Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-02-16
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 16 février 1889 16 février 1889
Description : 1889/02/16 (A2,N32)-1889/02/23. 1889/02/16 (A2,N32)-1889/02/23.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242114s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIÈME ANNÉE. —*N*|32
Paris : lO Centimes
Du levu 23 Février IStOT
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
Un AN 5 fr
Six Mots. • • a fr.
Trois Mois. fr. f»0
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
- dit Journal
Rédacteur en chef :
r
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION A ADMINISTRATION
21 — Rue Croix-des-P»titB-Champ» - 21
f. •
Secrétare de Rédaction: G. PIOOURT
OUVRONS L'ŒIL
t
De plus en plus ça se décolle.
Le boulangisme bat son plein. D'ici
quelques mois, nous allons assiter à la'
grande lutte entre parlementaires et
césariens. Nous pourrons rire.
Puis, doucement, les vaincus re ral-
lieront aux vainqueurs. Quelques-uns,
les plus compromis, retourneront à
leurs chères études.
Et une fois les rôles distribués, la
gamelle boulangiste transformée en as-
siette au beurre, le parti de la religion,
de la famille et de la propriété, remia
a neuf et enduit d'une couche de vernis
patriotique, tournera tous ses efforts
contre le socialisme révolutionnaire.
Il faut nous préparer au choc.
Entre la grotesque prétention des so-
cialistes autoi-itaires quia tllrment qwune
révolution ne peut réussir que canalisée
(c'est-à-dire châtrée) et l'inconscient
jimenfoutisine, il est une moyenne.
Vouloir lutter par une organisation
régulière contre l'organisation infini-
ment supérieure de l'Etat, qui a sous
main bureaux, états-majors et armée,
chemins de fer, télégraphes, téléphones,
est une absurdité. La révolution pro-
chaine ne pourra triompher que par
l'irrésistible débordement de toutes les
initiatives.
Mais refuser de voir devant soi, de
suivre les évènements au jour le jour
tout en interrogeant l'avenir, remplacer
le calcul par la déclamation ou le senti-
mentalisme, se confiner exclusivement
dans les nuages de la théorie, recons-
tituer avec de prétendus principes im-
muables une religion nouvelle, serait
une faute pire que tous les crimes pos-
sibles.
Ce serait par dessus tout laisser le
champ libre aux jesuites rouges qui
tablent par trop sur l'insouciance des
libertaires pour s'emparer du pouvoir
pendant que les enthousiastes se feront
casser les os.
Si nous voulons éviter le retour de
l'oppression gouvernementale, le règne
d'une oligarchie nouvelle (bourgeoise et
pseudo-ouvrière, peu importe) ;
Si nous voulons que la Révolution,
œuvre collective, non des états-majors,
mais de la masse anonyme, profite réel-
lement à cette masse;
Si nous voulons, en un mot, détruire
une l'ois pour toutes la vieille société
avec toutes ses h ideurs,
Envisageons froidement la situation :
il est temps, demain l'ennemi sera sur
notre dos.
Au lieu (le quintessencier dans le
vide sur les questions de principes ou
de non-principes (ô compagnons, que
de fois vous m'avez fait enrager !)
voyons ce qui se passe dans notre quar-
tier, à Paris, en France, en Europe,
dans le monde. .:
Eliminons définitivement les rengai-
nes déclamatoires, chères aux roman-
tiques, les effusions du sentimentalisme
quaranlhuitard : nous n'avons le temps
ni de tonitruer, ni de nous attendrir.
Redoublons do propagande, serrons-
nous les coudes, consolidons nos forces.
A la séquelle des comités plus ou
moins directeurs, - - véritables écoles
d'apprentissage pour le Conseil muni-
cipal et la Chambre, - opposons l'étroite
solidarité des groupes libertaires.
A eux, à ces groupes, seuls restés
purs de toute compromission avec les
partis bourgeois, d'arracher le drapeau
rouge à des mains incapables ou traî-
tresses, d'éveiller le peuple de sa torpeur
et d'appeler les deshérités à la grande
bataille contre le capital et l'Etat.
Ch. MALATO.
MOTS D'ATTAQUE
Pichegru était populaire, il avait con-
duit les armées française à la victoire,
conquis la Hollande, et la Convention
l'avait appelé « sauveur de. la Patrie 1 »
Cependant les mandataires de la Répu-
blique n'hésithèrent pas devant le cons-
pirateur. Ils ne veulurent pas écouter
les voix qui redemandaient l'esclavage;
ils tranchèrent dans le vif.
