Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-06-15
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 15 juin 1889 15 juin 1889
Description : 1889/06/15 (A2,N43)-1889/06/22. 1889/06/15 (A2,N43)-1889/06/22.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242125k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIÈME ANNÉE. — Numéro lo * Paris : 10 Centimes
I)u 1"> au 22 Juin 1889
, , L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolution n aire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN S fr.
Six MOIS A fr.
TROIS MOIS f fr. 5©
Les Annonces sont traitées à forfait aux bun aux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
Nous annonçons à nos correspon-
dants que les bureaux de l'ATTA-
QUE sont transférés, 120, rue
Lafayette, et que la nouvelle adres-
se du compagnon Gégout est 1 4,
rue Daniréniont.
VIVE LA BANQUEROUTE!
Ce sonttoujours les maladies répu-
tées incurables que les charlatans de
l'arl médical prétendent guérir « ra-
pidement et à peu de frais, » Quoi d'è-
tonnant alors à rencontrer à tout ins-
tant sur les lèvres ou sous la plume
des charlatans politiciens (pardon du
pléonasme) les mots de « réformes »,
« améliorations », « palliatifs », voire
même « révolution pacifique ! »
Ce qui s'explique moins facilement,
c'est que des travailleurs, après tant
de longues et coûteuses expériences,
se laissent encore allécher par les
mensongères promesses de ces fai-
seurs et s'entêtent à chercher dans
leurs boniments éléctoraux, comme
dans leurs prospectus — qui, depuis
VIntransigeant jusqu'à la Bataille in-
fectent villes et campagnes — autre
chose qu'une effrontée réclame.
Il n'y a pas à se le dissimuler, le
nombre est encore grand de ceux qui
croient à l'efficacité, soit du système
révisionniste — traitement facile à
suivre, même en voyage. (Méthode
Boulange) — soit de toute autre bla-
gue à la Joffrin ou à la Henri Maret.
Enfin, ce qui dépasse les bornes,
Chirac lui-même — un homme de
science, s'il vous plait — va jusqu'à
prétendre que « si on l'avait écouté »
on eût pu éviter, depuis la récente af-
faire des métaux jusqu'à la cliûte, fa-
cile à prévoir prochaine, du Crédit
Foncier, les catastrophes financières
qui auront pour apothéose la banque-
route gouvernementale dans laquelle
sombrera la société capitaliste.
Chirac est certainement trop loyal
pour affirmer une chose dont il n'est
pas scientifiquement sûr. Je ne puis
donc mettre en doute l'efficacité de
son remède ; mais je puis me ré-
jouir de ce qu'on n'ait pas voulu le sui-
vre.
Pour lui, personnellement, la chose
est excessivement regrettable. En ef-
fet un accueil favorable à sa proposi-
tion lui eut fait une immense fortune
ou si, comme je le crois, il est désin-
téressé, l'aurait entouré d'une inex-
tinsible auréole de gloire. Si une toute
petite expérience avait réussi, en
France, à reculer de quelques années
seulement cette sacrée Révolution qui
flanque tant la frousse aux bourgeois,
il aurait eu bien vite la clientèle des
autres nations. Ses earles-annonces
eussent été ainsi libellées :
Spécialité de réformes ifnancières,
A. CHIRAC, docteur en médecine capitaliste,
Consultations pour sociétés en décomposition.
L'âge d'or serait revenu pour nos
maîtres. Consolidé, le capitalisme au-
rait plus tranquillement exercé son
exploitation. Longtemps encore, grâce
à l'excellence indubitable du système
préconisé, le régime du salariat serait
maintenu. L'Etat n'en serait pas ré-
duit à organiser des loteries, qui pro-
longent de quelques instants son ago-
nie, et serait soutenu par la classe
moyenne, dont la ruine, maintenant
imminente, conduira aux water-clo-
sets les obligations et actions dans
lesquelles elle met son dernier espoir.
Heureusement, le replâtrage de la
vieille société est impossible. Malgré
tous les raccommodeurs, la réforme
financière est aussi nulle, aussi insi-
gnifiante que la réforme constitution-
nelle.
Seule la Révolution, dont la ban-
queroute sera le prélude, mettra fin à
ce régime d'exploitation; la Révolu-
tion seule, en nivelant la richesse so-
ciale nivellera les intérêts, « déplace-
ra l'axe de la pensée humaine ».
Financiers et gouvernants auraient
beau faire. Naufragés, une oppor-
tune immobilité prolongerait peut-
être leur existence ; en se déballant,
ils vont plus vile à la mort.
En tout cas, il est désirable, néces-
saire et fatal ou'ils soient enarloutis
par la tempête révolutionnaire —don}
personne ne saurait conjurer lés ef-
forts. LUCIEN WBIL
CHANSONS D'ATTAQUE
La Société Bourgeoise
1
Qui donc partout, à toute heure, en tout lieu,
Cherche querelle et noise
Au malheureux sans pain, sans toit, stlllsfe/l ?
Qui de l'emprisonner se fait un jeu
— La Société bourgeoise 1
Nom de Dieu t
La Société bourgeoise !
II
Quifait agir contre le plébéien
La loi tache et sournoise ?
Qui donc consomme en ne produisait rien ?
Des maux de tous, qui donc tire son bien ?
— La Société bourgeoise !
Nom d'un chien !
La Société bourgeoise l
III
Aux insurgés de Paris et de Lyon
Qui donc a dit, narquoise :
« Vous demande^ dit pain, voilà du plomb.
Si vous bougez, en avant le ca/IOII, «
— La Société bourgeoise !
Nom de nom !
La Société bourgeoise !
IV
Sans hésiter, purgeons donc avant pou
,- Notre terre gauloise
De ce rongeur. Allonsl debout! morbleu!
Purifions en y portant le feu
La Société bourgeoise 1
Nom de Dieu 1
La Société bourgeoise.
K. HERBEI..
---- ♦ —
Prise de possession
Pendant que les bandes capitalistes
râlent leur agonie, pendant qu'un cer-
tain nombre de partisans du suffrage
universel cherchent à se rallier autour
des urnes, la grande grève, la grève
dernière, la grève de misère com-
'prïçnce. Elle no finira qu'avec la dé-
b4~e.
Ce n'est pas la peine que les gogos
cherchent si bien les hameçons ten-
dus par les dernières banques, elles
n'ont plus même le temps de les pren-
dre tous
Ce n'est pas la peine de tant se bat-
tre autour des urnes,elles ne vomiront
plus guère; la prise de possession de
la terre par l'humanité peut seule
l'empêcher de périr, et elle suivra
comme tout ce qui existe la série des
transformations progressives.
Il faudra bien qu'elle sorte de sa
robe de chrysalide ou qu'elle crève;
elle ne veut pas crever.
A la grève donc, tous, camarades,
puisque toute autre révolte ne serait
que partielle et que celle-là peut se gé-
néraliser.
La grève générale, qui joindra dans
une même résolution virile les escla-
ves d'Allemagne, de France, d'Italie,
d'Angleterre, de partout, la grève gé-
nérale avec la devise des canuts de
Lyon : Vivre en travaillant ou mou-
rir en combattant.
Vous savez le vieux refrain de
Pierre Dupont :
Ouvrier prends la machine,
Prends la terre paysan !
Elles sont parvenues à un tel pro-
grès, les maehines,que leur seul aspect.
indique que l'heure est venue où elles
seront pour l'humanité la disparition
de l'effort musculaire, le temps gagné,
le produit multiplié au centuple. Ce
n'est pas pour que les produits conti-
nuent à s'enlyser chez les capitalistes.
Ce n'est pas pour qu'on ne cesse ja-
mais les mêmes turpitudes sous des
étiquettes nouvelles.
C'est la Sociale seule qui sauvera le
monde, le reste n'est que mensonge.
C'est le rappel de la ruelle travail-
leuse qu'il faut battre, c'est la destruc-
truction et non le ressemmelage des
constitutions qui doit faire table rase
des crimes sociaux.
LOUISE MICHEL.
+
MOTS D'ATTAQUE
La souveraineté sans la propriété n'est pas
seulement inutile, elle est le plus perfide des
pièges.
GABRIEL DEVILLB.
a
L'article du compagnon Gegout, sur la « grève
des cochers », est remis, faute de place, au pro
chain numéro. >
I)u 1"> au 22 Juin 1889
, , L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolution n aire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN S fr.
Six MOIS A fr.
TROIS MOIS f fr. 5©
Les Annonces sont traitées à forfait aux bun aux
du Journal
Rédacteur délégué :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
120, RUE LAFAYETTE, 120
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
Nous annonçons à nos correspon-
dants que les bureaux de l'ATTA-
QUE sont transférés, 120, rue
Lafayette, et que la nouvelle adres-
se du compagnon Gégout est 1 4,
rue Daniréniont.
VIVE LA BANQUEROUTE!
Ce sonttoujours les maladies répu-
tées incurables que les charlatans de
l'arl médical prétendent guérir « ra-
pidement et à peu de frais, » Quoi d'è-
tonnant alors à rencontrer à tout ins-
tant sur les lèvres ou sous la plume
des charlatans politiciens (pardon du
pléonasme) les mots de « réformes »,
« améliorations », « palliatifs », voire
même « révolution pacifique ! »
Ce qui s'explique moins facilement,
c'est que des travailleurs, après tant
de longues et coûteuses expériences,
se laissent encore allécher par les
mensongères promesses de ces fai-
seurs et s'entêtent à chercher dans
leurs boniments éléctoraux, comme
dans leurs prospectus — qui, depuis
VIntransigeant jusqu'à la Bataille in-
fectent villes et campagnes — autre
chose qu'une effrontée réclame.
Il n'y a pas à se le dissimuler, le
nombre est encore grand de ceux qui
croient à l'efficacité, soit du système
révisionniste — traitement facile à
suivre, même en voyage. (Méthode
Boulange) — soit de toute autre bla-
gue à la Joffrin ou à la Henri Maret.
Enfin, ce qui dépasse les bornes,
Chirac lui-même — un homme de
science, s'il vous plait — va jusqu'à
prétendre que « si on l'avait écouté »
on eût pu éviter, depuis la récente af-
faire des métaux jusqu'à la cliûte, fa-
cile à prévoir prochaine, du Crédit
Foncier, les catastrophes financières
qui auront pour apothéose la banque-
route gouvernementale dans laquelle
sombrera la société capitaliste.
Chirac est certainement trop loyal
pour affirmer une chose dont il n'est
pas scientifiquement sûr. Je ne puis
donc mettre en doute l'efficacité de
son remède ; mais je puis me ré-
jouir de ce qu'on n'ait pas voulu le sui-
vre.
Pour lui, personnellement, la chose
est excessivement regrettable. En ef-
fet un accueil favorable à sa proposi-
tion lui eut fait une immense fortune
ou si, comme je le crois, il est désin-
téressé, l'aurait entouré d'une inex-
tinsible auréole de gloire. Si une toute
petite expérience avait réussi, en
France, à reculer de quelques années
seulement cette sacrée Révolution qui
flanque tant la frousse aux bourgeois,
il aurait eu bien vite la clientèle des
autres nations. Ses earles-annonces
eussent été ainsi libellées :
Spécialité de réformes ifnancières,
A. CHIRAC, docteur en médecine capitaliste,
Consultations pour sociétés en décomposition.
L'âge d'or serait revenu pour nos
maîtres. Consolidé, le capitalisme au-
rait plus tranquillement exercé son
exploitation. Longtemps encore, grâce
à l'excellence indubitable du système
préconisé, le régime du salariat serait
maintenu. L'Etat n'en serait pas ré-
duit à organiser des loteries, qui pro-
longent de quelques instants son ago-
nie, et serait soutenu par la classe
moyenne, dont la ruine, maintenant
imminente, conduira aux water-clo-
sets les obligations et actions dans
lesquelles elle met son dernier espoir.
Heureusement, le replâtrage de la
vieille société est impossible. Malgré
tous les raccommodeurs, la réforme
financière est aussi nulle, aussi insi-
gnifiante que la réforme constitution-
nelle.
Seule la Révolution, dont la ban-
queroute sera le prélude, mettra fin à
ce régime d'exploitation; la Révolu-
tion seule, en nivelant la richesse so-
ciale nivellera les intérêts, « déplace-
ra l'axe de la pensée humaine ».
Financiers et gouvernants auraient
beau faire. Naufragés, une oppor-
tune immobilité prolongerait peut-
être leur existence ; en se déballant,
ils vont plus vile à la mort.
En tout cas, il est désirable, néces-
saire et fatal ou'ils soient enarloutis
par la tempête révolutionnaire —don}
personne ne saurait conjurer lés ef-
forts. LUCIEN WBIL
CHANSONS D'ATTAQUE
La Société Bourgeoise
1
Qui donc partout, à toute heure, en tout lieu,
Cherche querelle et noise
Au malheureux sans pain, sans toit, stlllsfe/l ?
Qui de l'emprisonner se fait un jeu
— La Société bourgeoise 1
Nom de Dieu t
La Société bourgeoise !
II
Quifait agir contre le plébéien
La loi tache et sournoise ?
Qui donc consomme en ne produisait rien ?
Des maux de tous, qui donc tire son bien ?
— La Société bourgeoise !
Nom d'un chien !
La Société bourgeoise l
III
Aux insurgés de Paris et de Lyon
Qui donc a dit, narquoise :
« Vous demande^ dit pain, voilà du plomb.
Si vous bougez, en avant le ca/IOII, «
— La Société bourgeoise !
Nom de nom !
La Société bourgeoise !
IV
Sans hésiter, purgeons donc avant pou
,- Notre terre gauloise
De ce rongeur. Allonsl debout! morbleu!
Purifions en y portant le feu
La Société bourgeoise 1
Nom de Dieu 1
La Société bourgeoise.
K. HERBEI..
---- ♦ —
Prise de possession
Pendant que les bandes capitalistes
râlent leur agonie, pendant qu'un cer-
tain nombre de partisans du suffrage
universel cherchent à se rallier autour
des urnes, la grande grève, la grève
dernière, la grève de misère com-
'prïçnce. Elle no finira qu'avec la dé-
b4~e.
Ce n'est pas la peine que les gogos
cherchent si bien les hameçons ten-
dus par les dernières banques, elles
n'ont plus même le temps de les pren-
dre tous
Ce n'est pas la peine de tant se bat-
tre autour des urnes,elles ne vomiront
plus guère; la prise de possession de
la terre par l'humanité peut seule
l'empêcher de périr, et elle suivra
comme tout ce qui existe la série des
transformations progressives.
Il faudra bien qu'elle sorte de sa
robe de chrysalide ou qu'elle crève;
elle ne veut pas crever.
A la grève donc, tous, camarades,
puisque toute autre révolte ne serait
que partielle et que celle-là peut se gé-
néraliser.
La grève générale, qui joindra dans
une même résolution virile les escla-
ves d'Allemagne, de France, d'Italie,
d'Angleterre, de partout, la grève gé-
nérale avec la devise des canuts de
Lyon : Vivre en travaillant ou mou-
rir en combattant.
Vous savez le vieux refrain de
Pierre Dupont :
Ouvrier prends la machine,
Prends la terre paysan !
Elles sont parvenues à un tel pro-
grès, les maehines,que leur seul aspect.
indique que l'heure est venue où elles
seront pour l'humanité la disparition
de l'effort musculaire, le temps gagné,
le produit multiplié au centuple. Ce
n'est pas pour que les produits conti-
nuent à s'enlyser chez les capitalistes.
Ce n'est pas pour qu'on ne cesse ja-
mais les mêmes turpitudes sous des
étiquettes nouvelles.
C'est la Sociale seule qui sauvera le
monde, le reste n'est que mensonge.
C'est le rappel de la ruelle travail-
leuse qu'il faut battre, c'est la destruc-
truction et non le ressemmelage des
constitutions qui doit faire table rase
des crimes sociaux.
LOUISE MICHEL.
+
MOTS D'ATTAQUE
La souveraineté sans la propriété n'est pas
seulement inutile, elle est le plus perfide des
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