Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1888-11-17
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 17 novembre 1888 17 novembre 1888
Description : 1888/11/17 (A1,N22)-1888/11/24. 1888/11/17 (A1,N22)-1888/11/24.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6242104d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
PREMIERE ANNÉE. — N* 22 Paris : XO Centimes Du 17 au 24 Novembre 1888
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. * 5 fr
SIX MOIs. a fr.
TROIS MOIS. ifr.KO
-
Les Annonces sont traitees à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDAOTION & ADMINISTRATION
21, Rue Croix - des - Petits - Champs, Si
Secrétaire de Rédaction: G. PIOOUR1
LE RÈGNE DE L'INTRIGUE
A défaut des notes de voyage pro-
mises, je vous on envoie le résumé et
j'espère qu'il suffira pour définir un
aspect de la vie départementale sous le
règne de l'opportunisme.
A Paris, nous négligeons un peu
trop ce qui se passe hors des fortifica-
tions. Nous croyons que le soir même
du vote qui a remplacé par un ministère
radical un ministère opportuniste, il y
a quelque chose de changé et nous
sommes tout étonnés, quelques jours
après, de voir que le changement n'a
porté que sur les noms ministériels.
Il ne s'agit même pas du fond des
cluses. Les socialistes savent trop que
les radicaux sont au pouvoir des commis
du capitalisme, aussi dévoués que pour-
raient l'être opportunistes, monarchistes
ou boulangistes. Aussi n'ont-ils pas la
naïveté de s'étonner qu'aucune réforme
sociale ne se produise et que M. Flo-
quet, par ses résistances réactionnaires,
compromette la République autant que
M. Ferry. Mais ce qui peut étonner,
c'est que, même dans les questions où
il semble que pour durer le ministre
radical doive trouver une solution autre
que celle qu'eut choisie son rival oppor-
tuniste, il soit obligé de faire de même,
de conserver son personnel de préfets
et d'agents qui le ruinent et se moquent
de lui.
Arrivé au ministère, le radical qui
rêvait, par des réformes superficielles,
de tromper l'opinion, s'est trouvé en
face de la coalition de bureaux qui ont
gouverné sous tous ses prédécesseurs,
et plutôt que d'engager une lutte où il
sent qu'il succomberait infailliblement,
il cède, résigné pour vivre à recevoir
en secret le mot d'ordre opportuniste.
Le ministre n'est, en effet, que le pro-
duit accidentel du parasitisme gouver-
nemental dont les bureaux sont, avec
leurs équivalents départementaux, la
réelle expression. l'on gré mal gré le
ministre doit céder.
C'est que employés et fonctionnaires
ont été placés par chacune des factions
réactionnaires qui, successivement, ont
occupé le pouvoir et qui, si elles sont
tombées du ministère, ont gardé pour
le malheur de la République assez do
force d'intrigue et d'action pour que
tout ministre nouveau soit obligé de
composer avec elles et de les servir.
Il suffit de se rendre compte de ce
qui se passe dans un département pour
comprendre l'impuissance et l'anarchie
du pouvoir parlementaire. Dans chaque
département une coterie dispose souve-
rainement de toutes choses, emplois,
places, faveurs.
Quand ce n'est pas avec une coterie
locale unique, c'est avec une fédération
de coteries que le nouveau ministère a
dû s'entendre pour gouverner de con-
cert. Dans le Loir-et-Cher c'était Tassin ;
dans les Vosges, c'est Ferry; dans le
Cher, c'est Brisson; partout c'est le
même système de tyrannie et de cor-
ruption qui groupe sous l'égide oppor-
tuniste et radicale tous les intérêts capi-
talistes et réactionnaires et toutes les
intrigues de 1 soi-disant ., républicains
contre le prolétaire, contre le peuple,
enraye tout progrès, rend impossible
toute réforme. >,- Il-
Par la pression irrésistible d'une ad-
ministration toute puissante par sa cen-
tralisation , le suffrage universel se
laisse dicter dans les élections munici-
pales et départementales les choix de la
coterie régnante qui, sans se gêner,
oppiime, traque, ruine ses adversai-
res et pille les caisses publiques. C'est
l'empire renouvelé sous le masque répu-
blicain, et les feuilles monarchistes ne
manquent pas d'en profiter pour leur
propagande. Impossible d'énumérer les
méfaits et les crimes de ce régime tra-
cassier et pillard, son insolence, son
impudeur, le mécontentement et la co-
lère de ses victimes. Vi-
Ce règne de coteries, le mal incroya-
ble qu'elles font à toute heure, leur
exploitation odieuse et sans pudeur du
pouvoir constituent un des dangers les
plus terribles de la République. Ce n'est
pas une des moindres causes qui gran-
dissent le mécontentemént général et
rejettent dans les rangs du monarchisme
et du boulangisme une foule d'incons-
cients qui croient qu'il y a quelque
chose de commun entre la République
et ces prétendus républicains qui la tra-
hissent. ;s
Le socialisme seul tient en échec ces
bandits et ces traîtres et ouvre au pays
a voie du salut. La République pour
rayer son chemin doit entrer franche-
ment dans la voie révolutionnaire et
mettre fin, par la destruction du régime
capitaliste et propriétaire, aux résis-
tances réactionnaires qui, si elles pou-
vaient durer amèneraient certainement
le démembrement de la France et la
ruine de la République.
Les progrès considérables du socia-
lisme font espérer que ces dangers peu-
vent être victorieusement conjurés. Et
si dans un an le vote trahit cet espoir,
le parti socialiste aura tout le proléta-
riat révolutionnaire avec lui pour secon-
der ses efforts et engager, s'il le faut,
la lutte suprême pour la République et
la Révolution.
Edouard VAILLANT
P. S. - Je lis tardivement, dans votre
dernier numéro, un article ayant pour
titre : « Rue de Sèze ou rue Cadet >.
C'est le contraire du mot d'ordre des
révolutionnaires qui, n'étant ni cadet-
tistes ni boulangistes, et ne pouvant pas
l'être sans trahison, répondent : « Ni
rue de Sèze, ni rue Cadet. » Les socia-
listes révolutionnaires, fidèles au dra-
pc-au rouge, si la Commune, à la Révo-
lution, ne connaissent les partis du
drapeau tricolore, du pouvoir personnel
et de réaction, cadettistes, boulangistes
et monarchistes que pour les combattre.
Ils veulent l'émancipation des travail-
leurs, la fin du régime capitaliste, la
revanche de la Commune et la Répu-
blique sociale, en un mot : la Résolu-
tion. C'est la politique socialiste révo-
lutionnaire et républicaine. C'est celle
de tous les groupes qui se sont unis
dans la ligue de défense de la Républi-
que. C'est la politique du comité révo-
lutionnaire central. C'est la politique
que soutenait l'Homme Libre et que
défend aujourd'hui le Cri du Peuple.
C'est aussi celle qu'a toujours soutenue
et que, je n'en doute pas, soutient encore
l'Attaque.
ED. Y.
MOT D'ATTAQUE
Si une révolution eclate et que vous
vouliez la mener à bon port, il faut
que 24 heures après son éclosion, le
peuple ait pu iouir de ses bienfaits.
BLANQUI,
Chansons d'Attaque
HARDI ! LES GUEUX ! ! !
Air : Une! deux 1 le midi bouge !
1
Laisserons-nous toujours
Dire aux bourgeois balourds :
Le Peuple est lâche !
Il est bête A bâter :
Dès qu'il se fâche
Nous savons le mâter. »
O Gueuvl
Brandis ta gouge,
De sang rouge!
O Gueux!
Elance-toi contre eux.
II
Du riche fainéant
Le coffre-fort béant,
Gueule de fonte 'r:
A l'appétit puissant, 5 U
Mange sans honte
Ta chair et boit ton sang!
O Gueux !
Brandis ta gouge, •
De sang rouge !
O Gueux!
Brise-les tous les deux.
III
La lime et le marteau
Outils seront tantôt.
Fai8-en des armes !
Pour mieux étripailler
Ceux que tes larmes
Ont su tant égayer.
O Gueux !
Brandis ta gouge,
De sang rouge !
0 Queux 1
Elance-toi contre eux.
IV
Si quelqu'un de tes fils
Prend part à leurs profits,
Et s'il menace
D' être un bourgeois plus tard,
Sauve ta race!
Egorge le bâtard.
0 Queux !
Brandis ta gouge,
De sang rouge!
O Gueuœ!
Pour lui, mourir vaut mieux.
L'ATTAQUE
Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. * 5 fr
SIX MOIs. a fr.
TROIS MOIS. ifr.KO
-
Les Annonces sont traitees à forfait aux bureaux
du Journal
Rédacteur en chef :
ERNEST GEGOUT
RÉDAOTION & ADMINISTRATION
21, Rue Croix - des - Petits - Champs, Si
Secrétaire de Rédaction: G. PIOOUR1
LE RÈGNE DE L'INTRIGUE
A défaut des notes de voyage pro-
mises, je vous on envoie le résumé et
j'espère qu'il suffira pour définir un
aspect de la vie départementale sous le
règne de l'opportunisme.
A Paris, nous négligeons un peu
trop ce qui se passe hors des fortifica-
tions. Nous croyons que le soir même
du vote qui a remplacé par un ministère
radical un ministère opportuniste, il y
a quelque chose de changé et nous
sommes tout étonnés, quelques jours
après, de voir que le changement n'a
porté que sur les noms ministériels.
Il ne s'agit même pas du fond des
cluses. Les socialistes savent trop que
les radicaux sont au pouvoir des commis
du capitalisme, aussi dévoués que pour-
raient l'être opportunistes, monarchistes
ou boulangistes. Aussi n'ont-ils pas la
naïveté de s'étonner qu'aucune réforme
sociale ne se produise et que M. Flo-
quet, par ses résistances réactionnaires,
compromette la République autant que
M. Ferry. Mais ce qui peut étonner,
c'est que, même dans les questions où
il semble que pour durer le ministre
radical doive trouver une solution autre
que celle qu'eut choisie son rival oppor-
tuniste, il soit obligé de faire de même,
de conserver son personnel de préfets
et d'agents qui le ruinent et se moquent
de lui.
Arrivé au ministère, le radical qui
rêvait, par des réformes superficielles,
de tromper l'opinion, s'est trouvé en
face de la coalition de bureaux qui ont
gouverné sous tous ses prédécesseurs,
et plutôt que d'engager une lutte où il
sent qu'il succomberait infailliblement,
il cède, résigné pour vivre à recevoir
en secret le mot d'ordre opportuniste.
Le ministre n'est, en effet, que le pro-
duit accidentel du parasitisme gouver-
nemental dont les bureaux sont, avec
leurs équivalents départementaux, la
réelle expression. l'on gré mal gré le
ministre doit céder.
C'est que employés et fonctionnaires
ont été placés par chacune des factions
réactionnaires qui, successivement, ont
occupé le pouvoir et qui, si elles sont
tombées du ministère, ont gardé pour
le malheur de la République assez do
force d'intrigue et d'action pour que
tout ministre nouveau soit obligé de
composer avec elles et de les servir.
Il suffit de se rendre compte de ce
qui se passe dans un département pour
comprendre l'impuissance et l'anarchie
du pouvoir parlementaire. Dans chaque
département une coterie dispose souve-
rainement de toutes choses, emplois,
places, faveurs.
Quand ce n'est pas avec une coterie
locale unique, c'est avec une fédération
de coteries que le nouveau ministère a
dû s'entendre pour gouverner de con-
cert. Dans le Loir-et-Cher c'était Tassin ;
dans les Vosges, c'est Ferry; dans le
Cher, c'est Brisson; partout c'est le
même système de tyrannie et de cor-
ruption qui groupe sous l'égide oppor-
tuniste et radicale tous les intérêts capi-
talistes et réactionnaires et toutes les
intrigues de 1 soi-disant ., républicains
contre le prolétaire, contre le peuple,
enraye tout progrès, rend impossible
toute réforme. >,- Il-
Par la pression irrésistible d'une ad-
ministration toute puissante par sa cen-
tralisation , le suffrage universel se
laisse dicter dans les élections munici-
pales et départementales les choix de la
coterie régnante qui, sans se gêner,
oppiime, traque, ruine ses adversai-
res et pille les caisses publiques. C'est
l'empire renouvelé sous le masque répu-
blicain, et les feuilles monarchistes ne
manquent pas d'en profiter pour leur
propagande. Impossible d'énumérer les
méfaits et les crimes de ce régime tra-
cassier et pillard, son insolence, son
impudeur, le mécontentement et la co-
lère de ses victimes. Vi-
Ce règne de coteries, le mal incroya-
ble qu'elles font à toute heure, leur
exploitation odieuse et sans pudeur du
pouvoir constituent un des dangers les
plus terribles de la République. Ce n'est
pas une des moindres causes qui gran-
dissent le mécontentemént général et
rejettent dans les rangs du monarchisme
et du boulangisme une foule d'incons-
cients qui croient qu'il y a quelque
chose de commun entre la République
et ces prétendus républicains qui la tra-
hissent. ;s
Le socialisme seul tient en échec ces
bandits et ces traîtres et ouvre au pays
a voie du salut. La République pour
rayer son chemin doit entrer franche-
ment dans la voie révolutionnaire et
mettre fin, par la destruction du régime
capitaliste et propriétaire, aux résis-
tances réactionnaires qui, si elles pou-
vaient durer amèneraient certainement
le démembrement de la France et la
ruine de la République.
Les progrès considérables du socia-
lisme font espérer que ces dangers peu-
vent être victorieusement conjurés. Et
si dans un an le vote trahit cet espoir,
le parti socialiste aura tout le proléta-
riat révolutionnaire avec lui pour secon-
der ses efforts et engager, s'il le faut,
la lutte suprême pour la République et
la Révolution.
Edouard VAILLANT
P. S. - Je lis tardivement, dans votre
dernier numéro, un article ayant pour
titre : « Rue de Sèze ou rue Cadet >.
C'est le contraire du mot d'ordre des
révolutionnaires qui, n'étant ni cadet-
tistes ni boulangistes, et ne pouvant pas
l'être sans trahison, répondent : « Ni
rue de Sèze, ni rue Cadet. » Les socia-
listes révolutionnaires, fidèles au dra-
pc-au rouge, si la Commune, à la Révo-
lution, ne connaissent les partis du
drapeau tricolore, du pouvoir personnel
et de réaction, cadettistes, boulangistes
et monarchistes que pour les combattre.
Ils veulent l'émancipation des travail-
leurs, la fin du régime capitaliste, la
revanche de la Commune et la Répu-
blique sociale, en un mot : la Résolu-
tion. C'est la politique socialiste révo-
lutionnaire et républicaine. C'est celle
de tous les groupes qui se sont unis
dans la ligue de défense de la Républi-
que. C'est la politique du comité révo-
lutionnaire central. C'est la politique
que soutenait l'Homme Libre et que
défend aujourd'hui le Cri du Peuple.
C'est aussi celle qu'a toujours soutenue
et que, je n'en doute pas, soutient encore
l'Attaque.
ED. Y.
MOT D'ATTAQUE
Si une révolution eclate et que vous
vouliez la mener à bon port, il faut
que 24 heures après son éclosion, le
peuple ait pu iouir de ses bienfaits.
BLANQUI,
Chansons d'Attaque
HARDI ! LES GUEUX ! ! !
Air : Une! deux 1 le midi bouge !
1
Laisserons-nous toujours
Dire aux bourgeois balourds :
Le Peuple est lâche !
Il est bête A bâter :
Dès qu'il se fâche
Nous savons le mâter. »
O Gueuvl
Brandis ta gouge,
De sang rouge!
O Gueux!
Elance-toi contre eux.
II
Du riche fainéant
Le coffre-fort béant,
Gueule de fonte 'r:
A l'appétit puissant, 5 U
Mange sans honte
Ta chair et boit ton sang!
O Gueux !
Brandis ta gouge, •
De sang rouge !
O Gueux!
Brise-les tous les deux.
III
La lime et le marteau
Outils seront tantôt.
Fai8-en des armes !
Pour mieux étripailler
Ceux que tes larmes
Ont su tant égayer.
O Gueux !
Brandis ta gouge,
De sang rouge !
0 Queux 1
Elance-toi contre eux.
IV
Si quelqu'un de tes fils
Prend part à leurs profits,
Et s'il menace
D' être un bourgeois plus tard,
Sauve ta race!
Egorge le bâtard.
0 Queux !
Brandis ta gouge,
De sang rouge!
O Gueuœ!
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