Puisqu'aujourd'hui y a même conspi-
ration pourquoipas même remède ?
Chansons d'Attaque
.1 LE CHATIMENT
1
Comme un téméraire enfant
Sur l'étang gelé s'élance,
Tu vas, bourgeois triomphant,
l'ranquille en la jouissance
Le peuple est las cependant
Las de supporter ta race.
Prends garde maiire pédant !
Sous le ytisseur imprudsnt
Se brise la glace.
11
Comme sur les hauts sommett,
Les neiges longtemps s'entassent
Les crimes que tu commets *
Depuis un siècle s'amassent.
La plèbe qui le gorgea,
En cris furieux s'épanche.
Prends garde ! maître goujat !
Le gla;;ier bouge déjà
Gare à l'avalanche!
IH
C'est en vain que lu promets
Le bonheur au populaire,
Il est trop tard désormais
Pour enrayer sa colère.
1'u le trompe trop souvent,
A te punir il s'apprête.
Prends garde! maître crevant !
Longtemps, tu semas le vent,
Voici la tempête !
E. HERDEr..:
L'ANARCHIE
Ni volés ni voleurs, ni pauvres ni ri-
ches, ni dirigés ni dirigeants, ni ex-
ploités ni exploiteurs. Est-ce assez terri-
ble, hein? Et voilà-t-il pas des idées on ne
peut plus subversives et susceptibles de
donner la chair de poule aux seigneurs
actuels, MM. les bourgeois? Sacristi, ç&
fait froid dans le dos 1
Le simple mot. anarchie » employé
mal à propos dans le milieu dirigeant,
exploitant et volant produit l'effet d'un
paquet de cheveux dans une soupe grasse
et bien bouillante, d'une pierre dans la
mare aux grenouilles, d'un tantinet de
dynamitedans y poste d'agents de paix,
ou d'une expansion venteuse dans un
noble salon du faubourg Saint-Germain.
Sus à l'anarchie 1 Raca sur elle 1 L'anar-
chie est une garce diabolique aux yeux
injectés desang, aux mains prêtes à toutes
les mauvaises besognes et on ne saurait
trop la rendre inonensive, anodine, la co-
quine ! Pour atteindre le but, la pendaison
est merveilleuse, la peine capitale est ado-
rable, un nombre respectable d'années de
prison est parfait. Ah 1 mécréants, bandits
qui rêvez le bonheur de tous, la paix uni-
verselle, l'harmonie de tous les êtres pen-
sants sur cette terre en proie à tant de
maux, on va mettre un terme à la diffu-
sion de vos doctrines, de vos principes,
de vos théories par la persuasion, la dou-
ceur : il n'y aura jamais assez de geôles,
de cachots peur vous 1 Ah 1 perturbateurs
que vous êtes, vous osez troubler la di-
gestion des tyrans detî peuples, ides
nations; vous ne craignez pas d'abréger
leurs jours de la sorte ! A nous la police t
A nous la magistrature 1 Tapez ferme sur
ces marauds d'anarchistrès à califourchon
sur les utopies suivantes : Abolition de la
propriété individuelle, extinction du
paupérisme, tout à tous, production et
censammatibnréglées, groupement selon
les affinités naturelles, suppression de
tout gouvernement, de tout pouvoir, de
toute autorité, ete., etc., c'est-à-dire les
travailleurs de tous les pays se dirigeant,
se gouvernant eux-mêmes, sans le moin-
dre Ferry, Floquet ou Boulanger à la
clef.
Ces bougres d'anarchistes, des trouble-
fête, des gâte-sauce 1 Ils ont l'inénarrable
toupet de clamer sur tous les toits de
France, de Navarre et d'ailleurs que la
pauvreté est la résultante de la richesse,
que la misère n'est qu'artificielle, que la
moitié d'un prolo vaut dixpossédantsgras
à lard et que tôt ou tard tout le monde
mangera à sa faim, boira à sa soif.
Ces enragés d'anarchistes, ils se gaus-
sent de Dieu et du diable et n'ont qu'une
pensée, qu'un but : L'homme libre dans
l'humanité libre, l'affranchissement de
tous les humains. Fous qu'ils sont! Ils se
refusent à faire leur propre bonheur et ne
songent qu'à la félicité du plus minuscule
des animaux raisonnables : l'homme. Pu
mèche de leur en faire accroire à ces
maudits écerveles qui, ô fureur! prépa-
rent, organisent et cimentent la société
future où tons ne pourront pénétrer. Rien
ne les épouvante, pas même la mort. Us
se sacrifient sans arrière pensée et entre-
voient déjà le paradis par eux conçu.
l'éden rêvé qui n'est nullement une chi-
mère, uneutopie, comme disent les exploi-
teurs. Mais l'utopie d'aujourd'hui est If
Paris : lO Centimes
Du levu 23 Février IStOT
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
Un AN 5 fr
Six Mots. • • a fr.
