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LE MUSEE DES MODES
tion. Nous trouvons dans le dernier numéro de ce Bulletin pério
dique un Courrier de la mode dont l’intérêt ne saurait s’adresser
à de meilleurs juges que nos lecteurs C est une revue des diffé
rents journaux de mode, qui se publient à Paris et la critique
des diverses gravures parus dans le trimestre de sa périodicité. Rien
du reste, n’échappe à la fine observation de Monsieur « Brum-
mel » : le spirituel courriériste, avec un tact et une courtoisie,
auxquels il sait allier une judicieuse bienveillance, dit à
chacun son fait : signaler les nouveautés parues, indiquer une
figure élégante et bien trouvée, quel que soit le journal qui l’a
produite, admirer ce qui paraît beau, élégant et artistique,
railler les créations malvenues et les imitations maladroites,
voilà le rôle qu’il s’est donné.
Loin de nous blesser d’une franchise toujours vive et quelquefois
mordante, nous nous en réjouissons an contraire, estimant que
dans la mode, comme dans toutes les branches de l’industrie, un
stimulant ne peut produire que de bons effets.
Notre aimable critique remplit ce rôle auprès de nos publica
tions illustrées. Par exemple, dans la revue trimestrielle qu'il
fait de nos gravures, nous sommes heureux cette fois de relever,
sur nn très grand nombre de points, une approbation complète
que nous nous permettons de mettre sous les yeux de nos lec
teurs :
« Le Musée des Tailleurs illustré de novembre, dit notre
« éminent critique, offre une nouveauté. C’est un long et large
« pardessus croisé devant, boutonnant jusqu’en haut et compor-
« tant une demi-pélerine qui recouvre simplement une manche
« ordinaire. Yu de dos, c’est le mac-farlane. Vu de face, ce
« vêtement présente un aspect tout à fait original et en tous cas
« nouveau. Il serait peut-être téméraire de lui prédire un succès
« colossal, toujours est-il que c’est une tentative pour faire du
a nouveau. Bonne chance au Charlemagne.
« La gravure de luxe de janvier, qui nous a paru fort belle,
« représente une toilette de bal avec une dame et deux habits :
« un habit noir très correct, très heureux de forme, et le fameux
« habit bleu de la Société philanthropique. Nous remercions
« M. Ladevèze d’avoir suivi notre conseil et d’avoir reproduit
« cet habit, textuellement. Il doit du reste s’en féliciter lui-même.
« I a planche est tout simplement magnifique. Dans cette gran-
« deur de personnage, l’habit bleu ressort admirablement. La
« pose des trois personnages est d’ailleurs très naturelle et très
« vivante. »
Est-ce à dire que nous ne trouvions dans cette revue que des
félicitations et des louanges à notre adresse? Non pas, voyez
plutôt :
« Nous ne nous arrêterons pas aux petites gravures de
« décembre que M. Ladevèze publie dans le journal Paris-
« London, qui ont cependant la louable intention de faire
« concurrence aux gravures anglaises du meme format. Nous y
« revoyons le Charlemagne, des habits de couleur flamme de
« punch avec retroussis bleu électrique, des robes de chambre à
« la grecque et des coins-de-feu à la rastaquouère. Bailleurs,
« M. Ladevèze nous a demandé des circonstances atténuantes que
« nous lui accordons bien voloutiers. Je voudrais bien vous y
« voir, nous dit-il, comment vous vous y prendriez pour créer
« plus de 120 costumes différents par an! En effet, cher confrère,
« je serais bien embarrassé; aussi suis je décidé à passer outre
« aux fantaisies et ne parlerai-je que de choses sérieuses. »
Eh bien, non! ce ne sont pas des fantaisies, -cher et aimable
contradicteur, que nous avons données dans notre tableau à
8 figures du Paris-London de novembre, et reproduites dans la
grande édition de décembre et janvier, c’est au contraire bel et
bien une création de 1a. Société philanthropique des Maîtres-
Tailleurs de Lyon qui, après avoir sollicité de sa grande sœur
de Paris la publication d’une gravure supplémentaire, représen
tant les costumes de bals et soirées en prévision de la fête qu’elle
devait donner à la Société lyonnaise, vit sa requête rejetée. Son
très aimable président, M. Berthnlon, vint alors nous trouver,
sollicitant de nous ce que la Société philanthropique des Maîtres-
Tailleurs de Paris n’avait pas cru devoir lui accorder. Nous
mîmes notre concours à sa disposition; de là, naquit la jolie
planche des habits nouveaux pour bals et soirées, qui a fait
l’objet de vos critiques.
