Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1889-01-05
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 05 janvier 1889 05 janvier 1889
Description : 1889/01/05 (A2,N28)-1889/01/12. 1889/01/05 (A2,N28)-1889/01/12.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62421104
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
DEUXIÈMES ANNÉE. — N° 28 Paris : 10 Centimes Du 5 au 12 Janvier 1889
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN 5 FL •
Six MOIs. 3 fr.
THOIS MOIS. t fl'. ;;0
Les Annonces sont traitées à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21 — Rue Croix-des-Petits-Champs — 21
Secrétare de Rédaction : G. PICOURT
PLUS D'EQUIVOQUE
La mort du député cher aux « chauds
de vin » et ami du mouillage offre aux
électeurs parisiens une occasion déci-
sive de rompre avec la situation louche
créée à la République par ceux qui,
depuis dix ans surtout, l'ont tour à tour
gouvernée.
Il semble même que le ministre Flo-
quet etses amis à la Chambre se soient
exprès mis d'accord pour faire cesser
tout malentendu à ce propos.
Avec une franchise d'autant plus mé-
ritoire que leur hypocrisie habituelle ne
la laissait point soupçonner, ils ont en
chœur refusé l'amnistie que leur de-
mandait Basly avant de se séparer. Ils
ont ainsi voulu accentuer que, pas plus
que Boulanger et ses misérables com-
plices, ils ne se souciaient des misères
des travailleurs et qu'au besoin même,
si le brav'général veut leur donner un
coup de main pour de nouvelles mi-
traillades, ils ne refuseront pas son aide.
Ce qui n'empêchera point, bien en-
tendu, les bandits de la Boulange —
profitant de la nouvelle infamie de Flo-
quet — de faire ~luire la promesse de
celte même amnistie aux yeux des fu-
turs et candides électeurs de l'immonde
versailleux.
Et dire que le Floquet et ses idiots
d'amis à la Chambre ont traité de ma-
nœuvre boulangiste la proposition de
];:Jsly!
Peut-on être plus crétin!
Eh bien! en somme, il faut leur sa-
voir gré du cynisme avec lequel ils ont
une fois de plus témoigné de leur haine
invétérée pour les travailleurs et les
meurt-de-faim.
Dans quelques jours ceux-ci vont, à
Paris, être appelés à se prononcer entre
la fange boulangiste et le fumier oppor-
tuno-radical.
Que Boulanger sorte triomphant du
scrutin, c'est, à bref délai, un nouveau
coup d'État tuant la République, sans
phrases, et rejetant la France dans toutes
- les hontes et toutes les infamies d'un
exécrable passé.
Qu'au contraire, grâce à la manœu-
vre des Cadettistes se couvrant des sé-
nateurs, des députés et des conseillers
généraux de la Seine, ainsi que des
conseillers municipaux de Paris, trans
formés sans vergogne en Grands Elec-
teurs; que, disons-nous, le candidat
imposé par ces filous de la souveraineté
populaire arrive à battre le bandit ga-
lonné, c'est la continuation du régime
honteux grâce auquel la République
s'enlisera sûrement dans le marais pu-
tride où la font agoniser ses prétendus
défenseurs qui ne sont en réalité que
ses détrousseurs.
La situation est donc nettement éta-
blie.
Quel que soit l'élu, c'est la mort
plus ou moins lente mais certaine de
la République et de toutes les espéran-
ces qui — à juste titre — la rendaient
chère non seulement au prolétariat fran-
çais, mais aux prolétaires de tous pays.
N'est-il donc aucun moyen de sortir de
cette désolante impasse?
Il en est deux. et même trois. mais
ne parlons que des deux premiers — le
troisième étant de ceux qu'on ne pré-
conise qu'à la condition d'être en me-
sure de pourvoir à son exécution,
Des deux autres, le plus efficace, le
plus sérieux, serait assurément l'abstcn-
tion pure et simple. Le prolétariat pa-
risien s'abstenant tout entier ! Quel spec
t:!cle et surtout quel enseignement !
L'élu quel qu'il soit ne représentant
plus alors que les tripoteurs et les en-
nemis avérés de la vraie République —
la Sociale. — la seule qui intéresse les
travailleurs !
Mais si cette véritable action — s'abs-
tenir — semble trop au-dessus de leurs
forces, trop en dehors d'habitudes pri-
ses, que du moins alors les prolétaires
parisiens donnent à leur choix un ca-
ractère significatif ; que leur candidat
représente nettement l'idée révolution-
naire !
Que leur choix dise bien que, dès
maintenant, les prolétaires considèrent
comme ennemis au même titre que les
monarchians, tous ceux qni ne voient
dans la République que la continuation
du régime capitaliste dont eux, travail-
leurs, devront demeurer les éternelles
victimes.
Ils mettront ainsi fin à la dangereuse
équivoque dans laquelle nous nous dé-
battons depuis l'égorgement de la Com-
mune de 1871, équivoque qui menace
de nous conduire tous à la plus hon-
teuse et à la plus irrémédiable des
chutes. G. LEFRANÇAIS.
y
Chansons d'Attaque
PAUVRE FILLE !
1
C'est la. nuit ! sur le quai tout noir
Une enfant de seize ans à peine
En proie A l'âpre désespoir
Va pleurant le long de la Seine :
« Pas de travail et pas de pain !
Je suis lasse ! j'ai froid ! j'ai faim ! »
Dit-elle, « Oh ! que la vie est dure ! »
Et l'enfant écoule soudain
La voix du fleuve qui murmure :
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer les seins naissants,
Pour effleurer ta bouche rose.
Viens enfant ! viens chercher l'oubli!
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
II
El la voie continue ainsi
« Pauvre fille ! tu désespères
Alors que chantent sans souci
Les enfants joyeux et les mères.
Une mère ! lit n'en eus pas
Pour diriger tes premiers pas
Pour te bercer sur sa poitrine !
Viens donc ! la Mort le tend les bras !
Elle sera pour toi caline.»
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer tes seins naissants,
Pour effleurer ta bouche rose.
Viens enfant ! viens chercher l'oubli !
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
III
« Tu ne connus ni l'amitié,
Ni l'amour, si doux au cœur frêle ;
Qui sait mème si la pitié
Te toucha jamais de son aile !
Qu'à m'obéir ton cœur soit prompt.
Viens ! les vagues te berceront
De leur mouvement lent et vaste,
Les poissons d'argent, sur ton front
Mettront leur baiser le plus chaste. »
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer tes seins naissants
Pour effleurer ta bouche rose.
Viens enfant! viens chercher l'oubli,
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
VI
« Quel est ton avenir, enfin,
En ce monde fait d'injustice 1
Où, pour échapper A la faim,
Tu n'aurais qu'un moyen, le vice.
Passif instrument de plaisir,
Veux-tu voir ton cœur se flétrir 1
Veux-tu faire un métier immonde 1
Veux-tu désaprendre à rougir ?
Non ! laisse-tot glisser dans l'onde! »
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer tes seins natssants.
Pour effleurer ta lèvre rose.
Viens enfant! viens chercher l'oubli!
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
V
Alors, étouffant un sanglot
L'enfant fait quelques pas et glisse
Le long de la berge, et le flot
Bientôt met fin à son supplice,
Voilà votre œuvre ! ú dirigeants !
Vos lois font que les pauvres gens
Ont un avenir de misère,
Et que des enfants de seize ans
S'en vont rouler à la rivière.
Flots 1 faites-vous bien caressants
Pour enlacer leurs seins naissants,
Pour effleurer leur bouche rose.
Donnes-leur l'éternel oubli!
Que leur tête sur un doux lit.
Repose.
E. HERBEL
MON COURRIER
Ma foi, j'en ai entendu dire tant sur le
boulangisme, qui pour, qui contre, que,
voulant en avoir le cœur net, j'ai lancé la
circulaire que voici à MM. Rochefort,
Naquet, Paul de Cassagnac, A Meyer,
Cuneo d'Ornano, à un socialiste de mes
amis, enfin au Général lui-même :
Monsieur (ou citoyen, selon le cas),
« Je suis un simple électeur qui vois
arriver 89 avec perplexité. Tirez-moi de
mon plus gros doute en veuillant bien mo
dire ce qu'est le boulangisme, dont tout
le monde parle en ce moment. Sur votre
réponse, je réglerai ma conduite d'électeur,
avec laquelle j'ai l'honneur d'être, etc. »
Suivaient un nom et une adresse de fan-
taisie.
Contre mon attente, mes correspondants
m'ont répondu.
