Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-06-01
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 01 juin 1889 01 juin 1889
Description : 1889/06/01 (A2,N42)-1889/06/08. 1889/06/01 (A2,N42)-1889/06/08.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62421245
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIEME ANNÉE Nil 41 Prjx ! lO'OnttaiMl
nu 4w RI' A Juin 1W
L'ATTAQUE
C>rgan.e Sooia,|list© R'évolutionn|aire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. 5 fr.
SIX MOIS. 3 fr.
TROIS MOIS. 4 1 fr. SO
Les Annonces sont traitées à forfait aux bunaux
dû Journal
Rédacteur délégué : -
r is"
ERNEST C.IEGko,ù,rr. -
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21 - Rne Croix-des-Petits-Çliampa - 21
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
AVANT L'ATTAQUE
Plusieurs mois nous séparent de la
lutte électorale et déjà les autoritaires et
les réformisteschoisissent leurs positions
do combat, engagent les premières es-
carmouches.
Des journaux où il sont embusqués,
les impatients brûlent sur l'ennemi les
cartouches d'essai.
Tirés avant le signal des hostilités,
ces coups de feu trahissent l'ardeur bel-
liqueuso des combattants et l'ont prévoir
que la bataille d'automne sera chaude.
Nous ne nous, occuperions pas de ces
formidables préparatifs s'ils n'indi-
quaient, très clairement, que, pour ceux
qui se disposent à faire le siège des pla-
ces gouvernementales, ce n'est point
pour l'instant le ferrysme, encore moins
le boulangisme qui est l'ennemi ; c'est
nous, les incorrigibles empêcheurs de
voter en rond.
Si extraordinaire que paralsse la cho-
se, ce sont les anarchistes qui ont à
soutenir les premiers feux des autori-,
taircs irrités, la première explosion
de leur colère.
Parce que ces socialistes éduleorés
prévoient que nous crierons, de toute la
force de nos poumons, aux travailleurs
qu'on veut enrôler dans les escapades
électorales :
N'écoutez pas les blagueurs intéressés
qui vous bernent avec des promesses de
réformes qu'ils savent irréalisables ;
détachez-vous de ces phraseurs qui.
élus, s'acagnardent dans les fauteuils
des assemblées bourgeoises ; ne favori-
sez point l'accointance de ceux que vous
croyez vôtres avec les hideux cloportes
du Marais, vos mortels ennemis ; parce
que nous dirons cela au x travailleurs,par-
ce que nous les mettrons en garde contre
les déclamations plus pompeuses que
sincères d'un tas de Joffrins qui veulent,
à toute force, pénétrer dans le Sanc-
tuaire des lois, pour y « agiter le dra-
peau des revendications prolétariennes,*
clament-ils, mais en réalité pour y faire
leur affaires à eux, élus ;
Parce que nous montrerons que ces
pseudo-socialistes, aussi bien ceux du
Conseil municipal que ceux du Palais
Bourbon, n'ont rien fait, si ce n'est de
proposer l'érection de statues allégoriques
sur les places publiques ou discuter
l'adoption des strapontins dans les om-
nibus, questions qui laissent froids ceux
qui crèvent demisère ou n'ont pas, pour
se rendre à leur travail, les six sous
exigés par la Compagnie rapace;
Parce que nous conjurerons les éter-
nelli exploités de réserver tonte leur
énergie, toutes leurs forces pour la Ré-
volution qui seule est capable do les
affranchir, messieurs les autoritaires,
plagiaires effrontés de la classe qu'il s ne
tiennent mémo pas à détrôner pourvu
qu'elle leur accorde un peu de place au
pouvoir, nous couvrent d'épithètes inju-
rieuses ot cherchent à nous lapider de
leurs propos sarcastiques.
Parcourez les journaux ad hoc; ils
sont remplis de bien délicieuses choses
à l'adresse des anarchistes ! Un jour,
c'est une diatribe impertinente; le lende-
main, l'invective est d'une violence
inouïe ; un autre jour, c'est un anathème
habilement dissimulé sous les fleurs
chatoyantes d'une savante rhétorique.
Voici, pris en mille, un curieux cas
d'excommunication par anticipation.
Nous le trouvons datis le Midi social,
sous la signature d'Eugène Fournière:
« Criminels seraient ceux d'entre nous
qui continueraient (pendant la lutte
électorale) à tirer sur les troupes socia-
listes.
« Dans les circonscriptions où les pos-
sibilistes sont cantonnés, révolutionnai-
les, marxistes, et indépendants doivent,
toute qucrnlle cessante, ramer le dra-
peau autour du groupe qui l'a arboré le
premier. »
Ainsi, c'est entendu : criminels, les
révolutionnaires qui se refuseront à plier
le genou devant les prêtres ennemis su-
bitement réconciliés aux pieds des urnes
sacro-saintes ; criminels, ceux qui ne
croient pas au révolutionnarisme des
assoiffés de places et d'honneurs et qui
cherchent à répandre dans les masses
leur opinif'.trc incrédulité.
Criminels, toux ceux qui n'appartien-
dront pas à la communion de l'église
possibiloblanquo-marxiste.
Imprécations vaines!..
Les plus ronflantes tirades sur la con-
centration des forces socialistes ne feront
pas vibrer une seule de nos fibres.
Criminels? Eh bien, soit!
Nous avouons cyniquement quo notre
conscience n'ell sera pas un instant
troublée.
Et il ne nous déplait pas de rester on
état de perpétuelle damnation.
Nous mourrons dans l'impénitence
finale, car, voyez-vous, il y a trop long-
temps qu'on nous la fait à l'uqjon au-
tour du pot de chambre électoral.
Il nous est impossible de couper plus
longtemps dans ce vulgaire pont aux
ânes.
S. MouoiN.
—————————— ——————————
Ghansons d'Attaque
NOS
FRÈRES D'ALLEMAGNE
1
De l'Elbe au Rhin s'étend la grève,
L'Allemagne entière se lève
Au cri de « guerre au capital ! »
Hardi 1 frères ! luttes sans trêve
Pour réaliser notre çêve,
Pour atteindre notre idéal.
Bravant prisons et fltsillades,
Accomplisses votre dessein,
Sonnez le tocsin, camarades !
Sonnez le tocsin.
II
A vous appartenait sans doute
D'élargir les premiers la route
Qui mène à l'Eden'social,
Le monde entier, regarde, écoute,
Soyez vainqueurs coûte que coûte,
Etranglez l'aigle impérial.
Bravant prisons, etc.
III
Esclaves brisez votre chaîne,
Mineurs quittes votre géhenne,
Criez : « vivre égaux ou mourir ! »
Pour vous la victoire est prochaine,
Fils dEngels* de Marx et de Heine,
A vous appar lient l'avenir.
Bravant prisons, etc.
IV
Naus avons la mémo soaeance,
Nous avons la même espérance
En un jilus juste lendemaitt;
Marchons tous à la 'délivrance.
Serfs d'Allemagne et serfs de France,
0 frères ! donnons-nous la main;
Bravant prisons et fusillades
Accomplissons notre dessein,
.Sonnons le tocsin, camarades l
Sonnons le tocsin!
E. HERBEL
VIEUX CULTES
Au Père-Lachai»©
J'ai rencontré, dimanche dernier, vers
deux heures de l'après-midi, un tas de
braves garçons seballadantavecune gra-
vité solennelle de jeunes chrétiens livrés
au ours,
c Des hauteurs de la Courtille
A Méli montant. »
On aime assez la ballade, la veille du
lundi, quand on a turbiné dur toute la
semaine.
Le nez au vent, les poumons gonflés
comme des outres, on oublie un instant
la sale gueule du patron, les emmerde-
ments de l'atelier, les crevantes fatigues
du turbin, et l'on va flânant, sinon gai
et content, du moins le ventre à. raise.
s'arrêtant, de-ci de-là, pour doucher le
gosier d'un ami. Et l'on n'a pas des
airs funèbres.
Or, tous, ou presque tous, avaient laissé
chez eux, accrochées au porte-manteau,
leurs bonnes, billes rigolardes et gouail-
leuses et s'étaient affublés, qui, de têtes
de pipes macabres, qui, de têtes de héros
mourants ou prêts à mourir. Certains
avaient des airs féroces, si férocesqu'un
bébé de quatre mois n'aurait jamais osé
leur donner son pouce à têter.
Bien qu'ils eussent à peine quitté la
table, bon nombre portaient à la main
ou sous le bras, d'énormes choses en-
roulées dans des fragments de journaux.
Des provisions sans doute, quelques ma-
jestueux gigots ou fabuleux saucissons
gagnés récemment à la foire du Trône
et devant être dévorés sur l'herbe, en
famille.
Aux approches du grand Charnier,
nu 4w RI' A Juin 1W
L'ATTAQUE
C>rgan.e Sooia,|list© R'évolutionn|aire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. 5 fr.
SIX MOIS. 3 fr.
TROIS MOIS. 4 1 fr. SO
Les Annonces sont traitées à forfait aux bunaux
dû Journal
Rédacteur délégué : -
r is"
ERNEST C.IEGko,ù,rr. -
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21 - Rne Croix-des-Petits-Çliampa - 21
Secrétaire délégué : S. MOUGIN.
AVANT L'ATTAQUE
Plusieurs mois nous séparent de la
lutte électorale et déjà les autoritaires et
les réformisteschoisissent leurs positions
do combat, engagent les premières es-
carmouches.
Des journaux où il sont embusqués,
les impatients brûlent sur l'ennemi les
cartouches d'essai.
Tirés avant le signal des hostilités,
ces coups de feu trahissent l'ardeur bel-
liqueuso des combattants et l'ont prévoir
que la bataille d'automne sera chaude.
Nous ne nous, occuperions pas de ces
formidables préparatifs s'ils n'indi-
quaient, très clairement, que, pour ceux
qui se disposent à faire le siège des pla-
ces gouvernementales, ce n'est point
pour l'instant le ferrysme, encore moins
le boulangisme qui est l'ennemi ; c'est
nous, les incorrigibles empêcheurs de
voter en rond.
Si extraordinaire que paralsse la cho-
se, ce sont les anarchistes qui ont à
soutenir les premiers feux des autori-,
taircs irrités, la première explosion
de leur colère.
Parce que ces socialistes éduleorés
prévoient que nous crierons, de toute la
force de nos poumons, aux travailleurs
qu'on veut enrôler dans les escapades
électorales :
N'écoutez pas les blagueurs intéressés
qui vous bernent avec des promesses de
réformes qu'ils savent irréalisables ;
détachez-vous de ces phraseurs qui.
élus, s'acagnardent dans les fauteuils
des assemblées bourgeoises ; ne favori-
sez point l'accointance de ceux que vous
croyez vôtres avec les hideux cloportes
du Marais, vos mortels ennemis ; parce
que nous dirons cela au x travailleurs,par-
ce que nous les mettrons en garde contre
les déclamations plus pompeuses que
sincères d'un tas de Joffrins qui veulent,
à toute force, pénétrer dans le Sanc-
tuaire des lois, pour y « agiter le dra-
peau des revendications prolétariennes,*
clament-ils, mais en réalité pour y faire
leur affaires à eux, élus ;
Parce que nous montrerons que ces
pseudo-socialistes, aussi bien ceux du
Conseil municipal que ceux du Palais
Bourbon, n'ont rien fait, si ce n'est de
proposer l'érection de statues allégoriques
sur les places publiques ou discuter
l'adoption des strapontins dans les om-
nibus, questions qui laissent froids ceux
qui crèvent demisère ou n'ont pas, pour
se rendre à leur travail, les six sous
exigés par la Compagnie rapace;
Parce que nous conjurerons les éter-
nelli exploités de réserver tonte leur
énergie, toutes leurs forces pour la Ré-
volution qui seule est capable do les
affranchir, messieurs les autoritaires,
plagiaires effrontés de la classe qu'il s ne
tiennent mémo pas à détrôner pourvu
qu'elle leur accorde un peu de place au
pouvoir, nous couvrent d'épithètes inju-
rieuses ot cherchent à nous lapider de
leurs propos sarcastiques.
Parcourez les journaux ad hoc; ils
sont remplis de bien délicieuses choses
à l'adresse des anarchistes ! Un jour,
c'est une diatribe impertinente; le lende-
main, l'invective est d'une violence
inouïe ; un autre jour, c'est un anathème
habilement dissimulé sous les fleurs
chatoyantes d'une savante rhétorique.
