Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-01-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 janvier 1917 11 janvier 1917
Description : 1917/01/11 (T5,N316). 1917/01/11 (T5,N316).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6503257t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2013
[NISTÈRES DE LA GUERRE
f.E.-1\1.-A., 5" Bau)
01 DES
'o,¡: ET DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
—————'
N° 316
b
Paris, 11 janvier 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec uneautorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS ,
L'Empereur d'Allemagne est fort irrité de
ce que les Alliés aient refusé de passer la
tête dans le nœud coulant qu'il avait pré-
nat ri N'ayant pu en imposer ni à ses ad-
versaires ni aux neutres,- il s'efforce de
remonter le moral de ses sujets, à l'aide
a un ordre du jour à ses troupes, à la fois
très mensonger, fort méchant et d'une piété
édIfiante. Ce manifeste a l'avantage de cou-
per court aux velléités de paix du Chance-
lier. Il n'y a à la situation actuelle qu'une
solution possible : la défaite de l'ennemi. Le
blocus se resserre et se fait sentir de plus
en plus, mais la décision s'obtiendra sur le
front occidental. La victoire du général Ni-
velle montre comment il faut s'y prendre.
Les commandants en chef français et an-
glais élaborent leurs plans de concert pour
que la collaboration franco-britannique soit
aussi étroite que possible. Ils sauront frap-
per au point voulu et s'assurer les forces
nécessaires pour exploiter leurs premiers
succès et les poursuivre jusqu'à la destruc-
tion des forces militaires de l'ennemi. —
(Ed.) Timp Q 1
La réponse des Alliés à nos proposi-
tions de paix n'a pas seulement excité chez
nous le dégoût par la grossièreté de son
to, mais aussi une certaine surprise de
VOIr nos ennemis parler comme s'ils étaient
non les vaincus mais les vainqueurs. Mal-
gé leurs défaites, ils espèrent toujours la
ICtOlre. La bataille de la Somme a dépassé
tout a qu'on avait vu jusqu'ici, tout ce
que nos officiers les plus perspicaces avaient
Pu pressentir. Les Alliés s'apprêtent néan-
mMoms à un effort plus considérable encore.
1 ag l'appui de l'Amérique et du monde
entIer, ils n'ont pu briser nos lignes ; ils
réussiront pas davantage au printemps
procham. Nous savons où est la tête de l'En-
tente. Nous savons où est le point faible de
l'Angleterre. Nous avons l'instrument qu'il
faut POur frapper à mort sa marine mar-
chande. Servons-nous en. Hamb. Nachr.,7.1.
CRITIQUE DES OPERATIONS
b rOnt roumain. — Les Riws.es se sont éta-
blis Sur la ligne fortifiée du Sereth : mais
HindenK Urg a déjà souvent montré qu'il n'y
avait pas pour lui de positions imprena-
bles. Les sivisions roumaines se reforment
derrière les lignes russes, abandonnant aux
Russes le soin de la défense. C'est ainsi à
l'interventin, humaine que nous devons la
Possibilité «v a'"emdre l'aile gauche russe.
La 1',aHe gauche russe.
--'Vil russe SUir le Sereth est déjà me-
acée aux deux ailes. Braïla est presque
isolé. et Reni a perdu de son importance
depuis l évacuation de la Dobroudja par les
Russes. D'autre part la ligne Focsani-Ocna,
tout particuHèrement dans la région d'Ocna,
est difficile à défendre et le commandement
russe rnissmquiP e d'être prive de sa principale
ligne de chemin de fer, Focsani-Roman.
Derrière le front actuel, les Russes ont peu
de chemins de fer et ne peuvent disposer
que de routes mauvaises et rares. Toutes
ces conditions détermineront la durée de-
la résistance sur le Sereth ; derrière cette
position, les Russes en ont d'ailleurs une
autre plus redoutable, formée par la ligne
du Pruth. — (E. von Salzmann) Vossische
Ztg., 5.1.
Considérations d'ensemble. — Braïla est
pris, Galatz peut tomber demain. La Rus-
sie peut demander à ses alliés réunis à Ro-
me comment elle arrivera jusqu'à Constan-
tinople ; et si les Alliés prétendent que le
général Sarrail tient toujours Salonique,
nous répondons que le contraire seul est
vrai : c'est Salonique qui tient le général
Sarrail. Galatz, dont le sort est décidé depuis
la chute de Braïla, est le siège de la Com-
mission internationale du Danube, créée en
1856. On ne peut découvrir ce que la Fran-
ce, l'Angleterre et l'Italie ont à faire aujour-
d'hui, sur le Danube inférieur. Le Danube
est un fleuve de l'Europe centrale et orien-
tale, et il n'a nul besoin d'une surveillance
étrangère. Nos victoires ouvrent une ère
nouvelle pour le Danube. — (Rudolf Rotheit)
Vossische Ztg., 6.1.
MATERIEL
Etats-Unis. — De Washington, 7.1: M. Da-
niels, ministre de la Marine, déclare que,
niels, l'affaire des fournitures d'obus de
dans
gros calibres pour la flotte [Cf. Bull., n° 314,
p. 1, col. 3 et p. 2, col. 1], les firmes amé-
ricaines ont été prises à leur propre piège.
Elles ne croyaient pas que la. Hadfield fût
en mesure de participer à l'adjudication et
elles « tenaient la dragée haute » au Gouver-
nement. A la suite de cette affaire et d'au-
tres cas de ce genre, on s'attend à voir le
Gouvernement établir des manufactures na-
tionales, soit en achetant un matériel exis-
tant, soit en créant des usines nouvelles.
— Daily News, 8.1.
COMMANDEMENT
France. — Dans l'Imparcial, 5.1, M. Ma-
riano de Càvia se déclare fier des origines
«ibériques», du nom et de la «race» du maré-
chal Joffre, auquel il a adressé un télégram-
me de félicitations. La réponse qui lui a
été faite est ainsi conçue : « Très touché
de vos félicitations et fier de ma qualité
de Catalan, je vous remercie de vos vœux
et vous assure de ma confiance inébran-
lable dans la victoire finale. — JOFFRE ».
L'Imparcial. ajoute M. Mariano de Câvia.
s'honore grandement en insérant cette ré-
ponse du « tenace et énergique, conscien-
cieux et très habile défenseur de la Fran-
ce, honneur et gloire d'un peuple qu'on
taxait de frivolité et d'inconstance ». Et il
dit en terminant : « Ces félicitations adres-
sées à l'un des nôtres ne devraient pas me
faire traiter d'interventionniste par ces fous
qui, sous le déguisement de neutralistes,
ont l'infamie d'applaudir à la destruction
de notre marine marchande par les sous-
marins germaniques ».
PERTES
Roumanie. — Du front allemand de Rou-
manie : Le chiffre des morts de l'armée
roumaine est très supérieur à celui des
blessés, ce qui contredit les règles qui jus-
qu'ici semblaient invariables. Il faut tenir
compte que les troupes roumaines fuyaient
en colonnes compactes, que les chemins
qui pouvaient servir pour la retraite sont
peu nombreux, et que l'artillerie germano-
austro-hongroise atteignait des proportions
presque fabuleuses. Les armées envahissan-
tes avaient un service d'aviation parfai-
tement organisé qui donnait aux artilleurs
des indications précises sur la marche des
colonnes roumaines. D'autre part, les mi-
trailleuses des escadrons d'artillerie légère
ont joué un rôle très important dans la
poursuite. Enfin, les positions roumaines
n'étaient pas aménagées conformément aux
enseignements récents de la guerre. Les
tranchées n'étaient que de simples fossés
sans profondeur, elles n'étaient pas tracés
en zig-zag, elles n'avaient pas une pro-
tection d'artillerie suffisante pour empê-
cher la concentration des feux des canons
ennemis. C'est ainsi qu'à Camnolung, les
troupes allemandes ont compté 6.000 morts
dans un kilomètre carré. — (Antonio Azpei-
tua) A B C, 4.1.
INTERNES
Danemark. — Les aviateurs allemands in-
ternés à Odense ont obtenu la permission
d'aller passer les fêtes de Noël en Allema-
gne après avoir donné leur parole d'honneur
de réintégrer leur lieu d'internement à l'ex-
piration du congé. — Politiken, 24.12.
——— -———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Angleterre et Norvège. — Certains jour-
naux ont fait courir le bruit que l'Angle-
terre, voulant obliger les navires norvé-
giens à transporter des marchandises en
France et en Italie, ne fournirait plus le
charbon à la Norvège. Cette ncuvelle est
dénuée de fondements; l'interdiction est sim-
plement la conséquence de la non-observa-
tion de certaines clauses par la Norvège.
D'ailleurs, l'approvisionnement en charbon
de nos navires de pêche par l'Angleterre,
continuera à s'effectuer comme par le passé.
— Attenposten, 3.1.
Colonies portugaises. — On a interdit
dans l'Angola l'exportation du sucre pour
toute destination autre que la métropole.
