Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1890-03-22
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 22 mars 1890 22 mars 1890
Description : 1890/03/22 (A3,N63)-1890/03/29. 1890/03/22 (A3,N63)-1890/03/29.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242144x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
TROISIÈME ANNEE. - No 63
Prix : ft Centimes
Du 22 au 29 mars 1890.
L'ATTAQUE 1
1
EDr g alle Ue b doxy»laL deLi v îÉa -A. Il eL Ir a U i s t e
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN. 5 fr.
Six MOIS 3 fr.
TROIS MOIS. 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux buraux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
SALLE FAVIÉ
13, rue de Bellevilla
Dimanche 2 3 mars
A 1 IL 15 UHF. ET DEMIE
GRAND MEETING
Organisé par
le journal « L'ATTAQUE »
AT ET! LE CONCOURS DE
LOUISE MICHEL, TORTELlER, VIAUD
TENNEVIN, MERLINO
LEBOUCHER, BORDAT, BAUDELOT
MARTINET, SÉBASTIEN FAURE, MALATO
WEIL, GEGOUT, MOUGIN, etc.
o - Ordre du jw" t
LA CONFÉRENCE DE BERLIN
Sous prétexte de défendre nos intérêts,
les gouvernants do tous pays se liguent
contro lo prolétariat du monde ontior.
A la coalition des exploiteurs, opposons
celle des exploités.
Entrée : 0.30.
LA (MÊME DE BERLIN
Lézardé, chancelant, le monument
crasseux (le toutes les vieilles institu-
tions menace ruine.
Les demi-Dieux qui salissent de
leurs purulences les trônes vacillants ;
les grands hommes qui président aux
destinées des nations; les magiciens
de la parole qui électrisent les parle-
ments ; les pontifes austères qui créti-
nisent les masses; les hermineux in-
tègres qui rendent la justice ; les em-
panachés qui bâtissent leur renommée
sur des monceaux de cadavres; les
milliardaires dont les capricieuses
fantaisies disposent de la vie des fou-
les; tous ces êtres infâmes auxquels
l'imbécillité ,lacouardise et l'ignorance
ont attribué, depuis des siècles, du
génie, des vertus, des supériorités et
laissé usurper des privilèges mons-
trueux, tous ces hystériques de l'au-
toritè éprouvent les premiers frémis-
sements de la crise terrible qui doit
les emporter.
Percée à jour, béante; fracturée par
l'examen, la boîte chancreuse de leur
crâne exigu étale les perturbations et
les faiblesses de leur cerveau; tandis
que la révolte, mettant leurs vête-
ments en lambeaux, dévoile à l'œil
avide des opprimés les repoussantes
hideurs de ces gangréneux,
Défilez, monstres à face humaine,
passez un à un devant vos séculaires
victimes; qu'on jette à terre vos ori-
peaux lacérés pour que nous puissions
imprimer sur vos épaules la flétrissure
qui convient à chacun de vous :
Monarques : tyrans ;
Ministres : intrigants et laquais;
Parlementaires : menteurs;
Prêtres : hypocrites;
Magistrats : vendus;
Généraux : assassins ;
Richards : voleurs.
C'est la foule innombrable des mi-
séreux qui commence à vous connaî-
tre et vous baptise de la sorte.
Et tandis que les grands se minus-
culisent, tandis que les puissants per-
dent de leur prestige ; tandis que les
forts se laissent dépouiller graduelle-
ment de ce qui fait leur vigueur; tan-
dis que les maî tres ne peuvent sous-
traire leur pouvoir aux attaques sans
cesse plus vives, plus meurtrières,
plus précipitées, les petits grandis-
sent, les faibles se fortifient, les es-
claves brisent leurs chaînes, les op-
primés relèvent la tête, les victimes
se ruent sur les bourreaux.
Oh! qu'elles ont été cruelles les
soufTrances! qu'elles ont été doulou-
reuses les humiliations ! qu'ils ont été
désolés les siècles d'esclavage ! qu'elle
a été longue la nuit de l'ignorance !
Mais aujourd'hui la pensée s'épa-
nouit; le cerveau s'éclaire; le cœur se
dilate sous la chaleur de l'espérance;
l'individualité humaine s'affirme; la
dignité se réveille; la science des
droits imprescriptibles s'affermit et
s'épand; la vérité dompte l'erreur ; le
bien écrase le mal ; la justice triomphe
de l'iniquité.
Voici venir la révolution féconde,
la radieuse rénovation, le triomphe
de la nature !
Tel est en quelques coups de pin-
ceau et sans la moindre exagération
le tableau de la société européenne au
déclin du dix-neuvième siècle !
Il
Il Il
« Que faire pour empêcher cette
« chute d'une part, cette ascension de
CI l'autre?
« Qu'imaginer pour en ralentir tout
« au moins la vitesse croissante ?
« Que faire ?
« LA CONFÉRENCE DE BERLIN ! !
« Ah ! les déshérités commencent à
« demander impérieusement la part
« dont ils ont été frustrés?
« Ah ! les asservis osent réclamer
« virilement leur émancipation inté-
« grale?
« Ah ! les travailleurs menacent de
« reprendre par la violence les riches-
« ses, filles de leurs efforts et violées
« par les gouvernants et les capita-
« listes ?
« 11 est temps d'aviser.
« Convient-il de livrer bataille ?
« Non ! Ils seraient les plus forts, s'ils
« voulaient.
« Mettons à profit nos armes ordi-
« naires, cés armes dont, à travers
« les âges, l'histoire et la tradition
« nous ont appris à nous servir : la
« roublardise l'hypocrisie, Simulons
« habilement une tendresse toute
« fraternelle; ayons l'air de prendre
« un souci légitime de l'amélioration
« du sort de ces malheureux ; feignons
« pour leurs intérêts une paternelle
« sollicitude ; mettons à l'étude et, au
« besoin, prenons en considération.
« platonique les revendications qui
« semblent leur être communes. »
Comédie ! Comédie ! Comédie !
Et cette infâme comédie se joue en
ce moment même à Berlin !
Et tous les gouvernements se sont
empressés d'adhérer !
Et chacun d'eux a choisi pour re-
présenter les intérêts de son proléta-
riat son Jules Simon, son Burdeau
ou son Delahaye !
* *
Initiative prise par un assassin cou-
ronné, suivie par la portée inassou-
vissable de tous les chiens gouverne-
mentaux, approuvée par la bande des
politiciens de tous pays; encouragée
par la meute des détrousseurs paten-
tés : les capitalistes dévorants ; glori-
fiée par les sifflements, hurlements et
rugissements des reptiles, des loups
et des fauves qui composent la ména-
gerie des plumitifs allemands, fran-
çais, belges, anglais, russes, ita-
liens, etc., etc.
Que peuvent faire pour votre
mieux-être, frères de misère, tous
ces repus dont les volumineux abdo-
mens sont assaillis d'indigestions
parce que vos entrailles sont assié-
gées par la faim ? Que peuvent faire
pour votre bonheur, camarades de
chaînes, tous ces gouvernants, minis-
tres, sénateurs, députés, magistrats,
prêtres et soudards, dont l'unique
rôle consiste à vous pressurer d'im-
pôts, à vous accabler sous la rigueur
des lois, à farcir vos cerveaux de
préjugés qui engendrent la servitude
et étranglent la révolte, à vous trouer
la poitrine de balles ou de baïon-
nettes ? Que pouvez-vous attendre,
pour votre liberté, ilotes modernes,
de ce ramassis de législateurs se réu-
nissant pour fabriquer de nouvelles
lois, alors que c'est la légalité qui,
consacrant l'épouvantable organisa-
tion moderne et la sanctionnant en
toutes circonstances, est le plus sûr,
on pourrait dire l'unique rempart de
toutes les iniquités, de toutes les ty-
rannies ?
Vous représentez-vous des loups se
réunissant à l'effet de s'entendre pour
manger moins gloutonnement les
inoffensives brebis?
Jamais, non jamais, dans ce siècle
d'incohérence et de contradiction, le
cynisme funambulesque n'avait at
teint des proportions aussi colos-
sales !
*
* *
Donc, ils ne peuvent rien faire ! Et
d'autres, camarades, seraient égale-
ment impuissants.
Cette conférence fût-elle provo-
quée par des prolétaires et n'y eût-il
dans cette assemblée que des repré-
sentants ouvriers, sa stérilité serait
non moins absolue.
Nombreux déjà ont été les congrès
ouvriers et il n'en est jamais rien
sorti de bon pour l'affranchisse-
ment.
