Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1890-04-12
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 12 avril 1890 12 avril 1890
Description : 1890/04/12 (A3,N65)-1890/04/19. 1890/04/12 (A3,N65)-1890/04/19.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242146r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
TROISIÈME ANNÉE. — N8 6il
Prix : 5 Centimes.
Du 12 au 19 avril 1890.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN 5 fr.
Six MOIS 3 fr.
Tnois Mois 1 fr. «O
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST CrEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
A propos de la manifestation du
1er Mai, « L'ATTAQUE » publiera
prochainement un numéro spécial,
tiré à CBsniT !\laJ.I.I': I;:XI<:;tUltL£I-
IlBiS dans lequel sera démontrée
l'inanité des réformes mendiées
aux pouvoirs publics par les auto-
ritaires.
Voici le sommaire do ce numéro :
Manifeste, L'Attaque, - La journée de
huit heures, S. Faure. - La loi des salai-
res, S. Mougin. — Le gouvernement,
Lucien Weil. — L'autrité à travers les
figes, Ch. M a lato. ---Guignols autoritaires,
E. Gegout. — Blagues réformistes, P. Mar-
tinet. — Législation internationale, Mer-
lino. — Tactique t anarchiste, D. Uordier.
- La liberté, L'Attaque.
Nous prions nos camarades de
Paris et de province de nous adres-
ser au plus tôt leurs demandes.
Le prix du cent, est de ■'!fr. 60. en gare.
MARIAGE, COLLAGE
AMOUR LIBRE
C'est le printemps, la sève pousse
A l'Arbre de l'Humanité
Le moment est psychologique : les
petites minettes miaulent les litanies
de leur cœur, sous toutes les gout-
tières de l'amour; les jeunes et vieux
matous, la queue en trompette, ar-
dent vers elles de printannières ten-
dresses. Nous autres, subissant la loi
commune, nous nous tortillons sous
un besoin de renouveau , comme si
nous avions une demi-douzaine de
clous de girofle dans l'anus.
Parlons donc de l'Amour que les
sots ont de temps immémorial cata-
logué et réglementé, de l'amour qu'ils
chantent ou qu'ils blâment suivant
son étiquette, de l'amour d'où nous
expulserons le mari et l'amant, ces
gêneurs, n'en déplaise aux Joseph
Prudhomme du mariage et du col-
lage.
Les autoritaires l'ont rendu en-
nuyeux, grotesque et malsain, par le
mariage; tout aussi ennuyeux et mal-
sain, mais beaucoup plus hypocrite
par le collage.
Les anarchistes le réhabilitent en le
pratiquant librement, à leur guise,
sans souci des coups qu'ils portent,
du trouble qu'ils jettent dans les
camps adverses.
A ce propos, je constate avec tris-
tesse que bien petit est encore le
nombre des révolutionnaires qui osent
s'affranchir de ce que l'on appelle les
convenances, — sortes de palissades
qui garantissent la propriété sexuelle.
Les socialistes à la Marx ou à la
Blanqui - je ne dirai pas à la Malon,
ce dern ier n'ayant qu 'un seul apôtre,
Fournière, lequel n'a qu'un disciple,
son chien — perpétuent pieusement
et piteusement les traditions fami-
liales, nichent en foyer légal et se con-
tinent - et. se confisent aussi — en un
exclusivisme de sentiments qui est
bien la négation de toutes doctrines
sociales.
Parfois, aussi, quelques-uns des
nôtres commettent de ces faiblesses.
On rencontre des camarades qui ont
pris femme et émettent la formidable
mais risible prétention de les conser-
ver pour eux seuls, sans qu'ils croient
bon cependant de s'engager eux-mê-
mes, ce qui est une anomalie atté-
nuante.
Ils sont partisans de l'expropriation
capitalistequi ne saurait les atteindre,
trouvent singulièrement osés les hour-
geois qui s'en plaignent, et, tout
comme eux lorsqu'on désindividualise
leurs compagnes, font des gueules
d'empeigne. ! Ils ne font que cela,
c'est vrai, mais n'est-ce pas déjà trop?
La peur de l'être n'a jamais garanti
nul chef, et le droit de propriété est
aussi prétentieux que condamnable,
La vieille société qui sombrera avec
le siècle, honore le mariage, tolère le
collage discret. et traite l'amour libre
de prostitution et de chiennerie.
Voici le mariage :
Un accouplement de lâchetés, d'é-
goïsme et de vils intérêts, puis le
plus souvent d'êtres n'ayant ni mêmes
goûts, ni mêmes besoins, ni mêmes
caractères, ni même tempéramment.