L'interdiction existe déjà pour les lies du
Cap Vert. — Seculo, 6.1. y
f.E.-1\1.-A., 5" Bau)
01 DES
'o,¡: ET DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
—————'
N° 316
b
Paris, 11 janvier 1917.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec uneautorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS ,
L'Empereur d'Allemagne est fort irrité de
ce que les Alliés aient refusé de passer la
tête dans le nœud coulant qu'il avait pré-
nat ri N'ayant pu en imposer ni à ses ad-
versaires ni aux neutres,- il s'efforce de
remonter le moral de ses sujets, à l'aide
a un ordre du jour à ses troupes, à la fois
très mensonger, fort méchant et d'une piété
édIfiante. Ce manifeste a l'avantage de cou-
per court aux velléités de paix du Chance-
lier. Il n'y a à la situation actuelle qu'une
solution possible : la défaite de l'ennemi. Le
blocus se resserre et se fait sentir de plus
en plus, mais la décision s'obtiendra sur le
front occidental. La victoire du général Ni-
velle montre comment il faut s'y prendre.
Les commandants en chef français et an-
glais élaborent leurs plans de concert pour
que la collaboration franco-britannique soit
aussi étroite que possible. Ils sauront frap-
per au point voulu et s'assurer les forces
nécessaires pour exploiter leurs premiers
succès et les poursuivre jusqu'à la destruc-
tion des forces militaires de l'ennemi. —
(Ed.) Timp Q 1
La réponse des Alliés à nos proposi-
tions de paix n'a pas seulement excité chez
nous le dégoût par la grossièreté de son
to, mais aussi une certaine surprise de
VOIr nos ennemis parler comme s'ils étaient
non les vaincus mais les vainqueurs. Mal-
gé leurs défaites, ils espèrent toujours la
ICtOlre. La bataille de la Somme a dépassé
tout a qu'on avait vu jusqu'ici, tout ce
que nos officiers les plus perspicaces avaient
Pu pressentir. Les Alliés s'apprêtent néan-
mMoms à un effort plus considérable encore.
1 ag l'appui de l'Amérique et du monde
entIer, ils n'ont pu briser nos lignes ; ils
réussiront pas davantage au printemps
procham. Nous savons où est la tête de l'En-
tente. Nous savons où est le point faible de
l'Angleterre. Nous avons l'instrument qu'il
faut POur frapper à mort sa marine mar-
chande. Servons-nous en. Hamb. Nachr.,7.1.
CRITIQUE DES OPERATIONS
b rOnt roumain. — Les Riws.es se sont éta-
blis Sur la ligne fortifiée du Sereth : mais
HindenK Urg a déjà souvent montré qu'il n'y
avait pas pour lui de positions imprena-
bles. Les sivisions roumaines se reforment
derrière les lignes russes, abandonnant aux
Russes le soin de la défense. C'est ainsi à
l'interventin, humaine que nous devons la
Possibilité «v a'"emdre l'aile gauche russe.
La 1',aHe gauche russe.
--'Vil russe SUir le Sereth est déjà me-
acée aux deux ailes. Braïla est presque
isolé. et Reni a perdu de son importance
depuis l évacuation de la Dobroudja par les
Russes. D'autre part la ligne Focsani-Ocna,
tout particuHèrement dans la région d'Ocna,
est difficile à défendre et le commandement
russe rnissmquiP e d'être prive de sa principale
ligne de chemin de fer, Focsani-Roman.
Derrière le front actuel, les Russes ont peu
de chemins de fer et ne peuvent disposer
que de routes mauvaises et rares. Toutes
ces conditions détermineront la durée de-
la résistance sur le Sereth ; derrière cette
position, les Russes en ont d'ailleurs une
autre plus redoutable, formée par la ligne
du Pruth. — (E. von Salzmann) Vossische
Ztg., 5.1.
Considérations d'ensemble. — Braïla est
pris, Galatz peut tomber demain. La Rus-
sie peut demander à ses alliés réunis à Ro-
me comment elle arrivera jusqu'à Constan-
tinople ; et si les Alliés prétendent que le
général Sarrail tient toujours Salonique,
nous répondons que le contraire seul est
vrai : c'est Salonique qui tient le général
Sarrail. Galatz, dont le sort est décidé depuis
la chute de Braïla, est le siège de la Com-
mission internationale du Danube, créée en
1856. On ne peut découvrir ce que la Fran-
ce, l'Angleterre et l'Italie ont à faire aujour-
d'hui, sur le Danube inférieur. Le Danube
est un fleuve de l'Europe centrale et orien-
tale, et il n'a nul besoin d'une surveillance
étrangère. Nos victoires ouvrent une ère
nouvelle pour le Danube. — (Rudolf Rotheit)
Vossische Ztg., 6.1.
