Titre : La Défense : organe de la Section française du Secours rouge international
Auteur : Secours rouge international. Section française. Auteur du texte
Auteur : Secours populaire de France. Auteur du texte
Auteur : Secours populaire français. Auteur du texte
Éditeur : Section française du secours rouge international (Paris)
Date d'édition : 1936-01-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343707313
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6 Nombre total de vues : 6
Description : 24 janvier 1936 24 janvier 1936
Description : 1936/01/24 (N336,A10). 1936/01/24 (N336,A10).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k98102407
Source : Secours populaire français (SPF), RES-G-1470 (86)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/11/2017
la défense
7
UNE PAUVRE LEGENDE, UN GRAND BESOIN : LE DROIT D'ASILE
Discours de celui
qui ne sait pas parler
par Magdeleine PAZ
Il. — La France,
telle que je la voyais
D'ans « La Ligne générale », SOU3
ce ciel épais et somptueux qui
coiffe les images des films russes,
deux jeunes paysans, juchés sur le
faîte d'une pauvre isba, scient len.
tement la poutre maîtresse qui sou-
tient le toit.
Les femmes. regardent triste-
ment. Les hommes suent. Mais
personne ne dit mot. Car lil cou-
tume exige ce partage des biens des
« vieux » entre frères mariés.
La plaidoirie de Magdeleine Paz
évoque, comme cette scène, l'er-
reur poignante des hommes qui
travaillent contre eux-mêmes. Le
frère qui, pour rester seul maître
des lieux, scie en deux la maison
paternelle, et en donne la moitié au
cadet, pourvu qu'il s'en aille, n'est
pas plus égaré, plus. stupide, que le
Français qui accepte le départ de
l'étranger afin que celui-ci ne tra-
vaille plus son sol ni ne mange
plus ses produits.
Après l'avoir prouvé, en une dé-
monstration puissante et simple,
renforcée parfois du béton de la
statistique, Magdeleine Paz en ap-
pelle ensuite, toujours au nom
du cc sans-papiers, du sans-abri JI,
aux traditions généreuses du peu-
ple français.
Tout à l'heure, au moment de
mon préambule, je disais, cama-
rade français, qu'une des raisons
de mon séjour en France touchait
à votre honneur.
C'est vrai. Moi l'étranger, le
paria, je suis venu à votre foyer
comme autrefois au moyen âge on
s'engouffrait sous le porche de la
cathédrale ; lieu d'asile, lieu invio-
lable, lieu sacré, où, dans un geste
de confiance éperdue, le réfugié
venait se placer sous la protection
Dieu
La France a été cela pour moi.
Du fond des geôles des Astories,
des prisons roumaines et bulgares,
sur les récifs brûlés du confino
du fond des camps de concentra-
tion, partout où règne la peste
brune, où sévissent les chemises
noires, la France a brillé devant
nos yeux comme un seuil lumi-
neux, un refuge accueillant et
doux. Parce qu'elle était la patrie
des hommes libres, elle devenait
notre patrie. Vous pouvez, cama-
rade français, en concevoir de
l'orgueil : notre espérance vous
ressemble, elle a, pendant long-
temps, pris les traits de votre
visage.
On nous représente à vos yeux
comme des gens sans aveu, une
espèce de tourbe humaine, des
éléments dangereux pour la com-
munauté. Si je pouvais me dé-
faire de mon accent, je dirais, sur
ce ton qui vous est bien particu-
lier, .mais que je n'essaie pas d'imi-
ter : « Sans blague ! »
Ceux d'entre nous qui ont fui
l'enfer du fascisme, et que sa ré-
pression désignait pour leurs pre-
miers coups, c'est au contraire la
fine fleur de l'humanité, ce sont
les plus vaillants, les plus lucides,
les plus libres parmi les hommes.
Sans le savoir ni le vouloir, le
fascisme a fait don à la population
française de ce que les peuples
qu'il opprime contenaient de meil-
leur. Ils l'ont enrichie de courage,
d'intelligence, de noblesse ; ils lui
ont donné des artistes, des écri-
vains et des penseurs, de rayon-
nants porteurs d'avenir ; ils ont
rejeté de ce côté-ci de la frontière
ce qu'il y avait de grandeur vi-
vante et de valeur humaine, du
côté où la barbarie n'a que faire
de semblables vertus.
Camarade français, toi que gou-
verne un clair bon sens, toi qui
d'un œil aigu, sais jauger le réel,
Un insouciant et encombrant petit bonhomme. <5 ieb tourments pour 'es mamans étrangères expulsées, b.-cqu-sHes
doivent emmener vera i itisjnnu Je /);: nibin frappé avec elles 1
Le renouvellement des cartps d'étrangers à Paris. Chaque titulaire se demande, anxieux, si la carte de travail lui sera
» ~. .. renouvelée.
regarde le problème ;én} face c'est
ton honneur qui est en jeu, c'est
. ton intérêt le plus certain.'Vas-tu
rejeter, toi aussi, des hommes qui
sont à la fois créateurs de riches-
ses, clients, consommateurs, nom-
bre charnél, ferment di'activité,
levain spirituel et moral ?
Ce n'est, pas possible. Ce serait te
renier toi-même, te destituer de
ton prestige, diminuer tes chances
de vie, tourner le dos à ton inté-
rêt et voiler ta claire figure.
Tu m'as laissé parler, mon frère
aîné, mon camarade, tu as entendu
mes paroles revenir constamment
à toi et converger toujours vers
toi. Je puis maintenant rentrer
dans mon ombre et mon silence :j
ta réponse viendra m'y trouver.
Voilà, chers camarades, si
^étranger pouvait une bonne fois
s 'expliquer, voilà certainement ce
qu'il dirait. Il ne parlerait pas de
sa misère — i!I est trop fier — ni
dil son malheur, car son malheur
passe les mots.
Mais moi, qui tous les jours,
touche ce malheur de si près, moi
qui vois tous les jours ces sans-
papiers. ces sans-abris, ces sans-
travail, ces sans-soutien, ces sans-
patrie., laissez-moi ajouter un, mot
au plaidoyer que tant d'innocents
n'ont même pas le droit de profé-
rer. Et quand' je dis un mot, ne
croyez pas que ce soit le mot rai-
sonnable et ^ paisible d'une confé-
rencière arrivée à sa conclusion ;
ce n'est pas un mot, c'est un cri.
C'est le cri suppliant d'une femme
à qui ce malheur a appris qu'on
n 'a pas le droit de manger, de
rire, de dormir, de se reposer, si
:lLl moins on ne tend pas lIa mail
a des frères en perdition. Cama-
rades, ie vnus en coniure, voulez-
vous leur l^ndre la vôtre?
Le dossier du droit d'asile
Quatre sarrois font la grêve de la faim
à Bayonne
C'est un appel vibrant, mais
aussi combien douloureux et poi-
gnant qui nous parvient du fond
d'une geôle de la prison .de Bayon-
ne, où ces quatre maJlheureux ont
été jetés dans des circonstances
qui méritent d'être dévoilées pour
la honte de ceux qui se font les
complices du fascisme hitlérien et
des fascistes français qui marchent
sur ses traces.
Les lecteurs de cc la Défense »
se souviennent certainement de la
réponse spirituelle que le sous-
préfet de Bayeux avait faite der-
nièrement à deux réfugiés sarrois
hospitalisés, qui lui avaient adres-
sé une réclamation contre la nour-
riture infecte et la malpropreté
générale de l'établissement : « Moi
aussi, avait-il déclaré, j'ai eu des
poux pendant la guerre ! Si vous
ne retournez pas à l'hôpital, dans
les 24 heures vous aurez quitté
Bayeux. M
Belle façon de faire régner
l'hygiène dans un établissement
dont on a Ila charge, que d'en ex-
pulser les mécontents, d'autant
plus aisément qu'il s'agit d'hom-
mes sans défense, à qui cependant
on avait promis au nom de la
France républicaine, l'hospit3Jlité
et 'le refuge... avant le plébiscite.
Mettant ses menaces à exécu-
tion, le digne fonctionnaire fit
expulser par la suite quatre Sar-
rois cc récalcitrants » et, le 24 dé-
cembre dernier, ceux-ci quittaient'
Caen pour Bagnères-de-Bigorre,
où ils se rendirent chez le com-
missaire de police, qui leur donna,
un billet pour Hendaye. Un passe-
port Nansen leur fut délivré, mais
le consulat d'Espagne leur refusa
le visa d'entrée, ce qui n'empêcha
pas le moins du monde le commis-
saire spécial d'Hendaye de leur
déclarer : (c Si demain matin, vous
n'avez pas passé la frontière
illégalement, je vous fais arrê-
ter ». Ces quatre malheureux pou-
vaient-ils, sans argent, sans res-
sources d'aucune sorte, tenter une
telle aventure ?
Ils revinrent à Bayonne, mais ils
furent, en effet, arrêtés le lende-
main, menés les menottes aux
mains à travers toute la ville et
incarcérés sous l'inculpation de
l( vagabondage ».
Ils ont décidé de protester par
la grève de la faim.
Que nos protestations affluent
à la prison de Bayonne pour exi-
ger leur libération immédiate.
rapidement se réalisent les
initiatives prises en commun au
« Centre de liaison pout le statut
e? immigrés », au sein duquel
notre Secours Rouge avait proposé
qu une délégation puissante, ra.
présentant tous les groupements et
toutes les opinions antifascistes,
demande audience au ministère de
i 'Intérieur, afin d'arrêter toutes fies
poursuites contre les malheureux
réfugiés politiques en France, et
afin d obtenir pour eux un statut
lé,qal consacrant une hospitalité
replie et un droit d'asile effectif2
7
UNE PAUVRE LEGENDE, UN GRAND BESOIN : LE DROIT D'ASILE
Discours de celui
qui ne sait pas parler
par Magdeleine PAZ
Il. — La France,
telle que je la voyais
D'ans « La Ligne générale », SOU3
ce ciel épais et somptueux qui
coiffe les images des films russes,
deux jeunes paysans, juchés sur le
faîte d'une pauvre isba, scient len.
tement la poutre maîtresse qui sou-
tient le toit.
Les femmes. regardent triste-
ment. Les hommes suent. Mais
personne ne dit mot. Car lil cou-
tume exige ce partage des biens des
« vieux » entre frères mariés.
La plaidoirie de Magdeleine Paz
évoque, comme cette scène, l'er-
reur poignante des hommes qui
travaillent contre eux-mêmes. Le
frère qui, pour rester seul maître
des lieux, scie en deux la maison
paternelle, et en donne la moitié au
cadet, pourvu qu'il s'en aille, n'est
pas plus égaré, plus. stupide, que le
Français qui accepte le départ de
l'étranger afin que celui-ci ne tra-
vaille plus son sol ni ne mange
plus ses produits.
Après l'avoir prouvé, en une dé-
monstration puissante et simple,
renforcée parfois du béton de la
statistique, Magdeleine Paz en ap-
pelle ensuite, toujours au nom
du cc sans-papiers, du sans-abri JI,
aux traditions généreuses du peu-
ple français.
Tout à l'heure, au moment de
mon préambule, je disais, cama-
rade français, qu'une des raisons
de mon séjour en France touchait
à votre honneur.
C'est vrai. Moi l'étranger, le
paria, je suis venu à votre foyer
comme autrefois au moyen âge on
s'engouffrait sous le porche de la
cathédrale ; lieu d'asile, lieu invio-
lable, lieu sacré, où, dans un geste
de confiance éperdue, le réfugié
venait se placer sous la protection
Dieu
La France a été cela pour moi.
Du fond des geôles des Astories,
des prisons roumaines et bulgares,
sur les récifs brûlés du confino
du fond des camps de concentra-
tion, partout où règne la peste
brune, où sévissent les chemises
noires, la France a brillé devant
nos yeux comme un seuil lumi-
neux, un refuge accueillant et
doux. Parce qu'elle était la patrie
des hommes libres, elle devenait
notre patrie. Vous pouvez, cama-
rade français, en concevoir de
l'orgueil : notre espérance vous
ressemble, elle a, pendant long-
temps, pris les traits de votre
visage.
On nous représente à vos yeux
comme des gens sans aveu, une
espèce de tourbe humaine, des
éléments dangereux pour la com-
munauté. Si je pouvais me dé-
faire de mon accent, je dirais, sur
ce ton qui vous est bien particu-
lier, .mais que je n'essaie pas d'imi-
ter : « Sans blague ! »
Ceux d'entre nous qui ont fui
l'enfer du fascisme, et que sa ré-
pression désignait pour leurs pre-
miers coups, c'est au contraire la
fine fleur de l'humanité, ce sont
les plus vaillants, les plus lucides,
les plus libres parmi les hommes.
Sans le savoir ni le vouloir, le
fascisme a fait don à la population
française de ce que les peuples
qu'il opprime contenaient de meil-
leur. Ils l'ont enrichie de courage,
d'intelligence, de noblesse ; ils lui
ont donné des artistes, des écri-
vains et des penseurs, de rayon-
nants porteurs d'avenir ; ils ont
rejeté de ce côté-ci de la frontière
ce qu'il y avait de grandeur vi-
vante et de valeur humaine, du
côté où la barbarie n'a que faire
de semblables vertus.
Camarade français, toi que gou-
verne un clair bon sens, toi qui
d'un œil aigu, sais jauger le réel,
Un insouciant et encombrant petit bonhomme. <5 ieb tourments pour 'es mamans étrangères expulsées, b.-cqu-sHes
doivent emmener vera i itisjnnu Je /);: nibin frappé avec elles 1
Le renouvellement des cartps d'étrangers à Paris. Chaque titulaire se demande, anxieux, si la carte de travail lui sera
» ~. .. renouvelée.
regarde le problème ;én} face c'est
ton honneur qui est en jeu, c'est
. ton intérêt le plus certain.'Vas-tu
rejeter, toi aussi, des hommes qui
sont à la fois créateurs de riches-
ses, clients, consommateurs, nom-
bre charnél, ferment di'activité,
levain spirituel et moral ?
Ce n'est, pas possible. Ce serait te
renier toi-même, te destituer de
ton prestige, diminuer tes chances
de vie, tourner le dos à ton inté-
rêt et voiler ta claire figure.
Tu m'as laissé parler, mon frère
aîné, mon camarade, tu as entendu
mes paroles revenir constamment
à toi et converger toujours vers
toi. Je puis maintenant rentrer
dans mon ombre et mon silence :j
ta réponse viendra m'y trouver.
Voilà, chers camarades, si
^étranger pouvait une bonne fois
s 'expliquer, voilà certainement ce
qu'il dirait. Il ne parlerait pas de
sa misère — i!I est trop fier — ni
dil son malheur, car son malheur
passe les mots.
Mais moi, qui tous les jours,
touche ce malheur de si près, moi
qui vois tous les jours ces sans-
papiers. ces sans-abris, ces sans-
travail, ces sans-soutien, ces sans-
patrie., laissez-moi ajouter un, mot
au plaidoyer que tant d'innocents
n'ont même pas le droit de profé-
rer. Et quand' je dis un mot, ne
croyez pas que ce soit le mot rai-
sonnable et ^ paisible d'une confé-
rencière arrivée à sa conclusion ;
ce n'est pas un mot, c'est un cri.
C'est le cri suppliant d'une femme
à qui ce malheur a appris qu'on
n 'a pas le droit de manger, de
rire, de dormir, de se reposer, si
:lLl moins on ne tend pas lIa mail
a des frères en perdition. Cama-
rades, ie vnus en coniure, voulez-
vous leur l^ndre la vôtre?
Le dossier du droit d'asile
Quatre sarrois font la grêve de la faim
à Bayonne
C'est un appel vibrant, mais
aussi combien douloureux et poi-
gnant qui nous parvient du fond
d'une geôle de la prison .de Bayon-
ne, où ces quatre maJlheureux ont
été jetés dans des circonstances
qui méritent d'être dévoilées pour
la honte de ceux qui se font les
complices du fascisme hitlérien et
des fascistes français qui marchent
sur ses traces.
Les lecteurs de cc la Défense »
se souviennent certainement de la
réponse spirituelle que le sous-
préfet de Bayeux avait faite der-
nièrement à deux réfugiés sarrois
hospitalisés, qui lui avaient adres-
sé une réclamation contre la nour-
riture infecte et la malpropreté
générale de l'établissement : « Moi
aussi, avait-il déclaré, j'ai eu des
poux pendant la guerre ! Si vous
ne retournez pas à l'hôpital, dans
les 24 heures vous aurez quitté
Bayeux. M
Belle façon de faire régner
l'hygiène dans un établissement
dont on a Ila charge, que d'en ex-
pulser les mécontents, d'autant
plus aisément qu'il s'agit d'hom-
mes sans défense, à qui cependant
on avait promis au nom de la
France républicaine, l'hospit3Jlité
et 'le refuge... avant le plébiscite.
Mettant ses menaces à exécu-
tion, le digne fonctionnaire fit
expulser par la suite quatre Sar-
rois cc récalcitrants » et, le 24 dé-
cembre dernier, ceux-ci quittaient'
Caen pour Bagnères-de-Bigorre,
où ils se rendirent chez le com-
missaire de police, qui leur donna,
un billet pour Hendaye. Un passe-
port Nansen leur fut délivré, mais
le consulat d'Espagne leur refusa
le visa d'entrée, ce qui n'empêcha
pas le moins du monde le commis-
saire spécial d'Hendaye de leur
déclarer : (c Si demain matin, vous
n'avez pas passé la frontière
illégalement, je vous fais arrê-
ter ». Ces quatre malheureux pou-
vaient-ils, sans argent, sans res-
sources d'aucune sorte, tenter une
telle aventure ?
Ils revinrent à Bayonne, mais ils
furent, en effet, arrêtés le lende-
main, menés les menottes aux
mains à travers toute la ville et
incarcérés sous l'inculpation de
l( vagabondage ».
Ils ont décidé de protester par
la grève de la faim.
Que nos protestations affluent
à la prison de Bayonne pour exi-
ger leur libération immédiate.
rapidement se réalisent les
initiatives prises en commun au
« Centre de liaison pout le statut
e? immigrés », au sein duquel
notre Secours Rouge avait proposé
qu une délégation puissante, ra.
présentant tous les groupements et
toutes les opinions antifascistes,
demande audience au ministère de
i 'Intérieur, afin d'arrêter toutes fies
poursuites contre les malheureux
réfugiés politiques en France, et
afin d obtenir pour eux un statut
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