît peu probable quand
on se rappelle l'expérience de Verdun, et
aussi que Hindenburg appartient à l'école
orientale. Sera-ce donc sur le front de Sa-
lonique ? Sans doute les Allemands ne res-
teront pas entièrement inactifs de ce côté.
Mais ce n'est là en somme qu'un front se-
condaire. Le gros effort portera plutôt con-
tre le front russe, et, sur ce front, le sec-
teur compris entre l'embouchure du Stokhod
et le Séreth paraît être celui où une offen-
sive serait capable de produire le plus de
fruits. — (Critique militaire) New York
Times, 21.1.
MATERIEL
Etats-Unis. — M. Montraville. Wood a
expérimenté hier. à Pittsburg un type de
torpille sur le principe du détectaphone ;
cette torpille, dit l'inventeur, peut « enten-
dre » un navire à un mille et demi, quit-
ter son corps mort et passer à l'attaque.
Elle est capable d'atteindre une vitesse de
40 nœuds et de changer de direction pour
suivre les évolutions du navire et le re-
joindre. Le gouvernement des Etats-Unis
a fait l'acquisition de cette invention. —
(Frank Dilnot) Daily Chronicle, 12.2.
PERTES
Guerre aérienne. — D'après les chiffres
indiqués dans les communiqués allemands,
depuis le début de la guerre, ont été abat-
tus par les avions allemands et les forma-
tions de défense contre aéronefs plus de
1.000 avions ennemis, exactement, jusqu'à
fin janvier, 1.002. Ne sont compris dans
ce nombre que les avions anglais, fran-
çais et russes abattus sur les fronts oriental
et occidental. Nos succès dans les Balkans
n'entrent pas ici en ligne de compte. L'im-
portance de ce chiffre apparaît mieux en-
core quand on sait que ces 1.002 avions
correspondent à 167. escadrilles ennemies
(l'escadrille comptée pour 6 appareils).
1.700 aviateurs ennemis ont été mis hors
de combat et la valeur des appareils dé-
truits s'élève à 50 millions. Le total se dé-
compose comme suit :
1914/1915. 163 avions
1916 784 »
Janvier 1917 55 »
1.002 avions
Berlin. Tagbl., 11.2.
ESPIONNAGE
L'espionnage pour le service de l'Allema-
gne se pratique d'une manière scandaleuse
sur les côtes espagnoles. Dans la presse
catalane, on dénonce avec précision et en
citant les noms l'achat de benzine à Reus
par un sujet allemand, et son transport
sur la plage, entre Cambrils et Hospita-
let, où des canots l'attendaient. A Valence,
les gens du port voient tous les jours un
canot automobile monté par des Allemands
sortir le matin et rentrer à la tombée de
la nuit. On parlait hier à Tabernes d'un
Allemand qui fait des excursions mysté-
rieuses sur les hauteurs et émet des si-
gnaux lumineux. On ne s'explique pas que
l'un des navires allemands ancrés dans le
port ait le téléphone, à moins que ce ne
soit pour communiquer avec le consulat
d'Allemagne, dans le but de recevoir et de
transmettre des nouvelles se rapportant di-
rectement à la guerre maritime. Y a-t-il
enfin un poste de télégraphie sans fil dans
le monastère du Désert à Las Palmas, et
des Allemands et Autrichiens à Benicas-
sim ? Le gouverneur de Castellôn doit le
vérifier, car il s'agit de points stratégiques
importants, pour le ravitaillement des na-
vires ennemis. — Mercantil Valenciano,
cité par Pais, 9.2.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
BLOCUS
Il court des bruits, apparemment bien
fondés, que l'Allemagne construit une énor-
me quantité de sous-marins, grands et puis-
sants, et qu'elle augmente rapidement ses
équipages de sous-marins en service actif.
Il est donc raisonnable de supposer qu'il se
produira sous peu une accentuation mar-
quée de l'activité sous-marine en Atlanti-
que, en Méditerranée, dans la mer du Nord
et probablement aussi dans la mer Noire.
