Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-12-28
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 28 décembre 1889 28 décembre 1889
Description : 1889/12/28 (A3,N55)-1890/01/04. 1889/12/28 (A3,N55)-1890/01/04.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242136c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
TROISIÈME ANNEE. — N° 5j
Prix : 5 Centimes
Du 28 Décembre 1889 au 4 janvier 1890.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN. » fr.
Six Mois. «.t fr.
Trois Mois. 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
LA GRÈVE GÉNÉRALE
Nous entendons par « Grève géné-
« l'aie » la cessation complète de toute
« production dans toutes les branches
« de l'activité humaine. » Toule grève
qui ne remplira pas ces conditions
sera plus ou moins partielle, mais ne
sera pas générale.
Il faut entendre les pseudo-socia-
listes du Palais-Bourbon et les naïfs
qui se traînent à leur remorque, se
demander « gravement » s'il est pos-
sible «d'organiser » la grève générale.
Roublards, les premiers; ignorants,
-des seconds.
Pas plus que la Révolution sociale
on n' « organise » un mouvement
d'ensemble aussi gigantesque que l'ar-
rêt complet et simultané du travail.
Ces convulsions formidables : révo-
lution sociale ou grève générale, les
faits, les circonstances, les événe-
ments seuls les enfantent, les fatali-
sent. ,-
Eh bien ! compagnons, la grève gé-
nérale est aussi inéluctable que la Ré-
volution dont elle ne se sépare pas.
Voici pourquoi :
On peut remarquer que la grève
éclate fréquemment dans certaines
corporations, rarement dansd'autres,
jamais dans quelques-unes.
Les corporations qui y échappent
sont toiit naturellement celles dont
les salaires sont les plus élevés ; les
ouvriers qui sont soumis au travail le
plus pénible, le plus répugnant et le
moins rétribué, sont ceux qui devien-
nent le plus souvent grévistes.
Conclusion : le mécontentement est
père de la grève. Tant qu'il sera par-
tiel, partielle sera la grève ; lorsque,
les différences de salaire et de traite-
ment ayant disparu, le mécontente-
ment sera devenu général, la grève
deviendra aussi générale.
Quel contrat peut intervenir entre
le travailleur à 10 fr. par jour et le
manœuvre à 2 fr. 50?
Pourquoi le premier qui, bien vêtu,
confortablement nourri et convena-
blement logé, se considère comme un
petit bourgeois, joindrait-il ses plain-
tes au second et ferait-il « grève com-
mune » avec lui?
« Solidarité » ! clament les roublards
et les niais qui ignorent ou font sem-
blant d'ignorer qu'il n'y a jamais eu
et ne peut exister d'autre solidarité
efficace, loyale et durable que celle
qui résulte d'une communauté de
souffrances ou d'intérêts !
Mais que le privilégié voie peu à peu
son salaire diminuer jusqu'à concur-
rence de la journée du manœuvre;
et alors l'entente se fait sans effort,
elle s'impose d'elle-même. Qui se
révolte faiblement a la pensée des
douleurs supportées par autrui s'in-
surge virilement sous les souffrances
de la torture qui lui est infligée.
Or, ces différences de salaires, ces
inégalités matérielles entro produc-
teurs de même et de diverses catégo-
ries, tendent à disparaître sous l'ef-
fort de ce que les bourgeois appellent
sauvagement le progrès. L' « unifica-
tion » des salaires sera la caractéristi-
que de cette fin de siècle, et l'unifica-
tion des salaires, c'est la grève géné-
rale, c'est la Révolution, c'est l'affran-
chissement intégral. -
Mais il faut expliquer clairement
cette tendance vers l' « égalisation »
des salaires.
Si la « marchandise-travail bijou-
tier, typographe, mécanicien » est
mieux payée que la «marchandise-tra-
vail mineur, terrassier, manœuvre »,
c'est que le prix de revient de celle-ci
est inférieur au coût brut de celle-là.
On ne s'improvise pas mécanicien,
typographe ou bijoutier ; ces profes-
sions nécessitent un apprentissage et
si ce dernier coûte cinq, dix ou quinze
mille francs, ces sommes rentrant
dans le prix de revient du 1 produit
mécanicien ou bijoutier », ce produit
est payé logiquement plus cher par l'a-
cheteur, c'est-à-dire le patron capita-
ilste.
Tandis qu'on peut du soir au lende-
main, sans apprentissage ou, en tous
cas, sans connaissances techniques
spéciales, s'embaucher comme ma-
nœuvre ou terrassier. De la, logique-
ment encore, sous régime capitaliste,
infériorité de salaire.
Mais le régime bourgeois porte en
lui-même les éléments de sa propre
désorganisation.
Les applications de la science à
l'industrie ont de plus en plus pour
résultats :
u la suppression de l'artisan et son
remplacement par le simple surveil-
lant ou conducteur de machine. La
mécanique se généralisant et se per-
fectionnant chaque jour, concurrencie
l'ouvrier-artiste, rend inutile tout ap-
prentissage dispendieux, et assimile
de plus en plus le producteur à 10 fr.
par jour au manœuvre à cinquante
sous.
De là, disparition des inégalités de
salaires, « tendance vers leur unifica-
Lion.
20 l'avilissement des salaires dans
toutes les corporations, grâce à l'at-
lluence énorme de bras créée par
l'extension du machinisme.
Voit-on clairement maintenant les
conséquences de ce double résultat :
plus d'aristocratie ouvrière, résistant
à la poussée générale vers la révolte;
les barrières de corporations à corpo-
rations, naguère infranchissables et
tombant peu à peu sous les coups réi-
térés du progrès scientifique ; toutes
les industries (ô puissance prodigieuse
du communisme quand même!), se
pénétrant les unes les autres; les ou-
vriers désormais sans profession dé-
terminée passant tour à tour de la
terre à l'usine, de l'usine à la mine,
de la mine à l'atelier, de l'atelier au
chantier ; les salaires réduits à leur
minimum et la misère poussée à son
maximum se cramponnant au produc-
teur avec une ténacité désespérante!
Mais ces résultats ne se produiront
pas sans qu'à chaque abaissement de
salaire, des grèves aient éclaté, et
chacune d'elle revêtira un caractère
plus général et plus violent que la pré-
cédente, parce que chacune sera le
cri aigu d'une misère plus générale eL
plus intense, d'une colère plus vive et
plus commune, d'une indignation plus
large et plus profonde.
En même temps que le peuple, las
de souffrir et révolté fera ainsi son
apprentissage de l'insurrection, que
les émeutes réprimées succéderont
aux soulèvements écrasés, et les ba-
garres vaincues aux grèves terras-
sées, l'esprit de solidarité pénétrera
chaque jour davantage les masses
fouettées par l'autorité, meurtries par
la propriété.
Consentira-t-on alors à crever de
misère en travaillant ?
Non, n'est-ce pas ! Eh bien ! ce sera
la grève, la grève générale, la Révo-
lution universelle !
Et nous ajoutons: la révolution for-
cément victorieuse, triomphante !
Parce que la grève générale écla-
tant dans ces conditions, et ne pou-
vant pas se produire autrement, les
caisses ouvrières seront vides et les
grévistes sachant qu'ils n'ont pas à
compter sur les subsides qu'ils atten-
dent aujourd'hui de leurs frères de
travail, se rueront fatalement Isur la
propriété, mettront les magasins au
pillage, s'empareront des approvision-
nements, s'habitueront à prendre où
il y a et à se servir eux-mêmes!
Et le pouvoir qui, dans les grèves
partielles, concentre des troupes sur
le point menaçant, se voyant débordé
de toutes parts, en face d'insurgés
ici, la et ailleurs, de révoltés au nord,
au midi, à l'est, à l'ouest, au centre,
partout, le pouvoir, désarçonné,
tombera enfin, impuissant, épeuré,
vaincu, sous les coups de ces millions
d'esclaves devenus tout à coup des
hommes libres par la révolte !
Sébastien FAURE,
CHANSON D'ATTAQUE
Plus de maîtres !
Républicains, radicaux-socialistes,
Affreux blagueurs qui voulez être élus,
Vous êtes tous de cyniques fumistes,
Et l'ouvrier ne vous écoute plus.
Aussi violent que soit votre programme,
Il doit un jour être mis de côté;
Notre drapeau vous sert pour la réclame;
Votre seul but, c'est d'être député.
Plus d'élus 1 Plus de candidats 1
Donnons libre essor à nos haines.
Livrons les suprêmes combats,
Si nous voulons briser nos chaînes.
Les candidats viennent — ces bons apôtres —
Nous crier : « Peuple, il faut voter pour moi;
« Je suis bon 1 Je vaux mieux que Ils autres !
« En ta faveur je voterai des lois. »
De toute loi la seule raison d'être,
Prix : 5 Centimes
Du 28 Décembre 1889 au 4 janvier 1890.
L'ATTAQUE
Organe hebdomadaire Anarchiste
PARAISSANT LE SAMEDI
ABONNEMENTS
UN AN. » fr.
Six Mois. «.t fr.
Trois Mois. 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
LA GRÈVE GÉNÉRALE
Nous entendons par « Grève géné-
« l'aie » la cessation complète de toute
« production dans toutes les branches
« de l'activité humaine. » Toule grève
qui ne remplira pas ces conditions
sera plus ou moins partielle, mais ne
sera pas générale.
Il faut entendre les pseudo-socia-
listes du Palais-Bourbon et les naïfs
qui se traînent à leur remorque, se
demander « gravement » s'il est pos-
sible «d'organiser » la grève générale.
Roublards, les premiers; ignorants,
-des seconds.
Pas plus que la Révolution sociale
on n' « organise » un mouvement
d'ensemble aussi gigantesque que l'ar-
rêt complet et simultané du travail.
Ces convulsions formidables : révo-
lution sociale ou grève générale, les
faits, les circonstances, les événe-
ments seuls les enfantent, les fatali-
sent. ,-
Eh bien ! compagnons, la grève gé-
nérale est aussi inéluctable que la Ré-
volution dont elle ne se sépare pas.
Voici pourquoi :
On peut remarquer que la grève
éclate fréquemment dans certaines
corporations, rarement dansd'autres,
jamais dans quelques-unes.
Les corporations qui y échappent
sont toiit naturellement celles dont
les salaires sont les plus élevés ; les
ouvriers qui sont soumis au travail le
plus pénible, le plus répugnant et le
moins rétribué, sont ceux qui devien-
nent le plus souvent grévistes.
Conclusion : le mécontentement est
père de la grève. Tant qu'il sera par-
tiel, partielle sera la grève ; lorsque,
les différences de salaire et de traite-
ment ayant disparu, le mécontente-
ment sera devenu général, la grève
deviendra aussi générale.
Quel contrat peut intervenir entre
le travailleur à 10 fr. par jour et le
manœuvre à 2 fr. 50?
Pourquoi le premier qui, bien vêtu,
confortablement nourri et convena-
blement logé, se considère comme un
petit bourgeois, joindrait-il ses plain-
tes au second et ferait-il « grève com-
mune » avec lui?
« Solidarité » ! clament les roublards
et les niais qui ignorent ou font sem-
blant d'ignorer qu'il n'y a jamais eu
et ne peut exister d'autre solidarité
efficace, loyale et durable que celle
qui résulte d'une communauté de
souffrances ou d'intérêts !
Mais que le privilégié voie peu à peu
son salaire diminuer jusqu'à concur-
rence de la journée du manœuvre;
et alors l'entente se fait sans effort,
elle s'impose d'elle-même. Qui se
révolte faiblement a la pensée des
douleurs supportées par autrui s'in-
surge virilement sous les souffrances
de la torture qui lui est infligée.
Or, ces différences de salaires, ces
inégalités matérielles entro produc-
teurs de même et de diverses catégo-
ries, tendent à disparaître sous l'ef-
fort de ce que les bourgeois appellent
sauvagement le progrès. L' « unifica-
tion » des salaires sera la caractéristi-
que de cette fin de siècle, et l'unifica-
tion des salaires, c'est la grève géné-
rale, c'est la Révolution, c'est l'affran-
chissement intégral. -
Mais il faut expliquer clairement
cette tendance vers l' « égalisation »
des salaires.
Si la « marchandise-travail bijou-
tier, typographe, mécanicien » est
mieux payée que la «marchandise-tra-
vail mineur, terrassier, manœuvre »,
c'est que le prix de revient de celle-ci
est inférieur au coût brut de celle-là.
On ne s'improvise pas mécanicien,
typographe ou bijoutier ; ces profes-
sions nécessitent un apprentissage et
si ce dernier coûte cinq, dix ou quinze
mille francs, ces sommes rentrant
dans le prix de revient du 1 produit
mécanicien ou bijoutier », ce produit
est payé logiquement plus cher par l'a-
cheteur, c'est-à-dire le patron capita-
ilste.
Tandis qu'on peut du soir au lende-
main, sans apprentissage ou, en tous
cas, sans connaissances techniques
spéciales, s'embaucher comme ma-
nœuvre ou terrassier. De la, logique-
ment encore, sous régime capitaliste,
infériorité de salaire.
Mais le régime bourgeois porte en
lui-même les éléments de sa propre
désorganisation.
Les applications de la science à
l'industrie ont de plus en plus pour
résultats :
u la suppression de l'artisan et son
remplacement par le simple surveil-
lant ou conducteur de machine. La
mécanique se généralisant et se per-
fectionnant chaque jour, concurrencie
l'ouvrier-artiste, rend inutile tout ap-
prentissage dispendieux, et assimile
de plus en plus le producteur à 10 fr.
par jour au manœuvre à cinquante
sous.
De là, disparition des inégalités de
salaires, « tendance vers leur unifica-
Lion.
20 l'avilissement des salaires dans
toutes les corporations, grâce à l'at-
lluence énorme de bras créée par
l'extension du machinisme.
Voit-on clairement maintenant les
conséquences de ce double résultat :
plus d'aristocratie ouvrière, résistant
à la poussée générale vers la révolte;
les barrières de corporations à corpo-
rations, naguère infranchissables et
tombant peu à peu sous les coups réi-
térés du progrès scientifique ; toutes
les industries (ô puissance prodigieuse
du communisme quand même!), se
pénétrant les unes les autres; les ou-
vriers désormais sans profession dé-
terminée passant tour à tour de la
terre à l'usine, de l'usine à la mine,
de la mine à l'atelier, de l'atelier au
chantier ; les salaires réduits à leur
minimum et la misère poussée à son
maximum se cramponnant au produc-
teur avec une ténacité désespérante!
Mais ces résultats ne se produiront
pas sans qu'à chaque abaissement de
salaire, des grèves aient éclaté, et
chacune d'elle revêtira un caractère
plus général et plus violent que la pré-
cédente, parce que chacune sera le
cri aigu d'une misère plus générale eL
plus intense, d'une colère plus vive et
plus commune, d'une indignation plus
large et plus profonde.
En même temps que le peuple, las
de souffrir et révolté fera ainsi son
apprentissage de l'insurrection, que
les émeutes réprimées succéderont
aux soulèvements écrasés, et les ba-
garres vaincues aux grèves terras-
sées, l'esprit de solidarité pénétrera
chaque jour davantage les masses
fouettées par l'autorité, meurtries par
la propriété.
Consentira-t-on alors à crever de
misère en travaillant ?
Non, n'est-ce pas ! Eh bien ! ce sera
la grève, la grève générale, la Révo-
lution universelle !
Et nous ajoutons: la révolution for-
cément victorieuse, triomphante !
Parce que la grève générale écla-
tant dans ces conditions, et ne pou-
vant pas se produire autrement, les
caisses ouvrières seront vides et les
grévistes sachant qu'ils n'ont pas à
compter sur les subsides qu'ils atten-
dent aujourd'hui de leurs frères de
travail, se rueront fatalement Isur la
propriété, mettront les magasins au
pillage, s'empareront des approvision-
nements, s'habitueront à prendre où
il y a et à se servir eux-mêmes!
Et le pouvoir qui, dans les grèves
partielles, concentre des troupes sur
le point menaçant, se voyant débordé
de toutes parts, en face d'insurgés
ici, la et ailleurs, de révoltés au nord,
au midi, à l'est, à l'ouest, au centre,
partout, le pouvoir, désarçonné,
tombera enfin, impuissant, épeuré,
vaincu, sous les coups de ces millions
d'esclaves devenus tout à coup des
hommes libres par la révolte !
Sébastien FAURE,
CHANSON D'ATTAQUE
Plus de maîtres !
Républicains, radicaux-socialistes,
Affreux blagueurs qui voulez être élus,
Vous êtes tous de cyniques fumistes,
Et l'ouvrier ne vous écoute plus.
Aussi violent que soit votre programme,
Il doit un jour être mis de côté;
Notre drapeau vous sert pour la réclame;
Votre seul but, c'est d'être député.
Plus d'élus 1 Plus de candidats 1
Donnons libre essor à nos haines.
Livrons les suprêmes combats,
Si nous voulons briser nos chaînes.
Les candidats viennent — ces bons apôtres —
Nous crier : « Peuple, il faut voter pour moi;
« Je suis bon 1 Je vaux mieux que Ils autres !
« En ta faveur je voterai des lois. »
De toute loi la seule raison d'être,
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