L'un aime la soupe au fromage,
l'autre la préfère au boudin ;
L'une aime les chiens, l'autre les
chats;
L'un s'est vendu pour un sac d'écus,
l'autre pour se débarrasser de la
tutelle familiale.
Parfois, c'est moins sale, mais tout
aussi bête : parce que, certain jour,
sous le chaud soleil qui met des sou-
rires à toutes les lèvres, un beau lur-
ron franc et hardi a mis au ventre de
sa préférée de la graisse humaine eu
lui les fesses jusqu'aux sangs,
parce qu'il y a poussé ensuite autre
chose que des boutons de rosés et
qu'on a peur de perdre— avec le reste
— la considération de son entourage.
Des foutaises!
On en a assez de la famille, son
despotisme gênait et l'on s'en affran-
chit pour eu reconstituer une autre
dont souffriront également ceux qui
viendront plus tard.
Et l'habitude grise et morose s'as-
sied au foyer. On se regarde en poti-
ches japonaises. On s'aperçoit qu'on
sent mauvais parfois, qu'au lit on a
des transpirations gênantes « Lu-
cien, ôte donc tes pieds. » ou des
respirations trop bruyantes — « José-
phine, nous ne mangerons plus de
flageolets le soir ! » — On se détaille
froidement, on ne se retrouve plus,
on ne remarque qu'un tas de petites
choses qui désarment l'amour, et le
petit Cupidon, l'arc débandé, se borne
à attraper des mouches!
Les séances conjugales tournent
au martyre. Toujours le même fourbi,
alors on baille rêveusement auprès
du chat de la maison, lequel baille
à son tour devant le mou quotidien.
Dans ces conditions aussi particu-
lières que générales, il nait de jolis
produits sans queue ni tête, qui de-
viennent de complets crétins aptes à
perpétuer les « saintes et saines tra-
ditions du mariage. »
Ah! les bourgeois savent bien ce
qu'ils font!
Le Collage, c'est le même tableau
avec l'hypocrisie comme décor.
-. La femme mariée qui trompe son
mari a une excuse : la révolte natu-
relle contre l'autorité conjugale sanc-
tionnée et garantie par la Loi. La
femme collée n'en a pas. Elle ne feint
d'être fidèle que par intérêt ou lâcheté.
Les deux seuls anneaux de la chaîne
harmonique !
« — Allons, je vous vois venir, ce
que vous voulez, c'est que les êtres
reviennent à l'état primitif et s'accou-
plent comme les chiens, dans la
rue ? »
Ce que j'en ai entendu d'idiots lais-
ser tomber cela de leur cervelle en
poudre de perlimpinpin !
Je ne sache pas qu'aux temps pri-
mitifs les êtres aient jamais pratiqué
l'amour libre — lequel résulte du
consentement mutuel. N'ayant con-
science que de sa force, ne subissant
d'autres lois que celles de ses besoi ns,
l'être préhistorique — tout comme le
bourgeois d'aujourd'hui, chez lui, et
le chien dans la rue — a toujours abusé
du plus faible que lui.
La chienne a souvent mordu; pres-
que toujours la femme s'est l'ésignée,
Louable résultat de la civilisation !
et pratiquons est essentiellement
anarchique. C'est une nécessité so-
ciale à laquelle nul, plus tard, ne
saura se soustraire. C'est le remèdo
contre tous les préjugés qui assaillent
notre pauvre intellect et contre les
maux qui endolorisent notre carcasse.
Il nous délivrera de la famille, il nous
affranchira du joug conjugal, il réha-
bilitera la femme, il agrandira le rayon
de nos sentiments affectifs, il fera
naître des générations fortes et belles
en facilitant les attractions et les rela-
tions des sexes, en donnant aux sens,
aux goûts, aux besoins et aux tempé-
raments le choix et la multiplicité des
satisfactions.
Voyons! camarades, pas de scrupu-
les, la révolution n'est pas à faire
dans la rue seulement : portez-en
aussi le brandon dans chaque foyer.
Pour le triomphe d'une idée, l'écra-
sement d'un préjugé, vous ne sauriez
reculer par sentimentalité bêtasse.
Quand on veut affranchir l'Huma-
nité, il faut d'abord avoir le courage
de s'affranchir soi-même.
Enfin, songez-y :
La femm' llladÓ' dans son ménage,
Ca sent toujours le vieux fromage.
Délivrez-en les maris.
Ernest GEGOUT.