MATERIEL
Etats-Unis. — De Washington, 7.1: M. Da-
niels, ministre de la Marine, déclare que,
niels, l'affaire des fournitures d'obus de
dans
gros calibres pour la flotte [Cf. Bull., n° 314,
p. 1, col. 3 et p. 2, col. 1], les firmes amé-
ricaines ont été prises à leur propre piège.
Elles ne croyaient pas que la. Hadfield fût
en mesure de participer à l'adjudication et
elles « tenaient la dragée haute » au Gouver-
nement. A la suite de cette affaire et d'au-
tres cas de ce genre, on s'attend à voir le
Gouvernement établir des manufactures na-
tionales, soit en achetant un matériel exis-
tant, soit en créant des usines nouvelles.
— Daily News, 8.1.
COMMANDEMENT
France. — Dans l'Imparcial, 5.1, M. Ma-
riano de Càvia se déclare fier des origines
«ibériques», du nom et de la «race» du maré-
chal Joffre, auquel il a adressé un télégram-
me de félicitations. La réponse qui lui a
été faite est ainsi conçue : « Très touché
de vos félicitations et fier de ma qualité
de Catalan, je vous remercie de vos vœux
et vous assure de ma confiance inébran-
lable dans la victoire finale. — JOFFRE ».
L'Imparcial. ajoute M. Mariano de Câvia.
s'honore grandement en insérant cette ré-
ponse du « tenace et énergique, conscien-
cieux et très habile défenseur de la Fran-
ce, honneur et gloire d'un peuple qu'on
taxait de frivolité et d'inconstance ». Et il
dit en terminant : « Ces félicitations adres-
sées à l'un des nôtres ne devraient pas me
faire traiter d'interventionniste par ces fous
qui, sous le déguisement de neutralistes,
ont l'infamie d'applaudir à la destruction
de notre marine marchande par les sous-
marins germaniques ».
PERTES
Roumanie. — Du front allemand de Rou-
manie : Le chiffre des morts de l'armée
roumaine est très supérieur à celui des
blessés, ce qui contredit les règles qui jus-
qu'ici semblaient invariables. Il faut tenir
compte que les troupes roumaines fuyaient
en colonnes compactes, que les chemins
qui pouvaient servir pour la retraite sont
peu nombreux, et que l'artillerie germano-
austro-hongroise atteignait des proportions
presque fabuleuses. Les armées envahissan-
tes avaient un service d'aviation parfai-
tement organisé qui donnait aux artilleurs
des indications précises sur la marche des
colonnes roumaines. D'autre part, les mi-
trailleuses des escadrons d'artillerie légère
ont joué un rôle très important dans la
poursuite. Enfin, les positions roumaines
n'étaient pas aménagées conformément aux
enseignements récents de la guerre. Les
tranchées n'étaient que de simples fossés
sans profondeur, elles n'étaient pas tracés
en zig-zag, elles n'avaient pas une pro-
tection d'artillerie suffisante pour empê-
cher la concentration des feux des canons
ennemis. C'est ainsi qu'à Camnolung, les
troupes allemandes ont compté 6.000 morts
dans un kilomètre carré. — (Antonio Azpei-
tua) A B C, 4.1.
INTERNES
Danemark. — Les aviateurs allemands in-
ternés à Odense ont obtenu la permission
d'aller passer les fêtes de Noël en Allema-
gne après avoir donné leur parole d'honneur
de réintégrer leur lieu d'internement à l'ex-
piration du congé. — Politiken, 24.12.
——— -———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Angleterre et Norvège. — Certains jour-
naux ont fait courir le bruit que l'Angle-
terre, voulant obliger les navires norvé-
giens à transporter des marchandises en
France et en Italie, ne fournirait plus le
charbon à la Norvège. Cette ncuvelle est
dénuée de fondements; l'interdiction est sim-
plement la conséquence de la non-observa-
tion de certaines clauses par la Norvège.
D'ailleurs, l'approvisionnement en charbon
de nos navires de pêche par l'Angleterre,
continuera à s'effectuer comme par le passé.
— Attenposten, 3.1.
Colonies portugaises. — On a interdit
dans l'Angola l'exportation du sucre pour
toute destination autre que la métropole.
L'interdiction existe déjà pour les lies du
Cap Vert. — Seculo, 6.1. y
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