Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-03-02
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 02 mars 1889 02 mars 1889
Description : 1889/03/02 (A2,N33)-1889/03/09. 1889/03/02 (A2,N33)-1889/03/09.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62421156
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIÈME ANNÉE. N8 33
Paris : 10 Centime*
Du 2 au 9 Mars 1880
L'ATTAQUE
i
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN .5 FR-
Six MOIS. a Cr.
TROIS MOIS. 1 fr. 50
Les Annonces sont traitees à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur en tchef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION A ADMINISTRATION -
21 — Rue Croix-des-Petits - Champs — 91
Secrétare de Rédaction: G. PICOURT
SITUATION NETTE
En dehors de toute préoccupation des
évènements graves que, dans un avenir
plus ou moins rapproché, le syndicat
de la Boulange peut faire surgir, en de-
hors de tout souci des surprises aux-
quelles donne lieu de s'attendre la com-
position de cette bande de rastaquères
qui s'intitule Parti national, il est in-
déniable que le dissolvant boulangiste
a d'ores et déjà produit ce phénomène
étrange, qu'une scission profonde s'est
faite dans le parti socialiste.
Bien plus, il a précipité la défection
de ceux qui se considéraient comme les
chefs suprêmes de l'armée révolution-
naire.
Avant même de s'être rendu un compte
exact de la situation nouvellement créée
au parti socialiste, les bonnes âmes
restées fidèles à la Révolution se lamen-
tent, sont dans la consternation.
Nous estimons qu'il n'y a vraiment
pas là de quoi jeter de tels cris d'a-
larme.
Sans doute, des querelles ont éclaté
au sein des groupes; les divergences
inattendues ont suscité des inimitiés
entre camarades. Mais ces enfantillages
sont-ils de nature à provoquer, comme
quelques simplistes le croient, l'avorte-
ment de la Révolution ? De semblables
mesquineries peuvent-elles retarder l'é-
closion de la Sociale ?
Parce que la droite socialiste s'est
ralliée à la classe bourgeoise, tout serait
perdu !
D'abord, voyons. Etaient-ce bien des
révolutionnaires ces enragés de parle-
mentarisme qui, afin de se ménager au
banquet bourgeois une place meilleure
que celle qu'ils y occupent déjà, ont bru-
talement retranché de leur évangile le
credo de la lutte des classes ?
Itaient-ils toujours des révolution-
naires ces revenants de la Commune
ayant à ce point oublié leurs haines
d'antan qu'ils pactisent à l'heure ac-
tuelle, les uns avec les ordonnateurs
des massacres de la sanglante semaine,
les autres avec ceux qui les ont exécu-
tés ?
Non, ces défectionnaires n'étaient plus
des révoltés contre l'oligarchie bour-
geoise.
L'ambition du pouvoir dont ils sont
rongés a naturellement transformé ces
socialistes-révolutionnaires en politi-
ciens-réformistes.
La possession de ce pouvoir achèvera
la métamorphose.
Une fois maîtres des destinées de la
masse, ils seront fatalement des conser-
vateurl, des réacteurs, avec cette aggra-
vation qu'ils seront plus mauvais, plus
terribles envers les travailleurs que ne
le sont les dirigeants actuels.
La subite apparition sur la scène po-
litique d'un nouveau rongeur qui en-
tend s'approprier tout seul le fromage
gouvernemental n'a pas seulement jeté
l'effroi parmi les souris radicalo-oppor-
tunistes qui le grignottent depuis si
longtemps,
Les rats socialistes-autoritaires eux-
mêmes, las d'attendre et de ne jamais
voir venir leur tour, se sont sentis pris
d'inquietude.
Ils ont alors conclu cette alliance qui,
après tout, n'a rien d'illicite et qui vé-
rifie la prédiction des anarchistes.
Somme toute, les transfuges de la
classe opprimée ne sont pas aussi nom-
breux qu'on le pourrait croire.
Quelques soldats — les ordonnances
— ont pu suivre leurs chefs ; d'autres,
fourbus par une marche trop longue
et dont ils n'apercevaient point l'étape,
ont pu rallentir le pas, puis s'arrêter en
chemin.
Mais ceux-ci ne sont pas des déser-
teurs ; ils ne passeront point au camp
ennemi.
Qui sait même si, le danger venu, ils
ne rentreront pas dans le rang?
Mais supposons perdus ces quelques
éclopés. Qu'est-ce que ça peut faire à la
Sociale qu'une douzaine de quaranthui-
tards, plus un demi quarteron de
soixantonzards se soient éliminés des
bataillons rouges ?
