Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-04-06
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 06 avril 1889 06 avril 1889
Description : 1889/04/06 (A2,N36)-1889/04/13. 1889/04/06 (A2,N36)-1889/04/13.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242118f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
; DfttiXIÈMB ANNÉE. N* 36 ParMilOOenthnea Du 6 au 13 AwâllM
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaijre
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. 5
Six MOIS 3 fr.
TROI8 Mois. f fr. SO
-
Les Annonces sont traitees d forfait aux bureaux
du Journal *
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21 — Rue Croix - des-Petits - Champs — 21
Secrétare de Rédaction: G. PICOUR7
A NOS AMIS
Chaque Jour nous apporte des ré-
licitations et des encouragements.
Merci A tons ceux qui s'intéres-
sent à l'existence du journal.
Mais afin de donner à l'ATTAQUE
la plus grande extension possible,
nous prions Instamment nos corres-
pondants et nos abonnés de faire
en sa faveur une propagande ac-
tive.
Augmenter le nombre des lecteurs
d'un organe révolutionnaire, e est
recruter des soldats pour la bataille
sociale, c'est hàter l'heure de l'é-
mancipation du peuple.
L'ATTAQUE
PRILANTHOPIE BOURGEOISE .1
LA « BOUCHÉE DE PAIN.
On a cavalcadé, cet jours derniers,
pour calmer les affres do la faim, pour
clore la bouche des râleux. pour endor-
mir les tourments des estomacs videi et
laisser au milieu de ce grand ventre de
Paris, un tout petit abri momentané
aux trimardeurs impatients.
C'était l'Humanité qui s'humanisait!
t* Chouette ! l'Humanité !
Humanité en maillot de satin, en cor-
sage de soie, en tutu de peluche; Huma-
nité tétonnante et fessante à < œil que
veux-tu >,Humanité de remplis, de repus,
de gavés; Humanité de bourgeois ripail-
lours et lubriques en rupture de bouti-
que; de patronnes toutes assoiffées de
sensations sadiques; Humanité de pos-
sédants à cœur de pierre, à ventre déli-
cat, à cervelle de papier mâché !
En face, l'horizon social rapprochait
chaque jour ses menaces. La projection
ombrale de la grande Tour de fer, assom-
brissait déjà les premiers rangs de l'ar-
méo en marche des sans-pain, qui veu-
lent prendre place au banquet interna-
tional ; à cette grandiose et géniale Ex-
position de leur œuvre, à cette manifes-
tation de la pensée, du muscle et de
l'audace.
Il fallait mettre entre eux, les travail-
leurs infatigables à boyaux creux, et
eux, les impuissants à lourdes tripes,
la banière d'une philantropie tamtam-
mesque, d'une solidarité tambourinante
et cimbalique.
Gens de commerce et de fabrique,
d'entre-sol ou d'hôtel, du grand fau-
bourg ou du boulevard, gens de plume,
de corde et de sacs dorés, do maisons
à petits ou grands numéros, rentiers
de la pocho — des autres — vendus do
toutes catégories, dévorant de couenno
de lard bourgeois et financier, tous ont
crié ou fait crier, dans ces grandes rues
do Paris, où ondule le flot inquiétant do
la fringale :
< Il ne faut pas qu'on puissé voir une
seule personne mendiant son pain à
Paris, pendant VEœposition ttniver-
selle. >
Et pendant que les pitres enfarinés et
jobards de la classe repue, gueulaient in-
consciemment ce cri de la peur, les Bou-
langer, les Antoine, les d'Uzès, les gou-
vernementistes et les révisionnards se
riaient do la naïveté du peuple et conti-
nuaient sans vergogne leurs cyniques
gaudissonneries : i
La boulange lâchait sa soupape d'ar-
rière et crevaillaient d'indigestion dans
toutes les vacheries des Hochon, des
Bonnemain, d'Uzès et autres Vraiconne-
ries.
L'Antoine et tous ses cochons ministé-
riels grouïnaient dans toutes les auges
gouvernementales.
La vieille d'Uzès, dont les dessous ont
été empuantés par les émasculations ta-
rifées des dos-verts écaillés, non con-
tente de vicier l'atmosphère durant ses
chevauchées, sonnait le dernier hallali
au cul des pauvres gens attardés, et les
faisait dévorer à demi par son vautrait.