DE LA GUERRE
lL-M-A. 2* Bau)
Er DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Paris, 15 février 1917
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
L at Occidental — Dê Rotterdam, il.z :
culminant de la campagne sous-
pr'al1t allemande doit coïncider avec une
::(lt'ntl uffensive allemande sur le front oe-
IO!j d' les sous-marins ayant pour mis-
il10'1 d arrêter le ravitaillement en muni-
<2. de armées britanniques. — Times,
fi CnpnQUE DES OPERATIONS
PtolQt()ccidental. — Les événements mi
le but de la cote 304 permettent de deviner
fr!t doc t regroupements qui ont eu lieu
slld l'Avitn^ et le cours de la Meuse au
JrJs (le V rdun" Des patrouilles envoyées
1-s ii es françaises en Alsace et en
Ifaille amreconnu que des mouvements
Sent r'aieht dans ces secteurs jusqu'à pré-
Sfî n e. calmes; nous avons naturelle-
Prpsse les mesures nécessaires. La
rne de nnemIe a souvent parlé d'une « ar-
là Ve » dans le sens d'une ré-
sior?^ strat^?uvre dans le sens d'une ré-
e ItratI, gique niobile,qui serait envoyée
là où l'on peut espérer obtenir une déci-
trr^1 n ,a jamais pu et ne pourra
iaThlais Pose^er une telle force, car les
pe (ju 1unique ennemi manœu-
ta ! Par
-extérieures et les difficul-
'es
)lii erieUr
court m 1 v ra toujours le chemin le
bdJernie t, et l « armée de manœuvre »
,pn qUearIverait trop tard. Le froid,
r>éni! fut favorable à notre pré-
l¡rrnireot et les chemins devenus fermes
ir ip
Nt **hkï^ 1c0o-2 noiV^JP0* du matériel aux
bl., locentration. (Moraht) Berlin.
t
,/¡lef'S rlental. - Les petites offensives
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ri contrat ^ttaques et n'ont atteint
lif'itlent t raIre de oe qu'elles recher-
lr%it t moral des troupes ennemies an
!v rj êtrp relevé se trouve sensible-
frC}f Ti en fut ainsi dans la région
"a et ân sud de la Bukovine. Sur le
n, les ennemis ont attaqué
Ner- 1 Près ées de la Casina et de la Su-
ft,'zef' à la s d'Oitoz : il- s'agissait de s'op-
« 2 si, pression des armées Kövess et
arm , voie de communication
l\a.ttrrnées lYlées du sud de la Bukovine et
le a ur la Putna et le Séreth. Mais
la.tz fl'ces eellollé et la pression subsiste.
nv,Cf^ :s eon^^I1 trées entre Ocna et Ga-
Pu entre Ocna et Ga-
J1 lie Pu faire reculer nos positions.
trJir M~er POllv rnd donc pas bien comment
e récemment que la vic-
tiùe fin ^le était Lassurée- réalité, la si-
31p" nnal était assurée. En réalité, la si.
r~"? esIe est très sombre ; le Gou-
ta JVf1^ ? est n£ r,f°^cuP'é par le danger in-
.s très éS on croit que le temps
u Utfp ^rv\ie Sn^ où la police, nouvel-
Il de mitrailleuses, commen-
<( antre-offensive » contre les
forces révolutionnaires. — (Moraht) Berlin.
Tagbl., 10.2.
Considérations d'ensemble. — Pour qui
se rend compte des préparatifs techniques
considérables que nécessite la guerre sous-
marine renforcée, il est clair que la déci-
sion de l'entreprendre a été prise il y a
longtemps. L'effet de surprise cherché par
les Allemands a été obtenu si l'on en juge
par le discours de M. Bonar Law, où il est
question de chercher de nouvelles méthodes
pour combattre les sous-marins. Il est vrai-
semblable que ceux-ci vont être réunis en
flottilles. La participation des Etats-Unis à
la guerre n'y changerait, pas grand'chose
pour le moment : l'exemple de l'Angleterre
montre qu'une grande armée ne se crée pas
en un jour. — Le front anglais en France
doit s'étendre sur 145 kilomètres. Il ne pa-
raît pas qu'il y ait encore un commande-
ment unique ; avant d'agir, il faut que les
deux généralissimes et les deux gouverne-
ments alliés soient d'accord : rien d'éton-
nant que la conduite de la guerre soit ren-
due par là très difficile. Sur le front orien-
tal, les Allemands signalent de grands mou-
vements de troupes russes ; en particulier
sur le Séreth inférieur ; est-ce pour atta-
quer en Valachie, ou pour parer à une
offensive austro-allemande ? L'avenir le di-
ra. — (Col. Egli) Basler Nachr., 11.2.
— Le ralentissement de l'avance alle-
mande en Roumanie indique que, dans cette
région aussi, on va bientôt passer de la
guerre de mouvement à la guerre de tran-
chées. Et la question se pose de savoir où
les Allemands feront leur prochain effort.
A l'Ouest ? Cela paraît peu probable quand
on se rappelle l'expérience de Verdun, et
aussi que Hindenburg appartient à l'école
orientale. Sera-ce donc sur le front de Sa-
lonique ? Sans doute les Allemands ne res-
teront pas entièrement inactifs de ce côté.
Mais ce n'est là en somme qu'un front se-
condaire. Le gros effort portera plutôt con-
tre le front russe, et, sur ce front, le sec-
teur compris entre l'embouchure du Stokhod
et le Séreth paraît être celui où une offen-
sive serait capable de produire le plus de
fruits. — (Critique militaire) New York
Times, 21.1.
MATERIEL
Etats-Unis. — M. Montraville. Wood a
expérimenté hier. à Pittsburg un type de
torpille sur le principe du détectaphone ;
cette torpille, dit l'inventeur, peut « enten-
dre » un navire à un mille et demi, quit-
ter son corps mort et passer à l'attaque.
Elle est capable d'atteindre une vitesse de
40 nœuds et de changer de direction pour
suivre les évolutions du navire et le re-
joindre. Le gouvernement des Etats-Unis
a fait l'acquisition de cette invention. —
(Frank Dilnot) Daily Chronicle, 12.2.
PERTES
Guerre aérienne. — D'après les chiffres
indiqués dans les communiqués allemands,
depuis le début de la guerre, ont été abat-
tus par les avions allemands et les forma-
tions de défense contre aéronefs plus de
1.000 avions ennemis, exactement, jusqu'à
fin janvier, 1.002. Ne sont compris dans
ce nombre que les avions anglais, fran-
çais et russes abattus sur les fronts oriental
et occidental. Nos succès dans les Balkans
n'entrent pas ici en ligne de compte. L'im-
portance de ce chiffre apparaît mieux en-
core quand on sait que ces 1.002 avions
correspondent à 167. escadrilles ennemies
(l'escadrille comptée pour 6 appareils).
1.700 aviateurs ennemis ont été mis hors
de combat et la valeur des appareils dé-
truits s'élève à 50 millions. Le total se dé-
compose comme suit :
1914/1915. 163 avions
1916 784 »
Janvier 1917 55 »
1.002 avions
Berlin. Tagbl., 11.2.
ESPIONNAGE
L'espionnage pour le service de l'Allema-
gne se pratique d'une manière scandaleuse
sur les côtes espagnoles. Dans la presse
catalane, on dénonce avec précision et en
citant les noms l'achat de benzine à Reus
par un sujet allemand, et son transport
sur la plage, entre Cambrils et Hospita-
let, où des canots l'attendaient. A Valence,
les gens du port voient tous les jours un
canot automobile monté par des Allemands
sortir le matin et rentrer à la tombée de
la nuit. On parlait hier à Tabernes d'un
Allemand qui fait des excursions mysté-
rieuses sur les hauteurs et émet des si-
gnaux lumineux. On ne s'explique pas que
l'un des navires allemands ancrés dans le
port ait le téléphone, à moins que ce ne
soit pour communiquer avec le consulat
d'Allemagne, dans le but de recevoir et de
transmettre des nouvelles se rapportant di-
rectement à la guerre maritime. Y a-t-il
enfin un poste de télégraphie sans fil dans
le monastère du Désert à Las Palmas, et
des Allemands et Autrichiens à Benicas-
sim ? Le gouverneur de Castellôn doit le
vérifier, car il s'agit de points stratégiques
importants, pour le ravitaillement des na-
vires ennemis. — Mercantil Valenciano,
cité par Pais, 9.2.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
BLOCUS
Il court des bruits, apparemment bien
fondés, que l'Allemagne construit une énor-
me quantité de sous-marins, grands et puis-
sants, et qu'elle augmente rapidement ses
équipages de sous-marins en service actif.
Il est donc raisonnable de supposer qu'il se
produira sous peu une accentuation mar-
quée de l'activité sous-marine en Atlanti-
que, en Méditerranée, dans la mer du Nord
et probablement aussi dans la mer Noire.
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