+
J'ai le regret d'annoncer aux camarades
de Saint-Quentin, que des raisons de santé
ne me permettant pas de leur prêter mon
concours pour ic meeting projeté, j'ai pré-
venu Louise Michel et Faure.
E. G.
Prix : 5 Centimes.
Du 12 au 19 avril 1890.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN 5 fr.
Six MOIS 3 fr.
Tnois Mois 1 fr. «O
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST CrEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
A propos de la manifestation du
1er Mai, « L'ATTAQUE » publiera
prochainement un numéro spécial,
tiré à CBsniT !\laJ.I.I': I;:XI<:;tUltL£I-
IlBiS dans lequel sera démontrée
l'inanité des réformes mendiées
aux pouvoirs publics par les auto-
ritaires.
Voici le sommaire do ce numéro :
Manifeste, L'Attaque, - La journée de
huit heures, S. Faure. - La loi des salai-
res, S. Mougin. — Le gouvernement,
Lucien Weil. — L'autrité à travers les
figes, Ch. M a lato. ---Guignols autoritaires,
E. Gegout. — Blagues réformistes, P. Mar-
tinet. — Législation internationale, Mer-
lino. — Tactique t anarchiste, D. Uordier.
- La liberté, L'Attaque.
Nous prions nos camarades de
Paris et de province de nous adres-
ser au plus tôt leurs demandes.
Le prix du cent, est de ■'!fr. 60. en gare.
MARIAGE, COLLAGE
AMOUR LIBRE
C'est le printemps, la sève pousse
A l'Arbre de l'Humanité
Le moment est psychologique : les
petites minettes miaulent les litanies
de leur cœur, sous toutes les gout-
tières de l'amour; les jeunes et vieux
matous, la queue en trompette, ar-
dent vers elles de printannières ten-
dresses. Nous autres, subissant la loi
commune, nous nous tortillons sous
un besoin de renouveau , comme si
nous avions une demi-douzaine de
clous de girofle dans l'anus.
Parlons donc de l'Amour que les
sots ont de temps immémorial cata-
logué et réglementé, de l'amour qu'ils
chantent ou qu'ils blâment suivant
son étiquette, de l'amour d'où nous
expulserons le mari et l'amant, ces
gêneurs, n'en déplaise aux Joseph
Prudhomme du mariage et du col-
lage.
Les autoritaires l'ont rendu en-
nuyeux, grotesque et malsain, par le
mariage; tout aussi ennuyeux et mal-
sain, mais beaucoup plus hypocrite
par le collage.
Les anarchistes le réhabilitent en le
pratiquant librement, à leur guise,
sans souci des coups qu'ils portent,
du trouble qu'ils jettent dans les
camps adverses.
A ce propos, je constate avec tris-
tesse que bien petit est encore le
nombre des révolutionnaires qui osent
s'affranchir de ce que l'on appelle les
convenances, — sortes de palissades
qui garantissent la propriété sexuelle.
Les socialistes à la Marx ou à la
Blanqui - je ne dirai pas à la Malon,
ce dern ier n'ayant qu 'un seul apôtre,
Fournière, lequel n'a qu'un disciple,
son chien — perpétuent pieusement
et piteusement les traditions fami-
liales, nichent en foyer légal et se con-
tinent - et. se confisent aussi — en un
exclusivisme de sentiments qui est
bien la négation de toutes doctrines
sociales.
Parfois, aussi, quelques-uns des
nôtres commettent de ces faiblesses.
On rencontre des camarades qui ont
pris femme et émettent la formidable
mais risible prétention de les conser-
ver pour eux seuls, sans qu'ils croient
bon cependant de s'engager eux-mê-
mes, ce qui est une anomalie atté-
nuante.
Ils sont partisans de l'expropriation
capitalistequi ne saurait les atteindre,
trouvent singulièrement osés les hour-
geois qui s'en plaignent, et, tout
comme eux lorsqu'on désindividualise
leurs compagnes, font des gueules
d'empeigne. ! Ils ne font que cela,
c'est vrai, mais n'est-ce pas déjà trop?
La peur de l'être n'a jamais garanti
nul chef, et le droit de propriété est
aussi prétentieux que condamnable,
La vieille société qui sombrera avec
le siècle, honore le mariage, tolère le
collage discret. et traite l'amour libre
de prostitution et de chiennerie.
Voici le mariage :
Un accouplement de lâchetés, d'é-
goïsme et de vils intérêts, puis le
plus souvent d'êtres n'ayant ni mêmes
goûts, ni mêmes besoins, ni mêmes
caractères, ni même tempéramment.