■ Vous allez juger, cher confrère, du succès obtenu par les inno
vateurs de cette création, que vous n avez pas voulu croire
sérieuse. Nous empruntons à un journal de Lyon le compte-rendu
de la jolie fête, où l’habit nouveau vient de jouer le principal
rôle:
Sus â^l’Habit noir
LE BAL DES MAITRES TAII,LEURS DE LYON AU THEATRE DES CÉLESTINS
Dans le deuxième chapitre de [La Confession d’un Enfant du
Siècle, Alfred de Musset a écrit :
« Qu’on ne s’y trompe pas : ce vêtement noir que portent les
hommes de notre temps est un symbole terrible; pour en venir là,
il a fallu que les armures tombassent pièce à pièce et les broderies
fleur à lleur. C’est la raison humaine qui a renversé toutes les
illusions; mais elle en porte elle-même le deuil, afin qu’on la
console. »
Aussi n’est-ce pas un mince mérite de la part des maîtres tail
leurs de Lyon d’avoir entrepris de consoler la raison humaine, si
profondément en deuil par le temps qui court, au moyen de l’habit
de couleur substitué au frac noir...
L’habit bleu barbau,
C’est très beau I
L’habit vermillon,
C’est bon ton 1
L’habit jaune mastic.
Est pourri de chic !
Mais le vieil habit noir,
Je peux plus le voir.
Ainsi chantaient, l’an dernier, dans l'opérette de Cendrillonnette,
les trois gommeux Guy, Gontran et Gaston. Ces messieurs, appa
remment, ont été entendus, et les princes de la coupe et de l’ai
guille, voire les grands marchands drapiers de notre ville, ont tenu
à leur donner satisfaction, hier soir, dans la salle même où le pu
blic applaudissait, il y a six mois, leur réquisitoire en musique
contre la tenue du parfait maître d’hôtel.
C’est pourquoi, avant dix heures, une foule d’invités avait déjà
envahi les couloirs et la salle du théâtre des Célestins, transformée
en salle de bal.
Les habits de couleur avec parements de teintes variées s’har
monisaient de la plus agréable façon avec les brillantes toilettes
que nos grandes couturières avaient tenu à produire à l’occasion
de ce gala de la mode.
Cependant, nous ne pouvons nous empêcher de constater que,
si l’habit de couleur prévalait définitivement au sein des réceptions
mondaines, les toilettes des dames en éprouveraient une concur
rence qui, pour être loyale, n’en serait pas moins réelle. C’est un
avis charitable que nous croyons devoir leur donner en passant,
par esprit de sac- ifice, bien qu’à noire détriment.
Des loges, le tableau était charmant. A partir de minuit,
l’alïluence est telle que les danseurs, qui, au reste, étaient légion,
sont obligés de piétiner sur place. On voit que les organisateurs
de la soirée ont généreusement convié à la fête 1 On parle de sept
mille invitations lancées.
La fête des Maîtres-Tailleurs a été, en définitive, très réussie;
mais comme-les chroniqueurs se doivent à la vérité, nous avouons
que nous eussions souhaité voir les étoffes de soierie occuper une
plus large place dans les costumes masculins.
A tant faire que de mettre au rancart le vieil habit noir décrié,
il faut le remplacer, surtout à Lyon, ce nous semble, par le salin,
la faille et le velours, agrémentés, au besoin même, de broderies
d’or et d’argent.
On a dit cent fois, que dans les salons, les confusions les plus
fâcheuses se produisaient, grâce à l'habit noir, concernant les
invités et les domestiques.
On peut ajouter que l’habit de drap de couleur prête aux mêmes
méprises dans les maisons où les livrées sont de nuances diverses.
Avec les étoffes de soierie, on remédie à cet inconvénient.
En prenant une fois de plus la défense de la soie, nous ne nous
faisons cependant pas illusion sur son rôle dans la composition
future du costume masculin. La majorité des Français, même bien
rentés, estimeront, sans doute, qu’il n’est pas bon de voit s’élever
les notes de tailleurs au même chiffre que celles des couturières;
ce qui arriverait bien vite si nous nous mettions à nous vêtir à la
façon des anciens seigneurs français ou des magnais hongrois.
Disons, en terminant, que l’habit de couleur, la culotte et les bas
de soie exigent de la part de quiconque les porte, une grande dis
tinction de manières et d’allure, sans parler d'une paire de molh ts
sortables.
Conclusion : l’habit noir — ce vieil oncle — ne demande pas
mieux que de voir désormais au sein des fêtes ses jeunes neveux,
aux couleurs claires et tendres, graviter autour de lui, mais il ré
clame de leur part simplement un peu de respect et de déférence,
et, en outre, le privilège de conserver ses entrées partout comme
par le passé.
C’est, au reste, ce qu’avaient parfaitement compris les commis-
LE MUSEE DES MODES
tion. Nous trouvons dans le dernier numéro de ce Bulletin pério
dique un Courrier de la mode dont l’intérêt ne saurait s’adresser
à de meilleurs juges que nos lecteurs C est une revue des diffé
rents journaux de mode, qui se publient à Paris et la critique
des diverses gravures parus dans le trimestre de sa périodicité. Rien
du reste, n’échappe à la fine observation de Monsieur « Brum-
mel » : le spirituel courriériste, avec un tact et une courtoisie,
auxquels il sait allier une judicieuse bienveillance, dit à
chacun son fait : signaler les nouveautés parues, indiquer une
figure élégante et bien trouvée, quel que soit le journal qui l’a
produite, admirer ce qui paraît beau, élégant et artistique,
railler les créations malvenues et les imitations maladroites,
voilà le rôle qu’il s’est donné.
Loin de nous blesser d’une franchise toujours vive et quelquefois
mordante, nous nous en réjouissons an contraire, estimant que
dans la mode, comme dans toutes les branches de l’industrie, un
stimulant ne peut produire que de bons effets.
Notre aimable critique remplit ce rôle auprès de nos publica
tions illustrées. Par exemple, dans la revue trimestrielle qu'il
fait de nos gravures, nous sommes heureux cette fois de relever,
sur nn très grand nombre de points, une approbation complète
que nous nous permettons de mettre sous les yeux de nos lec
teurs :
« Le Musée des Tailleurs illustré de novembre, dit notre
« éminent critique, offre une nouveauté. C’est un long et large
« pardessus croisé devant, boutonnant jusqu’en haut et compor-
« tant une demi-pélerine qui recouvre simplement une manche
« ordinaire. Yu de dos, c’est le mac-farlane. Vu de face, ce
« vêtement présente un aspect tout à fait original et en tous cas
« nouveau. Il serait peut-être téméraire de lui prédire un succès
« colossal, toujours est-il que c’est une tentative pour faire du
a nouveau. Bonne chance au Charlemagne.
« La gravure de luxe de janvier, qui nous a paru fort belle,
« représente une toilette de bal avec une dame et deux habits :
« un habit noir très correct, très heureux de forme, et le fameux
« habit bleu de la Société philanthropique. Nous remercions
« M. Ladevèze d’avoir suivi notre conseil et d’avoir reproduit
« cet habit, textuellement. Il doit du reste s’en féliciter lui-même.
« I a planche est tout simplement magnifique. Dans cette gran-
« deur de personnage, l’habit bleu ressort admirablement. La
« pose des trois personnages est d’ailleurs très naturelle et très
« vivante. »
Est-ce à dire que nous ne trouvions dans cette revue que des
félicitations et des louanges à notre adresse? Non pas, voyez
plutôt :
« Nous ne nous arrêterons pas aux petites gravures de
« décembre que M. Ladevèze publie dans le journal Paris-
« London, qui ont cependant la louable intention de faire
« concurrence aux gravures anglaises du meme format. Nous y
« revoyons le Charlemagne, des habits de couleur flamme de
« punch avec retroussis bleu électrique, des robes de chambre à
« la grecque et des coins-de-feu à la rastaquouère. Bailleurs,
« M. Ladevèze nous a demandé des circonstances atténuantes que
« nous lui accordons bien voloutiers. Je voudrais bien vous y
« voir, nous dit-il, comment vous vous y prendriez pour créer
« plus de 120 costumes différents par an! En effet, cher confrère,
« je serais bien embarrassé; aussi suis je décidé à passer outre
« aux fantaisies et ne parlerai-je que de choses sérieuses. »
Eh bien, non! ce ne sont pas des fantaisies, -cher et aimable
contradicteur, que nous avons données dans notre tableau à
8 figures du Paris-London de novembre, et reproduites dans la
grande édition de décembre et janvier, c’est au contraire bel et
bien une création de 1a. Société philanthropique des Maîtres-
Tailleurs de Lyon qui, après avoir sollicité de sa grande sœur
de Paris la publication d’une gravure supplémentaire, représen
tant les costumes de bals et soirées en prévision de la fête qu’elle
devait donner à la Société lyonnaise, vit sa requête rejetée. Son
très aimable président, M. Berthnlon, vint alors nous trouver,
sollicitant de nous ce que la Société philanthropique des Maîtres-
Tailleurs de Paris n’avait pas cru devoir lui accorder. Nous
mîmes notre concours à sa disposition; de là, naquit la jolie
planche des habits nouveaux pour bals et soirées, qui a fait
l’objet de vos critiques.
■ Vous allez juger, cher confrère, du succès obtenu par les inno
vateurs de cette création, que vous n avez pas voulu croire
sérieuse. Nous empruntons à un journal de Lyon le compte-rendu
de la jolie fête, où l’habit nouveau vient de jouer le principal
rôle:
Sus â^l’Habit noir
LE BAL DES MAITRES TAII,LEURS DE LYON AU THEATRE DES CÉLESTINS
Dans le deuxième chapitre de [La Confession d’un Enfant du
Siècle, Alfred de Musset a écrit :
« Qu’on ne s’y trompe pas : ce vêtement noir que portent les
hommes de notre temps est un symbole terrible; pour en venir là,
il a fallu que les armures tombassent pièce à pièce et les broderies
fleur à lleur. C’est la raison humaine qui a renversé toutes les
illusions; mais elle en porte elle-même le deuil, afin qu’on la
console. »
Aussi n’est-ce pas un mince mérite de la part des maîtres tail
leurs de Lyon d’avoir entrepris de consoler la raison humaine, si
profondément en deuil par le temps qui court, au moyen de l’habit
de couleur substitué au frac noir...
L’habit bleu barbau,
C’est très beau I
L’habit vermillon,
C’est bon ton 1
L’habit jaune mastic.
Est pourri de chic !
Mais le vieil habit noir,
Je peux plus le voir.
Ainsi chantaient, l’an dernier, dans l'opérette de Cendrillonnette,
les trois gommeux Guy, Gontran et Gaston. Ces messieurs, appa
remment, ont été entendus, et les princes de la coupe et de l’ai
guille, voire les grands marchands drapiers de notre ville, ont tenu
à leur donner satisfaction, hier soir, dans la salle même où le pu
blic applaudissait, il y a six mois, leur réquisitoire en musique
contre la tenue du parfait maître d’hôtel.
C’est pourquoi, avant dix heures, une foule d’invités avait déjà
envahi les couloirs et la salle du théâtre des Célestins, transformée
en salle de bal.
Les habits de couleur avec parements de teintes variées s’har
monisaient de la plus agréable façon avec les brillantes toilettes
que nos grandes couturières avaient tenu à produire à l’occasion
de ce gala de la mode.
Cependant, nous ne pouvons nous empêcher de constater que,
si l’habit de couleur prévalait définitivement au sein des réceptions
mondaines, les toilettes des dames en éprouveraient une concur
rence qui, pour être loyale, n’en serait pas moins réelle. C’est un
avis charitable que nous croyons devoir leur donner en passant,
par esprit de sac- ifice, bien qu’à noire détriment.
Des loges, le tableau était charmant. A partir de minuit,
l’alïluence est telle que les danseurs, qui, au reste, étaient légion,
sont obligés de piétiner sur place. On voit que les organisateurs
de la soirée ont généreusement convié à la fête 1 On parle de sept
mille invitations lancées.
La fête des Maîtres-Tailleurs a été, en définitive, très réussie;
mais comme-les chroniqueurs se doivent à la vérité, nous avouons
que nous eussions souhaité voir les étoffes de soierie occuper une
plus large place dans les costumes masculins.
A tant faire que de mettre au rancart le vieil habit noir décrié,
il faut le remplacer, surtout à Lyon, ce nous semble, par le salin,
la faille et le velours, agrémentés, au besoin même, de broderies
d’or et d’argent.
On a dit cent fois, que dans les salons, les confusions les plus
fâcheuses se produisaient, grâce à l'habit noir, concernant les
invités et les domestiques.
On peut ajouter que l’habit de drap de couleur prête aux mêmes
méprises dans les maisons où les livrées sont de nuances diverses.
Avec les étoffes de soierie, on remédie à cet inconvénient.
En prenant une fois de plus la défense de la soie, nous ne nous
faisons cependant pas illusion sur son rôle dans la composition
future du costume masculin. La majorité des Français, même bien
rentés, estimeront, sans doute, qu’il n’est pas bon de voit s’élever
les notes de tailleurs au même chiffre que celles des couturières;
ce qui arriverait bien vite si nous nous mettions à nous vêtir à la
façon des anciens seigneurs français ou des magnais hongrois.
Disons, en terminant, que l’habit de couleur, la culotte et les bas
de soie exigent de la part de quiconque les porte, une grande dis
tinction de manières et d’allure, sans parler d'une paire de molh ts
sortables.
Conclusion : l’habit noir — ce vieil oncle — ne demande pas
mieux que de voir désormais au sein des fêtes ses jeunes neveux,
aux couleurs claires et tendres, graviter autour de lui, mais il ré
clame de leur part simplement un peu de respect et de déférence,
et, en outre, le privilège de conserver ses entrées partout comme
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