Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1890-03-08
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 08 mars 1890 08 mars 1890
Description : 1890/03/08 (A3,N62)-1890/03/15. 1890/03/08 (A3,N62)-1890/03/15.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242143h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
V
TROISIÈME ANNEE. — No 62 Prix : & Centime Du 8] au 15 mars 1890.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN 5 &'•
Six Mois 3 fr.
TnoIs MOIS 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
AVANT L'HEURE
An temps où je n'étais pas encore
anarchiste, tout en ayant de fortes
tendances à le devenir, un menuisier
qui a plus fait pour m'ouvrir les idées
que tous les cuistres de collège, me
disait :
« Vous verrez que ces socialistes
« autoritaires dont les menées jésui-
« tiques vous préoccupent si fort, au-
ront disparu au moment de la vraie
« révolution sociale, laquelle ne se
« fera que lorsque toutes ies formes
« bourgeoises auront été épuisées. Or,
« d'ici là, blanquistes et possibilistes
« auront évolué, se ralliant, selon
« leurs intérêts, aux divers partis po-
« litiques. Resteront debout les seuls
t anarchistes. »
Comme il prophétisait vrai, le ca-
marade! Quelle piteuse transforma
tion que celle de tous ces quatrième-
étatistes en condottieri à la remor-
que et à la solde de l'opportunisme ou
de la boulange !
Comme ils nous reviennent, ces
ogres partis en guerre, drapeau rouge
au vent, avec des rictus feroces de
Tranche-Montagne ! Les uns domesti-
qués, académiques, vidés comme ces
poissons à qui on a fait une si fâ-
cheuse réputation de morale ; les au-
tres ulcérés, furieux de voir toujours
fuir devant leurs yeux le siège si ar-
demment convoité et de se retrouver
Baslys comme la lune !
./! Et, chose remarquable, ce n'est pas
en France seulement que cette évolu-
i}/1 tion s'est produit chez les quatrième-
étatistes.
),\ En Allemagne où l'on marche à
l'empia qinon libéral, du moins so-
cialiste (pourquoi es-tu mort, ô Of-
fenbacli !) les Liebknecht et les Bebel
déplorent l'impatience d'en finir qui
se manifeste dans les couches profon-
des du prolétariat. « Qui peut dire,
écrit au tintamarresque Laur, un de
ces socialistes de papier mâché, ce qui
se passera si les émeuteséclatent dans
nos centres ouvriers! Liecbknecht
lui-même sera peut-être impuissant.
Il dit maintenant qu'il espère dans
l'initiative de l'empereur. C'est qu'en
réalité, il redoute une révolution trop
violente et trop soudaine. »
C'est-à-dire que, ralliés désormais
a César, les chefs « sozial-demokrats»
feront leur possible pour enrayer la
révolution qui menace de bondir par-
dessus leurs têtes. envoyant peut-
être leurs têtes fort loin.
Aussi les journaux belges et hollan-
dais annoncent-ils comme imminent
le retrait de la loi contre les socialistes
d'Allemagne, à laquelle serait simple-
ment substituée une autre loi un peu
plus draconienne contre les anar-
chistes.
Qu'il soit le bien venu et qu'il souf-
lle drû ce vent de persécution, si par
lui emportées dans villes et hameaux
tombent pour y germer nos idées
émancipatrices !
En Italie, tandis que l'éternel drame
de la faim se déroule dans les cam-
pagnes où les paysans rongés de pel-
lagre se disputent pour s'en nourrir,
les charognes grouillantes de vers,
l'opérette continue sous la coupole de
Monte-Citorio, accompagnée par le
tintement argentin de la sonnette pré-
sidentielle.
Ils sont là, tous les ci-devants fou-
gueux de la démocratie mazzinienne,
rivalisant aujourd'hui de servilité
monarchique. Seul, le revèche Im-
briani, — ne faut-il pas un repous-
soir ? — singe les Déroulède français,
tandis que l'honorable Costa, anar-
chiste - collectiviste - possibiliste -répu-
blicain (ce n'est pas un homme, c'est
un Parlement à lui seul!) distribue
des poignées de main à ses collègues,
des promesses à ses électeurs et des
discours aux mécontents et que le non
moins honorable Monetta, socialiste
du même gros numéro, pris d'un mé-
lancolique attendrissement sur les va-
nités de ce monde, célèbre les vertus
privéesolu feu duc d'Aoste.
Partout que de Joffrins !
Nous arrachant aux gamineries des
romantiques, aux ergotages sur les
abstractions pour enfin envisager les
faits, rompant avec la manie anti-li-
's
bertaire de formuler des dogmes pour
la société nouvelle et avec la contem-
plation messianique d'une révolution
inéluctable, mais qui ne sera viable
que si nous savons l'accoucher, com-
bien nous avons à labourer profond !
Ch. MALATO.
——————— + ———————
CHANSON D'ATTAQUE
Dans les Cours
Dans les cours, en haillons, n'ayant rien dans
[le ventre,
Je chante, tous les jours, des couplets saugrenus;
Et le soir, harrassé, je retourne à mon autre
Donner un peu de pain à mes enfants tout nus.
Quel plaisir de chanter ! Malheureux prolé-
taire !
Lorsque ma femme pleure auprès d'un nouveau né
Et lorsqu' hier encore on couch dans la terre,
— Par un ciel gris d'hiver, - de mes cinq fils
[l'ainé
Ehquoi ! faudra-t-il-donc sur un grabat depaille,
Toujours gémir en vain sans posséder un SOU;
Tandis que grassement le riche fait ripaille
lit se repose, aussi gavé qu'un homme saoul.
Tous les oiseaux de proie ont repaire et pâture
Le prolétaire seul, exploité sans retour,
Subit, en meurt de faim, sous son humble toit tire,
Les coups de bec crochu dit rapace vautour
Sans pudeur, un génie a chanté sur sa Ivre:
— « DOl/lle,- Celui qui donne au pauvre prête
[à Dieu » —,
Croyant ainsi river, i crapuleux délire 1
Tous les déshérités à leur fatal milieu.
Eh bien non, c'est fini. L'infâme bourgeeisie
Va disparaître enfin sous le rouge drapeau;
La canaille, agitant sa crinière noircie
Va bientôt, M'M pitié, lui charcuter la peau.
Alors l'Humanité, dans la paix éternelle,
Comme un lfeuve riant continuera son cours;
Et l'on ne verra plus, dans l'ére paternelle,
Les pauvresen haillons chanter de cours encours.
J.-F. BOUISSON.
e.
1
NOM DE DIEU, ATTENDEZ DONC !
Ah ! tenez, nous en sommes encore
tout chose ! Ça a failli être pour ce
coup-ci, le bonheur définitif !
C'était pas plus tard qu'avant hier.
Un député socialiste escaladait la
tribune parlementaire.
— « Bon, nous disions-nous, c'es
Dumay, cette fois ! L'ex-forçat des
bagnes du Creuzot, ce vieux frère de
misère va certainement forcer la
bourgeoisie de nous accorder le bien-
être que nous attendons depuis tant
de siècles ! »
Et, tout émotionné, avec ce quel-
quechose qu'on ne définit pas très
bien et qui vous fait drôle dans la
poitrine, nous nous étions mis en
posture de savourer abondamment la
bienfaisante parole qui allait couler
de ces lèvres amies.
Faut-il l'avouer '( nous ne nous sen-
tions pas bien et, ma foi, nous dési-
rions à ce moment qu'on retardât un
peu la chose, si c'était encore possi-
ble, car nous avions comme le vague
pressentiment que la fortune, nous
arrivant comme ça, tout d'un coup,
nous ferait du mal.
Dumay a compris, sans doute, no-
tre anxiété, car il s'est borné à dire
— c'était, croyons-nous, à propos de
l'élection de son ancien patron — que
« le devoir d'une Chambre est de faire
respecter la loi. »
Maintenant que nous sommes ren-
tré en possession de nos sens, nous
regrettons que ce redoutable adver-
saire de la bourgeoisie ait négligé de
parler de notre lamentable sort. 11
semble qu'on se serait vite fait à la
félicité.
Aussi bien, il ne sert de rien de tant
tergiverser : ne faudra-t-il tout de
même pas qu'on y passe ? Autant un
jour qu'un autre. Et puis, il en est du
bonheur comme de l'extraction d'une
molaire : plus ça se fait vite, mieux
ça vaut.
Somme toute, nous ne pouvons pas
plus en vouloir au possibiliste Dumay
de n'avoir causé que de l'honorabilité
du Parlement et du respect des lois,
que nous n'avons gardé rancune à
Cluseret et à Thivrier de ne s'être
préoccupés que de leur indemnité et
des lapins de garenne.
Il faudrait être aussi buse que deu.
académiciens et un possibiliste réunis
— supposition invraisemblable — pour
penser qu'un homme, par le seul fait
qu'il est socialiste, doit pouvoir parler
de plusieurs choses à la fois.
Non, voyez-vous, le moment n'était
pas opportun : comment entretenir
les gens de ceux qui souffrent, quand
il est question du Devoir d'une Cham-
bre qui se respecte ?
TROISIÈME ANNEE. — No 62 Prix : & Centime Du 8] au 15 mars 1890.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
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UN AN 5 &'•
Six Mois 3 fr.
TnoIs MOIS 1 fr. 50
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du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
AVANT L'HEURE
An temps où je n'étais pas encore
anarchiste, tout en ayant de fortes
tendances à le devenir, un menuisier
qui a plus fait pour m'ouvrir les idées
que tous les cuistres de collège, me
disait :
« Vous verrez que ces socialistes
« autoritaires dont les menées jésui-
« tiques vous préoccupent si fort, au-
ront disparu au moment de la vraie
« révolution sociale, laquelle ne se
« fera que lorsque toutes ies formes
« bourgeoises auront été épuisées. Or,
« d'ici là, blanquistes et possibilistes
« auront évolué, se ralliant, selon
« leurs intérêts, aux divers partis po-
« litiques. Resteront debout les seuls
t anarchistes. »
Comme il prophétisait vrai, le ca-
marade! Quelle piteuse transforma
tion que celle de tous ces quatrième-
étatistes en condottieri à la remor-
que et à la solde de l'opportunisme ou
de la boulange !
Comme ils nous reviennent, ces
ogres partis en guerre, drapeau rouge
au vent, avec des rictus feroces de
Tranche-Montagne ! Les uns domesti-
qués, académiques, vidés comme ces
poissons à qui on a fait une si fâ-
cheuse réputation de morale ; les au-
tres ulcérés, furieux de voir toujours
fuir devant leurs yeux le siège si ar-
demment convoité et de se retrouver
Baslys comme la lune !
./! Et, chose remarquable, ce n'est pas
en France seulement que cette évolu-
i}/1 tion s'est produit chez les quatrième-
étatistes.
),\ En Allemagne où l'on marche à
l'empia qinon libéral, du moins so-
cialiste (pourquoi es-tu mort, ô Of-
fenbacli !) les Liebknecht et les Bebel
déplorent l'impatience d'en finir qui
se manifeste dans les couches profon-
des du prolétariat. « Qui peut dire,
écrit au tintamarresque Laur, un de
ces socialistes de papier mâché, ce qui
se passera si les émeuteséclatent dans
nos centres ouvriers! Liecbknecht
lui-même sera peut-être impuissant.
Il dit maintenant qu'il espère dans
l'initiative de l'empereur. C'est qu'en
réalité, il redoute une révolution trop
violente et trop soudaine. »
C'est-à-dire que, ralliés désormais
a César, les chefs « sozial-demokrats»
feront leur possible pour enrayer la
révolution qui menace de bondir par-
dessus leurs têtes. envoyant peut-
être leurs têtes fort loin.
Aussi les journaux belges et hollan-
dais annoncent-ils comme imminent
le retrait de la loi contre les socialistes
d'Allemagne, à laquelle serait simple-
ment substituée une autre loi un peu
plus draconienne contre les anar-
chistes.
Qu'il soit le bien venu et qu'il souf-
lle drû ce vent de persécution, si par
lui emportées dans villes et hameaux
tombent pour y germer nos idées
émancipatrices !
En Italie, tandis que l'éternel drame
de la faim se déroule dans les cam-
pagnes où les paysans rongés de pel-
lagre se disputent pour s'en nourrir,
les charognes grouillantes de vers,
l'opérette continue sous la coupole de
Monte-Citorio, accompagnée par le
tintement argentin de la sonnette pré-
sidentielle.
Ils sont là, tous les ci-devants fou-
gueux de la démocratie mazzinienne,
rivalisant aujourd'hui de servilité
monarchique. Seul, le revèche Im-
briani, — ne faut-il pas un repous-
soir ? — singe les Déroulède français,
tandis que l'honorable Costa, anar-
chiste - collectiviste - possibiliste -répu-
blicain (ce n'est pas un homme, c'est
un Parlement à lui seul!) distribue
des poignées de main à ses collègues,
des promesses à ses électeurs et des
discours aux mécontents et que le non
moins honorable Monetta, socialiste
du même gros numéro, pris d'un mé-
lancolique attendrissement sur les va-
nités de ce monde, célèbre les vertus
privéesolu feu duc d'Aoste.
Partout que de Joffrins !
Nous arrachant aux gamineries des
romantiques, aux ergotages sur les
abstractions pour enfin envisager les
faits, rompant avec la manie anti-li-
's
bertaire de formuler des dogmes pour
la société nouvelle et avec la contem-
plation messianique d'une révolution
inéluctable, mais qui ne sera viable
que si nous savons l'accoucher, com-
bien nous avons à labourer profond !
Ch. MALATO.
——————— + ———————
CHANSON D'ATTAQUE
Dans les Cours
Dans les cours, en haillons, n'ayant rien dans
[le ventre,
Je chante, tous les jours, des couplets saugrenus;
Et le soir, harrassé, je retourne à mon autre
Donner un peu de pain à mes enfants tout nus.
Quel plaisir de chanter ! Malheureux prolé-
taire !
Lorsque ma femme pleure auprès d'un nouveau né
Et lorsqu' hier encore on couch dans la terre,
— Par un ciel gris d'hiver, - de mes cinq fils
[l'ainé
Ehquoi ! faudra-t-il-donc sur un grabat depaille,
Toujours gémir en vain sans posséder un SOU;
Tandis que grassement le riche fait ripaille
lit se repose, aussi gavé qu'un homme saoul.
Tous les oiseaux de proie ont repaire et pâture
Le prolétaire seul, exploité sans retour,
Subit, en meurt de faim, sous son humble toit tire,
Les coups de bec crochu dit rapace vautour
Sans pudeur, un génie a chanté sur sa Ivre:
— « DOl/lle,- Celui qui donne au pauvre prête
[à Dieu » —,
Croyant ainsi river, i crapuleux délire 1
Tous les déshérités à leur fatal milieu.
Eh bien non, c'est fini. L'infâme bourgeeisie
Va disparaître enfin sous le rouge drapeau;
La canaille, agitant sa crinière noircie
Va bientôt, M'M pitié, lui charcuter la peau.
Alors l'Humanité, dans la paix éternelle,
Comme un lfeuve riant continuera son cours;
Et l'on ne verra plus, dans l'ére paternelle,
Les pauvresen haillons chanter de cours encours.
J.-F. BOUISSON.
e.
1
NOM DE DIEU, ATTENDEZ DONC !
Ah ! tenez, nous en sommes encore
tout chose ! Ça a failli être pour ce
coup-ci, le bonheur définitif !
C'était pas plus tard qu'avant hier.
Un député socialiste escaladait la
tribune parlementaire.
— « Bon, nous disions-nous, c'es
Dumay, cette fois ! L'ex-forçat des
bagnes du Creuzot, ce vieux frère de
misère va certainement forcer la
bourgeoisie de nous accorder le bien-
être que nous attendons depuis tant
de siècles ! »
Et, tout émotionné, avec ce quel-
quechose qu'on ne définit pas très
bien et qui vous fait drôle dans la
poitrine, nous nous étions mis en
posture de savourer abondamment la
bienfaisante parole qui allait couler
de ces lèvres amies.
Faut-il l'avouer '( nous ne nous sen-
tions pas bien et, ma foi, nous dési-
rions à ce moment qu'on retardât un
peu la chose, si c'était encore possi-
ble, car nous avions comme le vague
pressentiment que la fortune, nous
arrivant comme ça, tout d'un coup,
nous ferait du mal.
Dumay a compris, sans doute, no-
tre anxiété, car il s'est borné à dire
— c'était, croyons-nous, à propos de
l'élection de son ancien patron — que
« le devoir d'une Chambre est de faire
respecter la loi. »
Maintenant que nous sommes ren-
tré en possession de nos sens, nous
regrettons que ce redoutable adver-
saire de la bourgeoisie ait négligé de
parler de notre lamentable sort. 11
semble qu'on se serait vite fait à la
félicité.
Aussi bien, il ne sert de rien de tant
tergiverser : ne faudra-t-il tout de
même pas qu'on y passe ? Autant un
jour qu'un autre. Et puis, il en est du
bonheur comme de l'extraction d'une
molaire : plus ça se fait vite, mieux
ça vaut.
Somme toute, nous ne pouvons pas
plus en vouloir au possibiliste Dumay
de n'avoir causé que de l'honorabilité
du Parlement et du respect des lois,
que nous n'avons gardé rancune à
Cluseret et à Thivrier de ne s'être
préoccupés que de leur indemnité et
des lapins de garenne.
Il faudrait être aussi buse que deu.
académiciens et un possibiliste réunis
— supposition invraisemblable — pour
penser qu'un homme, par le seul fait
qu'il est socialiste, doit pouvoir parler
de plusieurs choses à la fois.
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