Titre : Revue de l'instruction publique en France et dans les pays étrangers
Éditeur : Librairie de L. Hachette (Paris)
Date d'édition : 1868-04-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328574167
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 02 avril 1868 02 avril 1868
Description : 1868/04/02 (A28,N1)-1869/03/25 (A28,N52). 1868/04/02 (A28,N1)-1869/03/25 (A28,N52).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97950135
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LC5-60
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
REVUE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE. 773
Le Journal officiel publiait dernièrement (11 février) la
liste des dons faits à la Bibliothèque impériale dans l'année
qui vient de s'écouler.
/Nous y remarquons, parmi les imprimés, une collection
d ouvrages en langues guzerati et pehlvi, sortie des presses de
deux imprimeurs hindous de Bombay, et une collectiou de
Bibles traduites en différents idiomes indigènes d'Amérique.
Mais ce sont les manuscrits qui se sont enrichis de l'acquisition,
la plus précieuse.
Les monuments originaux de la langue pâli (idiome ancien et sacré
dans lequel ont été écrits les livres des Bouddhistes) sont des plus rares
en Europe ; on ne peut citer que la Bibliothèque impériale et celle de Co-
penhague comme en possédant un ensemble. Il y a deux ans, la Biblio-
thèque impériale avait pu réaliser l'acquisition d'une collection nombreuse
de ces manuscrits, collection dans laquelle malheureusement le grand ou-
vrage bouddhique désigné sous le nom de Tripitaka (la Triple Corbeille)
n était représenté que par quelques traités détachés.
Mgr Bigandet, évêque de Rangoon, en Birmanie, comprenant l'intérêt
qu'aurait pour l'érudition la connaissance de ce recueil en son entier, a
obtenu du roi des Birmans l'hommage à l'Empereur des Français d'une
copie complète de cette collection. Elle forme vingt-huit volumes écrits à
la pointe, en caractères birmans, sur olles ou feuilles de palmier, superbes
volumes aux tranches dorées, renfermés entre des planchettes de bois
indigène, également dorées ou ornées de peintures. II y est joint un exem-
plaire de Kamavacca écrit en anciens caractères pâli, dont chaque feuillet
est entouré de figures et d'ornements tracés en rouge sur fond noir.
Deux manuscrits éthiopiens se sont ajoutés au fonds consacré aux ou-
vrages en cette langue. Ces deux manuscrits, de la fin du siècle dernier ou
du commencement de celui-ci, renferment : l'un, un Recueil d'exlraits
des Pères de l'Église, suivis de passages de l'Ancien et dit Nouveau Tes-
tament; l'autre, le lle'cit des actes du saint et bienheureux père Talda
IMyntrÎnôt. Ils proviennent tous deux de la prise de Magdala, et ont été
offerts par M. Gally-Passebosc, chef de bataillon d'infanterie de marine,
•; qui avait été attaché par le ministre de la marine à l'état-major de l'expé-
dition anglaise en Abyssinie, et à qui ils avaient été attribués lors de l'oc-
cupation de la capitale de Théodoros.
La Bibliothèque a reçu aussi un certain nombre de mé-
dailles de valeur et vingt-deux munuments épigraphiques con-
statant l'importance de l'ancienne ville de Troësmis (aujour-
d hui Iglitza, près des bouches du Danube) qui servit longtemps
de station aux troupes romaines chargées de la défense de la
Mésie.
Notre éminent historien, M. Henri Martin appuie de son
autorité (Siècle du 18 février) une pétition de M. Casimir
Delamarre au Sénat, pour obtenir la réforme de l'enseigne-
ment, II: en ce qui concerne les peuples très-divers que l'on
confond, en dépit de toute réalité historique, sous le nom de
Russes. »
Il ne s "agit, en somme, de rien moins que de réduire la
Russie à sa plus simple et à sa primitive expression, la Mosco-
vie, et ce résultat obtenu par une exacte analyse de tous les
éléments hétérogènes dont se compose l'empire actuel des
Czars, d'établir que la vraie et seule Russie, c'est-à-dire la
Moscovie, n'est nullement slave, mais tartare, c'est-à-dire
asiatique. Et le panslavisme aura vécu.
Pour arriver à ce but, voici le nouveau pas que vient de
faire l'ennemi personnel du Czarisme, l'honorable M. Casimir
Delamarre. C'est M. Henri Martin qui parle.
