Presse et revues
27 pages
Titre : L'Air : revue mensuelle : organe de la Ligue nationale populaire de l'aviation
Auteur : Ligue nationale populaire de l'aviation (France). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1937-09-01
Contributeur : Roche d'Estrez, Gaston. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34415557c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 septembre 1937 01 septembre 1937
Description : 1937/09/01 (N428). 1937/09/01 (N428).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97974209
Source : Musée Air France, 2017-162164
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2017
[texte_manquant]
Le choix d'une formule
Il est dommage qu'une grande épreuve
comme le Grand Prix de l'AÙo-Club de
France n'ait pas remporté un plus grand
succès et n'ait pas eu un plus grand reten-
tissement.
Par sa formule, cette compétition était
ouverte à tous les types d'avions et, après le
succès des rallies de l'Exposition, on pouvait
espérer que le Circuit de l'Est réunirait éga-
lement uii, grand nombre de concurrents.
Mais, les rallies ont surtout un intérêt touris-
- tique alors que le Circuit de l'Est est une
véritable course. Dans le premier cas, les
concurrents exécutent une randonnée agréable,
sur un -itinéraire de leur choix, avec une
grande partie de leurs frais remboursés,
tandis que, dans- une course, les concurrents
ont beaucoup plus de risques avec beaucoup
moins de chances de remporter un prix, et
le matériel est soumis à une très dure. épreuve.
La formule course ne peut réunir qu'un
nombre limité d'inscriptioiis en raison des
frais dans lesquels elle entraîne les concurrents.
Aussi, il semblé que celle d'une compétition
comme le Grand Prix de VAéro-Club doive
être définie longtemps à l'avance pour que
les constructeurs puissent préparer spécia-
lement des appareils. Ou bien alors, il faut
trouver une formule qui demande un effort
restreint au matériel et qui mette davantage
en valeur les qualités du pilote.
Il faut choisir entre l'intérêt technique et
la propagande.
En tout cas, il faut constater que le Circuit
de l'Est aura une portée infiniment moindre
que la Coupe Esders qui, avec un petit nombre
de concurrents, a incontestablement servi le
progrès.
Daniel DE LA SIMONE.
La mort- d'André Beaumont
*
Jean-Louis Conneau, qui fut, sous le pseudo-
nyme d'André Beaumont, un des pionniers
de l'aviation française, est mort à Lodève,
où il était né le 8 février 1880.
Après s'être destiné à la Marine et avoir
fait ses études à l'Ecole navale, Jean-Louis Conneau vint
à l'aviation.
Breveté pilote le 10 février 1911, il volait trois semaines
après de Pau à Libourne. Un mois plus tard, il accom-
plissait le voyage aérien Pau-Paris avec une seule escale
à Poitiers.
Ce fut ensuite, en mai 1911, la grande compétition
aérienne internationale, Paris-Rome, où il s'illustra en
prenant la première place ; en juillet de la même année,
il remportait le circuit européen, le circuit d'Angleterre,
la Coupe du Roi des Belges, etc.
Depuis la guerre, ce glorieux pionnier s'était retiré
dans sa ville natale, où il menait une vie simple et où il
est mort un peu oublié...
M. René Corbin est pilote
*
M. René Corbin, directeur de l'Aviation civile,
qui apprenait à piloter sous la direction de
Michel Détroyat, a accompli dernièrement
son premier vol seul.
Ce vol s'est déroulé de façon parfaite et
nous sommes persuadés que tous les pilotes civils auront
enregistré avec satisfaction l'heureuse initiative du
directeur de l'Aviation civile.
Dans la Légion d'Honneur
M. Jacques Bernard
de Puybelle.
*
Dans. la récente
promotion du
Ministère des
affaires étran-
gères, nous
avons relevé avec plaisir
le nom de notre confrère,
Jacques Bernard de Puy-
belle, directeur du Palma-
rès des Sports, qui est
nommé Chevalier de la
Légion d'honneur, au titre
de la propagande française
à l'étranger.
Le nouveau légionnaire,
blessé de guerre, a eu,
pendant les hostilités, une
très brillante conduite.
Jacques Bernard de Puy-
belle est également président du Syndicat des Techni-
ciens, conseils en publicité et membre du Conseil d'admi-
nistration de la Fédération française de la Publicité.
★
C'est aussi avec plaisir
que nous avons appris,
dans la dernière promo-
tion de la Légion d'hon-
neur, au titre du Ministère
de l'Air, la nomination de
M. Michel Claude, Admi-
nistrateur-délégué de la
Société Aérazur.
Cette nomination ré-
jouira les nombreux amis
que M. Claude compte dans
le monde de l'aviation
auquel il appartient depuis
de nombreuses années,
puisque dès avant guerre
il contribuait à la mise au
M. Michel Claude.
point du moteur Wright construit dans les Ateliers
Bariquand et Mare.
Actuellement M. Claude préside aux destinées de la
Société Aérazur dont l'activité est bien connue dans la
construction du matériel d'Aérostation et des véhicules
spéciaux.
*
La nomination de M. Vion au grade de chevalier de
la Légion d'honneur aura été également apprise avec
satisfaction. Cette distinction vient, en effet, consacrer
les mérites du constructeur d'instruments de navigation
aérienne qui ont si souvent participé avec succès aux
records, voyages et performances.
Nos sincères félicitations.
Fête de l'aviation populaire de Vi,ncennes
*
La grande fête d'aviation populaire qui
aura lieu le 5 septembre à Vincennes verra,
en cette journée, s'épanouir une année d'efforts
des Sections d'aviation populaire dans le
cadre des festivités prévues a l occasion de
l'Exposition internationale de Paris 1937.
Dans l'éliminatoire du concours1 de modèles réduits,
le talent de nos jeunes constructeurs trouvera sa récom-
pense ; le lancement de 250 modèles montrera la vogue
de ce sport dans la jeunesse.
Dans une deuxième partie, des vols et évolutions sur
planeurs donneront l'occasion aux élèves des sections
d'aviation populaire d'exercer leur maîtrise.
Enfin, 100 appareils de l'aviation populaire concré-
tiseront par leur présentation, leurs évolutions, les magni-
fiques résultats acquis tant au point de vue du nombre
que de la qualité.
La présentation de patrouilles militaires en haute
école, de prototypes commerciaux et d'aviation popu-
laire, des dèscentes en parachutes à ouvertures diverses
viendront corser cette brillante manifestation, dont
le bénéfice ira intégralement à l'aviation populaire.
Quinzaine.
Aéronautique
2 Août. — L'hydravion Latécoère 521 Lieutenant-
Vaisseau-Paris, qui doit entreprendre des essais s
l'Atlantique Nord, s'envole de Biscarosse pour effectu
un vol d'endurance.
5 Août. — Venant d'Istres, cinq avions de bombai
dement Lioré et Olivier 206, équipés de quatre nioteu
Gnome-Rhône K 7, arrivent à Meknès (Maroc), apr
avoir survolé la Méditerranée en direction de Tunis
de tout le littoral de l'Afrique du Nord.
6 Août.— Pour la quatrième fois l'hydravion
ricain Sikorsky S 42 Pan American Clipper III franco ^
l'Atlantique Nord, en volant de Foynes (Irlande) '
Botwood (Terre-Neuve). Traversée effectuée en 18 h- 3^'
8 Août. — Venant d'Angleterre et se rendant à
Morlaix, le colonel Lindbergh fait escale à l'aérodrome
Saint-Inglevert.
9 Août.— L'hydravion britannique Short Caittiï***
amerrit à Foynes (Irlande), venant de Botwood (TeIJ ,
Neuve). Cette traversée de l'Atlantique Nord a ® ,
accomplie en 12 h. 2 m., battant d'une minute le recor
précédent du Caledonia.
11 Août. — M. Pierre Cot, ministre de l'Air,
Le Bourget à destination d'Oslo, par l'avion
France.
13 Août. — M. Dewoitine, administrateur de la
S.N,.C.A. du Midi, Marcel Doret et René Droui^
s'embarquent à bord du Paris. Doret et Drouillet s
rendent au Canada où ils participeront à des meetifle
organisés par Air Propagande.
15 Août.— L'hydravion britannique Short CaledoW^
vole de Foynes à Botwood avant effectué la traverse
de l'Atlantique Nord en 16 h. 32 m.
1.6 Août . — Un émouvant pèlerinage rassemble a
Lourdes des centaines de pilotes, mécaniciens, obser
vateurs et radiotélégraphistes.
18 Août.— Parti de New-York le 16 août et des
Bermudes le 17 août, l'hydravion américain Clipper
amerrit à l'archipel des Açores.
21 août. — Parti le 20 août deTerre-Neuve,l'bydraà
vion britannique Short Caledonia amerrit à 10 h. I5
Foynes (Irlande), ayant effectué la traversée de l'Atlai^
tique Nord en n h. 33 m. et à la vitesse moyenne horaff
de 273 km. 530. Ce voyage est le plus rapide de ceil
effectués dans le sens Terre-Neuve-Irlande.
25 août. — Après avoir fait escale à Lisbonne et à
Marignane, l'hydravion américain Clipper III vole û
l'étang de Berre à Southampton, terminant ainsi s0
premier voyage d'essai de l'Atlantique via les Açores e
Lisbonne.
A l'issue des manœuvres aériennes, le gêner
Féquant, chef d'Etat-Major général de l'arrtle t
de l'air, remet au général Hourdemon, commandaJi
la 4e Brigade aérienne, les insignes de Grand offiCl
de la Légion d'honneur.
26 août. — Le parachutiste soviétique Kaitan°^>
saute de 11.037 mètres. La durée de cette descen
qui s'est normalement effectuée, a été de 30 minute
M
Mariages
*
Le 1,7 août, en présence d'une nombreuse et
élégante assistance, a été célébré, à
Saint-Paul, à Genève, le mariage du chevali
Willy Coppens de Houthulst, le grand as
l'aviation belge, commandant actuellement;
2e groupe d'aviation de chasse, commandeur de la Légi°
d'honnéur, avec Mlle Ariane Martin.
Le 14 août a été célébré dans la plus stricte iûtimit^
en l'église Saint-François-de-Sales, le mariage de Mlle
mone Larquey, fille de notre excellent confrère 14eey
Laxquey, avec M. Lucien Bégué, ingénieur 'civil d
Mines.
Toutes nos félicitations et meilleurs.vœux de bonheu
Dm* EAU A if m VILLE m ■ ■ ■ E 0 R MAN D Y HOT E L
ROYAL H 0 TEL
LA PLAGE FL EURtE L'HOTEL DU GOLF
AERODROME DE SAINT-CATIEN
LE WEEK-END DES AVIATEURS
Le choix d'une formule
Il est dommage qu'une grande épreuve
comme le Grand Prix de l'AÙo-Club de
France n'ait pas remporté un plus grand
succès et n'ait pas eu un plus grand reten-
tissement.
Par sa formule, cette compétition était
ouverte à tous les types d'avions et, après le
succès des rallies de l'Exposition, on pouvait
espérer que le Circuit de l'Est réunirait éga-
lement uii, grand nombre de concurrents.
Mais, les rallies ont surtout un intérêt touris-
- tique alors que le Circuit de l'Est est une
véritable course. Dans le premier cas, les
concurrents exécutent une randonnée agréable,
sur un -itinéraire de leur choix, avec une
grande partie de leurs frais remboursés,
tandis que, dans- une course, les concurrents
ont beaucoup plus de risques avec beaucoup
moins de chances de remporter un prix, et
le matériel est soumis à une très dure. épreuve.
La formule course ne peut réunir qu'un
nombre limité d'inscriptioiis en raison des
frais dans lesquels elle entraîne les concurrents.
Aussi, il semblé que celle d'une compétition
comme le Grand Prix de VAéro-Club doive
être définie longtemps à l'avance pour que
les constructeurs puissent préparer spécia-
lement des appareils. Ou bien alors, il faut
trouver une formule qui demande un effort
restreint au matériel et qui mette davantage
en valeur les qualités du pilote.
Il faut choisir entre l'intérêt technique et
la propagande.
En tout cas, il faut constater que le Circuit
de l'Est aura une portée infiniment moindre
que la Coupe Esders qui, avec un petit nombre
de concurrents, a incontestablement servi le
progrès.
Daniel DE LA SIMONE.
