Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-02-02
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 02 février 1889 02 février 1889
Description : 1889/02/02 (A2,N31)-1889/02/15. 1889/02/02 (A2,N31)-1889/02/15.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242113c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIÈME ANNÉE. N° ~|31
Paru : 10 Centimes
Du 8 au 15 Février 1889
1 L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN 5 fr.
Six MOIS Bfr.
TROIS MOIs. 1 fr. «O
Les Annonces sont traitees à forfait aux bure aux
du Journal
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
2i — Rue Croix-des-Petits-Champs — ai
Secrétare de Rédaction : G. PICOURI
SOYONS LOGIQUES
Plusieurs chambres syndicales qui
s'intitulent indépendantes mais qui, en
réalité, se laissent guider par des poli-
ticiens à qui elles servent de marche-
pied, ont décidé, ou plutôt accepté l'or-
dre d'envoyer une délégation aux pou-
voirs publics pour les sommer do faire
en faveur de la classe ouvrière les ré-
formes suivantes :
1* Limitation de la journée de travail
à huit heures.
2° Fixation d'un minimum de salaire.
Or, il n'y a aucune raison pour que
les mandatés obéissent à cette. som-
mation, et il y en a des quantités, au
contraire, pour qu'ils s'en soucient
autant que des promesses qu'ils firent
jadis à leurs nUvlAiirn.
Les quelques groupes ouvriers qui
suivent encore les sentiers orniéreux de
la politique et du parlementarisme en
seront donc pour leur humiliation. Aussi
inefficaces qu'elles soient, ces réformes
ne seront pas obtenues.
Elles ne peuvent l'être.
Aux délégués, s'ils sont reçus, les
dirigeants feront, ce qu'il font toujours,
des promesses. Qui sait? peut-être
iront-ils ensuite jusqu'à déposer des
projets de loi. Cela coûte si peu.
Mais ce dont on peut être sûr, c'est
; que lorsque ces projets viendront en
discussion, on ne manquera pas d'invo-
quer les grandes blagues : l'intérêt du
Commerce, la protection de l'Indus-
trie, etc ; et, sous prétexte de concur-
rence internationale, les choses reste-
ront en l'état.
Le plus drôle, c'est que les bons-
hommes qui voudraient engager le
prolétariat dans la voie de la concilia-
; tion et de la soumission osent encore se
dire révolutionnaires.
"Certains d'entr'eux, par evemple, les
disciples du grand prêtre Jules Guesde,
après avoir affirmé la lutte de classes
et crié bien haut qu'il fallait nous sépa-
';. rer de tous les partis bourgeois, après
L avoir reconnu que la suppression du
salariat était la base de l'émancipation
Kft-' v:
humaine, sont assez peu scrupuleux
pour, tout en connaissant l'inutilité de
ces démarches, conseiller à des travail-
leurs de consacrer le régime de soumis-
sion dans lequel ils vivent en allant
mendier — eux à qui tout devrait ap-
partenir - quelque chose à ceux qui
ont tout pris.
Allons, messieurs, les soi-disant
marxistes, avouez-le, vous êtes de ces
« blagueurs > dont parlait Lassale.
Les naïfs qui croient aux palliatifs,
aux demi-mesures, ont l'ignorance pour
excuse.
En s'abaissant jusqu'à demander à
leurs maltres un quignon de pain un
peu plus gros et une meilleure régle-
mentation de leur esclavage, ils sont
coupables d'une faute; mais les autres,
ceux qui savent, les roublards, consi
dèrent ce mouvement comme un moyen
d'arriver à une situation personnelle.
Ceux-là sont complices d'un crime !
Messieurs les blanquistes pourraient,
s'ils n'avaient intérêt à se taire, nous
fournir de précieux renseignements sur
le véritable but de cette manifestation
organisée par leur initiative, mais avor-
tée d'avance grâce à l'avertissement
donné aux inconscients — qui sans ce-
la tombaient dans le traquenard - par
les éclaireurs d'avant-garde : les anar-
chistes.