C'est que les révolutions ne se font
ni par des lois, ni par des vœux, ni
par des discours ; seuls, les faits, les
actes de révolte ont une portée trans-
formatrice ; les paroles et les écrits
préparent, accélèrent indubitable-
Prix : ft Centimes
Du 22 au 29 mars 1890.
L'ATTAQUE 1
1
EDr g alle Ue b doxy»laL deLi v îÉa -A. Il eL Ir a U i s t e
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN. 5 fr.
Six MOIS 3 fr.
TROIS MOIS. 1 fr. 50
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du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
SALLE FAVIÉ
13, rue de Bellevilla
Dimanche 2 3 mars
A 1 IL 15 UHF. ET DEMIE
GRAND MEETING
Organisé par
le journal « L'ATTAQUE »
AT ET! LE CONCOURS DE
LOUISE MICHEL, TORTELlER, VIAUD
TENNEVIN, MERLINO
LEBOUCHER, BORDAT, BAUDELOT
MARTINET, SÉBASTIEN FAURE, MALATO
WEIL, GEGOUT, MOUGIN, etc.
o - Ordre du jw" t
LA CONFÉRENCE DE BERLIN
Sous prétexte de défendre nos intérêts,
les gouvernants do tous pays se liguent
contro lo prolétariat du monde ontior.
A la coalition des exploiteurs, opposons
celle des exploités.
Entrée : 0.30.
LA (MÊME DE BERLIN
Lézardé, chancelant, le monument
crasseux (le toutes les vieilles institu-
tions menace ruine.
Les demi-Dieux qui salissent de
leurs purulences les trônes vacillants ;
les grands hommes qui président aux
destinées des nations; les magiciens
de la parole qui électrisent les parle-
ments ; les pontifes austères qui créti-
nisent les masses; les hermineux in-
tègres qui rendent la justice ; les em-
panachés qui bâtissent leur renommée
sur des monceaux de cadavres; les
milliardaires dont les capricieuses
fantaisies disposent de la vie des fou-
les; tous ces êtres infâmes auxquels
l'imbécillité ,lacouardise et l'ignorance
ont attribué, depuis des siècles, du
génie, des vertus, des supériorités et
laissé usurper des privilèges mons-
trueux, tous ces hystériques de l'au-
toritè éprouvent les premiers frémis-
sements de la crise terrible qui doit
les emporter.
Percée à jour, béante; fracturée par
l'examen, la boîte chancreuse de leur
crâne exigu étale les perturbations et
les faiblesses de leur cerveau; tandis
que la révolte, mettant leurs vête-
ments en lambeaux, dévoile à l'œil
avide des opprimés les repoussantes
hideurs de ces gangréneux,
Défilez, monstres à face humaine,
passez un à un devant vos séculaires
victimes; qu'on jette à terre vos ori-
peaux lacérés pour que nous puissions
imprimer sur vos épaules la flétrissure
qui convient à chacun de vous :
Monarques : tyrans ;
Ministres : intrigants et laquais;
Parlementaires : menteurs;
Prêtres : hypocrites;
Magistrats : vendus;
Généraux : assassins ;
Richards : voleurs.
C'est la foule innombrable des mi-
séreux qui commence à vous connaî-
tre et vous baptise de la sorte.
Et tandis que les grands se minus-
culisent, tandis que les puissants per-
dent de leur prestige ; tandis que les
forts se laissent dépouiller graduelle-
ment de ce qui fait leur vigueur; tan-
dis que les maî tres ne peuvent sous-
traire leur pouvoir aux attaques sans
cesse plus vives, plus meurtrières,
plus précipitées, les petits grandis-
sent, les faibles se fortifient, les es-
claves brisent leurs chaînes, les op-
primés relèvent la tête, les victimes
se ruent sur les bourreaux.
Oh! qu'elles ont été cruelles les
soufTrances! qu'elles ont été doulou-
reuses les humiliations ! qu'ils ont été
désolés les siècles d'esclavage ! qu'elle
a été longue la nuit de l'ignorance !
Mais aujourd'hui la pensée s'épa-
nouit; le cerveau s'éclaire; le cœur se
dilate sous la chaleur de l'espérance;
l'individualité humaine s'affirme; la
dignité se réveille; la science des
droits imprescriptibles s'affermit et
s'épand; la vérité dompte l'erreur ; le
bien écrase le mal ; la justice triomphe
de l'iniquité.