Comme ce serait mal à moi de tenir tant
de lumière sous le boisseau, je livre ces
réponses aux lecteurs de l'Attaque.
De Naquet, d'abord, ça nous portera
bonheur :
1 Le boulangisme c'est la réconciliation
de la République et de l'Empire. J'ai dit
aux bonapartistes : < Pardonnez-nous le
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
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ERNEST GEGOUT
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21 — Rue Croix-des-Petits-Champs — 21
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PLUS D'EQUIVOQUE
La mort du député cher aux « chauds
de vin » et ami du mouillage offre aux
électeurs parisiens une occasion déci-
sive de rompre avec la situation louche
créée à la République par ceux qui,
depuis dix ans surtout, l'ont tour à tour
gouvernée.
Il semble même que le ministre Flo-
quet etses amis à la Chambre se soient
exprès mis d'accord pour faire cesser
tout malentendu à ce propos.
Avec une franchise d'autant plus mé-
ritoire que leur hypocrisie habituelle ne
la laissait point soupçonner, ils ont en
chœur refusé l'amnistie que leur de-
mandait Basly avant de se séparer. Ils
ont ainsi voulu accentuer que, pas plus
que Boulanger et ses misérables com-
plices, ils ne se souciaient des misères
des travailleurs et qu'au besoin même,
si le brav'général veut leur donner un
coup de main pour de nouvelles mi-
traillades, ils ne refuseront pas son aide.
Ce qui n'empêchera point, bien en-
tendu, les bandits de la Boulange —
profitant de la nouvelle infamie de Flo-
quet — de faire ~luire la promesse de
celte même amnistie aux yeux des fu-
turs et candides électeurs de l'immonde
versailleux.
Et dire que le Floquet et ses idiots
d'amis à la Chambre ont traité de ma-
nœuvre boulangiste la proposition de
];:Jsly!
Peut-on être plus crétin!
Eh bien! en somme, il faut leur sa-
voir gré du cynisme avec lequel ils ont
une fois de plus témoigné de leur haine
invétérée pour les travailleurs et les
meurt-de-faim.
Dans quelques jours ceux-ci vont, à
Paris, être appelés à se prononcer entre
la fange boulangiste et le fumier oppor-
tuno-radical.
Que Boulanger sorte triomphant du
scrutin, c'est, à bref délai, un nouveau
coup d'État tuant la République, sans
phrases, et rejetant la France dans toutes
- les hontes et toutes les infamies d'un
exécrable passé.
Qu'au contraire, grâce à la manœu-
vre des Cadettistes se couvrant des sé-
nateurs, des députés et des conseillers
généraux de la Seine, ainsi que des
conseillers municipaux de Paris, trans
formés sans vergogne en Grands Elec-
teurs; que, disons-nous, le candidat
imposé par ces filous de la souveraineté
populaire arrive à battre le bandit ga-
lonné, c'est la continuation du régime
honteux grâce auquel la République
s'enlisera sûrement dans le marais pu-
tride où la font agoniser ses prétendus
défenseurs qui ne sont en réalité que
ses détrousseurs.
La situation est donc nettement éta-
blie.
Quel que soit l'élu, c'est la mort
plus ou moins lente mais certaine de
la République et de toutes les espéran-
ces qui — à juste titre — la rendaient
chère non seulement au prolétariat fran-
çais, mais aux prolétaires de tous pays.
N'est-il donc aucun moyen de sortir de
cette désolante impasse?
Il en est deux. et même trois. mais
ne parlons que des deux premiers — le
troisième étant de ceux qu'on ne pré-
conise qu'à la condition d'être en me-
sure de pourvoir à son exécution,
Des deux autres, le plus efficace, le
plus sérieux, serait assurément l'abstcn-
tion pure et simple. Le prolétariat pa-
risien s'abstenant tout entier ! Quel spec
t:!cle et surtout quel enseignement !
L'élu quel qu'il soit ne représentant
plus alors que les tripoteurs et les en-
nemis avérés de la vraie République —
la Sociale. — la seule qui intéresse les
travailleurs !
Mais si cette véritable action — s'abs-
tenir — semble trop au-dessus de leurs
forces, trop en dehors d'habitudes pri-
ses, que du moins alors les prolétaires
parisiens donnent à leur choix un ca-
ractère significatif ; que leur candidat
représente nettement l'idée révolution-
naire !
Que leur choix dise bien que, dès
maintenant, les prolétaires considèrent
comme ennemis au même titre que les
monarchians, tous ceux qni ne voient
dans la République que la continuation
du régime capitaliste dont eux, travail-
leurs, devront demeurer les éternelles
victimes.
Ils mettront ainsi fin à la dangereuse
équivoque dans laquelle nous nous dé-
battons depuis l'égorgement de la Com-
mune de 1871, équivoque qui menace
de nous conduire tous à la plus hon-
teuse et à la plus irrémédiable des
chutes. G. LEFRANÇAIS.
y
Chansons d'Attaque
PAUVRE FILLE !
1
C'est la. nuit ! sur le quai tout noir
Une enfant de seize ans à peine
En proie A l'âpre désespoir
Va pleurant le long de la Seine :
« Pas de travail et pas de pain !
Je suis lasse ! j'ai froid ! j'ai faim ! »
Dit-elle, « Oh ! que la vie est dure ! »
Et l'enfant écoule soudain
La voix du fleuve qui murmure :
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer les seins naissants,
Pour effleurer ta bouche rose.
Viens enfant ! viens chercher l'oubli!
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
II
El la voie continue ainsi
« Pauvre fille ! tu désespères
Alors que chantent sans souci
Les enfants joyeux et les mères.
Une mère ! lit n'en eus pas
Pour diriger tes premiers pas
Pour te bercer sur sa poitrine !
Viens donc ! la Mort le tend les bras !
Elle sera pour toi caline.»
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer tes seins naissants,
Pour effleurer ta bouche rose.
Viens enfant ! viens chercher l'oubli !
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
III
« Tu ne connus ni l'amitié,
Ni l'amour, si doux au cœur frêle ;
Qui sait mème si la pitié
Te toucha jamais de son aile !
Qu'à m'obéir ton cœur soit prompt.
Viens ! les vagues te berceront
De leur mouvement lent et vaste,
Les poissons d'argent, sur ton front
Mettront leur baiser le plus chaste. »
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer tes seins naissants
Pour effleurer ta bouche rose.
Viens enfant! viens chercher l'oubli,
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
VI
« Quel est ton avenir, enfin,
En ce monde fait d'injustice 1
Où, pour échapper A la faim,
Tu n'aurais qu'un moyen, le vice.
Passif instrument de plaisir,
Veux-tu voir ton cœur se flétrir 1
Veux-tu faire un métier immonde 1
Veux-tu désaprendre à rougir ?
Non ! laisse-tot glisser dans l'onde! »
« Les flots se feront caressants
Pour enlacer tes seins natssants.
Pour effleurer ta lèvre rose.
Viens enfant! viens chercher l'oubli!
Les herbes te feront un lit.
Repose ! »
V
Alors, étouffant un sanglot
L'enfant fait quelques pas et glisse
Le long de la berge, et le flot
Bientôt met fin à son supplice,
Voilà votre œuvre ! ú dirigeants !
Vos lois font que les pauvres gens
Ont un avenir de misère,
Et que des enfants de seize ans
S'en vont rouler à la rivière.
Flots 1 faites-vous bien caressants
Pour enlacer leurs seins naissants,
Pour effleurer leur bouche rose.
Donnes-leur l'éternel oubli!
Que leur tête sur un doux lit.
Repose.
E. HERBEL
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Ma foi, j'en ai entendu dire tant sur le
boulangisme, qui pour, qui contre, que,
voulant en avoir le cœur net, j'ai lancé la
circulaire que voici à MM. Rochefort,
Naquet, Paul de Cassagnac, A Meyer,
Cuneo d'Ornano, à un socialiste de mes
amis, enfin au Général lui-même :
Monsieur (ou citoyen, selon le cas),
« Je suis un simple électeur qui vois
arriver 89 avec perplexité. Tirez-moi de
mon plus gros doute en veuillant bien mo
dire ce qu'est le boulangisme, dont tout
le monde parle en ce moment. Sur votre
réponse, je réglerai ma conduite d'électeur,
avec laquelle j'ai l'honneur d'être, etc. »
Suivaient un nom et une adresse de fan-
taisie.
Contre mon attente, mes correspondants
m'ont répondu.
Comme ce serait mal à moi de tenir tant
de lumière sous le boisseau, je livre ces
réponses aux lecteurs de l'Attaque.
De Naquet, d'abord, ça nous portera
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