Voici, pris en mille, un curieux cas
d'excommunication par anticipation.
Nous le trouvons datis le Midi social,
sous la signature d'Eugène Fournière:
« Criminels seraient ceux d'entre nous
qui continueraient (pendant la lutte
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listes.
« Dans les circonscriptions où les pos-
sibilistes sont cantonnés, révolutionnai-
les, marxistes, et indépendants doivent,
toute qucrnlle cessante, ramer le dra-
peau autour du groupe qui l'a arboré le
premier. »
Ainsi, c'est entendu : criminels, les
révolutionnaires qui se refuseront à plier
le genou devant les prêtres ennemis su-
bitement réconciliés aux pieds des urnes
sacro-saintes ; criminels, ceux qui ne
croient pas au révolutionnarisme des
assoiffés de places et d'honneurs et qui
cherchent à répandre dans les masses
leur opinif'.trc incrédulité.
Criminels, toux ceux qui n'appartien-
dront pas à la communion de l'église
possibiloblanquo-marxiste.
Imprécations vaines!..
Les plus ronflantes tirades sur la con-
centration des forces socialistes ne feront
pas vibrer une seule de nos fibres.
Criminels? Eh bien, soit!
Nous avouons cyniquement quo notre
conscience n'ell sera pas un instant
troublée.
Et il ne nous déplait pas de rester on
état de perpétuelle damnation.
Nous mourrons dans l'impénitence
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temps qu'on nous la fait à l'uqjon au-
tour du pot de chambre électoral.
Il nous est impossible de couper plus
longtemps dans ce vulgaire pont aux
ânes.
S. MouoiN.
—————————— ——————————
Ghansons d'Attaque
NOS
FRÈRES D'ALLEMAGNE
1
De l'Elbe au Rhin s'étend la grève,
L'Allemagne entière se lève
Au cri de « guerre au capital ! »
Hardi 1 frères ! luttes sans trêve
Pour réaliser notre çêve,
Pour atteindre notre idéal.
Bravant prisons et fltsillades,
Accomplisses votre dessein,
Sonnez le tocsin, camarades !
Sonnez le tocsin.
II
A vous appartenait sans doute
D'élargir les premiers la route
Qui mène à l'Eden'social,
Le monde entier, regarde, écoute,
Soyez vainqueurs coûte que coûte,
Etranglez l'aigle impérial.
Bravant prisons, etc.
III
Esclaves brisez votre chaîne,
Mineurs quittes votre géhenne,
Criez : « vivre égaux ou mourir ! »
Pour vous la victoire est prochaine,
Fils dEngels* de Marx et de Heine,
A vous appar lient l'avenir.
Bravant prisons, etc.
IV
Naus avons la mémo soaeance,
Nous avons la même espérance
En un jilus juste lendemaitt;
Marchons tous à la 'délivrance.
Serfs d'Allemagne et serfs de France,
0 frères ! donnons-nous la main;
Bravant prisons et fusillades
Accomplissons notre dessein,
.Sonnons le tocsin, camarades l
Sonnons le tocsin!
E. HERBEL
VIEUX CULTES
Au Père-Lachai»©
J'ai rencontré, dimanche dernier, vers
deux heures de l'après-midi, un tas de
braves garçons seballadantavecune gra-
vité solennelle de jeunes chrétiens livrés
au ours,
c Des hauteurs de la Courtille
A Méli montant. »
On aime assez la ballade, la veille du
lundi, quand on a turbiné dur toute la
semaine.
Le nez au vent, les poumons gonflés
comme des outres, on oublie un instant
la sale gueule du patron, les emmerde-
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du turbin, et l'on va flânant, sinon gai
et content, du moins le ventre à. raise.
s'arrêtant, de-ci de-là, pour doucher le
gosier d'un ami. Et l'on n'a pas des
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Or, tous, ou presque tous, avaient laissé
chez eux, accrochées au porte-manteau,
leurs bonnes, billes rigolardes et gouail-
leuses et s'étaient affublés, qui, de têtes
de pipes macabres, qui, de têtes de héros
mourants ou prêts à mourir. Certains
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Bien qu'ils eussent à peine quitté la
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ou sous le bras, d'énormes choses en-
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Des provisions sans doute, quelques ma-
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