Titre : Le Miroir des sports : publication hebdomadaire illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38728672j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1923 01 février 1923
Description : 1923/02/01 (N135,A13). 1923/02/01 (N135,A13).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9790575f
Source : INSEP (Institut National du Sport de l'Expertise et de la Performance), 2013-54014
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
F
LE MIROIR DES SPORTS 79
QUELQUES ANECDOTES SUR LE SPORT ET LES SPORTIFS
FAUT-il. que nous soyons infatués de nous-
mêmes ! Nous prétendons avoir inventé le
sport, alors que nous n'avons même pas
trouvé le mot.
Par exemple, Jï est- certains- engins sportifs
dont nous ne pouvons revendiquer en toute
propriété la paternité.
Je n'en veux pour preuve que le témoignage
Hé Plutaroue. Ouvrez la «Vie des Hommes
Illustres ». Prenez les pages consacrées à la
gloire de Marius qui vainquit les Cimbres
à '%,erceil :
« Les Cimbres étaient si audacieux que,
bien plus pour prouver leur force que par
nécessité, ils se promenaient nus par. des
temps de glace et gravissaient les mon-
tagnes aux neiges éternelles. Arrivés au
sommet, ils s'asseyaient sur leurs bouchers
et se laissaient glisser jusqu'en bas de la
pente sans tenir compte des abîmes et des
précipices, »
... Sans tenir compte des abîmes et des
précipices ! Faisons la part de l'exagéra-
tion : Plutarque est un Méridional par
rapport aux (-'eltes.
Il n'en est pas moins établi, texte en
mains, que l'origine du bobsleigh et de la
hige remonte à une très honorable anti-
quité.
* * *
Chez beaucoup de sportifs américains,-
la passion du bâse-ball l'emporte sur tout.
Les joueurs ne supportent pas d'être privés
quelques semaines de leur sport favori, et
ils délaissent même leurs affaires plutôt
que de renoncer au jeu. Chez les specta-
teurs se manifeste le même engouement
qui dépasse de loin ce que nous voyons en
France sur les terrains de football.
Il y a quelque temps, un jeune Amé-
ricain qui représentait en Rhénanie une
importante maison de New-York, se
trouva dans le cas d'opter entre son avenir
et son goût pour le base-bail.
Pendant une longue période, il avait pu
facilement prendre part à des matches,
car les troupes américaines d'occupation
avaient organisé des équipes qui se ren-
contraient régulièrement, et il était facile,
pour un bon joueur, de prendre place dans
une de ces équipes. Mais le jour vint où les
soldats américains ayant presque tous rejoint
leur pays, le base-bail dut être abandonné...
faute de joueurs. -
Privé de sa principale distraction, le jeune
homme fut alors profondément malheureux.
Il travailla sans courage, perdit le goût de
l'effort... et sombra peu à peu dans la mélan-
colie, si bien qu'un jour, n'y tenant plus, il
résolut de retourner aux Etats-Unis.
Il y est aujourd'hui. Certes, il a la satisfac-
tion de pouvoir jouer au base-bail chaque fois
qu'il en éprouve l'envie, mais il a perdu bénévo-
lement une situation très enviable.
On voit que l'amour du jeu peut
devenir, le cas échéant, une extra-
vagante passion.
* # *
On sait que les membres du Foot-
hall Etoile Club de Levallois, sont
appelés familièrement les Jutrengs,
pour la seule raison qu'ils portent
un maillot vert. On sait aussi que
le président de ce club, M. Wolff, est
un courtier très connu à la Bourse de
Paris. Or, l'autre jour, M. Wolff était
au trav-ail. Entendons par là qu'il
se trouvait à la Bourse et criait des
offres de titres :
— J'ai des Rio Tinto à 2.200 !
Qui veut des de Beers à 930 ? Il me
reste cent North Caucasian à 68 !...
.--. Et moi, je" vous prends du
hareng ! fit une voix.