Trois Mois. fr. f»0
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
- dit Journal
Rédacteur en chef :
r
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION A ADMINISTRATION
21 — Rue Croix-des-P»titB-Champ» - 21
f. •
Secrétare de Rédaction: G. PIOOURT
OUVRONS L'ŒIL
t
De plus en plus ça se décolle.
Le boulangisme bat son plein. D'ici
quelques mois, nous allons assiter à la'
grande lutte entre parlementaires et
césariens. Nous pourrons rire.
Puis, doucement, les vaincus re ral-
lieront aux vainqueurs. Quelques-uns,
les plus compromis, retourneront à
leurs chères études.
Et une fois les rôles distribués, la
gamelle boulangiste transformée en as-
siette au beurre, le parti de la religion,
de la famille et de la propriété, remia
a neuf et enduit d'une couche de vernis
patriotique, tournera tous ses efforts
contre le socialisme révolutionnaire.
Il faut nous préparer au choc.
Entre la grotesque prétention des so-
cialistes autoi-itaires quia tllrment qwune
révolution ne peut réussir que canalisée
(c'est-à-dire châtrée) et l'inconscient
jimenfoutisine, il est une moyenne.
Vouloir lutter par une organisation
régulière contre l'organisation infini-
ment supérieure de l'Etat, qui a sous
main bureaux, états-majors et armée,
chemins de fer, télégraphes, téléphones,
est une absurdité. La révolution pro-
chaine ne pourra triompher que par
l'irrésistible débordement de toutes les
initiatives.
Mais refuser de voir devant soi, de
suivre les évènements au jour le jour
tout en interrogeant l'avenir, remplacer
le calcul par la déclamation ou le senti-
mentalisme, se confiner exclusivement
dans les nuages de la théorie, recons-
tituer avec de prétendus principes im-
muables une religion nouvelle, serait
une faute pire que tous les crimes pos-
sibles.
Ce serait par dessus tout laisser le
champ libre aux jesuites rouges qui
tablent par trop sur l'insouciance des
libertaires pour s'emparer du pouvoir
pendant que les enthousiastes se feront
casser les os.
Si nous voulons éviter le retour de
l'oppression gouvernementale, le règne
d'une oligarchie nouvelle (bourgeoise et
pseudo-ouvrière, peu importe) ;
Si nous voulons que la Révolution,
œuvre collective, non des états-majors,
mais de la masse anonyme, profite réel-
lement à cette masse;
Si nous voulons, en un mot, détruire
une l'ois pour toutes la vieille société
avec toutes ses h ideurs,
Envisageons froidement la situation :
il est temps, demain l'ennemi sera sur
notre dos.
Au lieu (le quintessencier dans le
vide sur les questions de principes ou
de non-principes (ô compagnons, que
de fois vous m'avez fait enrager !)
voyons ce qui se passe dans notre quar-
tier, à Paris, en France, en Europe,
dans le monde. .:
Eliminons définitivement les rengai-
nes déclamatoires, chères aux roman-
tiques, les effusions du sentimentalisme
quaranlhuitard : nous n'avons le temps
ni de tonitruer, ni de nous attendrir.
Redoublons do propagande, serrons-
nous les coudes, consolidons nos forces.
A la séquelle des comités plus ou
moins directeurs, - - véritables écoles
d'apprentissage pour le Conseil muni-
cipal et la Chambre, - opposons l'étroite
solidarité des groupes libertaires.
A eux, à ces groupes, seuls restés
purs de toute compromission avec les
partis bourgeois, d'arracher le drapeau
rouge à des mains incapables ou traî-
tresses, d'éveiller le peuple de sa torpeur
et d'appeler les deshérités à la grande
bataille contre le capital et l'Etat.
Ch. MALATO.
MOTS D'ATTAQUE
Pichegru était populaire, il avait con-
duit les armées française à la victoire,
conquis la Hollande, et la Convention
l'avait appelé « sauveur de. la Patrie 1 »
Cependant les mandataires de la Répu-
blique n'hésithèrent pas devant le cons-
pirateur. Ils ne veulurent pas écouter
les voix qui redemandaient l'esclavage;
ils tranchèrent dans le vif.
Puisqu'aujourd'hui y a même conspi-
ration pourquoipas même remède ?
Chansons d'Attaque
.1 LE CHATIMENT
1
Comme un téméraire enfant
Sur l'étang gelé s'élance,
Tu vas, bourgeois triomphant,
l'ranquille en la jouissance
Le peuple est las cependant
Las de supporter ta race.
Prends garde maiire pédant !
Sous le ytisseur imprudsnt
Se brise la glace.
11
Comme sur les hauts sommett,
Les neiges longtemps s'entassent
Les crimes que tu commets *
Depuis un siècle s'amassent.
La plèbe qui le gorgea,
En cris furieux s'épanche.
Prends garde ! maître goujat !
Le gla;;ier bouge déjà
Gare à l'avalanche!
IH
C'est en vain que lu promets
Le bonheur au populaire,
Il est trop tard désormais
Pour enrayer sa colère.
1'u le trompe trop souvent,
A te punir il s'apprête.
Prends garde! maître crevant !
Longtemps, tu semas le vent,
Voici la tempête !
E. HERDEr..:
L'ANARCHIE
Ni volés ni voleurs, ni pauvres ni ri-
ches, ni dirigés ni dirigeants, ni ex-
ploités ni exploiteurs. Est-ce assez terri-
ble, hein? Et voilà-t-il pas des idées on ne
peut plus subversives et susceptibles de
donner la chair de poule aux seigneurs
actuels, MM. les bourgeois? Sacristi, ç&
fait froid dans le dos 1
Le simple mot. anarchie » employé
mal à propos dans le milieu dirigeant,
exploitant et volant produit l'effet d'un
paquet de cheveux dans une soupe grasse
et bien bouillante, d'une pierre dans la
mare aux grenouilles, d'un tantinet de
dynamitedans y poste d'agents de paix,
ou d'une expansion venteuse dans un
noble salon du faubourg Saint-Germain.
Sus à l'anarchie 1 Raca sur elle 1 L'anar-
chie est une garce diabolique aux yeux
injectés desang, aux mains prêtes à toutes
les mauvaises besognes et on ne saurait
trop la rendre inonensive, anodine, la co-
quine ! Pour atteindre le but, la pendaison
est merveilleuse, la peine capitale est ado-
rable, un nombre respectable d'années de
prison est parfait. Ah 1 mécréants, bandits
qui rêvez le bonheur de tous, la paix uni-
verselle, l'harmonie de tous les êtres pen-
sants sur cette terre en proie à tant de
maux, on va mettre un terme à la diffu-
sion de vos doctrines, de vos principes,
de vos théories par la persuasion, la dou-
ceur : il n'y aura jamais assez de geôles,
de cachots peur vous 1 Ah 1 perturbateurs
que vous êtes, vous osez troubler la di-
gestion des tyrans detî peuples, ides
nations; vous ne craignez pas d'abréger
leurs jours de la sorte ! A nous la police t
A nous la magistrature 1 Tapez ferme sur
ces marauds d'anarchistrès à califourchon
sur les utopies suivantes : Abolition de la
propriété individuelle, extinction du
paupérisme, tout à tous, production et
censammatibnréglées, groupement selon
les affinités naturelles, suppression de
tout gouvernement, de tout pouvoir, de
toute autorité, ete., etc., c'est-à-dire les
travailleurs de tous les pays se dirigeant,
se gouvernant eux-mêmes, sans le moin-
dre Ferry, Floquet ou Boulanger à la
clef.
Ces bougres d'anarchistes, des trouble-
fête, des gâte-sauce 1 Ils ont l'inénarrable
toupet de clamer sur tous les toits de
France, de Navarre et d'ailleurs que la
pauvreté est la résultante de la richesse,
que la misère n'est qu'artificielle, que la
moitié d'un prolo vaut dixpossédantsgras
à lard et que tôt ou tard tout le monde
mangera à sa faim, boira à sa soif.
Ces enragés d'anarchistes, ils se gaus-
sent de Dieu et du diable et n'ont qu'une
pensée, qu'un but : L'homme libre dans
l'humanité libre, l'affranchissement de
tous les humains. Fous qu'ils sont! Ils se
refusent à faire leur propre bonheur et ne
songent qu'à la félicité du plus minuscule
des animaux raisonnables : l'homme. Pu
mèche de leur en faire accroire à ces
maudits écerveles qui, ô fureur! prépa-
rent, organisent et cimentent la société
future où tons ne pourront pénétrer. Rien
ne les épouvante, pas même la mort. Us
se sacrifient sans arrière pensée et entre-
voient déjà le paradis par eux conçu.
l'éden rêvé qui n'est nullement une chi-
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