Les ennemis de la Boulange à la solde
de la clique ministérielle montraient les
dents aux approchants do l'assiette au
beurre.
Les révisionnards gloussaient d'impa-
tience aux abords de la. pâtée.
Et le peuple crevait et crève toujours
de faim.
Que peut bien lui foutre Barbapoux,
ce torchon de l'orléanisme, cette sale
culotte de peau puant tous les vents et
tournant à tous, lâche comme un reîtro
patenté, comme un maquereau bidard
et énervé?
Que peut bien lui foutre cet Antoine
bourgeois haineux et patrouillottard;
poursuiveur de socialistes â la solde de
Bismark et do Carnot; cet impuis-
sant ambitieux, las de rester ob-
scur et méprisé au Reichstag où nos
amis - je ne dis pas ses collègues, ça
l'honorerait trop — les socialistes alle-
mands, l'ont mis au rancart avec toutes
les bourriques radicaillantes. Cet An-
toine qui vient «jouer un rôle ,., le plus
abject, le plus cruel, le plus impardon-
nable : celui d'excitateur aux massacres
internationaux, au nom de son < Alsace-
Lorraine » laquelle ne désire qu'une
chose cependant : que Francs et Teutons
lui foutent la paix, et se torche le
cul avec le crêpe légendaire dont les
Chauvins ornent ses attributs.
Que peut bien lui foutre toute la sé-
quelle de blancs et bleus, d'opportunards
et de révisionnards, de nobles morphi-
nisées ralliées, voire de politiciens ré-
volutionnaires qui piquaillent un man-
dat au bout de leurs flingots?
Au Boulanger, le peuple préférera un
pain;
A l'Antoine, un cochon;
A la d'Uzès — cette tête à pique — la
première vache venue, aux grasses et
nourrissantes mamelles ;
Au système gouvernemental actuel
ou révisé;
A toutes les cavalcades pseudo-phi-
lantropiques :
La liberté do vivre et d'agir comme
il l'entend : l'ANARCHIE!
Ernest GGGOtJT.
Boulanger cette sâle et couarde crapule
que certains révolutionnaires, certains
socialistes même ne voyaient pas d'un très
mauvais œil, a fui devant le martinet de
Môsieur Prudhomme.
Le danger était imaginaire.
Il a suffi néanmoins pour lui donner la
frousse ainsi qu'à la bande d'immonde
charognards qui sentant venir l'heure des
grandes luttes, suit cet homme-Charnier,
ce massacreur de femmes et d'enfants.
Féroces, ces gens-là, mais plus lâches
encoret
Karl KAN.
Chansons d'Attaque
LA BOUCHÉE DE PAIN
II ne faut pas qu'on puisse voir
une soulo poraonne mendiant
son pain, à Paris, pendant
l'Exposition.
(Programme de la Bouchés de pain.)
1
L'Exposition s'apprête,
Les richards de tout pays,
Chez nous viennent faire fête,
(Nous en sommes envahis.)
0 Peuple t ta misère affreuse
Aurait pu les épouvanter,
La bourgeoisie aecapareuse
Craint de le voir te révolter,
Elle jout à la généreuse.
Peux-tu songer
A t'insurger
Contre une aussi bonne
Personne t
Pour sauver le garde-manger
On te donne
Un os à ronger.
II
La Bourgeoisie, dpre goule,
Buveuse de sang humain,
Prend soudain peur de la foule
Des gueux, des crève-la-faim,
La bonne Dame effarouchée,
Croyant obtenir son pardon,
De ce discours est accouchée :
« Peuple, tu meurs de faim, prends donc
De pain cette maigre bouchée. »
Peux-tu songer
A t'insurger
Contre une aussi bonne
Personne 1
Pour sauver le garde-manger,
On te donne
Un os à ronger.
III
O i quelle irnnie amère !
Le voleur offre au volé
D'atténuer sa misère,
Ét l'autre en est consolé i
Mais, peuple crétin ! peuple bête !
Prends donc tout ! car tout est à toi;
Refuse l'aumône incomplète,
Hardîment, impose ta loi
Et viens prendre part à la fête !
Si ton sang bout,
Allons 1 débout !
Brise le vieux monde
Immonde 1
Si ta patience est A bout,
A la ronde
Peuple ! prends donc tout !
E. HBRBEL
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaijre
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
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UN AN. 5
Six MOIS 3 fr.
TROI8 Mois. f fr. SO
-
Les Annonces sont traitees d forfait aux bureaux
du Journal *
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21 — Rue Croix - des-Petits - Champs — 21
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A NOS AMIS
Chaque Jour nous apporte des ré-
licitations et des encouragements.
Merci A tons ceux qui s'intéres-
sent à l'existence du journal.
Mais afin de donner à l'ATTAQUE
la plus grande extension possible,
nous prions Instamment nos corres-
pondants et nos abonnés de faire
en sa faveur une propagande ac-
tive.
Augmenter le nombre des lecteurs
d'un organe révolutionnaire, e est
recruter des soldats pour la bataille
sociale, c'est hàter l'heure de l'é-
mancipation du peuple.
L'ATTAQUE
PRILANTHOPIE BOURGEOISE .1
LA « BOUCHÉE DE PAIN.
On a cavalcadé, cet jours derniers,
pour calmer les affres do la faim, pour
clore la bouche des râleux. pour endor-
mir les tourments des estomacs videi et
laisser au milieu de ce grand ventre de
Paris, un tout petit abri momentané
aux trimardeurs impatients.
C'était l'Humanité qui s'humanisait!
t* Chouette ! l'Humanité !
Humanité en maillot de satin, en cor-
sage de soie, en tutu de peluche; Huma-
nité tétonnante et fessante à < œil que
veux-tu >,Humanité de remplis, de repus,
de gavés; Humanité de bourgeois ripail-
lours et lubriques en rupture de bouti-
que; de patronnes toutes assoiffées de
sensations sadiques; Humanité de pos-
sédants à cœur de pierre, à ventre déli-
cat, à cervelle de papier mâché !
En face, l'horizon social rapprochait
chaque jour ses menaces. La projection
ombrale de la grande Tour de fer, assom-
brissait déjà les premiers rangs de l'ar-
méo en marche des sans-pain, qui veu-
lent prendre place au banquet interna-
tional ; à cette grandiose et géniale Ex-
position de leur œuvre, à cette manifes-
tation de la pensée, du muscle et de
l'audace.
Il fallait mettre entre eux, les travail-
leurs infatigables à boyaux creux, et
eux, les impuissants à lourdes tripes,
la banière d'une philantropie tamtam-
mesque, d'une solidarité tambourinante
et cimbalique.
Gens de commerce et de fabrique,
d'entre-sol ou d'hôtel, du grand fau-
bourg ou du boulevard, gens de plume,
de corde et de sacs dorés, do maisons
à petits ou grands numéros, rentiers
de la pocho — des autres — vendus do
toutes catégories, dévorant de couenno
de lard bourgeois et financier, tous ont
crié ou fait crier, dans ces grandes rues
do Paris, où ondule le flot inquiétant do
la fringale :
< Il ne faut pas qu'on puissé voir une
seule personne mendiant son pain à
Paris, pendant VEœposition ttniver-
selle. >
Et pendant que les pitres enfarinés et
jobards de la classe repue, gueulaient in-
consciemment ce cri de la peur, les Bou-
langer, les Antoine, les d'Uzès, les gou-
vernementistes et les révisionnards se
riaient do la naïveté du peuple et conti-
nuaient sans vergogne leurs cyniques
gaudissonneries : i
La boulange lâchait sa soupape d'ar-
rière et crevaillaient d'indigestion dans
toutes les vacheries des Hochon, des
Bonnemain, d'Uzès et autres Vraiconne-
ries.
L'Antoine et tous ses cochons ministé-
riels grouïnaient dans toutes les auges
gouvernementales.
La vieille d'Uzès, dont les dessous ont
été empuantés par les émasculations ta-
rifées des dos-verts écaillés, non con-
tente de vicier l'atmosphère durant ses
chevauchées, sonnait le dernier hallali
au cul des pauvres gens attardés, et les
faisait dévorer à demi par son vautrait.