Il y a, comme le dit très-bien M. Delamarre, un peuple européen de
quinze millions d'âmes oublié devant l'histoire, et dont nos programmes
d'enseignement ne prononcent pas même le nom, parce que l'on confond
ce peuple, sous un nom de pure convention, avec un autre peuple d'ori-
gine et de caractère tout différents.
Ce peuple est celui des Ruthènes ou Russicns, intermédiaire, par la
langue entre les Moscovites etles Polonais, mais frère des Polonais par l'ori-
gine et le génie, et, au contraire, sous ce dernier rapport bien autrement
décisif que la langue, entièrement étranger aux Moscovites.
Les Ruthènes sont divisés en deux groupes, les Russes-Blancs, qui occu-
pent la partie orientale de l'ancienne Lithuanie, et les Petits-Russes, beau-
coup plus nombreux, qui habitent la Volhynie, la Podolie, l'Ukraine, la
partie orientale de la Gallicie, un coin du nord de la Hongrie, et, au delà
du Dniéper, les bassins dès affluents orientaux de ce fleuve, d'où ils s'éten-
dent jusque dans la Tauride.
Dans les anciennes provinces lithuaniennes, la Volhynie, la Podolie,
l'Ukraine en deçà du Dniéper, la Gallicie, les classes supérieures et lettrées
ont adopté la langue et la littérature polonaises, ce qui sert de prétexte au-
jourd'hui au gouvernement russe pour les persécuter et les spolier comme
étrangères dans leur pays natal, et pour travailler à leur substituer de vrais
étrangers, c'est-à-dire de nouveaux propriétaires moscovites.
Nous allons donc (si toutefois tel est l'avis du Sénat, qui ne
géra peut-être pas médiocrement embarrassé d'avoir un avis
sur la question), ressusciter officiellement,-sur le papier, faute
de mieux, - la nationalité ruthène. Nous craignons bien, si le
Sénat consent à rendre cetoracle,que les Ruthènes eux-mêmes,
puisque Ruthènes il y a, ne soient pas les moins étonnés de se
voir au monde. A dire le vrai, nous doutons fort qu'ils y aient
jamais été. Naguère, ils étaient Polonais; aujourd'hui, les
voilà Russes ; mais Ruthènes,quand ? Quelle place les Ruthènes
tiennent-ils dans l'histoire? Quel rôle ont-ils jamais joué, en
qualité de Ruthènes, j'entends? Le principe des nationalités
ressemble aux meilleures choses du monde ; il se perd par l'abus
qu'on en fait. Obtenir d'une assemblée politique française, cette
déclaration « que la nationalité ruthène existe, » et qui sait?
peut-être même qu'elle ne périra pas, nous semble juste aussi
sérieux que si le Czar, par un oukase, faisait enseigner demain,
dans tous les collèges de toutes les Russies, que les nationalités
basque et bretonne ne périront pas.
Ed. GOUMY.
LITTÉRATURE ET SCIENCES.
INTRODUCTION A L'ILIADE.
CHAPITRE I. — PREMIERS TRAVAUX DES GRECS.
(Suite et fin.)
Règlement de la récitation des Panathénées. — L'exemplaire athénien.
— Pisistrate, Hipparque, Cynéthus. — Vulgate primitive. — Descrip-
tion des premiers manuscrits complets. — Apologie de Cynétlllls. -
Éditions des villes. — l'Iliade de l'Hélicon. — Les àpxaToci. — Les xa,'
eX'IÕpe:. — Diorthose d'Antimachus. — Diorthose d'Arist te. — Les dias-
cévastes et la diascève. — Homère et les premiers philosophes. — Les
allégoristes. — Les glossographes. — La critique de Platon. — Problè-
mes homériques d'Aristote. — Les È'Ia-,e:,¡xct et les Xw/.ot. — Zoïle.
Aux éditions des villes il faut joindre Y Ilia(le de l'Hélicon,
mentionnée dans l 'Aiiecclotttm de Rome1. Cet Anecdotum n'a
par lui-même aucune valeur historique; mais les vers qui y
sont transcrits comme tirés de l'Iliade de l'Hélicon sont em-
pruntés à des ouvrages d'écrivains célèbres : Cratès, Nicanor,
Aristoxène. Suivant Cratès et Nicanor, voici quel était le pre-
mier vers de l' Iliade de l'IIéli,-o?z :
Suivant Arisloxèno, ou, pour parler exactement, suivant des
auteurs (xktgc 'twcq;) qu'avait consultés Aristoxène, l' Iliade de
l Hélicon commençait par ces trois vers, qui remplaçaient les
neuf premiers vers du préambule connu :
Il n est pas fort merveilleux qu'on eût jadis des exemplaires
—>
'Î10tr1e Appendice 111, les extraits du livre d'Osann sur
cet Anecdotum. Nous donnons tout ce que le livre contient de plus inte?
ressant à propos de l 'Iliadr, de l'Hélicon.
Le Journal officiel publiait dernièrement (11 février) la
liste des dons faits à la Bibliothèque impériale dans l'année
qui vient de s'écouler.
/Nous y remarquons, parmi les imprimés, une collection
d ouvrages en langues guzerati et pehlvi, sortie des presses de
deux imprimeurs hindous de Bombay, et une collectiou de
Bibles traduites en différents idiomes indigènes d'Amérique.
Mais ce sont les manuscrits qui se sont enrichis de l'acquisition,
la plus précieuse.
Les monuments originaux de la langue pâli (idiome ancien et sacré
dans lequel ont été écrits les livres des Bouddhistes) sont des plus rares
en Europe ; on ne peut citer que la Bibliothèque impériale et celle de Co-
penhague comme en possédant un ensemble. Il y a deux ans, la Biblio-
thèque impériale avait pu réaliser l'acquisition d'une collection nombreuse
de ces manuscrits, collection dans laquelle malheureusement le grand ou-
vrage bouddhique désigné sous le nom de Tripitaka (la Triple Corbeille)
n était représenté que par quelques traités détachés.
Mgr Bigandet, évêque de Rangoon, en Birmanie, comprenant l'intérêt
qu'aurait pour l'érudition la connaissance de ce recueil en son entier, a
obtenu du roi des Birmans l'hommage à l'Empereur des Français d'une
copie complète de cette collection. Elle forme vingt-huit volumes écrits à
la pointe, en caractères birmans, sur olles ou feuilles de palmier, superbes
volumes aux tranches dorées, renfermés entre des planchettes de bois
indigène, également dorées ou ornées de peintures. II y est joint un exem-
plaire de Kamavacca écrit en anciens caractères pâli, dont chaque feuillet
est entouré de figures et d'ornements tracés en rouge sur fond noir.
Deux manuscrits éthiopiens se sont ajoutés au fonds consacré aux ou-
vrages en cette langue. Ces deux manuscrits, de la fin du siècle dernier ou
du commencement de celui-ci, renferment : l'un, un Recueil d'exlraits
des Pères de l'Église, suivis de passages de l'Ancien et dit Nouveau Tes-
tament; l'autre, le lle'cit des actes du saint et bienheureux père Talda
IMyntrÎnôt. Ils proviennent tous deux de la prise de Magdala, et ont été
offerts par M. Gally-Passebosc, chef de bataillon d'infanterie de marine,
•; qui avait été attaché par le ministre de la marine à l'état-major de l'expé-
dition anglaise en Abyssinie, et à qui ils avaient été attribués lors de l'oc-
cupation de la capitale de Théodoros.
La Bibliothèque a reçu aussi un certain nombre de mé-
dailles de valeur et vingt-deux munuments épigraphiques con-
statant l'importance de l'ancienne ville de Troësmis (aujour-
d hui Iglitza, près des bouches du Danube) qui servit longtemps
de station aux troupes romaines chargées de la défense de la
Mésie.
Notre éminent historien, M. Henri Martin appuie de son
autorité (Siècle du 18 février) une pétition de M. Casimir
Delamarre au Sénat, pour obtenir la réforme de l'enseigne-
ment, II: en ce qui concerne les peuples très-divers que l'on
confond, en dépit de toute réalité historique, sous le nom de
Russes. »
Il ne s "agit, en somme, de rien moins que de réduire la
Russie à sa plus simple et à sa primitive expression, la Mosco-
vie, et ce résultat obtenu par une exacte analyse de tous les
éléments hétérogènes dont se compose l'empire actuel des
Czars, d'établir que la vraie et seule Russie, c'est-à-dire la
Moscovie, n'est nullement slave, mais tartare, c'est-à-dire
asiatique. Et le panslavisme aura vécu.
Pour arriver à ce but, voici le nouveau pas que vient de
faire l'ennemi personnel du Czarisme, l'honorable M. Casimir
Delamarre. C'est M. Henri Martin qui parle.
Il y a, comme le dit très-bien M. Delamarre, un peuple européen de
quinze millions d'âmes oublié devant l'histoire, et dont nos programmes
d'enseignement ne prononcent pas même le nom, parce que l'on confond
ce peuple, sous un nom de pure convention, avec un autre peuple d'ori-
gine et de caractère tout différents.
Ce peuple est celui des Ruthènes ou Russicns, intermédiaire, par la
langue entre les Moscovites etles Polonais, mais frère des Polonais par l'ori-
gine et le génie, et, au contraire, sous ce dernier rapport bien autrement
décisif que la langue, entièrement étranger aux Moscovites.
Les Ruthènes sont divisés en deux groupes, les Russes-Blancs, qui occu-
pent la partie orientale de l'ancienne Lithuanie, et les Petits-Russes, beau-
coup plus nombreux, qui habitent la Volhynie, la Podolie, l'Ukraine, la
partie orientale de la Gallicie, un coin du nord de la Hongrie, et, au delà
du Dniéper, les bassins dès affluents orientaux de ce fleuve, d'où ils s'éten-
dent jusque dans la Tauride.
Dans les anciennes provinces lithuaniennes, la Volhynie, la Podolie,
l'Ukraine en deçà du Dniéper, la Gallicie, les classes supérieures et lettrées
ont adopté la langue et la littérature polonaises, ce qui sert de prétexte au-
jourd'hui au gouvernement russe pour les persécuter et les spolier comme
étrangères dans leur pays natal, et pour travailler à leur substituer de vrais
étrangers, c'est-à-dire de nouveaux propriétaires moscovites.
Nous allons donc (si toutefois tel est l'avis du Sénat, qui ne
géra peut-être pas médiocrement embarrassé d'avoir un avis
sur la question), ressusciter officiellement,-sur le papier, faute
de mieux, - la nationalité ruthène. Nous craignons bien, si le
Sénat consent à rendre cetoracle,que les Ruthènes eux-mêmes,
puisque Ruthènes il y a, ne soient pas les moins étonnés de se
voir au monde. A dire le vrai, nous doutons fort qu'ils y aient
jamais été. Naguère, ils étaient Polonais; aujourd'hui, les
voilà Russes ; mais Ruthènes,quand ? Quelle place les Ruthènes
tiennent-ils dans l'histoire? Quel rôle ont-ils jamais joué, en
qualité de Ruthènes, j'entends? Le principe des nationalités
ressemble aux meilleures choses du monde ; il se perd par l'abus
qu'on en fait. Obtenir d'une assemblée politique française, cette
déclaration « que la nationalité ruthène existe, » et qui sait?
peut-être même qu'elle ne périra pas, nous semble juste aussi
sérieux que si le Czar, par un oukase, faisait enseigner demain,
dans tous les collèges de toutes les Russies, que les nationalités
basque et bretonne ne périront pas.
Ed. GOUMY.
LITTÉRATURE ET SCIENCES.
INTRODUCTION A L'ILIADE.
CHAPITRE I. — PREMIERS TRAVAUX DES GRECS.
(Suite et fin.)
Règlement de la récitation des Panathénées. — L'exemplaire athénien.
— Pisistrate, Hipparque, Cynéthus. — Vulgate primitive. — Descrip-
tion des premiers manuscrits complets. — Apologie de Cynétlllls. -
Éditions des villes. — l'Iliade de l'Hélicon. — Les àpxaToci. — Les xa,'
eX'IÕpe:. — Diorthose d'Antimachus. — Diorthose d'Arist te. — Les dias-
cévastes et la diascève. — Homère et les premiers philosophes. — Les
allégoristes. — Les glossographes. — La critique de Platon. — Problè-
mes homériques d'Aristote. — Les È'Ia-,e:,¡xct et les Xw/.ot. — Zoïle.
Aux éditions des villes il faut joindre Y Ilia(le de l'Hélicon,
mentionnée dans l 'Aiiecclotttm de Rome1. Cet Anecdotum n'a
par lui-même aucune valeur historique; mais les vers qui y
sont transcrits comme tirés de l'Iliade de l'Hélicon sont em-
pruntés à des ouvrages d'écrivains célèbres : Cratès, Nicanor,
Aristoxène. Suivant Cratès et Nicanor, voici quel était le pre-
mier vers de l' Iliade de l'IIéli,-o?z :
Suivant Arisloxèno, ou, pour parler exactement, suivant des
auteurs (xktgc 'twcq;) qu'avait consultés Aristoxène, l' Iliade de
l Hélicon commençait par ces trois vers, qui remplaçaient les
neuf premiers vers du préambule connu :
Il n est pas fort merveilleux qu'on eût jadis des exemplaires
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cet Anecdotum. Nous donnons tout ce que le livre contient de plus inte?
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