Pour si peu, l'armée révolutionnaire
n'est pas atteinte dans sa force puissante.
A mesure que ce déblaiement natu-
rel, nécessaire même, s'opérait, la co-
lonne d'attaque se renforçait des volon-
taires de la jeune génération, auda-
cieuse, celle-là et qui, dans la lutte
qu'elle engagera pour l'affranchisse-
ment de l'humanité, saura se passer de
l'encombrante ferblanterie des états-
majors.
Instruite des errements de ses de-
vancières, elle ne perdra pas son temps
à égratigner les pavés de ses ongles,
selon les règles d'une stratégie grotes-
que et démodée.
Dans la guerre sociale de demain,
l'initiative individuelle sera mille fois
plus efficace qu'une action collective,
dirigée du fond de leur cabinet par des
généraux moins préoccupés du résultat
de la victoire que respectueux de la
vieille et classique routine.
Les chefs paralysent les mouvements
insurrectionnels et les font avorter.
Leur disparition assure le triomphe
de la prochaine Révolution.
8. MOUGIN
Dans notre prochain numéro nous re-
prendront la publication du feuilleton le
Curé du Pont d'Aise de notre ami et colla-
borateur Gérault-Richard.
—————————.
Chansons d'Attaque
LES CHIENLITS
1
Dansez ! riez ! ô chienlits !
Miséreux hdve, et pâlis !
Qui pour des costumes baroques,
Bazardez vos dernières loques.
Demain vous verra reposer.
Hardi ! saches vous a muser !
Oubliez toutes vos misères !
Accomplissez votre désir !
D'autres que vous, il paMCfM.MfM !
Toute leur vie ont du plaisir.
Et ces marques-là ne sont pas
De pauvres pierrots au teint blême,
Maigres comme des échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême,
Pour eux c'est toujours Mardi-gras.
II
Queux jadis, riche maintenant ;
Voyez ce bourgeois bedonnant :
Œil sans éclat, visage glabre,
Bouche fendue en « coup-de-sabre »,
Larges épaules, cou puissant
Qui prédispose aux coups de sang.
C'est un parvenu, car cet homme
Prit sa fortune sou par sou
Aux ouvriers, (bétes de somme).
A la chienlit ! le grigou !
Aussi ce masque-là n'est pas
Un pauvre pierrot au teint blême
Aussi maigre qu'un échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême
Pour lui c'est toujours Mardi-gras.
III
Et cet autre aux longs cheveux plots,
Aux gestes lents, aux airs béats,
Au groin de chercheur de truffes,
C'est le plus hardi des tartufes.
C'est un poisson de bénitier,
Hypocrite dont le métier
Est de vendre des ~pdtenôtres !
Il vit de l'argent du nigaud,
Ses dîners valent dix des nôtres !
A la chienlit! le cagot!
Aussi ce masque-là n'est pas
Un pauvre pierrot au teint blême
Aussi maigre qu'un échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême,
Pour lui c'est toujours Mardi-gras.
IV
Quel est ce masque chamarré,
Des pieds A la nuque doré,
Cheveux plaqués sentant le rance t
Mais, c'est le Sauveur de la France !
C'est le soutien de son drapeau.
Ignoble culotte de peau !
Infâme parmi les infâmes 1
On l'a vu, sur le Boulevard,
Mitrailler les enfants, les femmes,
à la chienlit ! le soudard.
Aussi ce masque-ld n'est pas
Un pauvre pierrot au teint blâme,
Aussi maigre qu'un échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême,
Pour lui, c'est toujours Mardi-gras.
V
Juges vendus ! banquiers forbans 1
Députés vendeurs de rubans !
Cabotins infects ! tourbe immonde!
Vous tous ! les pourris du Vieux-Monde!
Tous les tarés ! tous les salie l
Continuez, ô chienlits !
Votre bourgeoise mascarade.
Mais toi ! payeur de pots cassés !
Crève-la-faim, mon camarade,
N'en as-tu pas bientôt assez t
Prends un lingot et fiche A bas
Ces masques suant l'anathème !
Que ta chanson sonne leur glas !
Trop longtemps tu fis le Carême,
A ton tour fais donc Mardi-Gras.
E. HERBEL
A propos de rien
Éloquence de Barbapoux, traduite et
communiquée par un de ses plumitifl ;
aussi enthousiaste que discret :
« Dans le Nord : Merci t mes amis, de
vos bonnes paroles et de votre dévoue-
Paris : 10 Centime*
Du 2 au 9 Mars 1880
L'ATTAQUE
i
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN .5 FR-
Six MOIS. a Cr.
TROIS MOIS. 1 fr. 50
Les Annonces sont traitees à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur en tchef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION A ADMINISTRATION -
21 — Rue Croix-des-Petits - Champs — 91
Secrétare de Rédaction: G. PICOURT
SITUATION NETTE
En dehors de toute préoccupation des
évènements graves que, dans un avenir
plus ou moins rapproché, le syndicat
de la Boulange peut faire surgir, en de-
hors de tout souci des surprises aux-
quelles donne lieu de s'attendre la com-
position de cette bande de rastaquères
qui s'intitule Parti national, il est in-
déniable que le dissolvant boulangiste
a d'ores et déjà produit ce phénomène
étrange, qu'une scission profonde s'est
faite dans le parti socialiste.
Bien plus, il a précipité la défection
de ceux qui se considéraient comme les
chefs suprêmes de l'armée révolution-
naire.
Avant même de s'être rendu un compte
exact de la situation nouvellement créée
au parti socialiste, les bonnes âmes
restées fidèles à la Révolution se lamen-
tent, sont dans la consternation.
Nous estimons qu'il n'y a vraiment
pas là de quoi jeter de tels cris d'a-
larme.
Sans doute, des querelles ont éclaté
au sein des groupes; les divergences
inattendues ont suscité des inimitiés
entre camarades. Mais ces enfantillages
sont-ils de nature à provoquer, comme
quelques simplistes le croient, l'avorte-
ment de la Révolution ? De semblables
mesquineries peuvent-elles retarder l'é-
closion de la Sociale ?
Parce que la droite socialiste s'est
ralliée à la classe bourgeoise, tout serait
perdu !
D'abord, voyons. Etaient-ce bien des
révolutionnaires ces enragés de parle-
mentarisme qui, afin de se ménager au
banquet bourgeois une place meilleure
que celle qu'ils y occupent déjà, ont bru-
talement retranché de leur évangile le
credo de la lutte des classes ?
Itaient-ils toujours des révolution-
naires ces revenants de la Commune
ayant à ce point oublié leurs haines
d'antan qu'ils pactisent à l'heure ac-
tuelle, les uns avec les ordonnateurs
des massacres de la sanglante semaine,
les autres avec ceux qui les ont exécu-
tés ?
Non, ces défectionnaires n'étaient plus
des révoltés contre l'oligarchie bour-
geoise.
L'ambition du pouvoir dont ils sont
rongés a naturellement transformé ces
socialistes-révolutionnaires en politi-
ciens-réformistes.
La possession de ce pouvoir achèvera
la métamorphose.
Une fois maîtres des destinées de la
masse, ils seront fatalement des conser-
vateurl, des réacteurs, avec cette aggra-
vation qu'ils seront plus mauvais, plus
terribles envers les travailleurs que ne
le sont les dirigeants actuels.
La subite apparition sur la scène po-
litique d'un nouveau rongeur qui en-
tend s'approprier tout seul le fromage
gouvernemental n'a pas seulement jeté
l'effroi parmi les souris radicalo-oppor-
tunistes qui le grignottent depuis si
longtemps,
Les rats socialistes-autoritaires eux-
mêmes, las d'attendre et de ne jamais
voir venir leur tour, se sont sentis pris
d'inquietude.
Ils ont alors conclu cette alliance qui,
après tout, n'a rien d'illicite et qui vé-
rifie la prédiction des anarchistes.
Somme toute, les transfuges de la
classe opprimée ne sont pas aussi nom-
breux qu'on le pourrait croire.
Quelques soldats — les ordonnances
— ont pu suivre leurs chefs ; d'autres,
fourbus par une marche trop longue
et dont ils n'apercevaient point l'étape,
ont pu rallentir le pas, puis s'arrêter en
chemin.
Mais ceux-ci ne sont pas des déser-
teurs ; ils ne passeront point au camp
ennemi.
Qui sait même si, le danger venu, ils
ne rentreront pas dans le rang?
Mais supposons perdus ces quelques
éclopés. Qu'est-ce que ça peut faire à la
Sociale qu'une douzaine de quaranthui-
tards, plus un demi quarteron de
soixantonzards se soient éliminés des
bataillons rouges ?
Pour si peu, l'armée révolutionnaire
n'est pas atteinte dans sa force puissante.
A mesure que ce déblaiement natu-
rel, nécessaire même, s'opérait, la co-
lonne d'attaque se renforçait des volon-
taires de la jeune génération, auda-
cieuse, celle-là et qui, dans la lutte
qu'elle engagera pour l'affranchisse-
ment de l'humanité, saura se passer de
l'encombrante ferblanterie des états-
majors.
Instruite des errements de ses de-
vancières, elle ne perdra pas son temps
à égratigner les pavés de ses ongles,
selon les règles d'une stratégie grotes-
que et démodée.
Dans la guerre sociale de demain,
l'initiative individuelle sera mille fois
plus efficace qu'une action collective,
dirigée du fond de leur cabinet par des
généraux moins préoccupés du résultat
de la victoire que respectueux de la
vieille et classique routine.
Les chefs paralysent les mouvements
insurrectionnels et les font avorter.
Leur disparition assure le triomphe
de la prochaine Révolution.
8. MOUGIN
Dans notre prochain numéro nous re-
prendront la publication du feuilleton le
Curé du Pont d'Aise de notre ami et colla-
borateur Gérault-Richard.
—————————.
Chansons d'Attaque
LES CHIENLITS
1
Dansez ! riez ! ô chienlits !
Miséreux hdve, et pâlis !
Qui pour des costumes baroques,
Bazardez vos dernières loques.
Demain vous verra reposer.
Hardi ! saches vous a muser !
Oubliez toutes vos misères !
Accomplissez votre désir !
D'autres que vous, il paMCfM.MfM !
Toute leur vie ont du plaisir.
Et ces marques-là ne sont pas
De pauvres pierrots au teint blême,
Maigres comme des échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême,
Pour eux c'est toujours Mardi-gras.
II
Queux jadis, riche maintenant ;
Voyez ce bourgeois bedonnant :
Œil sans éclat, visage glabre,
Bouche fendue en « coup-de-sabre »,
Larges épaules, cou puissant
Qui prédispose aux coups de sang.
C'est un parvenu, car cet homme
Prit sa fortune sou par sou
Aux ouvriers, (bétes de somme).
A la chienlit ! le grigou !
Aussi ce masque-là n'est pas
Un pauvre pierrot au teint blême
Aussi maigre qu'un échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême
Pour lui c'est toujours Mardi-gras.
III
Et cet autre aux longs cheveux plots,
Aux gestes lents, aux airs béats,
Au groin de chercheur de truffes,
C'est le plus hardi des tartufes.
C'est un poisson de bénitier,
Hypocrite dont le métier
Est de vendre des ~pdtenôtres !
Il vit de l'argent du nigaud,
Ses dîners valent dix des nôtres !
A la chienlit! le cagot!
Aussi ce masque-là n'est pas
Un pauvre pierrot au teint blême
Aussi maigre qu'un échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême,
Pour lui c'est toujours Mardi-gras.
IV
Quel est ce masque chamarré,
Des pieds A la nuque doré,
Cheveux plaqués sentant le rance t
Mais, c'est le Sauveur de la France !
C'est le soutien de son drapeau.
Ignoble culotte de peau !
Infâme parmi les infâmes 1
On l'a vu, sur le Boulevard,
Mitrailler les enfants, les femmes,
à la chienlit ! le soudard.
Aussi ce masque-ld n'est pas
Un pauvre pierrot au teint blâme,
Aussi maigre qu'un échalas.
Si, pour nous, c'est toujours Carême,
Pour lui, c'est toujours Mardi-gras.
V
Juges vendus ! banquiers forbans 1
Députés vendeurs de rubans !
Cabotins infects ! tourbe immonde!
Vous tous ! les pourris du Vieux-Monde!
Tous les tarés ! tous les salie l
Continuez, ô chienlits !
Votre bourgeoise mascarade.
Mais toi ! payeur de pots cassés !
Crève-la-faim, mon camarade,
N'en as-tu pas bientôt assez t
Prends un lingot et fiche A bas
Ces masques suant l'anathème !
Que ta chanson sonne leur glas !
Trop longtemps tu fis le Carême,
A ton tour fais donc Mardi-Gras.
E. HERBEL
A propos de rien
Éloquence de Barbapoux, traduite et
communiquée par un de ses plumitifl ;
aussi enthousiaste que discret :
« Dans le Nord : Merci t mes amis, de
vos bonnes paroles et de votre dévoue-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
- Auteurs similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62421156/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62421156/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62421156/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62421156/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62421156
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62421156
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62421156/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest