Titre : Le Miroir des sports
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1941-07-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45254553g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 28 juillet 1941 28 juillet 1941
Description : 1941/07/28 (N17). 1941/07/28 (N17).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9795859x
Source : INSEP (Institut National du Sport de l'Expertise et de la Performance), 2013-54014
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
[texte_manquant]
par Jean TARIS -
Préparation d'un match-défi. - Vainqueur de Barany.
L'invité de la dernière heure.
Veille d'armes
PENDANT toute ma carrière sportive, qui dura dix ans, j'ai disputé de
nombreuses épreuves : rencontres internationales, championnats ou
tentatives de records mais de toutes mes luttes sportives, il n'y en a
que deux qui ont eu, pour mci, une importance, un intérêt tels que le temps
n'est pas parvenu à atténuer leur souvenir et qu'aujourd'hui encore je revis
ces minutes pathetiques avec la même intensité.
Le premier de ces matches sensationnels est celui que je disputai en
]930 contre le champicn d'Europe Stephan Barany : le second, c'est la finale
du 400 métrés qui m'opposa à l'Américain Crabbe aux Jeux Olympiques
de Los Angeles.
J'avais, certes, nagé assez souvent contre le Hongrois Barany, et, l'année
précédente., en 1929, il m'avait battu dans le Grand Prix de Paris. Le match
Taris-Barany n'était donc pas un événement sportif nouveau. Pourtant quel
tapage, quelle publicité ne furent pas faits lors de cette rencontre Il ne
s'agissait pas seulement pour moi de gagner une épreuve, de conquérir
un titre officiel... L'enjeu était plus grand, il me fallait battre Barany, qui
m'avait lancé sportivement un défi.
Le chai pion hongrois venait de s'octroyer le record d'Europe des
20C m êtres et, comme il était 1 e nageur européen le plus rapide sur 100 mètres,
tous les pronostics étaient en sa faveur.
Hermant, qui m'avait entraîné spécialement pour le match, était le seul à
posséder une confiance totale et à me la faire partager. Si j'ai suivi aveuglé-
ment ses conseils, si j'ai exécuté ses ordres à la lettre, c'était véritablement
parce que j'avais une foi inébranlable en lui. Car tout le monde autour de moi
s'était étonné de l'entraînement auquel Hermant me soumettait. Je me sou-
viens notamment de la dernière séance préparatoire. C'était la veille
de la course, au stade des Tourelles. Barany se trouvait là, lui aussi. Il se
mit à l'eau pour 100 mètres, qu'il parcourut en l' 1",
Quand ce fut mon tour de nager, Hermant me dit
— Allez, Jean, nage 1.000 mètres avec tout ce.que tu as dans le ventre.
Barany n'en revenait pas 1.060 mètres à la veille d'un match qui devait
avoir lieu sur 200 metres, cela lui semblait invraisemblable. Et il ne put
s'empêcher d'en faire la remarque à mon entraîneur qui lui dit :
— Eh ! oui, je fais nager Jean sur une longue distance pour le mettre
en souffle.
Mais quand Barany eut pris le temps de mon premier 100 metres, il
s'écria
— Mais il est fou d'être parti aUssi vite 1
J'avais, en effet, accompli la distance presque aussi vite que lui... et
il me restait 900 mètres à faire Quand j'eus terminé, la satisfaction
d 'Herman! se traduisit nar r.as sirrmles mots
J i *
— Demain, tu gagneras.
Barany cou riait , il restait sceptique il ne com-
prenait pas la méthode de Georges Hermant.
Je bats Barany :
Weissmuller perd son pari
"DARANY était un sprinter, moi un nageur de
U demi-fond. Je redoutais donc ses départs
rapides. C'est pourquoi je démarrai de toutes
mes forces. Aux premiers 50 mètres, nous étions
ensemble, mais Barany virant beaucoup mieux
que moi, il me fallut forcer encore pour le rejoin-
dre. Ce fut une course acharnée chaque fois
que je prenais ma jespiration du côté où se trou-
vait mon adversaire je l'apercevais à ma hauteur.
Dans le dernier parcours, toute ma volonté était
tendue vers le but ; il n'y avait plus rien au monde
qui existait pour moi que l'arrivée. Je me sentais
parcouru par je ne sais quel courant nerveux,
comme si l'on m'avait administré un doping et,
rageusement, de toute ma puissance, je nageai
comme jamais je n'avais fait jusqu'alors. Quand
je touchai au but, l'eau, la foule hurlante, le stade
tout entier dansaient devant mes yeux et je dus
m'accrocher au bord du bassin pour ne pas som-
brer. Cet instant de défaillance ne dura que quel-
ques secondes. Ayant repris mes esprits, je consi-
dérai Barany. Il avait fourni un tel effort qu'il
n'était guère plus brillant que moi. J'avais gagné...
J'avais battu le champion et aussi le record d'Eu-
rope !
Le plus surpris de ma victoire, parmi les connais-
seurs qui assitaient au match, fut l'Américain
Weissmuller. Venu, en compagnie de la plongeuse
Helen Riggins, à Paris pour un mois, durant lequel
il fit des exhibitions à la piscine Molitor, le grand
Weissmuller avait assisté à mon entraînement,
et il ne s'était pas caché pour déclarer que je
- n'avais aucune chance contre le champion hon-
grois. Le jour du match, il avait même parié
1.000 francs sur le succès de Barany !
Si ma victoire fut retentissante, elle n'enleva
rien à la réputation de sprinter de mon adversaire,
réputation qu'il confirma quelques semaines plus
tard en remportant pour la cinquième fois le
Grand Prix de Paris.
WEISSMULLER avait de nombreux admirateurs à la
piscine Molitor ; celui-ci, le plus petit par la taille,
semblait envier surtout la poitrine du champion.
L'ÉPREUVE A ÉTÉ DURE. C'est l'instant de la défaillance.
Taris, à g., a retrouvé le calme, mais Barany, àdr., le visage
défait, le front plissé de rides, n'a pas encore récupéré.
Il manque un nageur pour le relais
AUX championnats de France de 1930, j'ai remporté — c'était presque
devenu une habitude — tous les titres individuels, mais pour la première
fois l'équipe du S. C. U. F., dont j'étais naturellement le capitaine, enleva
le championnat du relais 4 x 200 mètres dans des conditions plutôt comiques.
Jusqu'alors, les Tourquennois avaient été imbattus en relais. Au S.C.U.F.,
on aurait eu le plus ferme espoir s'il n'avait pas manqué un quatrième
nageur. Bien sûr, nous étions trois dans l'équipe Lesur, le Hongrois de
Gialokay et moi, qui réalisions sur 200 mètres des performances supé-
rieures à celles des trois meilleurs Tourquennois. Mais la veille de
l'épreuve, nos dirigeants étaient encore indécis sur le choix du qua-
trième de l'équipe. A la demande pressante d'Hermant, ils décidèrent
que mon camarade Legouge devait courir le relais ! Comme celui-ci était
parti avec une autre équipe du S. C. U. F. disputer la traversée de
Cherbourg et un match de water-polo contre l'équipe championne de la
marine, on télégraphia de toute urgence à Cherbourg pour le rappeler.
Quelques minutes avant le départ de la course, nous n'étions toujours
que trois. Et on avait déjà prié, en désespoir de cause, un junior de se tenir
prêt à nager le relais, quand Legouge fit irruption aux Tourelles, poursuivi
comme un malfaiteur par un contrôleur et un agent de police. Il avait
forcé l'entrée du stade des resquilleurs avaient tout naturellement emboîté
le pas aux représentants de l'autorité, si bien que, tout d'un coup,
un corn au siaae se trouva garni ae spectateurs
qui n'avaient pas payé leur place et qui faillirent
bien faire attraper un coup de sang à l'irascible
directeur de la piscine, James Frèrejacques.
Déshabillé en un clin d'oeil, mon camarade se
trouva prêt à l'appel du starter, mais il était en
piteux état. Parti de Cherbourg dans la-nuit, après
avoir nagé la veille la traversée de Cherbourg,
où il s'était classé deuxième derrière le champion
amiénois Vallerey, il se déclarait incapable de
nager 200 mètres avec honneur. Effectivement,
lorsqu'il toucha le but, après le premier relais,
l'équipe du S. C. U. F. avait 25 mètres de retard.
Tandis que dirigeants du S. C. U. F. et officiels
de la Fédération commençaient à l'accuser de
nous avoir fait perdre le titre, Lesur, puis de
Gialokay reprenaient un peu de retard. Les Tour-
quennois paraissaient avoir gagné d'avance.
J'entendis même un chronométreur officiel,
M. Foulon, déclarer :
— Il faudrait que Taris fasse 2' 15" pour rat-
traper Vandeplancke : or, il ne peut pas réaliser
ce temps en ce moment.
Piqué au vif, je répondis :
— Vous allez voir si je ne ferai pas 2' 15".
Effectivement, j'ai nagé ce jour-là les 200 der-
nièrs mètres du relais dans le temps indiqué,
c'est-à-dire que j'ai approché d'une seconde
mon record d'Europef Le S. C. U. F. a été cham-
pion de France du relais olympique pour la pre-
mière et pour la dernière fois. Mais mon camarade
Legouge, auquel je confie aujourd'hui pour le
Miroir le récit de ma vie sportive, n'en a pas cru
ses oreilles quand on lui annonça qu'il était cham-
pion de France 1
(Voir le « Miroirs du no 5 au no 16.)
Recueilli par Fernand Legouge. (A suivre.)
If A M TARIS reprendra la semaine
JEAN liiiUiJ prochaine la série de
ses CONSEILS TECHNIQUES
- par " COMMENT S'ENTRAINER - "
par Jean TARIS -
Préparation d'un match-défi. - Vainqueur de Barany.
L'invité de la dernière heure.
Veille d'armes
PENDANT toute ma carrière sportive, qui dura dix ans, j'ai disputé de
nombreuses épreuves : rencontres internationales, championnats ou
tentatives de records mais de toutes mes luttes sportives, il n'y en a
que deux qui ont eu, pour mci, une importance, un intérêt tels que le temps
n'est pas parvenu à atténuer leur souvenir et qu'aujourd'hui encore je revis
ces minutes pathetiques avec la même intensité.
Le premier de ces matches sensationnels est celui que je disputai en
]930 contre le champicn d'Europe Stephan Barany : le second, c'est la finale
du 400 métrés qui m'opposa à l'Américain Crabbe aux Jeux Olympiques
de Los Angeles.
J'avais, certes, nagé assez souvent contre le Hongrois Barany, et, l'année
précédente., en 1929, il m'avait battu dans le Grand Prix de Paris. Le match
Taris-Barany n'était donc pas un événement sportif nouveau. Pourtant quel
tapage, quelle publicité ne furent pas faits lors de cette rencontre Il ne
s'agissait pas seulement pour moi de gagner une épreuve, de conquérir
un titre officiel... L'enjeu était plus grand, il me fallait battre Barany, qui
m'avait lancé sportivement un défi.
Le chai pion hongrois venait de s'octroyer le record d'Europe des
20C m êtres et, comme il était 1 e nageur européen le plus rapide sur 100 mètres,
tous les pronostics étaient en sa faveur.
Hermant, qui m'avait entraîné spécialement pour le match, était le seul à
posséder une confiance totale et à me la faire partager. Si j'ai suivi aveuglé-
ment ses conseils, si j'ai exécuté ses ordres à la lettre, c'était véritablement
parce que j'avais une foi inébranlable en lui. Car tout le monde autour de moi
s'était étonné de l'entraînement auquel Hermant me soumettait. Je me sou-
viens notamment de la dernière séance préparatoire. C'était la veille
de la course, au stade des Tourelles. Barany se trouvait là, lui aussi. Il se
mit à l'eau pour 100 mètres, qu'il parcourut en l' 1",
Quand ce fut mon tour de nager, Hermant me dit
— Allez, Jean, nage 1.000 mètres avec tout ce.que tu as dans le ventre.
Barany n'en revenait pas 1.060 mètres à la veille d'un match qui devait
avoir lieu sur 200 metres, cela lui semblait invraisemblable. Et il ne put
s'empêcher d'en faire la remarque à mon entraîneur qui lui dit :
— Eh ! oui, je fais nager Jean sur une longue distance pour le mettre
en souffle.
Mais quand Barany eut pris le temps de mon premier 100 metres, il
s'écria
— Mais il est fou d'être parti aUssi vite 1
J'avais, en effet, accompli la distance presque aussi vite que lui... et
il me restait 900 mètres à faire Quand j'eus terminé, la satisfaction
d 'Herman! se traduisit nar r.as sirrmles mots
J i *
— Demain, tu gagneras.
Barany cou riait , il restait sceptique il ne com-
prenait pas la méthode de Georges Hermant.
Je bats Barany :
Weissmuller perd son pari
"DARANY était un sprinter, moi un nageur de
U demi-fond. Je redoutais donc ses départs
rapides. C'est pourquoi je démarrai de toutes
mes forces. Aux premiers 50 mètres, nous étions
ensemble, mais Barany virant beaucoup mieux
que moi, il me fallut forcer encore pour le rejoin-
dre. Ce fut une course acharnée chaque fois
que je prenais ma jespiration du côté où se trou-
vait mon adversaire je l'apercevais à ma hauteur.
Dans le dernier parcours, toute ma volonté était
tendue vers le but ; il n'y avait plus rien au monde
qui existait pour moi que l'arrivée. Je me sentais
parcouru par je ne sais quel courant nerveux,
comme si l'on m'avait administré un doping et,
rageusement, de toute ma puissance, je nageai
comme jamais je n'avais fait jusqu'alors. Quand
je touchai au but, l'eau, la foule hurlante, le stade
tout entier dansaient devant mes yeux et je dus
m'accrocher au bord du bassin pour ne pas som-
brer. Cet instant de défaillance ne dura que quel-
ques secondes. Ayant repris mes esprits, je consi-
dérai Barany. Il avait fourni un tel effort qu'il
n'était guère plus brillant que moi. J'avais gagné...
J'avais battu le champion et aussi le record d'Eu-
rope !
Le plus surpris de ma victoire, parmi les connais-
seurs qui assitaient au match, fut l'Américain
Weissmuller. Venu, en compagnie de la plongeuse
Helen Riggins, à Paris pour un mois, durant lequel
il fit des exhibitions à la piscine Molitor, le grand
Weissmuller avait assisté à mon entraînement,
et il ne s'était pas caché pour déclarer que je
- n'avais aucune chance contre le champion hon-
grois. Le jour du match, il avait même parié
1.000 francs sur le succès de Barany !
Si ma victoire fut retentissante, elle n'enleva
rien à la réputation de sprinter de mon adversaire,
réputation qu'il confirma quelques semaines plus
tard en remportant pour la cinquième fois le
Grand Prix de Paris.
WEISSMULLER avait de nombreux admirateurs à la
piscine Molitor ; celui-ci, le plus petit par la taille,
semblait envier surtout la poitrine du champion.
L'ÉPREUVE A ÉTÉ DURE. C'est l'instant de la défaillance.
Taris, à g., a retrouvé le calme, mais Barany, àdr., le visage
défait, le front plissé de rides, n'a pas encore récupéré.
Il manque un nageur pour le relais
AUX championnats de France de 1930, j'ai remporté — c'était presque
devenu une habitude — tous les titres individuels, mais pour la première
fois l'équipe du S. C. U. F., dont j'étais naturellement le capitaine, enleva
le championnat du relais 4 x 200 mètres dans des conditions plutôt comiques.
Jusqu'alors, les Tourquennois avaient été imbattus en relais. Au S.C.U.F.,
on aurait eu le plus ferme espoir s'il n'avait pas manqué un quatrième
nageur. Bien sûr, nous étions trois dans l'équipe Lesur, le Hongrois de
Gialokay et moi, qui réalisions sur 200 mètres des performances supé-
rieures à celles des trois meilleurs Tourquennois. Mais la veille de
l'épreuve, nos dirigeants étaient encore indécis sur le choix du qua-
trième de l'équipe. A la demande pressante d'Hermant, ils décidèrent
que mon camarade Legouge devait courir le relais ! Comme celui-ci était
parti avec une autre équipe du S. C. U. F. disputer la traversée de
Cherbourg et un match de water-polo contre l'équipe championne de la
marine, on télégraphia de toute urgence à Cherbourg pour le rappeler.
Quelques minutes avant le départ de la course, nous n'étions toujours
que trois. Et on avait déjà prié, en désespoir de cause, un junior de se tenir
prêt à nager le relais, quand Legouge fit irruption aux Tourelles, poursuivi
comme un malfaiteur par un contrôleur et un agent de police. Il avait
forcé l'entrée du stade des resquilleurs avaient tout naturellement emboîté
le pas aux représentants de l'autorité, si bien que, tout d'un coup,
un corn au siaae se trouva garni ae spectateurs
qui n'avaient pas payé leur place et qui faillirent
bien faire attraper un coup de sang à l'irascible
directeur de la piscine, James Frèrejacques.
Déshabillé en un clin d'oeil, mon camarade se
trouva prêt à l'appel du starter, mais il était en
piteux état. Parti de Cherbourg dans la-nuit, après
avoir nagé la veille la traversée de Cherbourg,
où il s'était classé deuxième derrière le champion
amiénois Vallerey, il se déclarait incapable de
nager 200 mètres avec honneur. Effectivement,
lorsqu'il toucha le but, après le premier relais,
l'équipe du S. C. U. F. avait 25 mètres de retard.
Tandis que dirigeants du S. C. U. F. et officiels
de la Fédération commençaient à l'accuser de
nous avoir fait perdre le titre, Lesur, puis de
Gialokay reprenaient un peu de retard. Les Tour-
quennois paraissaient avoir gagné d'avance.
J'entendis même un chronométreur officiel,
M. Foulon, déclarer :
— Il faudrait que Taris fasse 2' 15" pour rat-
traper Vandeplancke : or, il ne peut pas réaliser
ce temps en ce moment.
Piqué au vif, je répondis :
— Vous allez voir si je ne ferai pas 2' 15".
Effectivement, j'ai nagé ce jour-là les 200 der-
nièrs mètres du relais dans le temps indiqué,
c'est-à-dire que j'ai approché d'une seconde
mon record d'Europef Le S. C. U. F. a été cham-
pion de France du relais olympique pour la pre-
mière et pour la dernière fois. Mais mon camarade
Legouge, auquel je confie aujourd'hui pour le
Miroir le récit de ma vie sportive, n'en a pas cru
ses oreilles quand on lui annonça qu'il était cham-
pion de France 1
(Voir le « Miroirs du no 5 au no 16.)
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