Titre : Bravo : tous les spectacles / directeur : Jacques Théry ; rédacteur en chef : André Lang
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1931-01-01
Contributeur : Théry, Jacques (1881-1970). Directeur de publication
Contributeur : Lang, André (1893-1986). Directeur de publication
Contributeur : Manue, Georges R. (1901-1980). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32715822s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1931 01 janvier 1931
Description : 1931/01/01 (N25). 1931/01/01 (N25).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9792824
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-15890
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/03/2015
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En 1799, à Paris, le général
Bonaparte faisait son coup
d’Etat ; à Tours naissait
Honoré de Balzac ; à Saint-
Pétersbourg Sophie Rostop-
ehine venait au monde.
Le parrain de cette petite fille
fut l’Empereur fou, ce Paul I"
qui fut assassiné par quelques-
uns de ses meilleurs amis.
Son père était un* général qui
avait connu la Grande Catherine,
puis avait été ministre des Affaires
Etrangères de Paul-le-fou, puis
gouverneur de Moscou.
Pour retracer la vie de cette
petite fille, ’ il suffit de relire
Les Malheurs de Sophie qui sont
son autobiographie. Ce qu’elle ne
raconte pas, c’est que, quand son
père, le général Rostopchine, donna
l’ordre de (brûler Moscou (elle
allait avoir treize ans), il fit cher
cher sa femme et ses enfants pour
qu’ils sortent de Moscou en flam
mes. Elle mangeait des gâteaux
qu’elle adorait. De peur qu’on ne
les lui prît, elle les cacha derrière
son dos et elle avait beaucoup plus
peur de perdre ses gâteaux que de
l’incendie formidable de la grande
ville et de l’émotion de son père et
de ceux qui l’entouraient.
A dix-huit ans, elle vint à Paris.
Ce grand voyage lui laissa un sou
venir ineffaçable. Elle en raconta
les épisodes dans Le général Dou
rakine qui, par beaucoup de traits,
est un portrait de son père, violent,
emporté et bon en même temps. A
Paris, elle s’amusa beaucoup. Elle
allait au théâtre plusieurs fois par
semaine, elle dansait, elle allait
regarder les merveilleuses bouti
ques. Quand elle sortait avec son
père, celui-ci s’inquiétait de savoir
quel objet, tout-à-coup, faisait
arrêter la jeune fille. Puis, tous
deux poursuivaient leur route ;
mais, le soir, elle trouvait dans sa
chambre l’objet désiré !
■ ■ ■
Elle se maria à vingt ans avec un
gentilhomme français, Eugène de
Ségur, dont le grand-père était de
l’Académie Française.
Son père, le général, est furieux,
car il n’aime pas beaucoup les
Français qui l’ont obligé à brûler
Moscou.
(Photo
van
BENNEKOMj
La nouvelle comtesse de Ségur
va s’installer à la campagne, en
Normandie, au Château des Nouet-
tes, qu’elle ne quittera qu’à sa
mort.
Elle a des enfants, beaucoup
d’enfants. Elle tombe malade. Pen
dant treize ans elle reste couchée.
Elle conservait sa gaieté et, comme
elle ne pouvait plus faire jouer ses
enfants, elle leur racontait des
Frontispice pour la première édition illustrée
de « Pauvre Biaise ».
La Comtesse de SEGUR,
née Rostopcliine.
W A gloire des grands écrivains
est fragile, l’oubli vient par
fois ensevelir la renommée de ceux
qui furent fêtés, aimés, célèbres. H
y a l’étape de la statue, l’étape du
domaine public, c’est-à-dire l’épo
que où leurs œuvres appartiennent
à tout le monde, véritable critérium
de l’immortalité. Si on néglige de
leur élever une statue, de rééditer
les œuvres, l’oubli, bientôt, s’empa
rera de leur nom.
C’est cette année que l’œuvre de
la Comtesse de Ségur tombe dans
le domaine public. Des éditions
innombrables paraissent. Notre
amie d’enfance, notre vieille amie
des jours de l’an, où l’on nous
faisait des cadeaux, est entrée dans
l'immortalité : elle a sa statue, ses
œuvres sont réimprimées, repu
bliées, relancées.
■ ■ ■
Les enfants, devenus grands,
sont ingrats. Ils ont ri ou pleuré en
lisant Les Malheurs de Sophie, les
Mémoires d’un Ane et personne,
parmi toute cette foule de lecteurs,
n’a songé à retracer la vie de cette
comtesse de Ségur qui a diverti
leurs premières années.
tard...
Mais, à ce moment, elle ne songe
qu’à peindre des paysages, des
marines.
Elle est enfin guérie. Elle va à
Rome, mais revient vite aux
Nouettes, où elle écrit beaucoup de
lettres à sa fille, à ses fils, dont l’un
est devenu évêque. Les autres se
marient. Elle est grand’mère. Ses
petits-enfants viennent passer les
W
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.■ÆXy:.'
Page d’un manuscrit de la Comtesse de SEGUR.
vacances au Château des Nouettes.
On joue au billard. M’°” de Ségur,
qui adore le billard, est toujours
battue. Puis on va se promener
dans les bois, on va à la pêche, on
attelle des ânes et, le soir, à la
tombée de la nuit, M 1 "'’ de Ségur
raconte des histoires, encore des
histoires qui n’en finissent plus.
Et puis les petits-enfants s’éloi
gnent ; ils regrettent les merveil
leuses inventions de leur grand’-
mère.
Un jour un écrivain, le plus
célèbre alors, Eugène Sue, l’auteur
des Mystères de Paris, de la Sala
mandre, vient aux Nouettes. Il a
entendu sa vieille amie raconter
ses souvenirs à ses petits-enfants.
Lui aussi aime beaucoup les his
toires. Il compose, près d’elle, Le
Juif Errant. Alors il lui conseille
de rédiger ses récits. H insiste. Elle
se met au travail.
Elle devient une femme de
lettres.
Les livres ont un succès formi
dable : en quelques années on vend
70.000 exemplaires des Mémoires
d’un Ane ; on traduit tous ses
ouvrages dans toutes les langues.
Et, devant ce succès, elle con
tinue. Elle travaille toute la jour
née. Elle raconte infatigablement.
Elle se donne beaucoup de mal.
Tous les petits enfants lisent ses
livres avec un enthousiasme débor
dant. Un jour, où elle passe dans la
rue pendant un court séjour à
Paris, un petit garçon se précipite
à sa rencontre, retire son béret et
lui dit : « Madame, est-ce vrai que
vous êtes Madame de Ségur ? »
—* C’est vrai, oui, mon petit !
—- Alors, est-ce que je peux
vous embrasser ?
• ■■■
En 1930, une cinquantaine d’an
nées après sa mort, M m * de Ségur
est restée, pour les enfants, une
étonnante grand’mère. Malgré les
rides de ses lèvres, malgré la mode
du progrès mécanique, malgré tant
de bouleversements, ses contes ont
gardé leur fraîcheur et leur gaieté.
Est-ce ainsi que vieillissent les
immortelles % La comtesse de
Ségur, née Rostopchine, vivra
encore longtemps dans le souvenir
des hommes, car elle a choisi la
meilleure part : la mémoire des
enfants.
Illustration de l’époque
pour « Quel Amour d’enfant ! »
Ses livres, pour beaucoup, accom
pagnent le souvenir des souliers de
Noël et des cadeaux du Jour de
l’An. Le nom de la comtesse de
Ségur amène sur toutes les lèvres
un sourire et, dans l’esprit, le sou
venir de joies et de fêtes.
Sa mémoire ne peut dispa- (
raître, puisqu’elle est entourée de
la reconnaissance de millions
d’enfants.
Philippe SOUPAULT.
BENNEKOM.)
Le général Comte ROSTOPCHINE, père de la
Comtesse de Ségur, plus connu sous le nom
du « général Dourakine ».
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AMIE.
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ÎTIAS fT.llo ■mQno’ûoif ri nc< ne a foa nv
En 1799, à Paris, le général
Bonaparte faisait son coup
d’Etat ; à Tours naissait
Honoré de Balzac ; à Saint-
Pétersbourg Sophie Rostop-
ehine venait au monde.
Le parrain de cette petite fille
fut l’Empereur fou, ce Paul I"
qui fut assassiné par quelques-
uns de ses meilleurs amis.
Son père était un* général qui
avait connu la Grande Catherine,
puis avait été ministre des Affaires
Etrangères de Paul-le-fou, puis
gouverneur de Moscou.
Pour retracer la vie de cette
petite fille, ’ il suffit de relire
Les Malheurs de Sophie qui sont
son autobiographie. Ce qu’elle ne
raconte pas, c’est que, quand son
père, le général Rostopchine, donna
l’ordre de (brûler Moscou (elle
allait avoir treize ans), il fit cher
cher sa femme et ses enfants pour
qu’ils sortent de Moscou en flam
mes. Elle mangeait des gâteaux
qu’elle adorait. De peur qu’on ne
les lui prît, elle les cacha derrière
son dos et elle avait beaucoup plus
peur de perdre ses gâteaux que de
l’incendie formidable de la grande
ville et de l’émotion de son père et
de ceux qui l’entouraient.
A dix-huit ans, elle vint à Paris.
Ce grand voyage lui laissa un sou
venir ineffaçable. Elle en raconta
les épisodes dans Le général Dou
rakine qui, par beaucoup de traits,
est un portrait de son père, violent,
emporté et bon en même temps. A
Paris, elle s’amusa beaucoup. Elle
allait au théâtre plusieurs fois par
semaine, elle dansait, elle allait
regarder les merveilleuses bouti
ques. Quand elle sortait avec son
père, celui-ci s’inquiétait de savoir
quel objet, tout-à-coup, faisait
arrêter la jeune fille. Puis, tous
deux poursuivaient leur route ;
mais, le soir, elle trouvait dans sa
chambre l’objet désiré !
■ ■ ■
Elle se maria à vingt ans avec un
gentilhomme français, Eugène de
Ségur, dont le grand-père était de
l’Académie Française.
Son père, le général, est furieux,
car il n’aime pas beaucoup les
Français qui l’ont obligé à brûler
Moscou.
(Photo
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La nouvelle comtesse de Ségur
va s’installer à la campagne, en
Normandie, au Château des Nouet-
tes, qu’elle ne quittera qu’à sa
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Elle a des enfants, beaucoup
d’enfants. Elle tombe malade. Pen
dant treize ans elle reste couchée.
Elle conservait sa gaieté et, comme
elle ne pouvait plus faire jouer ses
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Frontispice pour la première édition illustrée
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La Comtesse de SEGUR,
née Rostopcliine.
W A gloire des grands écrivains
est fragile, l’oubli vient par
fois ensevelir la renommée de ceux
qui furent fêtés, aimés, célèbres. H
y a l’étape de la statue, l’étape du
domaine public, c’est-à-dire l’épo
que où leurs œuvres appartiennent
à tout le monde, véritable critérium
de l’immortalité. Si on néglige de
leur élever une statue, de rééditer
les œuvres, l’oubli, bientôt, s’empa
rera de leur nom.
C’est cette année que l’œuvre de
la Comtesse de Ségur tombe dans
le domaine public. Des éditions
innombrables paraissent. Notre
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l'immortalité : elle a sa statue, ses
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■ ■ ■
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sont ingrats. Ils ont ri ou pleuré en
lisant Les Malheurs de Sophie, les
Mémoires d’un Ane et personne,
parmi toute cette foule de lecteurs,
n’a songé à retracer la vie de cette
comtesse de Ségur qui a diverti
leurs premières années.
tard...
Mais, à ce moment, elle ne songe
qu’à peindre des paysages, des
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Elle est enfin guérie. Elle va à
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Nouettes, où elle écrit beaucoup de
lettres à sa fille, à ses fils, dont l’un
est devenu évêque. Les autres se
marient. Elle est grand’mère. Ses
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On joue au billard. M’°” de Ségur,
qui adore le billard, est toujours
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tombée de la nuit, M 1 "'’ de Ségur
raconte des histoires, encore des
histoires qui n’en finissent plus.
Et puis les petits-enfants s’éloi
gnent ; ils regrettent les merveil
leuses inventions de leur grand’-
mère.
Un jour un écrivain, le plus
célèbre alors, Eugène Sue, l’auteur
des Mystères de Paris, de la Sala
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entendu sa vieille amie raconter
ses souvenirs à ses petits-enfants.
Lui aussi aime beaucoup les his
toires. Il compose, près d’elle, Le
Juif Errant. Alors il lui conseille
de rédiger ses récits. H insiste. Elle
se met au travail.
Elle devient une femme de
lettres.
Les livres ont un succès formi
dable : en quelques années on vend
70.000 exemplaires des Mémoires
d’un Ane ; on traduit tous ses
ouvrages dans toutes les langues.
Et, devant ce succès, elle con
tinue. Elle travaille toute la jour
née. Elle raconte infatigablement.
Elle se donne beaucoup de mal.
Tous les petits enfants lisent ses
livres avec un enthousiasme débor
dant. Un jour, où elle passe dans la
rue pendant un court séjour à
Paris, un petit garçon se précipite
à sa rencontre, retire son béret et
lui dit : « Madame, est-ce vrai que
vous êtes Madame de Ségur ? »
—* C’est vrai, oui, mon petit !
—- Alors, est-ce que je peux
vous embrasser ?
• ■■■
En 1930, une cinquantaine d’an
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est restée, pour les enfants, une
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gardé leur fraîcheur et leur gaieté.
Est-ce ainsi que vieillissent les
immortelles % La comtesse de
Ségur, née Rostopchine, vivra
encore longtemps dans le souvenir
des hommes, car elle a choisi la
meilleure part : la mémoire des
enfants.
Illustration de l’époque
pour « Quel Amour d’enfant ! »
Ses livres, pour beaucoup, accom
pagnent le souvenir des souliers de
Noël et des cadeaux du Jour de
l’An. Le nom de la comtesse de
Ségur amène sur toutes les lèvres
un sourire et, dans l’esprit, le sou
venir de joies et de fêtes.
Sa mémoire ne peut dispa- (
raître, puisqu’elle est entourée de
la reconnaissance de millions
d’enfants.
Philippe SOUPAULT.
BENNEKOM.)
Le général Comte ROSTOPCHINE, père de la
Comtesse de Ségur, plus connu sous le nom
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