Du hareng ! A ces mots, tous les
court iers se regardèrent,interloqués:
c'était bien la première fois qu'ils
entendaient formuler une telle de-
mande dans le temple de la Finance.
-- Assurément, il y a ici quel-
qu'un qui se croit aux Halles, dit
quelqu'un. Mais on finit par décou-
vrir que l'amateur de harengs n'était
autre que M. Boursault, sportif et
l
courtier. lui aussi, qui avait voulu se divertir
un peu aux frais de M.Wolff, le président du
Football Etoile Club de Levallois.
Depuis, lors, les habitués de la Bourse
appellent volontiers M. Wolff le marchand de
harengs : la plaisanterie a eu du succès...
* » *
A l'époque lointaine où le marquis de Dion
1 construisit son fameux quadricycle à vapeur,
UNE AUDACIEUSE SPORTIVE EN POSITION INSTABLE
Cette jeune fille de Minneapolis, aux État-Unis, s'étant
placée à rune des extrémités du voilier, a été soulevée par
un coup de vent, sans perdre son sang-froid.
qu'il considérait à juste titre comme le dernier
cri du progrès, il se trouva un gentleman d'une
illustre famille pour vouloir acheter l'extraor-
dinaire machine.
Grand scandale ! Les parents du jeune
homme trouvent cette fantaisie ruineuse et,
sans plus attendre, demandent à la justice de
doter le prodigue d'un conseil judiciaire.
Les attendus et les considérants du jugement
imposant le conseil judiciaire, qui, heureuse-
ment, n'eut rien de définitif, valent la peine
d'être rapportés :
« Attendu que X... (ici le nom du client) ne
UNE MANIÈRE ORIGINALE DE FAIRE DU SKI-IUORIKG
Cet enfant amérieain semble très heureux de voir le cheval remplacé par
un ours, dont les larges pattes prennent un solide appui sur la glace.
se contente pas d'entretenir des équipages dont
le luxe pouvait être légitimé par sa situation de
fortune ;
« Attendu qu'il va se livrer à l'acquisition
de voitures mécaniques pour lesquelles il
témoigne une prédilection que l'on pourrait
qualifier d'enfantine, peu admissible chez un
jeune homme normalement pondéré ;
« Attendu aue ces achats constituent une
dilapidation évidente de sa fortune patri-
moniale et qu'ils paraissent suffisants pour
démontrer l'urgence de prendre vis-à-vis
de X... et dans son intérêt, des mesures
conservatoires. »
* * *
Chez les sportifs de la première heure,
l'esprit du club fut toujours extrêmement
puissant . Chacun d'eux restait fidèle à ses
couleurs en toutes circonstances ; il n'y
avait pas de sujet de mécontentement qui
pût le décider à quitter ses camarades et
personne à ses yeux, n'était plus vil que
le sportif trop enclin à changer de club.
Bon nombre de ces pionniers du sport
ont disparu, mais d'autres continuent de
prendre une part active aux efforts de
leurs camarades plus jeunes. Tel est le cas
de Charles Vandeveegaete, l'excellent
arbitre nordiste, qui est, depuis vingt-cinq
ans environ, l'animateur, l'âme même de
l'Union Sportive Tourquennoise.
Un autre dirigeant du même elub,
Fernand Desrousseaux, qui fut, bien avant
Cbayriguès, le gardien de but incontesté
de l'équipe nationale française, Femand
Desrousseaux conserve lui aussi une affec-
tion profondee à son vieux club.
Cette affection a sur Vandeveegaete et
Desrousseaux des effets curieux. Le pre-
mier n'assiste qu'à regret aux matches dis-
putés par ses poulains, et lorsque ceux-ci
sont en difficulté, il détourne les yeux,
tant son émotion est forte.
Quant à Desrousseaux, il est beaucoup
plus impressionnable encore, car il n'a
jamais le courage de paraître sur le terrain
où l'Union Sportive Tourquennoise dis-
pute un match. Durant toute la rencon-
tre, il se tient dans un café des environs,
attendant impatiemment la sortie des pre-
miers spectateurs pour courir aux nouvelles...
Un club qui inspire un tel attachement à ses
dirigeants ne peut péricliter.
- * * ♦
En 1920, un club parisien, l'Union Sportive
Amicale de Clichy, confia son équipe pre-
mière de football aux bons soins de Pierre
Allemane. Ce dernier fut pendant une douzaine
• d'années le meilleur footballeur français. H
prit part à une trentaine de matches interna-
tionaux et commanda lui-même une dizaine
de fois l'équipe française ; bref, Allemane occupa
longtemps une place d honneur
dans la série des grands footballeurs
français.
Or, en 19"20, comme il suivait de
la touche les évolutions de ses élèves,
le match devint extrêmement dis-
puté. Allemane adressa quelques
encouragements aux jeunes gens
qu'il aidait de son conseil, mais plu-
sieurs supporters de l'équipe adverse
le prièrent de se taire.
— Pas tant de cris, s'il vous plaît.
Les joueurs savent bien eux-mêmes
ce qu'ils ont à faire. Ils le savent
sans doute mieux que vous.
— Mieux que moi ? On voit bien
que vous ne savez pas qui je suis.
— Qui êtes-vous donc ?
— Je suis Pierre Allemane.
— Pierre Allemane ? Pierre Alle-
mane ? Connaissons pas...
Il avait suffi de quelques années
pour faire de ce footballeur célèbre
un inconnu ; quelle belle leçon pour
tous les jeunes sportifs qui aspirent
aux honneurs, et quelle belle leçon
aussi pour ceux qui font parler
d'eux et peuvent être tentés de
croire que leur règne n'aura point
de :fin ! La gloire sportive est. elle
aussi, bien passagère.
LE MIROIR DES SPORTS 79
QUELQUES ANECDOTES SUR LE SPORT ET LES SPORTIFS
FAUT-il. que nous soyons infatués de nous-
mêmes ! Nous prétendons avoir inventé le
sport, alors que nous n'avons même pas
trouvé le mot.
Par exemple, Jï est- certains- engins sportifs
dont nous ne pouvons revendiquer en toute
propriété la paternité.
Je n'en veux pour preuve que le témoignage
Hé Plutaroue. Ouvrez la «Vie des Hommes
Illustres ». Prenez les pages consacrées à la
gloire de Marius qui vainquit les Cimbres
à '%,erceil :
« Les Cimbres étaient si audacieux que,
bien plus pour prouver leur force que par
nécessité, ils se promenaient nus par. des
temps de glace et gravissaient les mon-
tagnes aux neiges éternelles. Arrivés au
sommet, ils s'asseyaient sur leurs bouchers
et se laissaient glisser jusqu'en bas de la
pente sans tenir compte des abîmes et des
précipices, »
... Sans tenir compte des abîmes et des
précipices ! Faisons la part de l'exagéra-
tion : Plutarque est un Méridional par
rapport aux (-'eltes.
Il n'en est pas moins établi, texte en
mains, que l'origine du bobsleigh et de la
hige remonte à une très honorable anti-
quité.
* * *
Chez beaucoup de sportifs américains,-
la passion du bâse-ball l'emporte sur tout.
Les joueurs ne supportent pas d'être privés
quelques semaines de leur sport favori, et
ils délaissent même leurs affaires plutôt
que de renoncer au jeu. Chez les specta-
teurs se manifeste le même engouement
qui dépasse de loin ce que nous voyons en
France sur les terrains de football.
Il y a quelque temps, un jeune Amé-
ricain qui représentait en Rhénanie une
importante maison de New-York, se
trouva dans le cas d'opter entre son avenir
et son goût pour le base-bail.
Pendant une longue période, il avait pu
facilement prendre part à des matches,
car les troupes américaines d'occupation
avaient organisé des équipes qui se ren-
contraient régulièrement, et il était facile,
pour un bon joueur, de prendre place dans
une de ces équipes. Mais le jour vint où les
soldats américains ayant presque tous rejoint
leur pays, le base-bail dut être abandonné...
faute de joueurs. -
Privé de sa principale distraction, le jeune
homme fut alors profondément malheureux.
Il travailla sans courage, perdit le goût de
l'effort... et sombra peu à peu dans la mélan-
colie, si bien qu'un jour, n'y tenant plus, il
résolut de retourner aux Etats-Unis.
Il y est aujourd'hui. Certes, il a la satisfac-
tion de pouvoir jouer au base-bail chaque fois
qu'il en éprouve l'envie, mais il a perdu bénévo-
lement une situation très enviable.
On voit que l'amour du jeu peut
devenir, le cas échéant, une extra-
vagante passion.
* # *
On sait que les membres du Foot-
hall Etoile Club de Levallois, sont
appelés familièrement les Jutrengs,
pour la seule raison qu'ils portent
un maillot vert. On sait aussi que
le président de ce club, M. Wolff, est
un courtier très connu à la Bourse de
Paris. Or, l'autre jour, M. Wolff était
au trav-ail. Entendons par là qu'il
se trouvait à la Bourse et criait des
offres de titres :
— J'ai des Rio Tinto à 2.200 !
Qui veut des de Beers à 930 ? Il me
reste cent North Caucasian à 68 !...
.--. Et moi, je" vous prends du
hareng ! fit une voix.
Du hareng ! A ces mots, tous les
court iers se regardèrent,interloqués:
c'était bien la première fois qu'ils
entendaient formuler une telle de-
mande dans le temple de la Finance.
-- Assurément, il y a ici quel-
qu'un qui se croit aux Halles, dit
quelqu'un. Mais on finit par décou-
vrir que l'amateur de harengs n'était
autre que M. Boursault, sportif et
l
courtier. lui aussi, qui avait voulu se divertir
un peu aux frais de M.Wolff, le président du
Football Etoile Club de Levallois.
Depuis, lors, les habitués de la Bourse
appellent volontiers M. Wolff le marchand de
harengs : la plaisanterie a eu du succès...
* » *
A l'époque lointaine où le marquis de Dion
1 construisit son fameux quadricycle à vapeur,
UNE AUDACIEUSE SPORTIVE EN POSITION INSTABLE
Cette jeune fille de Minneapolis, aux État-Unis, s'étant
placée à rune des extrémités du voilier, a été soulevée par
un coup de vent, sans perdre son sang-froid.
qu'il considérait à juste titre comme le dernier
cri du progrès, il se trouva un gentleman d'une
illustre famille pour vouloir acheter l'extraor-
dinaire machine.
Grand scandale ! Les parents du jeune
homme trouvent cette fantaisie ruineuse et,
sans plus attendre, demandent à la justice de
doter le prodigue d'un conseil judiciaire.
Les attendus et les considérants du jugement
imposant le conseil judiciaire, qui, heureuse-
ment, n'eut rien de définitif, valent la peine
d'être rapportés :
« Attendu que X... (ici le nom du client) ne
UNE MANIÈRE ORIGINALE DE FAIRE DU SKI-IUORIKG
Cet enfant amérieain semble très heureux de voir le cheval remplacé par
un ours, dont les larges pattes prennent un solide appui sur la glace.
se contente pas d'entretenir des équipages dont
le luxe pouvait être légitimé par sa situation de
fortune ;
« Attendu qu'il va se livrer à l'acquisition
de voitures mécaniques pour lesquelles il
témoigne une prédilection que l'on pourrait
qualifier d'enfantine, peu admissible chez un
jeune homme normalement pondéré ;
« Attendu aue ces achats constituent une
dilapidation évidente de sa fortune patri-
moniale et qu'ils paraissent suffisants pour
démontrer l'urgence de prendre vis-à-vis
de X... et dans son intérêt, des mesures
conservatoires. »
* * *
Chez les sportifs de la première heure,
l'esprit du club fut toujours extrêmement
puissant . Chacun d'eux restait fidèle à ses
couleurs en toutes circonstances ; il n'y
avait pas de sujet de mécontentement qui
pût le décider à quitter ses camarades et
personne à ses yeux, n'était plus vil que
le sportif trop enclin à changer de club.
