Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-01-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 janvier 1917 18 janvier 1917
Description : 1917/01/18 (T5,N323). 1917/01/18 (T5,N323).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6503264z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2013
Ministères DE LA GUERRE
E.-M.-A., 5- Bau)
ET DES
Maires ÉTRANGÈRES
N° 323
Paris, 18 janvier 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
du c*. concentrations de troupes françaises
sÓté de Belfort et de Besançon font pré-
Prab erb Une offensive en Alsace ; il est peu
Al a le que les Français non plus que les
bé lelnands songent à violer de propos déll-
béré la neutralité suisse. Mais il sera bon
de re sur ses gardes, car la nervosité des
deilx partis est telle, qu'au cours des opé-
nons futures, la frontière pourrait bien
zn re pas respectée, même involontaire-
ment — Bern. Tagbl., 13.1.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Les 'difficultés auxquelles on se heurte
f uri le front occidental et les sacrifices qu'il
f aut 'Onselltir pour les surmonter ont dé-
n:llné certains à rechercher dans d'autres
résînr, -,
Persil des succès plus faciles. Cette dis-
persIOn de nos efforts nous a procuré des
aVantages sans grande valeur et n'a rendu
notre r ituation sur le front occidental que
Us dIfficile. Cette tendance existe tou-
Jours : elle a l'inconvénient de faire perdre
du temps à nos Etats-Majors. Nous nous
somm es + Couvés dans des situations cri-
lues parce qu' « un certain nombre
honlmes Politiques des Puissances alliées
se refusaient à reconnaître le domaine pro-
Pre et les fonctions de la stratégie ». Cepen-
nt, depuis la Conférence de Rome, ce
maient enPu est. en voie de se dissiper, et
l'on semble disposé à suivre les avis de
Il SOldats compétents, au premier rang des-
« le général Cadorna et Sir
QWuielll® L^^nt le général Cadorna et Sir
William Robertson n. — (Col. Repington)
MATERIEL
Le gouvernement danois, qui avait ré-
l'hi ment commandé 10.000 « capsules ful-
lit nantes » à la fabrique d'explosifs « Aero-
pro t yderup, pourra désormais s'ap-
NiellSIOnnr en Norvège où l'ingénieur
Nielse i
« AerolU Lenteur du nouvel explosif dit
au ra t JJ, vient de constituer une société
au canu de 750.000 couronnes pour ex-
qUe er es brevets norvégiens. La fabri-
que, qui sera installée dans les environs
tre t rlshania., produira journellement qua-
?euf mimL cc Aerolit » et annuellement
îpumi de capsules. L'outillage sera
fourni Par le Danemark. - Berlingske Ti.
dende, 3.1. Ti-
- Le sous-marin allemand vendu à -la
nUe e est le U-C 8. Cette vente ne dimi-
le Qavire la force de notre marine, puisque
le navire était interné pour la durée de la
trouve ucun secret technique ne peut se
Modèle T] lé, car le sous-marin du même
et les e U -C .5 échoua sur la côte anglaise,
constrAnuglals purent en étudier à loisir la
construction de plus, des sous-marins,
(Ïent l s Pour poser des mines, ne possè-
dent aucun détail technique particulière-
dent secret. — Koln. volksztg., 12,1.
EFFECTIFS
France. — Presque toute l'armée fran-
çaise est alignée entre le sud de la Somme
et les Vosges. Les Allemands disent que
les Français sont les meilleurs soldats de
la coalition ennemie. Bien que cela puisse
sembler extraordinaire, Nivelle dispose au-
jourd'hui de plus d'hommes que Joffre n'en
disposait au début de la guerre. C'est qu'en
effet toutes les réserves ont été instruites
et encadrées et qu'il ne reste plus un
Français physiquement capable de se bat-
tre qui n'ait appris le métier de guerrier
moderne. — Correspond. de Espana, 11.1.
Angleterre. — Depuis la formation de la
dernière des nouvelles armées anglaises, on
a négligé de former des divisions supplé-
mentaires. On s'est ainsi écarté de la
conception, de lord Kitchener qui était ex-
cellente. Celle-ci avait été sommairement
exposée dans un article du Times, 15.8.1914
qui ne faisait que résumer un long entre-
tien entre lord Kitchener et le colonel Re-
pington. Le ministre de la Guerre anglais
avait même revu la morasse de l'article
qu'il avait approuvée. Lord Kitchener pré-
conisait la création constante de forces
nouvelles en vue de conpenser la diminu-
tion des ressources des autres alliés et
de pouvoir ainsi continuer la guerre. Ce
plan ne fut pas suivi parce que le minis-
tère précédent se préoccupa avant tout des
intérêts économiques du pays : il réussit
ainsi à atteindre un chiffre d'exportations
de £ 500.000.000 en 1916, mais en revan-
che il prolongea une guerre qui impose à
la Grande-Bretagne des charges annuelles
de £ 2.000.000.000. L'intérêt économique vé-
ritable du pays consistait à terminer les
hostilités le plus rapidement possible ; on
a préféré laisser quatre millions d'hommes
dans la vie civile. On ne vit jamais pa-
reille politique militaire, d'économies de
bouts de chandelle et de folle prodigalité.
On est en. droit d'espérer que le nouveau
Gouvernement saura ss montrer à la hau-
teur de la situation. — (Colonel Repington)
Times, 15.1.
Allemagne. — Les casernes allemandes
sont remplies actuellement de soldats de
l'intérieur que le service civil a permis de
relever de leur emploi et qui sont exercés
en vue d'un départ pour le front. -Thurg.
Ztg., 12.1.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
SALAIRES
Autriche. — Le premier bourgmestre de
Vienne, le Dr Weiskirchner, a reçu ces
jours derniers la lettre suivante : Les fem-
mes des employés mobilisés des tramways
municipaux de la ville de Vienne, réunies
aujourd'hui pour s'entendre au sujet de la
profonde détresse où elles se trouvent sup-
plient respectueusement Votre Excellence de
vouloir bien prendre la défense de malheu-
reuses créatures, sur le point de désespérer
et de nous accorder le traitement complet,
ainsi que le touchent les employés muni-
cipaux, les instituteurs et les employés de
l'Etat. Nous sommes dans une situation
pitoyable, notre détresse est terrible, nos
enfants dépérissent. Il est superflu de dire
quelle est la cherté de la vie. Votre Excel-
lence le sait bien ; mais comment une fa-
mille peut-elle vivre avec un demi-traite-
ment mensuel de 80 à 120 couronnes ? Les
employés mobilisés, employés laborieux, au
service de la ville depuis de longues an-
nées, combattent pour l'Empereur, la Pa-
trie et la Ville, ou sont affectés aux emplois
de l'intérieur, tandis que leurs familles,
laissées aux soins de la ville de Vienne,
sont négligées et ont faim. Une deuxième in-
demnité de cherté de vie a déjà été accordée
aux employés non mobilisés et malgré leur
traitement entier et des suppléments occa-
sionnels, ils ne peuvent subvenir à leurs be-
soins. Comment pourrions-nous y suffire,
nous autres, malheureuses, avec un demi-
traitement ? Le demi-traitement est à peine
suffisant pour la première quinzaine du
mois. Notre misère est grande. Nous tom-
bons aux genoux de Votre Excellence et
nous la prions d'avoir pitié de nous, de ne
pas nous abandonner et de nous accorder le
traitement complet. Votre Excellence, en
tant que chef suprême, est notre père. Nous
vous supplions d'exaucer notre prièce, ayez
pitié de nos enfants. » — Arbeiter Ztg., 10.1.
PRODUCTION
Canada. — On parle de réviser sérieuse-
ment les statistiques de la récolte du blé au
Canada. On estime que les chiffres donnés
sont inférieurs de 20 à la réalité. —
Times, 15.1.
COMMERCE EXTERIEUR
France et Espagne. — On nous assure
que trois officiers de l'armée française se
trouvent actuellement à Madrid pour trai-
ter l'achat de « 7 millions » de traverses
de chêne pour chemins de fer, au prix de
6 fr. 40 ohacune. Et, comme il n'est pas
possible d'exporter un si grand nombre de
traverses en cachette, on essaie d'obtenir
du gouvernement du comte de Romanones
l'annulation de l'ordonnance royale prohi-
bitive du 5 novembre 1915. Nous verrons
comment tournera cette affaire. — Correo
espanol, 11.1.
Suède. — Le vapeur suédois Pacific, ar-
rivé aujourd'hui à Copenhague avec 1.200
tonnes de seigle de San Francisco pour le
Danemark, a dû débarquer à Leith la prin-
cipale partie de sa cargaison consistant en
fruits californiens, en café, vins et cacao ;
ces produits étaient destinés à des Suédois
qui, sans aucun doute, seront dédommagés
par l'Angleterre ; n'empêche qu'ils ne re-
cevront point ces marchandises dont ils
avaient pourtant grand besoin. — Natio-
naltidende, 2.1.
E.-M.-A., 5- Bau)
ET DES
Maires ÉTRANGÈRES
N° 323
Paris, 18 janvier 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
du c*. concentrations de troupes françaises
sÓté de Belfort et de Besançon font pré-
Prab erb Une offensive en Alsace ; il est peu
Al a le que les Français non plus que les
bé lelnands songent à violer de propos déll-
béré la neutralité suisse. Mais il sera bon
de re sur ses gardes, car la nervosité des
deilx partis est telle, qu'au cours des opé-
nons futures, la frontière pourrait bien
zn re pas respectée, même involontaire-
ment — Bern. Tagbl., 13.1.
CRITIQUE DES OPERATIONS
Les 'difficultés auxquelles on se heurte
f uri le front occidental et les sacrifices qu'il
f aut 'Onselltir pour les surmonter ont dé-
n:llné certains à rechercher dans d'autres
résînr, -,
Persil des succès plus faciles. Cette dis-
persIOn de nos efforts nous a procuré des
aVantages sans grande valeur et n'a rendu
notre r ituation sur le front occidental que
Us dIfficile. Cette tendance existe tou-
Jours : elle a l'inconvénient de faire perdre
du temps à nos Etats-Majors. Nous nous
somm es + Couvés dans des situations cri-
lues parce qu' « un certain nombre
honlmes Politiques des Puissances alliées
se refusaient à reconnaître le domaine pro-
Pre et les fonctions de la stratégie ». Cepen-
nt, depuis la Conférence de Rome, ce
maient enPu est. en voie de se dissiper, et
l'on semble disposé à suivre les avis de
Il SOldats compétents, au premier rang des-
« le général Cadorna et Sir
QWuielll® L^^nt le général Cadorna et Sir
William Robertson n. — (Col. Repington)
MATERIEL
Le gouvernement danois, qui avait ré-
l'hi ment commandé 10.000 « capsules ful-
lit nantes » à la fabrique d'explosifs « Aero-
pro t yderup, pourra désormais s'ap-
NiellSIOnnr en Norvège où l'ingénieur
Nielse i
« AerolU Lenteur du nouvel explosif dit
au ra t JJ, vient de constituer une société
au canu de 750.000 couronnes pour ex-
qUe er es brevets norvégiens. La fabri-
que, qui sera installée dans les environs
tre t rlshania., produira journellement qua-
?euf mimL cc Aerolit » et annuellement
îpumi de capsules. L'outillage sera
fourni Par le Danemark. - Berlingske Ti.
dende, 3.1. Ti-
- Le sous-marin allemand vendu à -la
nUe e est le U-C 8. Cette vente ne dimi-
le Qavire la force de notre marine, puisque
le navire était interné pour la durée de la
trouve ucun secret technique ne peut se
Modèle T] lé, car le sous-marin du même
et les e U -C .5 échoua sur la côte anglaise,
constrAnuglals purent en étudier à loisir la
construction de plus, des sous-marins,
(Ïent l s Pour poser des mines, ne possè-
dent aucun détail technique particulière-
dent secret. — Koln. volksztg., 12,1.
EFFECTIFS
France. — Presque toute l'armée fran-
çaise est alignée entre le sud de la Somme
et les Vosges. Les Allemands disent que
les Français sont les meilleurs soldats de
la coalition ennemie. Bien que cela puisse
sembler extraordinaire, Nivelle dispose au-
jourd'hui de plus d'hommes que Joffre n'en
disposait au début de la guerre. C'est qu'en
effet toutes les réserves ont été instruites
et encadrées et qu'il ne reste plus un
Français physiquement capable de se bat-
tre qui n'ait appris le métier de guerrier
moderne. — Correspond. de Espana, 11.1.
Angleterre. — Depuis la formation de la
dernière des nouvelles armées anglaises, on
a négligé de former des divisions supplé-
mentaires. On s'est ainsi écarté de la
conception, de lord Kitchener qui était ex-
cellente. Celle-ci avait été sommairement
exposée dans un article du Times, 15.8.1914
qui ne faisait que résumer un long entre-
tien entre lord Kitchener et le colonel Re-
pington. Le ministre de la Guerre anglais
avait même revu la morasse de l'article
qu'il avait approuvée. Lord Kitchener pré-
conisait la création constante de forces
nouvelles en vue de conpenser la diminu-
tion des ressources des autres alliés et
de pouvoir ainsi continuer la guerre. Ce
plan ne fut pas suivi parce que le minis-
tère précédent se préoccupa avant tout des
intérêts économiques du pays : il réussit
ainsi à atteindre un chiffre d'exportations
de £ 500.000.000 en 1916, mais en revan-
che il prolongea une guerre qui impose à
la Grande-Bretagne des charges annuelles
de £ 2.000.000.000. L'intérêt économique vé-
ritable du pays consistait à terminer les
hostilités le plus rapidement possible ; on
a préféré laisser quatre millions d'hommes
dans la vie civile. On ne vit jamais pa-
reille politique militaire, d'économies de
bouts de chandelle et de folle prodigalité.
On est en. droit d'espérer que le nouveau
Gouvernement saura ss montrer à la hau-
teur de la situation. — (Colonel Repington)
Times, 15.1.
Allemagne. — Les casernes allemandes
sont remplies actuellement de soldats de
l'intérieur que le service civil a permis de
relever de leur emploi et qui sont exercés
en vue d'un départ pour le front. -Thurg.
Ztg., 12.1.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
SALAIRES
Autriche. — Le premier bourgmestre de
Vienne, le Dr Weiskirchner, a reçu ces
jours derniers la lettre suivante : Les fem-
mes des employés mobilisés des tramways
municipaux de la ville de Vienne, réunies
aujourd'hui pour s'entendre au sujet de la
profonde détresse où elles se trouvent sup-
plient respectueusement Votre Excellence de
vouloir bien prendre la défense de malheu-
reuses créatures, sur le point de désespérer
et de nous accorder le traitement complet,
ainsi que le touchent les employés muni-
cipaux, les instituteurs et les employés de
l'Etat. Nous sommes dans une situation
pitoyable, notre détresse est terrible, nos
enfants dépérissent. Il est superflu de dire
quelle est la cherté de la vie. Votre Excel-
lence le sait bien ; mais comment une fa-
mille peut-elle vivre avec un demi-traite-
ment mensuel de 80 à 120 couronnes ? Les
employés mobilisés, employés laborieux, au
service de la ville depuis de longues an-
nées, combattent pour l'Empereur, la Pa-
trie et la Ville, ou sont affectés aux emplois
de l'intérieur, tandis que leurs familles,
laissées aux soins de la ville de Vienne,
sont négligées et ont faim. Une deuxième in-
demnité de cherté de vie a déjà été accordée
aux employés non mobilisés et malgré leur
traitement entier et des suppléments occa-
sionnels, ils ne peuvent subvenir à leurs be-
soins. Comment pourrions-nous y suffire,
nous autres, malheureuses, avec un demi-
traitement ? Le demi-traitement est à peine
suffisant pour la première quinzaine du
mois. Notre misère est grande. Nous tom-
bons aux genoux de Votre Excellence et
nous la prions d'avoir pitié de nous, de ne
pas nous abandonner et de nous accorder le
traitement complet. Votre Excellence, en
tant que chef suprême, est notre père. Nous
vous supplions d'exaucer notre prièce, ayez
pitié de nos enfants. » — Arbeiter Ztg., 10.1.
PRODUCTION
Canada. — On parle de réviser sérieuse-
ment les statistiques de la récolte du blé au
Canada. On estime que les chiffres donnés
sont inférieurs de 20 à la réalité. —
Times, 15.1.
COMMERCE EXTERIEUR
France et Espagne. — On nous assure
que trois officiers de l'armée française se
trouvent actuellement à Madrid pour trai-
ter l'achat de « 7 millions » de traverses
de chêne pour chemins de fer, au prix de
6 fr. 40 ohacune. Et, comme il n'est pas
possible d'exporter un si grand nombre de
traverses en cachette, on essaie d'obtenir
du gouvernement du comte de Romanones
l'annulation de l'ordonnance royale prohi-
bitive du 5 novembre 1915. Nous verrons
comment tournera cette affaire. — Correo
espanol, 11.1.
Suède. — Le vapeur suédois Pacific, ar-
rivé aujourd'hui à Copenhague avec 1.200
tonnes de seigle de San Francisco pour le
Danemark, a dû débarquer à Leith la prin-
cipale partie de sa cargaison consistant en
fruits californiens, en café, vins et cacao ;
ces produits étaient destinés à des Suédois
qui, sans aucun doute, seront dédommagés
par l'Angleterre ; n'empêche qu'ils ne re-
cevront point ces marchandises dont ils
avaient pourtant grand besoin. — Natio-
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