Malgré la candidature Boule, qui
n'était qu'une frime, malgré leurs pro-
testations plus ou moins énergiques,
les individus composant l'équipe qui a
pour sous-chef Vaillant et pour chef
Rochefort, voulant avoir quand même
des places au Pouvoir, se cramponnent
comme des macchabés qu'ils sont à la
branche qu'ils peuvent atteindre.
En bons politiciens, ils quittent tout
doucement, sur la barque boulangiste, la
vieille chaloupe gouvernementale. Ils
n'en seront pas moins brisés par la tem-
pête, car les travailleurs comprendront
qu'ils ont autre chose à faire qu'à don-
ner de la force au dernier refuge de
l'autorité. Ils n'hésiteront pas. entre le
parti qui promet la Révision et celui
qui veut la Révolution!
Les parlementaires actuels ont montré
suffisamment leur parti-pris de ne rien
faire pour le travailleur.
Le seul résultat d'une nouvelle mise-
en-demeure serait de créer une agita-
tion en faveur des parlementaires fu-
turs, qui ne feront pas davantage.
Le machinisme se développant de
jour en jour multiplie les produits.
Et ceux qui parce que la production
est trop grande sont réduits au chô-
mage, so contenteraient de réclamer du
travail?
Les magasins regorgent des riches-
ses, et leà affamés, les dépouillés iraieny
demander aux gouvernants quelques
sous de plus par jour ?
Non ! on ne parlemente pas avec les
loups, on n'implore pas les tigres. On
tue les bêtes féroces quand on n'a pas
d'autres moyens de s'en défaire.
Lucien WEIL.
LE TRAC
Les canards bourgeois annoncent que
le chancelier se propose d'étendre à tout
l'empire allemand les mesures d'excep-
tion prises contre les socialistesde Prusse,
en ajoutant quelques articles de loi au
code pénal.
Gare aux représailles, Monsieur de Bis-
marck 1
Chansons d'Attaque
EGAREMENT!
1
LES RÉPUBLICAINS
0 Peuple i Empire et Royauté
Ont osé relever la tête ;
Unis contre la Liberté,
Se tes droits ils font la conquête.
Boulange est le porte-drapeau,
Le chef de cette ligue étrange!
LES ÉLECTEURS
C'est Boulange, lange, lange!
C'est Boulanger qu'il nous faut!
II
LES RÉPUBLICAINS
Sarait-il vrai? la Nation
Dont le courroux, jadis, fit naître
La grande Révolution,
Aujourd'hui redemande un maître t
De sentir son fouet sur ta peau,
France ! est-ce que çà te démange t
L* FRANCE
C'est Boulange lange, lange !
C'est Boulanger qu'il nous faut !
III
LES RÉPUBLICAINS
Quel égarement sans pareil !
Se peut-il que Paris le nomme 1
Des Communards le sang vermeil
Un jour éclaboussa cet homme.
Ces morts ! A défaut de flingot,
Que notre haine au moins les venge!
LES FtLS DES FUSILLÉS
C'est Boulange, lange, lange!
C'est Boulanger qu'il nous faut!
IV
LES RÉPUBLICAINS
Mères ! le futur dictateur
Ne peut vivre que par des guerres;
De vos fils gardes-bien le cœur,
Sinon, des luttes meurtrières
Viendront vous les broyer bientôt
Comme raisin à la vendange.
LES MÈRES
C'est Boulange, lange, lange,
C'est Boulanger qu'il nous faut!
V
LES RÉPUBLICAINS
Nation ! déshonore-toi !
Pour amant prend ce mauvais drille!
Cet être sans cœur et sans foi!
Il est souteneur: faitrtoi fille!
La putain veut le maquereau,
Comme'le crapaud veut lafahge.
C'est Boulange, lange, lange,
C'est Bonlange qu'il te faut 1
E. HERBEL.
Chronique Algérienne
LES ÉCOLES SUPÉRIEURES - LA PLACE DE CHARTRES
Le charmant petit village d'Isly, qui
se trouve au fond d'un délicieux ravin,
entre Mustapha et Alger, a été, ces der-
nières années, bouleversé, bousculé,
mutilé.
Et pourquoi, bon Dieu ?.. Pour la
construction de grandes bâtisses bêtes,
criardes, sans style : les Ecoles supé-
rieures.
Les avocats sans causes, les médecins
sans clientèles, les herboristes sans bou-
tiques, les charlatans sans tréteaux -
tous ces ratés de France qui s'abattent
:. sur l'Algérie comme le corbeau sur la
Paru : 10 Centimes
Du 8 au 15 Février 1889
1 L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN 5 fr.
Six MOIS Bfr.
TROIS MOIs. 1 fr. «O
Les Annonces sont traitees à forfait aux bure aux
du Journal
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
2i — Rue Croix-des-Petits-Champs — ai
Secrétare de Rédaction : G. PICOURI
SOYONS LOGIQUES
Plusieurs chambres syndicales qui
s'intitulent indépendantes mais qui, en
réalité, se laissent guider par des poli-
ticiens à qui elles servent de marche-
pied, ont décidé, ou plutôt accepté l'or-
dre d'envoyer une délégation aux pou-
voirs publics pour les sommer do faire
en faveur de la classe ouvrière les ré-
formes suivantes :
1* Limitation de la journée de travail
à huit heures.
2° Fixation d'un minimum de salaire.
Or, il n'y a aucune raison pour que
les mandatés obéissent à cette. som-
mation, et il y en a des quantités, au
contraire, pour qu'ils s'en soucient
autant que des promesses qu'ils firent
jadis à leurs nUvlAiirn.
Les quelques groupes ouvriers qui
suivent encore les sentiers orniéreux de
la politique et du parlementarisme en
seront donc pour leur humiliation. Aussi
inefficaces qu'elles soient, ces réformes
ne seront pas obtenues.
Elles ne peuvent l'être.
Aux délégués, s'ils sont reçus, les
dirigeants feront, ce qu'il font toujours,
des promesses. Qui sait? peut-être
iront-ils ensuite jusqu'à déposer des
projets de loi. Cela coûte si peu.
Mais ce dont on peut être sûr, c'est
; que lorsque ces projets viendront en
discussion, on ne manquera pas d'invo-
quer les grandes blagues : l'intérêt du
Commerce, la protection de l'Indus-
trie, etc ; et, sous prétexte de concur-
rence internationale, les choses reste-
ront en l'état.
Le plus drôle, c'est que les bons-
hommes qui voudraient engager le
prolétariat dans la voie de la concilia-
; tion et de la soumission osent encore se
dire révolutionnaires.
"Certains d'entr'eux, par evemple, les
disciples du grand prêtre Jules Guesde,
après avoir affirmé la lutte de classes
et crié bien haut qu'il fallait nous sépa-
';. rer de tous les partis bourgeois, après
L avoir reconnu que la suppression du
salariat était la base de l'émancipation
Kft-' v:
humaine, sont assez peu scrupuleux
pour, tout en connaissant l'inutilité de
ces démarches, conseiller à des travail-
leurs de consacrer le régime de soumis-
sion dans lequel ils vivent en allant
mendier — eux à qui tout devrait ap-
partenir - quelque chose à ceux qui
ont tout pris.
Allons, messieurs, les soi-disant
marxistes, avouez-le, vous êtes de ces
« blagueurs > dont parlait Lassale.
Les naïfs qui croient aux palliatifs,
aux demi-mesures, ont l'ignorance pour
excuse.
En s'abaissant jusqu'à demander à
leurs maltres un quignon de pain un
peu plus gros et une meilleure régle-
mentation de leur esclavage, ils sont
coupables d'une faute; mais les autres,
ceux qui savent, les roublards, consi
dèrent ce mouvement comme un moyen
d'arriver à une situation personnelle.
Ceux-là sont complices d'un crime !
Messieurs les blanquistes pourraient,
s'ils n'avaient intérêt à se taire, nous
fournir de précieux renseignements sur
le véritable but de cette manifestation
organisée par leur initiative, mais avor-
tée d'avance grâce à l'avertissement
donné aux inconscients — qui sans ce-
la tombaient dans le traquenard - par
les éclaireurs d'avant-garde : les anar-
chistes.
Malgré la candidature Boule, qui
n'était qu'une frime, malgré leurs pro-
testations plus ou moins énergiques,
les individus composant l'équipe qui a
pour sous-chef Vaillant et pour chef
Rochefort, voulant avoir quand même
des places au Pouvoir, se cramponnent
comme des macchabés qu'ils sont à la
branche qu'ils peuvent atteindre.
En bons politiciens, ils quittent tout
doucement, sur la barque boulangiste, la
vieille chaloupe gouvernementale. Ils
n'en seront pas moins brisés par la tem-
pête, car les travailleurs comprendront
qu'ils ont autre chose à faire qu'à don-
ner de la force au dernier refuge de
l'autorité. Ils n'hésiteront pas. entre le
parti qui promet la Révision et celui
qui veut la Révolution!
Les parlementaires actuels ont montré
suffisamment leur parti-pris de ne rien
faire pour le travailleur.
Le seul résultat d'une nouvelle mise-
en-demeure serait de créer une agita-
tion en faveur des parlementaires fu-
turs, qui ne feront pas davantage.
Le machinisme se développant de
jour en jour multiplie les produits.
Et ceux qui parce que la production
est trop grande sont réduits au chô-
mage, so contenteraient de réclamer du
travail?
Les magasins regorgent des riches-
ses, et leà affamés, les dépouillés iraieny
demander aux gouvernants quelques
sous de plus par jour ?
Non ! on ne parlemente pas avec les
loups, on n'implore pas les tigres. On
tue les bêtes féroces quand on n'a pas
d'autres moyens de s'en défaire.
Lucien WEIL.
LE TRAC
Les canards bourgeois annoncent que
le chancelier se propose d'étendre à tout
l'empire allemand les mesures d'excep-
tion prises contre les socialistesde Prusse,
en ajoutant quelques articles de loi au
code pénal.
Gare aux représailles, Monsieur de Bis-
marck 1
Chansons d'Attaque
EGAREMENT!
1
LES RÉPUBLICAINS
0 Peuple i Empire et Royauté
Ont osé relever la tête ;
Unis contre la Liberté,
Se tes droits ils font la conquête.
Boulange est le porte-drapeau,
Le chef de cette ligue étrange!
LES ÉLECTEURS
C'est Boulange, lange, lange!
C'est Boulanger qu'il nous faut!
II
LES RÉPUBLICAINS
Sarait-il vrai? la Nation
Dont le courroux, jadis, fit naître
La grande Révolution,
Aujourd'hui redemande un maître t
De sentir son fouet sur ta peau,
France ! est-ce que çà te démange t
L* FRANCE
C'est Boulange lange, lange !
C'est Boulanger qu'il nous faut !
III
LES RÉPUBLICAINS
Quel égarement sans pareil !
Se peut-il que Paris le nomme 1
Des Communards le sang vermeil
Un jour éclaboussa cet homme.
Ces morts ! A défaut de flingot,
Que notre haine au moins les venge!
LES FtLS DES FUSILLÉS
C'est Boulange, lange, lange!
C'est Boulanger qu'il nous faut!
IV
LES RÉPUBLICAINS
Mères ! le futur dictateur
Ne peut vivre que par des guerres;
De vos fils gardes-bien le cœur,
Sinon, des luttes meurtrières
Viendront vous les broyer bientôt
Comme raisin à la vendange.
LES MÈRES
C'est Boulange, lange, lange,
C'est Boulanger qu'il nous faut!
V
LES RÉPUBLICAINS
Nation ! déshonore-toi !
Pour amant prend ce mauvais drille!
Cet être sans cœur et sans foi!
Il est souteneur: faitrtoi fille!
La putain veut le maquereau,
Comme'le crapaud veut lafahge.
C'est Boulange, lange, lange,
C'est Bonlange qu'il te faut 1
E. HERBEL.
Chronique Algérienne
LES ÉCOLES SUPÉRIEURES - LA PLACE DE CHARTRES
Le charmant petit village d'Isly, qui
se trouve au fond d'un délicieux ravin,
entre Mustapha et Alger, a été, ces der-
nières années, bouleversé, bousculé,
mutilé.
Et pourquoi, bon Dieu ?.. Pour la
construction de grandes bâtisses bêtes,
criardes, sans style : les Ecoles supé-
rieures.
Les avocats sans causes, les médecins
sans clientèles, les herboristes sans bou-
tiques, les charlatans sans tréteaux -
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