Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1890-01-18
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 18 janvier 1890 18 janvier 1890
Description : 1890/01/18 (A3,N56)-1890/01/25. 1890/01/18 (A3,N56)-1890/01/25.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242137s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
TROISIÈME ANNEE. - N° 7ii Prix : & Centimes Du 18 au 25 janvier 1890.
9
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN. 5 IV.
Six Mois a fr.
Tuois MOIS 1 fr. 50
Les \nnonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 420
Secrétaire délègue : S. MOUGIN.
La Propagande par le fait
Un fait, — ou plus exactement une
série de faits — domine dans l'histoire
des peuples. v
C'est la guerre incessante des oppri-
més contre les oppresseurs, des escla-
ves contre les maîtres; c'est l'éternelle
lutte de l'humanité pour conquérir
son affranchissement, pour se rendre
libre.
Au nom de la liberté se sont soule-
vés les esclaves antiques; c'est au
nom de la liberté que se révoltèrent
les serfs du moyen-âge et que s'affran-
chitla bourgeoisie en 1789 : « liberté »,
telle est aussi le cri de ralliement du
prolétariat moderne.
Économique, politique, familiale ou
patronale, l'auiorité, dans toutes ses
bases, dans toutes ses manifestations,
sous toutes ses formes, doit être, par
tous ceux qui se disent révolution-
naires, sapée, brisée, anéantie.
La force matérielle qui la soutient
cédera sous la poussée formidable des
révoltés se levant en masse, mais pour
en arriver là, pour" que cet effort col-
lectif se produise, il faut que des actes
de révolte individuels, détruisent la
force morale : les préjugés.
«L'autorité économique » — c'est-à-
dire le capital — serait bientôt dé-
truite si le préjugé de la propriété in-
dividuelle n'empêchait le prolétariat
de faire l'effort qui lui assurera fata-
lement la victoire.
De même «l'autorité politique» qui
repose bien moins sur la force armée
que sur les erreurs soigneusement en-
tretenues dans les masses, telles que
le Parlementarisme et le Patriotisme.
« L'autorité familiale » ! Qui la res-
pecterait encore, si la morale bour-
geoise, n'était pas là pour fausser les
cerveaux et les cœurs?
Et faire comprendre aux travail-
leurs leurs véritables intérêts, n'est-
ce pas attaquer dans sa base « l'auto-
rité patronale? 1
Pour détruire les préjugés, c'est-à-
dire pour faire l'éducation révolution-
naire du peuple, les anarchistes ne se
bornent pas à la propagande théori-
que, qui serait insuffisante et ineflt-
cace si des actes individuels ne se
commettaient pas, démontrant la né-
cessité et la légitimité de la révolte.
Ces actes constituent la propagande
par le fait.
Appliquée à la destruction de la
propriété, cette propagande découle
des reprises partielles, nécessaires
pour opposer la logique anarchiste à
la mensongère économie bourgeoise.
Dans le domaine politique, ce sont
- depuis la désobéissance à un sergot
jusqu'à l'incendie d'un Palais d'Hiver,
par exemple — toutes les actions
ayant comme résultat la destruction
du respect pour les maîtres.
La Famille no saurait jamais être
détruite si d'ores et déjà l'amour li-
bre n'était pratiqué.
Ne jamais consentir, si forte que
soit la passion qui vous y invite, à
« s'unir » ou plutôt à se lier; s'inscrire
en faux contre ce sentiment bourgeois,
c'est-à-dire fourbe et hypocrite on ver-
tu duquel une femme est déclarée hon-
nète si,lorsque mille nuits consécutives
elle fait lit commun avec un homme
qu'elle peut ne pas aimer, et mépri-
sée, vouée aux anathème», si en toute
liberté elle se donne à vingt amants
en vingt jours; ne faire intervenir en
aucune façon les intérêts domesti-
ques dans les rapprochements; ne
pas prendre d'engagemént de durée
ou de fidélité; n'écouter que ses sens
et l'esprit révolutionnaire sans s'ar-
rêter aux inconvénients que produi-
sent toujou rs et dans tous les cas les
actes de révolte , voilà en quoi con-
sisle la pratique de l'amour libre.
Si la force matérielle est commune
à toutes les formes de l'autorité, il
n'en n'est pas de même de la force
morale; les préjugés sont multiples,
et tous doivent être simultanément
combattus.
Serait-elle jamais possible cette
grève générale nécessaire à la vic-
toire, si des grèves partielles, pour-
tant sans résultats immédiats, n'y
préparaient les esprits ?
De môme qu'un ouvrier abandon-
nant un atelier, détermine quelquefois
un départ collectif, ainsi une grève
limitée d'abord a une usine s'étend à
une corporation, aux corporations
similaires, à une région, à plusieurs
pays.
La révolution triomphera le jour
où l'autorité patronale sera renversée
partout à la fois, parce que au fur et
à mesure que se sera étendu le mé-
contentement, l'esprit de révolte se
sera développé. Les masses rebelles
un moment aux idées révolutionnai-
res les auront peu a peu reconnues
conformes à leurs intérêts. Des actes
de révolte individuels d'abord, col-
lectifs ensuite se seront produits et
l'autorité ayant subi déjà des attaques
de toutes sortes, n'étant plus respec-
tée dans aucune de ses manifesta-
lions, sera réduite à merci.
Plus de capitalistes, plus de patrons,
plus de gouvernement, plus de fa-
mille.
Ce sera la liberté, ce sera l'anar-
chie.
LUCIEN WEIL.
POÉSIE D'ATTAQUE
ANARCHIE
Sans soucis do nos lendemains,
En tirailleurs à l'aventure,!
A la Société future
Nous frayons de larges chemins ;
Et, nouvelle iconomachie.
Atravers la foule avachie
En troupe, jamais en troupeau
Nous allons sans chef, sans drapeau,
A l'anarchie !
Oui, nous sommes les francs-routiers,
Les loqueteux que la misère
N'a pas pourris, mais qu'elle enserre
Et nous venons, nous. héritiers
Des martyrs perclus des géhennes
Semer les colères prochaines.
Les cupides sociétés
Font do nous des déshérités.
Faisons des haines 1
Des archaïques monuments
Qu'on nous sert encore en des livres,
0 Vérité ! tu nous délivres !
Non, plus do ces faux sentiments.
De lois, nous n'en voulons connaître
Des dicùx ? Où pourrions-nous les mettre ?
Nos lois '? La solidarité,
La libre entente, l'équité,
Ni dieux, ni maîtro !
Droit au travail ! Ah ! c'est assez
De vos insipides formules
Et vous nous semblez ridicules
Devant les labeurs amassés.
Non, le travailleur en détresse
Ne veut plus augmenter la graisse
Des repus ; il veut, cette fois,
Hardiment reprendre ses droits
A la paresse.
Penses-tu vivre encor longtemps,
Dis, Famille ? Non, tu to noios
Dans l'océan où tu tournoies
Au milieu des événements ; ;
Ton sein ? hélas 1 tout y fourmille
Putride comme la guenille :
Droit, intérêt, autorité.
La famille sans liberté ? j •
Pas do famille ;
On nous parle d'honnôtetél. :' : .,'
Nous entendons craquer la poutre ; ;
Qui soutient toujours la vieille outre ,,':
Qu'ou appelle propriété.
Quand la part de chacun trop bréve
Ne montre la soupe qu'en rêve • f
Au travailleur: à cet aspect
Pour la vieille eutre sans respect
liali ! qu'on la crève !
Ouvrons nos cœurs, tendons les mains
Aux peuples parqués en frontières,
Combattons les goules altières
Qui vivent du sang des humains.
Los hommes de ces boucheries
Sont las et leurs âmes meurtries
N'aspirent qu'à la vérité.
Ils n'aiment que l'Humanité.
Pas de Patries !
Sans soucis de nos lendemains,
En tirailleurs à l'avonture,
A la société future
Nous frayons de larges chomins ;
Et, nouvelle iconomachie,
A travers la foule avachie
En troupe, jamais en troupeau
Nous allons sans chef, sans drapeau
A l'anarchie 1
A. PERCHERON.
LE CHATIMENT
On vient d'assister à un spectacle
douloureusement grotesque et bienfait
pour ouvrir les yeux aux naïfs qui ont
ont encore la religion des grands noms
et le respect des états-majors.
C'est au Père-Lachaise que cela s'est
passé. Les deux fractions blanquistes,
—la césarienne et la « socialiste, » se
sont rendues à trois jours d'intervalle
sur la tombe de l'homme qu'elles ont
divinisé sans douta parce que, le pre-
mier, il a crié « Ni dieu ni maître 1 »
9
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN. 5 IV.
Six Mois a fr.
Tuois MOIS 1 fr. 50
Les \nnonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 420
Secrétaire délègue : S. MOUGIN.
La Propagande par le fait
Un fait, — ou plus exactement une
série de faits — domine dans l'histoire
des peuples. v
C'est la guerre incessante des oppri-
més contre les oppresseurs, des escla-
ves contre les maîtres; c'est l'éternelle
lutte de l'humanité pour conquérir
son affranchissement, pour se rendre
libre.
Au nom de la liberté se sont soule-
vés les esclaves antiques; c'est au
nom de la liberté que se révoltèrent
les serfs du moyen-âge et que s'affran-
chitla bourgeoisie en 1789 : « liberté »,
telle est aussi le cri de ralliement du
prolétariat moderne.
Économique, politique, familiale ou
patronale, l'auiorité, dans toutes ses
bases, dans toutes ses manifestations,
sous toutes ses formes, doit être, par
tous ceux qui se disent révolution-
naires, sapée, brisée, anéantie.
La force matérielle qui la soutient
cédera sous la poussée formidable des
révoltés se levant en masse, mais pour
en arriver là, pour" que cet effort col-
lectif se produise, il faut que des actes
de révolte individuels, détruisent la
force morale : les préjugés.
«L'autorité économique » — c'est-à-
dire le capital — serait bientôt dé-
truite si le préjugé de la propriété in-
dividuelle n'empêchait le prolétariat
de faire l'effort qui lui assurera fata-
lement la victoire.
De même «l'autorité politique» qui
repose bien moins sur la force armée
que sur les erreurs soigneusement en-
tretenues dans les masses, telles que
le Parlementarisme et le Patriotisme.
« L'autorité familiale » ! Qui la res-
pecterait encore, si la morale bour-
geoise, n'était pas là pour fausser les
cerveaux et les cœurs?
Et faire comprendre aux travail-
leurs leurs véritables intérêts, n'est-
ce pas attaquer dans sa base « l'auto-
rité patronale? 1
Pour détruire les préjugés, c'est-à-
dire pour faire l'éducation révolution-
naire du peuple, les anarchistes ne se
bornent pas à la propagande théori-
que, qui serait insuffisante et ineflt-
cace si des actes individuels ne se
commettaient pas, démontrant la né-
cessité et la légitimité de la révolte.
Ces actes constituent la propagande
par le fait.
Appliquée à la destruction de la
propriété, cette propagande découle
des reprises partielles, nécessaires
pour opposer la logique anarchiste à
la mensongère économie bourgeoise.
Dans le domaine politique, ce sont
- depuis la désobéissance à un sergot
jusqu'à l'incendie d'un Palais d'Hiver,
par exemple — toutes les actions
ayant comme résultat la destruction
du respect pour les maîtres.
La Famille no saurait jamais être
détruite si d'ores et déjà l'amour li-
bre n'était pratiqué.
Ne jamais consentir, si forte que
soit la passion qui vous y invite, à
« s'unir » ou plutôt à se lier; s'inscrire
en faux contre ce sentiment bourgeois,
c'est-à-dire fourbe et hypocrite on ver-
tu duquel une femme est déclarée hon-
nète si,lorsque mille nuits consécutives
elle fait lit commun avec un homme
qu'elle peut ne pas aimer, et mépri-
sée, vouée aux anathème», si en toute
liberté elle se donne à vingt amants
en vingt jours; ne faire intervenir en
aucune façon les intérêts domesti-
ques dans les rapprochements; ne
pas prendre d'engagemént de durée
ou de fidélité; n'écouter que ses sens
et l'esprit révolutionnaire sans s'ar-
rêter aux inconvénients que produi-
sent toujou rs et dans tous les cas les
actes de révolte , voilà en quoi con-
sisle la pratique de l'amour libre.
Si la force matérielle est commune
à toutes les formes de l'autorité, il
n'en n'est pas de même de la force
morale; les préjugés sont multiples,
et tous doivent être simultanément
combattus.
Serait-elle jamais possible cette
grève générale nécessaire à la vic-
toire, si des grèves partielles, pour-
tant sans résultats immédiats, n'y
préparaient les esprits ?
De môme qu'un ouvrier abandon-
nant un atelier, détermine quelquefois
un départ collectif, ainsi une grève
limitée d'abord a une usine s'étend à
une corporation, aux corporations
similaires, à une région, à plusieurs
pays.
La révolution triomphera le jour
où l'autorité patronale sera renversée
partout à la fois, parce que au fur et
à mesure que se sera étendu le mé-
contentement, l'esprit de révolte se
sera développé. Les masses rebelles
un moment aux idées révolutionnai-
res les auront peu a peu reconnues
conformes à leurs intérêts. Des actes
de révolte individuels d'abord, col-
lectifs ensuite se seront produits et
l'autorité ayant subi déjà des attaques
de toutes sortes, n'étant plus respec-
tée dans aucune de ses manifesta-
lions, sera réduite à merci.
Plus de capitalistes, plus de patrons,
plus de gouvernement, plus de fa-
mille.
Ce sera la liberté, ce sera l'anar-
chie.
LUCIEN WEIL.
POÉSIE D'ATTAQUE
ANARCHIE
Sans soucis do nos lendemains,
En tirailleurs à l'aventure,!
A la Société future
Nous frayons de larges chemins ;
Et, nouvelle iconomachie.
Atravers la foule avachie
En troupe, jamais en troupeau
Nous allons sans chef, sans drapeau,
A l'anarchie !
Oui, nous sommes les francs-routiers,
Les loqueteux que la misère
N'a pas pourris, mais qu'elle enserre
Et nous venons, nous. héritiers
Des martyrs perclus des géhennes
Semer les colères prochaines.
Les cupides sociétés
Font do nous des déshérités.
Faisons des haines 1
Des archaïques monuments
Qu'on nous sert encore en des livres,
0 Vérité ! tu nous délivres !
Non, plus do ces faux sentiments.
De lois, nous n'en voulons connaître
Des dicùx ? Où pourrions-nous les mettre ?
Nos lois '? La solidarité,
La libre entente, l'équité,
Ni dieux, ni maîtro !
Droit au travail ! Ah ! c'est assez
De vos insipides formules
Et vous nous semblez ridicules
Devant les labeurs amassés.
Non, le travailleur en détresse
Ne veut plus augmenter la graisse
Des repus ; il veut, cette fois,
Hardiment reprendre ses droits
A la paresse.
Penses-tu vivre encor longtemps,
Dis, Famille ? Non, tu to noios
Dans l'océan où tu tournoies
Au milieu des événements ; ;
Ton sein ? hélas 1 tout y fourmille
Putride comme la guenille :
Droit, intérêt, autorité.
La famille sans liberté ? j •
Pas do famille ;
On nous parle d'honnôtetél. :' : .,'
Nous entendons craquer la poutre ; ;
Qui soutient toujours la vieille outre ,,':
Qu'ou appelle propriété.
Quand la part de chacun trop bréve
Ne montre la soupe qu'en rêve • f
Au travailleur: à cet aspect
Pour la vieille eutre sans respect
liali ! qu'on la crève !
Ouvrons nos cœurs, tendons les mains
Aux peuples parqués en frontières,
Combattons les goules altières
Qui vivent du sang des humains.
Los hommes de ces boucheries
Sont las et leurs âmes meurtries
N'aspirent qu'à la vérité.
Ils n'aiment que l'Humanité.
Pas de Patries !
Sans soucis de nos lendemains,
En tirailleurs à l'avonture,
A la société future
Nous frayons de larges chomins ;
Et, nouvelle iconomachie,
A travers la foule avachie
En troupe, jamais en troupeau
Nous allons sans chef, sans drapeau
A l'anarchie 1
A. PERCHERON.
LE CHATIMENT
On vient d'assister à un spectacle
douloureusement grotesque et bienfait
pour ouvrir les yeux aux naïfs qui ont
ont encore la religion des grands noms
et le respect des états-majors.
C'est au Père-Lachaise que cela s'est
passé. Les deux fractions blanquistes,
—la césarienne et la « socialiste, » se
sont rendues à trois jours d'intervalle
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