L'un aime la soupe au fromage,
l'autre la préfère au boudin ;
L'une aime les chiens, l'autre les
chats;
L'un s'est vendu pour un sac d'écus,
l'autre pour se débarrasser de la
tutelle familiale.
Parfois, c'est moins sale, mais tout
aussi bête : parce que, certain jour,
sous le chaud soleil qui met des sou-
rires à toutes les lèvres, un beau lur-
ron franc et hardi a mis au ventre de
sa préférée de la graisse humaine eu
lui les fesses jusqu'aux sangs,
parce qu'il y a poussé ensuite autre
chose que des boutons de rosés et
qu'on a peur de perdre— avec le reste
— la considération de son entourage.
Des foutaises!
On en a assez de la famille, son
despotisme gênait et l'on s'en affran-
chit pour eu reconstituer une autre
dont souffriront également ceux qui
viendront plus tard.
Et l'habitude grise et morose s'as-
sied au foyer. On se regarde en poti-
ches japonaises. On s'aperçoit qu'on
sent mauvais parfois, qu'au lit on a
des transpirations gênantes « Lu-
cien, ôte donc tes pieds. » ou des
respirations trop bruyantes — « José-
phine, nous ne mangerons plus de
flageolets le soir ! » — On se détaille
froidement, on ne se retrouve plus,
on ne remarque qu'un tas de petites
choses qui désarment l'amour, et le
petit Cupidon, l'arc débandé, se borne
à attraper des mouches!
Les séances conjugales tournent
au martyre. Toujours le même fourbi,
alors on baille rêveusement auprès
du chat de la maison, lequel baille
à son tour devant le mou quotidien.
Dans ces conditions aussi particu-
lières que générales, il nait de jolis
produits sans queue ni tête, qui de-
viennent de complets crétins aptes à
perpétuer les « saintes et saines tra-
ditions du mariage. »
Ah! les bourgeois savent bien ce
qu'ils font!
Le Collage, c'est le même tableau
avec l'hypocrisie comme décor.
-. La femme mariée qui trompe son
mari a une excuse : la révolte natu-
relle contre l'autorité conjugale sanc-
tionnée et garantie par la Loi. La
femme collée n'en a pas. Elle ne feint
d'être fidèle que par intérêt ou lâcheté.
Les deux seuls anneaux de la chaîne
harmonique !
« — Allons, je vous vois venir, ce
que vous voulez, c'est que les êtres
reviennent à l'état primitif et s'accou-
plent comme les chiens, dans la
rue ? »
Ce que j'en ai entendu d'idiots lais-
ser tomber cela de leur cervelle en
poudre de perlimpinpin !
Je ne sache pas qu'aux temps pri-
mitifs les êtres aient jamais pratiqué
l'amour libre — lequel résulte du
consentement mutuel. N'ayant con-
science que de sa force, ne subissant
d'autres lois que celles de ses besoi ns,
l'être préhistorique — tout comme le
bourgeois d'aujourd'hui, chez lui, et
le chien dans la rue — a toujours abusé
du plus faible que lui.
La chienne a souvent mordu; pres-
que toujours la femme s'est l'ésignée,
Louable résultat de la civilisation !
et pratiquons est essentiellement
anarchique. C'est une nécessité so-
ciale à laquelle nul, plus tard, ne
saura se soustraire. C'est le remèdo
contre tous les préjugés qui assaillent
notre pauvre intellect et contre les
maux qui endolorisent notre carcasse.
Il nous délivrera de la famille, il nous
affranchira du joug conjugal, il réha-
bilitera la femme, il agrandira le rayon
de nos sentiments affectifs, il fera
naître des générations fortes et belles
en facilitant les attractions et les rela-
tions des sexes, en donnant aux sens,
aux goûts, aux besoins et aux tempé-
raments le choix et la multiplicité des
satisfactions.
Voyons! camarades, pas de scrupu-
les, la révolution n'est pas à faire
dans la rue seulement : portez-en
aussi le brandon dans chaque foyer.
Pour le triomphe d'une idée, l'écra-
sement d'un préjugé, vous ne sauriez
reculer par sentimentalité bêtasse.
Quand on veut affranchir l'Huma-
nité, il faut d'abord avoir le courage
de s'affranchir soi-même.
Enfin, songez-y :
La femm' llladÓ' dans son ménage,
Ca sent toujours le vieux fromage.
Délivrez-en les maris.
Ernest GEGOUT.
+
J'ai le regret d'annoncer aux camarades
de Saint-Quentin, que des raisons de santé
ne me permettant pas de leur prêter mon
concours pour ic meeting projeté, j'ai pré-
venu Louise Michel et Faure.
E. G.
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