Les ennemis de la Boulange à la solde
de la clique ministérielle montraient les
dents aux approchants do l'assiette au
beurre.
Les révisionnards gloussaient d'impa-
tience aux abords de la. pâtée.
Et le peuple crevait et crève toujours
de faim.
Que peut bien lui foutre Barbapoux,
ce torchon de l'orléanisme, cette sale
culotte de peau puant tous les vents et
tournant à tous, lâche comme un reîtro
patenté, comme un maquereau bidard
et énervé?
Que peut bien lui foutre cet Antoine
bourgeois haineux et patrouillottard;
poursuiveur de socialistes â la solde de
Bismark et do Carnot; cet impuis-
sant ambitieux, las de rester ob-
scur et méprisé au Reichstag où nos
amis - je ne dis pas ses collègues, ça
l'honorerait trop — les socialistes alle-
mands, l'ont mis au rancart avec toutes
les bourriques radicaillantes. Cet An-
toine qui vient «jouer un rôle ,., le plus
abject, le plus cruel, le plus impardon-
nable : celui d'excitateur aux massacres
internationaux, au nom de son < Alsace-
Lorraine » laquelle ne désire qu'une
chose cependant : que Francs et Teutons
lui foutent la paix, et se torche le
cul avec le crêpe légendaire dont les
Chauvins ornent ses attributs.
Que peut bien lui foutre toute la sé-
quelle de blancs et bleus, d'opportunards
et de révisionnards, de nobles morphi-
nisées ralliées, voire de politiciens ré-
volutionnaires qui piquaillent un man-
dat au bout de leurs flingots?
Au Boulanger, le peuple préférera un
pain;
A l'Antoine, un cochon;
A la d'Uzès — cette tête à pique — la
première vache venue, aux grasses et
nourrissantes mamelles ;
Au système gouvernemental actuel
ou révisé;
A toutes les cavalcades pseudo-phi-
lantropiques :
La liberté do vivre et d'agir comme
il l'entend : l'ANARCHIE!
Ernest GGGOtJT.
Boulanger cette sâle et couarde crapule
que certains révolutionnaires, certains
socialistes même ne voyaient pas d'un très
mauvais œil, a fui devant le martinet de
Môsieur Prudhomme.
Le danger était imaginaire.
Il a suffi néanmoins pour lui donner la
frousse ainsi qu'à la bande d'immonde
charognards qui sentant venir l'heure des
grandes luttes, suit cet homme-Charnier,
ce massacreur de femmes et d'enfants.
Féroces, ces gens-là, mais plus lâches
encoret
Karl KAN.
Chansons d'Attaque
LA BOUCHÉE DE PAIN
II ne faut pas qu'on puisse voir
une soulo poraonne mendiant
son pain, à Paris, pendant
l'Exposition.
(Programme de la Bouchés de pain.)
1
L'Exposition s'apprête,
Les richards de tout pays,
Chez nous viennent faire fête,
(Nous en sommes envahis.)
0 Peuple t ta misère affreuse
Aurait pu les épouvanter,
La bourgeoisie aecapareuse
Craint de le voir te révolter,
Elle jout à la généreuse.
Peux-tu songer
A t'insurger
Contre une aussi bonne
Personne t
Pour sauver le garde-manger
On te donne
Un os à ronger.
II
La Bourgeoisie, dpre goule,
Buveuse de sang humain,
Prend soudain peur de la foule
Des gueux, des crève-la-faim,
La bonne Dame effarouchée,
Croyant obtenir son pardon,
De ce discours est accouchée :
« Peuple, tu meurs de faim, prends donc
De pain cette maigre bouchée. »
Peux-tu songer
A t'insurger
Contre une aussi bonne
Personne 1
Pour sauver le garde-manger,
On te donne
Un os à ronger.
III
O i quelle irnnie amère !
Le voleur offre au volé
D'atténuer sa misère,
Ét l'autre en est consolé i
Mais, peuple crétin ! peuple bête !
Prends donc tout ! car tout est à toi;
Refuse l'aumône incomplète,
Hardîment, impose ta loi
Et viens prendre part à la fête !
Si ton sang bout,
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Brise le vieux monde
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