Voici venir la révolution féconde,
la radieuse rénovation, le triomphe
de la nature !
Tel est en quelques coups de pin-
ceau et sans la moindre exagération
le tableau de la société européenne au
déclin du dix-neuvième siècle !
Il
Il Il
« Que faire pour empêcher cette
« chute d'une part, cette ascension de
CI l'autre?
« Qu'imaginer pour en ralentir tout
« au moins la vitesse croissante ?
« Que faire ?
« LA CONFÉRENCE DE BERLIN ! !
« Ah ! les déshérités commencent à
« demander impérieusement la part
« dont ils ont été frustrés?
« Ah ! les asservis osent réclamer
« virilement leur émancipation inté-
« grale?
« Ah ! les travailleurs menacent de
« reprendre par la violence les riches-
« ses, filles de leurs efforts et violées
« par les gouvernants et les capita-
« listes ?
« 11 est temps d'aviser.
« Convient-il de livrer bataille ?
« Non ! Ils seraient les plus forts, s'ils
« voulaient.
« Mettons à profit nos armes ordi-
« naires, cés armes dont, à travers
« les âges, l'histoire et la tradition
« nous ont appris à nous servir : la
« roublardise l'hypocrisie, Simulons
« habilement une tendresse toute
« fraternelle; ayons l'air de prendre
« un souci légitime de l'amélioration
« du sort de ces malheureux ; feignons
« pour leurs intérêts une paternelle
« sollicitude ; mettons à l'étude et, au
« besoin, prenons en considération.
« platonique les revendications qui
« semblent leur être communes. »
Comédie ! Comédie ! Comédie !
Et cette infâme comédie se joue en
ce moment même à Berlin !
Et tous les gouvernements se sont
empressés d'adhérer !
Et chacun d'eux a choisi pour re-
présenter les intérêts de son proléta-
riat son Jules Simon, son Burdeau
ou son Delahaye !
* *
Initiative prise par un assassin cou-
ronné, suivie par la portée inassou-
vissable de tous les chiens gouverne-
mentaux, approuvée par la bande des
politiciens de tous pays; encouragée
par la meute des détrousseurs paten-
tés : les capitalistes dévorants ; glori-
fiée par les sifflements, hurlements et
rugissements des reptiles, des loups
et des fauves qui composent la ména-
gerie des plumitifs allemands, fran-
çais, belges, anglais, russes, ita-
liens, etc., etc.
Que peuvent faire pour votre
mieux-être, frères de misère, tous
ces repus dont les volumineux abdo-
mens sont assaillis d'indigestions
parce que vos entrailles sont assié-
gées par la faim ? Que peuvent faire
pour votre bonheur, camarades de
chaînes, tous ces gouvernants, minis-
tres, sénateurs, députés, magistrats,
prêtres et soudards, dont l'unique
rôle consiste à vous pressurer d'im-
pôts, à vous accabler sous la rigueur
des lois, à farcir vos cerveaux de
préjugés qui engendrent la servitude
et étranglent la révolte, à vous trouer
la poitrine de balles ou de baïon-
nettes ? Que pouvez-vous attendre,
pour votre liberté, ilotes modernes,
de ce ramassis de législateurs se réu-
nissant pour fabriquer de nouvelles
lois, alors que c'est la légalité qui,
consacrant l'épouvantable organisa-
tion moderne et la sanctionnant en
toutes circonstances, est le plus sûr,
on pourrait dire l'unique rempart de
toutes les iniquités, de toutes les ty-
rannies ?
Vous représentez-vous des loups se
réunissant à l'effet de s'entendre pour
manger moins gloutonnement les
inoffensives brebis?
Jamais, non jamais, dans ce siècle
d'incohérence et de contradiction, le
cynisme funambulesque n'avait at
teint des proportions aussi colos-
sales !
*
* *
Donc, ils ne peuvent rien faire ! Et
d'autres, camarades, seraient égale-
ment impuissants.
Cette conférence fût-elle provo-
quée par des prolétaires et n'y eût-il
dans cette assemblée que des repré-
sentants ouvriers, sa stérilité serait
non moins absolue.
Nombreux déjà ont été les congrès
ouvriers et il n'en est jamais rien
sorti de bon pour l'affranchisse-
ment.
C'est que les révolutions ne se font
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