La mort- d'André Beaumont
*
Jean-Louis Conneau, qui fut, sous le pseudo-
nyme d'André Beaumont, un des pionniers
de l'aviation française, est mort à Lodève,
où il était né le 8 février 1880.
Après s'être destiné à la Marine et avoir
fait ses études à l'Ecole navale, Jean-Louis Conneau vint
à l'aviation.
Breveté pilote le 10 février 1911, il volait trois semaines
après de Pau à Libourne. Un mois plus tard, il accom-
plissait le voyage aérien Pau-Paris avec une seule escale
à Poitiers.
Ce fut ensuite, en mai 1911, la grande compétition
aérienne internationale, Paris-Rome, où il s'illustra en
prenant la première place ; en juillet de la même année,
il remportait le circuit européen, le circuit d'Angleterre,
la Coupe du Roi des Belges, etc.
Depuis la guerre, ce glorieux pionnier s'était retiré
dans sa ville natale, où il menait une vie simple et où il
est mort un peu oublié...
M. René Corbin est pilote
*
M. René Corbin, directeur de l'Aviation civile,
qui apprenait à piloter sous la direction de
Michel Détroyat, a accompli dernièrement
son premier vol seul.
Ce vol s'est déroulé de façon parfaite et
nous sommes persuadés que tous les pilotes civils auront
enregistré avec satisfaction l'heureuse initiative du
directeur de l'Aviation civile.
Dans la Légion d'Honneur
M. Jacques Bernard
de Puybelle.
*
Dans. la récente
promotion du
Ministère des
affaires étran-
gères, nous
avons relevé avec plaisir
le nom de notre confrère,
Jacques Bernard de Puy-
belle, directeur du Palma-
rès des Sports, qui est
nommé Chevalier de la
Légion d'honneur, au titre
de la propagande française
à l'étranger.
Le nouveau légionnaire,
blessé de guerre, a eu,
pendant les hostilités, une
très brillante conduite.
Jacques Bernard de Puy-
belle est également président du Syndicat des Techni-
ciens, conseils en publicité et membre du Conseil d'admi-
nistration de la Fédération française de la Publicité.
★
C'est aussi avec plaisir
que nous avons appris,
dans la dernière promo-
tion de la Légion d'hon-
neur, au titre du Ministère
de l'Air, la nomination de
M. Michel Claude, Admi-
nistrateur-délégué de la
Société Aérazur.
Cette nomination ré-
jouira les nombreux amis
que M. Claude compte dans
le monde de l'aviation
auquel il appartient depuis
de nombreuses années,
puisque dès avant guerre
il contribuait à la mise au
M. Michel Claude.
point du moteur Wright construit dans les Ateliers
Bariquand et Mare.
Actuellement M. Claude préside aux destinées de la
Société Aérazur dont l'activité est bien connue dans la
construction du matériel d'Aérostation et des véhicules
spéciaux.
*
La nomination de M. Vion au grade de chevalier de
la Légion d'honneur aura été également apprise avec
satisfaction. Cette distinction vient, en effet, consacrer
les mérites du constructeur d'instruments de navigation
aérienne qui ont si souvent participé avec succès aux
records, voyages et performances.
Nos sincères félicitations.
Fête de l'aviation populaire de Vi,ncennes
*
La grande fête d'aviation populaire qui
aura lieu le 5 septembre à Vincennes verra,
en cette journée, s'épanouir une année d'efforts
des Sections d'aviation populaire dans le
cadre des festivités prévues a l occasion de
l'Exposition internationale de Paris 1937.
Dans l'éliminatoire du concours1 de modèles réduits,
le talent de nos jeunes constructeurs trouvera sa récom-
pense ; le lancement de 250 modèles montrera la vogue
de ce sport dans la jeunesse.
Dans une deuxième partie, des vols et évolutions sur
planeurs donneront l'occasion aux élèves des sections
d'aviation populaire d'exercer leur maîtrise.
Enfin, 100 appareils de l'aviation populaire concré-
tiseront par leur présentation, leurs évolutions, les magni-
fiques résultats acquis tant au point de vue du nombre
que de la qualité.
La présentation de patrouilles militaires en haute
école, de prototypes commerciaux et d'aviation popu-
laire, des dèscentes en parachutes à ouvertures diverses
viendront corser cette brillante manifestation, dont
le bénéfice ira intégralement à l'aviation populaire.
Quinzaine.
Aéronautique
2 Août. — L'hydravion Latécoère 521 Lieutenant-
Vaisseau-Paris, qui doit entreprendre des essais s
l'Atlantique Nord, s'envole de Biscarosse pour effectu
un vol d'endurance.
5 Août. — Venant d'Istres, cinq avions de bombai
dement Lioré et Olivier 206, équipés de quatre nioteu
Gnome-Rhône K 7, arrivent à Meknès (Maroc), apr
avoir survolé la Méditerranée en direction de Tunis
de tout le littoral de l'Afrique du Nord.
6 Août.— Pour la quatrième fois l'hydravion
ricain Sikorsky S 42 Pan American Clipper III franco ^
l'Atlantique Nord, en volant de Foynes (Irlande) '
Botwood (Terre-Neuve). Traversée effectuée en 18 h- 3^'
8 Août. — Venant d'Angleterre et se rendant à
Morlaix, le colonel Lindbergh fait escale à l'aérodrome
Saint-Inglevert.
9 Août.— L'hydravion britannique Short Caittiï***
amerrit à Foynes (Irlande), venant de Botwood (TeIJ ,
Neuve). Cette traversée de l'Atlantique Nord a ® ,
accomplie en 12 h. 2 m., battant d'une minute le recor
précédent du Caledonia.
11 Août. — M. Pierre Cot, ministre de l'Air,
Le Bourget à destination d'Oslo, par l'avion
France.
13 Août. — M. Dewoitine, administrateur de la
S.N,.C.A. du Midi, Marcel Doret et René Droui^
s'embarquent à bord du Paris. Doret et Drouillet s
rendent au Canada où ils participeront à des meetifle
organisés par Air Propagande.
15 Août.— L'hydravion britannique Short CaledoW^
vole de Foynes à Botwood avant effectué la traverse
de l'Atlantique Nord en 16 h. 32 m.
1.6 Août . — Un émouvant pèlerinage rassemble a
Lourdes des centaines de pilotes, mécaniciens, obser
vateurs et radiotélégraphistes.
18 Août.— Parti de New-York le 16 août et des
Bermudes le 17 août, l'hydravion américain Clipper
amerrit à l'archipel des Açores.
21 août. — Parti le 20 août deTerre-Neuve,l'bydraà
vion britannique Short Caledonia amerrit à 10 h. I5
Foynes (Irlande), ayant effectué la traversée de l'Atlai^
tique Nord en n h. 33 m. et à la vitesse moyenne horaff
de 273 km. 530. Ce voyage est le plus rapide de ceil
effectués dans le sens Terre-Neuve-Irlande.
25 août. — Après avoir fait escale à Lisbonne et à
Marignane, l'hydravion américain Clipper III vole û
l'étang de Berre à Southampton, terminant ainsi s0
premier voyage d'essai de l'Atlantique via les Açores e
Lisbonne.
A l'issue des manœuvres aériennes, le gêner
Féquant, chef d'Etat-Major général de l'arrtle t
de l'air, remet au général Hourdemon, commandaJi
la 4e Brigade aérienne, les insignes de Grand offiCl
de la Légion d'honneur.
26 août. — Le parachutiste soviétique Kaitan°^>
saute de 11.037 mètres. La durée de cette descen
qui s'est normalement effectuée, a été de 30 minute
M
Mariages
*
Le 1,7 août, en présence d'une nombreuse et
élégante assistance, a été célébré, à
Saint-Paul, à Genève, le mariage du chevali
Willy Coppens de Houthulst, le grand as
l'aviation belge, commandant actuellement;
2e groupe d'aviation de chasse, commandeur de la Légi°
d'honnéur, avec Mlle Ariane Martin.
Le 14 août a été célébré dans la plus stricte iûtimit^
en l'église Saint-François-de-Sales, le mariage de Mlle
mone Larquey, fille de notre excellent confrère 14eey
Laxquey, avec M. Lucien Bégué, ingénieur 'civil d
Mines.
Toutes nos félicitations et meilleurs.vœux de bonheu
Dm* EAU A if m VILLE m ■ ■ ■ E 0 R MAN D Y HOT E L
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