Bon nombre de ces pionniers du sport
ont disparu, mais d'autres continuent de
prendre une part active aux efforts de
leurs camarades plus jeunes. Tel est le cas
de Charles Vandeveegaete, l'excellent
arbitre nordiste, qui est, depuis vingt-cinq
ans environ, l'animateur, l'âme même de
l'Union Sportive Tourquennoise.
Un autre dirigeant du même elub,
Fernand Desrousseaux, qui fut, bien avant
Cbayriguès, le gardien de but incontesté
de l'équipe nationale française, Femand
Desrousseaux conserve lui aussi une affec-
tion profondee à son vieux club.
Cette affection a sur Vandeveegaete et
Desrousseaux des effets curieux. Le pre-
mier n'assiste qu'à regret aux matches dis-
putés par ses poulains, et lorsque ceux-ci
sont en difficulté, il détourne les yeux,
tant son émotion est forte.
Quant à Desrousseaux, il est beaucoup
plus impressionnable encore, car il n'a
jamais le courage de paraître sur le terrain
où l'Union Sportive Tourquennoise dis-
pute un match. Durant toute la rencon-
tre, il se tient dans un café des environs,
attendant impatiemment la sortie des pre-
miers spectateurs pour courir aux nouvelles...
Un club qui inspire un tel attachement à ses
dirigeants ne peut péricliter.
- * * ♦
En 1920, un club parisien, l'Union Sportive
Amicale de Clichy, confia son équipe pre-
mière de football aux bons soins de Pierre
Allemane. Ce dernier fut pendant une douzaine
• d'années le meilleur footballeur français. H
prit part à une trentaine de matches interna-
tionaux et commanda lui-même une dizaine
de fois l'équipe française ; bref, Allemane occupa
longtemps une place d honneur
dans la série des grands footballeurs
français.
Or, en 19"20, comme il suivait de
la touche les évolutions de ses élèves,
le match devint extrêmement dis-
puté. Allemane adressa quelques
encouragements aux jeunes gens
qu'il aidait de son conseil, mais plu-
sieurs supporters de l'équipe adverse
le prièrent de se taire.
— Pas tant de cris, s'il vous plaît.
Les joueurs savent bien eux-mêmes
ce qu'ils ont à faire. Ils le savent
sans doute mieux que vous.
— Mieux que moi ? On voit bien
que vous ne savez pas qui je suis.
— Qui êtes-vous donc ?
— Je suis Pierre Allemane.
— Pierre Allemane ? Pierre Alle-
mane ? Connaissons pas...
Il avait suffi de quelques années
pour faire de ce footballeur célèbre
un inconnu ; quelle belle leçon pour
tous les jeunes sportifs qui aspirent
aux honneurs, et quelle belle leçon
aussi pour ceux qui font parler
d'eux et peuvent être tentés de
croire que leur règne n'aura point
de :fin ! La gloire sportive est. elle
aussi, bien passagère.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.85%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.85%.
- Collections numériques similaires Fonds régional : Languedoc-Roussillon Fonds régional : Languedoc-Roussillon /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "LangRous1"Collections de Montpellier Méditerranée Métropole Collections de Montpellier Méditerranée Métropole /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "3M000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 15/16
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9790575f/f15.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9790575f/f15.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9790575f/f15.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k9790575f/f15.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9790575f
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9790575f
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k9790575f/f15.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest