Titre : L'Attaque : organe socialiste révolutionnaire de la jeunesse / rédacteur en chef Ernest Gegout
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1888-10-06
Contributeur : Gégout, Ernest (1854-1936). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32706292b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2168 Nombre total de vues : 2168
Description : 06 octobre 1888 06 octobre 1888
Description : 1888/10/06 (A1,N16)-1888/10/13. 1888/10/06 (A1,N16)-1888/10/13.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62420984
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-40136
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/04/2013
PREMIERE ANNÉE.— N° 16. Paris : 10 Centimes Du 6 au 13 Octobre 1888
L'ATTAQUE
- Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. « » 5 fr
Six MOIS 3 fr.
TROIS MOIS 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux bur < aux
du Journal
".,-.-,. '.-. Rédacteur en chef : ,'
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21, Rue Croix - des - Petits - Champs, 21
Secrétaire de Rédaction: G. PICOTJRT
Avis Important
A partir d'aujourd'hui « L'At-
taque » paraîtra le samedi au
lieu du mercredi.
RALLIBMHNT AU DRAPEAU
La France, qu'on disait le pays des
opinions claires, des idées nettes, est
devenue une véritable tour de Babel.
Parlez à quelqu'un de réformes sociales,
il vous répondra revanche ou révision,
et si vous rappelez à un autre que la
misère est à nos portes, ce nouvel inter-
locuteur soutiendra que c'est Catilina
qu'il y a vu. On ne s'entend pas. Il a
suffi d'un panache pour créer la confu-
sion des langues.
i Encore cette cacophonie finirait-elle
par devenir divertissante si elle ne
s'exerçait que dans le camp bourgeois.
Malheureusement, l'armée socialiste,
gagnée par la contagion, s'est trouvée
comme tout-à-coup amputée de ses
moyens propres, et de différents côtés,
nous assistons à de fausses manœuvres
ou à un immobilisme par trop pru-
dent.
Il faut dire aussi, pour êtrejuste, que
le boulangisme ne s'était, jusqu'à pré-
sent, aventuré que sur le terrain poli-
tique et que la conduite des uns et des
autres pouvait s'expliquer par l'igno-
rance où l'on était des dispositions du
nouveau parti à l'égard des socialistes.
Aujourd'hui, la lumière est faite, et
c'est M. Francis Laur, l'économiste de la
Boulange, qui s'est chargé d'éclairer la
lanterne.
Dans un article que publie la France,
le député — blâmé — de la Loire s'ef-
force 4e diminuer, de discréditer les
militants du parti socialiste.
Son procédé est celui qui a si bien
servi contre les parlementaires. Quand
on veut tuer son chien, on dit qu'il est
enragé. Aussi, M. Laur représente-t-il
les propagandistes révolutionnaires
comme des gens dévorés d'ambition,
cherchant dans la diffusion des idées
sociales la satisfaction de leurs besoins
personnels; sacrifiant les intérêts des
travailleurs à leurs passions, à leurs
rancunes particulières; bref, aux yeux
de l'agent du brav' général, le parti so-
cialiste n'estqu'unramassis d'intrigants,
de dupeurs, d'incapables.
Puis, croyant avoir terrassé ses bons-
hommes, M. Laur conclut en promet-
tant au peuple toutes sortes de prospéri-
tés, à la condition d'élire les candidats
boulangistes, seuls aptes à assurer son
bonheur.
Ainsi, le premier acte des prétendus
socialistes qui gravitent autour de l'as-
tre levant, est un acte d'accusation
contre les dévoués de notre Parti. On
peut y voir le prélude d'une campagne do
dénigrement systématique, propre à en-
tretenir la défiance dans le gros de l'ar-
mée et à y introduire le décourage-
ment.
C'est l'application au Parti socialiste
de l'assommante et mirifique devise :
Dissolution, Révision—tarte à la crême
des hurluberlus.
Dissolution des groupements oxis
tants, pour annuler l'action des clair-
voyants résolus à entraver, à un mo-
ment donné, la marche des conspira-
teurs ;
Révision des programmes, pour en-
terrer les principes.
Tel est le plan boulangiste.
Il est impossible que le Parti socia-
liste reste indifférent. Un nouvel ennemi
monte à l'assaut de notre forteresse ; ne
nous laissons pas surprendre.
A ceux qui seraient tentés de s'en-
dormir dans l'irresponsabilité d'une
facile quiétude, en alléguant les mérites
de l'optimisme, il sera permis de rap-
peler que, en 1848-51, le socialisme
était, en tant qu'adhérents, autrement
fort qu'il l'est aujourd'hui. Et pourtant,
qui eût prévu, à cette époque, l'éclipsé
de quinze années qu'il allait subir !
Ma conclusion (personnelle, car à
l'A ttaque un article signé n'engage
que son auteur), c'est l'action inces-
sante, sous toutes les formes, mais l'ac-
tion commune. Elle n'est pas impossi
ble. Les programmes sont les mêmes,
et si l'on m'objecte les haines de per-
sonnes, je dirai que, le cas échéant,
les troupes me paraissent de taille à
les faire taire, quand le drapeau com-
mun est menacé. -
Et il l'est aujourd'hui.
Gaston PICOURT.
Chansons d'Attaque
LE SOCIALISTE SOLDAT
1
Je suis le serf de la caserne,
Misérable porte-giberne,
Plus à plaindre qu'un porte-faix;
Car nos bourgeois, race bdtarde,
Ont fait de moi leur chien de garde:
Prud'hommes, digérez un paix !
Mais, si la vent dresse les barricades,
Si les pavés ont des lueurs d'éclair,
Devant le peuple, camarades,
La crosse en :'
il
Là-bas, de son baiser de flamme,
Marianne enivrait mon âme,
Aux jours de douce liberté;
Ici, cloîtré dans un vrai bagne,
J'ai la consigne pour compagne :
Triste compagne, en vérité !
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
III
Pour m'apprendre la discipline,
Le silos et la crapaudine
M'ont donné plus d'une leçon ;
Car l'officier puant la gomme
S'amuse à meurtrir mon cœur d'homme
La brute n'a pas de raison !
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
IV
Qui donc me parle de patrie ?.
Ces galonnés, graine pourrie
Des plus lâches capitulards!
Le sang français souilie leurs armes,
Et je dois leur cacher mes larmes :
Toujours, malheur aux communards !
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
V
Un grand cri monte de la terre,
Le cri du sombre prolétaire,
Echo d'un monde douloureux.
A ces affamés en guenilles
Il faut le pain de leurs familles,
Et c'est du plomb que j'ai pour eUlf!
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
VI
Pour qui les vastes hécatombes
Des nations creusant leurs tombes?..
Pour les vautours, ces oiseaux grast
Une guerre plus légitime,
C'est la guerre à qui nous opprime :
La seule que je ne fais pas!
Mais, si le vent dresse des barricades, etc.
VII
Sur les ruines de ce monde,
Je voudrais bien mener la ronde,
En écrasant tous les Chagots!
Trop fier encor pour me soumettre.
Ma devise est : « ni Dieu ni maître »
Je suis le soldat des Egaux!
Et, si le vent dresse les barricades,
Si les pavés ont des lueurs d'éclair,
Devant le peuple, camarades,
La crosse en l'air ! la crosse en l'air !
SOUÊTRE
En attendant d'aller en cour d'assises
- comme accusée ou accusatrice, cela
dépend de M. Gilly — la commission du
budget continue ses peu iutéressants tra-
vaux.
Elle avait eu, il y a quelques jours, le
courage de jeter à la. ferraille les ciseaux
de la vieille Anastasie. Mais sur un signe
du ministre des beaux-arts — ô M. Loc-
kroy - elle s'est prise d'un vertueux accès
de repentir et a rendu à madame la Cen-
sure ses armes découpatoires.
Un de ses membres, M. Sabatier, ayant
ensuite soumis un vœu tendant a suppri-
mer les subventions accordées à l'Opéra;
la Commission l'a repoussé. Il en a été de
même d'un vœu, présenté par M. Steenac-
ker, ayant pour but d'inviter l'adminis-
tration des théâtres subventionnés à ré-
duire le prix des petites places.
Tout pour les riches, rien pour les pau-
vres, telle parait être la devise de cette
poignée de budgétivores qui vivent gras-
sement aux dépens du peuple.
Mais attendons la fin.
NAQUET, LAQUAIS
Si Balzac, qui croyait aux noms prédesti.,
nés, vivait de nos jours, il ne serait pas sur-
pris de voir figurer le sire Naquet parmi les
flagorneurs de Boulange.
Naquel, dans le vieux langage français, dé-
signe un plat valet, celui qui attend servile-
ment à la porte de quelqu'un pour mendier
des faveurs.
Ce n'est pas nous qui le disons, c'est
Littré.
MOT D'ATTAQUE
Comme l'antique Némésis, que ni les
prières, ni les menaces ne pouvaient
émouvoir la Révolution s'avance, d'un
pas fatal et sombre, sur les fleurs que
lui jettent ses dévots, dans le sang de
ses défenseurs, et sur les cadavres de
ses ennemis.
PROUDHON.
L'ATTAQUE
- Organe Socialiste Révolutionnaire
PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS
ABONNEMENTS
UN AN. « » 5 fr
Six MOIS 3 fr.
TROIS MOIS 1 fr. 50
Les Annonces sont traitées à forfait aux bur < aux
du Journal
".,-.-,. '.-. Rédacteur en chef : ,'
ERNEST GEGOUT
RÉDACTION & ADMINISTRATION
21, Rue Croix - des - Petits - Champs, 21
Secrétaire de Rédaction: G. PICOTJRT
Avis Important
A partir d'aujourd'hui « L'At-
taque » paraîtra le samedi au
lieu du mercredi.
RALLIBMHNT AU DRAPEAU
La France, qu'on disait le pays des
opinions claires, des idées nettes, est
devenue une véritable tour de Babel.
Parlez à quelqu'un de réformes sociales,
il vous répondra revanche ou révision,
et si vous rappelez à un autre que la
misère est à nos portes, ce nouvel inter-
locuteur soutiendra que c'est Catilina
qu'il y a vu. On ne s'entend pas. Il a
suffi d'un panache pour créer la confu-
sion des langues.
i Encore cette cacophonie finirait-elle
par devenir divertissante si elle ne
s'exerçait que dans le camp bourgeois.
Malheureusement, l'armée socialiste,
gagnée par la contagion, s'est trouvée
comme tout-à-coup amputée de ses
moyens propres, et de différents côtés,
nous assistons à de fausses manœuvres
ou à un immobilisme par trop pru-
dent.
Il faut dire aussi, pour êtrejuste, que
le boulangisme ne s'était, jusqu'à pré-
sent, aventuré que sur le terrain poli-
tique et que la conduite des uns et des
autres pouvait s'expliquer par l'igno-
rance où l'on était des dispositions du
nouveau parti à l'égard des socialistes.
Aujourd'hui, la lumière est faite, et
c'est M. Francis Laur, l'économiste de la
Boulange, qui s'est chargé d'éclairer la
lanterne.
Dans un article que publie la France,
le député — blâmé — de la Loire s'ef-
force 4e diminuer, de discréditer les
militants du parti socialiste.
Son procédé est celui qui a si bien
servi contre les parlementaires. Quand
on veut tuer son chien, on dit qu'il est
enragé. Aussi, M. Laur représente-t-il
les propagandistes révolutionnaires
comme des gens dévorés d'ambition,
cherchant dans la diffusion des idées
sociales la satisfaction de leurs besoins
personnels; sacrifiant les intérêts des
travailleurs à leurs passions, à leurs
rancunes particulières; bref, aux yeux
de l'agent du brav' général, le parti so-
cialiste n'estqu'unramassis d'intrigants,
de dupeurs, d'incapables.
Puis, croyant avoir terrassé ses bons-
hommes, M. Laur conclut en promet-
tant au peuple toutes sortes de prospéri-
tés, à la condition d'élire les candidats
boulangistes, seuls aptes à assurer son
bonheur.
Ainsi, le premier acte des prétendus
socialistes qui gravitent autour de l'as-
tre levant, est un acte d'accusation
contre les dévoués de notre Parti. On
peut y voir le prélude d'une campagne do
dénigrement systématique, propre à en-
tretenir la défiance dans le gros de l'ar-
mée et à y introduire le décourage-
ment.
C'est l'application au Parti socialiste
de l'assommante et mirifique devise :
Dissolution, Révision—tarte à la crême
des hurluberlus.
Dissolution des groupements oxis
tants, pour annuler l'action des clair-
voyants résolus à entraver, à un mo-
ment donné, la marche des conspira-
teurs ;
Révision des programmes, pour en-
terrer les principes.
Tel est le plan boulangiste.
Il est impossible que le Parti socia-
liste reste indifférent. Un nouvel ennemi
monte à l'assaut de notre forteresse ; ne
nous laissons pas surprendre.
A ceux qui seraient tentés de s'en-
dormir dans l'irresponsabilité d'une
facile quiétude, en alléguant les mérites
de l'optimisme, il sera permis de rap-
peler que, en 1848-51, le socialisme
était, en tant qu'adhérents, autrement
fort qu'il l'est aujourd'hui. Et pourtant,
qui eût prévu, à cette époque, l'éclipsé
de quinze années qu'il allait subir !
Ma conclusion (personnelle, car à
l'A ttaque un article signé n'engage
que son auteur), c'est l'action inces-
sante, sous toutes les formes, mais l'ac-
tion commune. Elle n'est pas impossi
ble. Les programmes sont les mêmes,
et si l'on m'objecte les haines de per-
sonnes, je dirai que, le cas échéant,
les troupes me paraissent de taille à
les faire taire, quand le drapeau com-
mun est menacé. -
Et il l'est aujourd'hui.
Gaston PICOURT.
Chansons d'Attaque
LE SOCIALISTE SOLDAT
1
Je suis le serf de la caserne,
Misérable porte-giberne,
Plus à plaindre qu'un porte-faix;
Car nos bourgeois, race bdtarde,
Ont fait de moi leur chien de garde:
Prud'hommes, digérez un paix !
Mais, si la vent dresse les barricades,
Si les pavés ont des lueurs d'éclair,
Devant le peuple, camarades,
La crosse en :'
il
Là-bas, de son baiser de flamme,
Marianne enivrait mon âme,
Aux jours de douce liberté;
Ici, cloîtré dans un vrai bagne,
J'ai la consigne pour compagne :
Triste compagne, en vérité !
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
III
Pour m'apprendre la discipline,
Le silos et la crapaudine
M'ont donné plus d'une leçon ;
Car l'officier puant la gomme
S'amuse à meurtrir mon cœur d'homme
La brute n'a pas de raison !
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
IV
Qui donc me parle de patrie ?.
Ces galonnés, graine pourrie
Des plus lâches capitulards!
Le sang français souilie leurs armes,
Et je dois leur cacher mes larmes :
Toujours, malheur aux communards !
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
V
Un grand cri monte de la terre,
Le cri du sombre prolétaire,
Echo d'un monde douloureux.
A ces affamés en guenilles
Il faut le pain de leurs familles,
Et c'est du plomb que j'ai pour eUlf!
Mais, si le vent dresse les barricades, etc.
VI
Pour qui les vastes hécatombes
Des nations creusant leurs tombes?..
Pour les vautours, ces oiseaux grast
Une guerre plus légitime,
C'est la guerre à qui nous opprime :
La seule que je ne fais pas!
Mais, si le vent dresse des barricades, etc.
VII
Sur les ruines de ce monde,
Je voudrais bien mener la ronde,
En écrasant tous les Chagots!
Trop fier encor pour me soumettre.
Ma devise est : « ni Dieu ni maître »
Je suis le soldat des Egaux!
Et, si le vent dresse les barricades,
Si les pavés ont des lueurs d'éclair,
Devant le peuple, camarades,
La crosse en l'air ! la crosse en l'air !
SOUÊTRE
En attendant d'aller en cour d'assises
- comme accusée ou accusatrice, cela
dépend de M. Gilly — la commission du
budget continue ses peu iutéressants tra-
vaux.
Elle avait eu, il y a quelques jours, le
courage de jeter à la. ferraille les ciseaux
de la vieille Anastasie. Mais sur un signe
du ministre des beaux-arts — ô M. Loc-
kroy - elle s'est prise d'un vertueux accès
de repentir et a rendu à madame la Cen-
sure ses armes découpatoires.
Un de ses membres, M. Sabatier, ayant
ensuite soumis un vœu tendant a suppri-
mer les subventions accordées à l'Opéra;
la Commission l'a repoussé. Il en a été de
même d'un vœu, présenté par M. Steenac-
ker, ayant pour but d'inviter l'adminis-
tration des théâtres subventionnés à ré-
duire le prix des petites places.
Tout pour les riches, rien pour les pau-
vres, telle parait être la devise de cette
poignée de budgétivores qui vivent gras-
sement aux dépens du peuple.
Mais attendons la fin.
NAQUET, LAQUAIS
Si Balzac, qui croyait aux noms prédesti.,
nés, vivait de nos jours, il ne serait pas sur-
pris de voir figurer le sire Naquet parmi les
flagorneurs de Boulange.
Naquel, dans le vieux langage français, dé-
signe un plat valet, celui qui attend servile-
ment à la porte de quelqu'un pour mendier
des faveurs.
Ce n'est pas nous qui le disons, c'est
Littré.
MOT D'ATTAQUE
Comme l'antique Némésis, que ni les
prières, ni les menaces ne pouvaient
émouvoir la Révolution s'avance, d'un
pas fatal et sombre, sur les fleurs que
lui jettent ses dévots, dans le sang de
ses défenseurs, et sur les cadavres de
ses ennemis.
PROUDHON.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
- Auteurs similaires Dutens Louis Dutens Louis /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Dutens Louis" or dc.contributor adj "Dutens Louis")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62420984/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62420984/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62420984/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62420984/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62420984
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62420984
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62420984/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest