Titre : Le Miroir des sports : publication hebdomadaire illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1924-01-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38728672j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 24 janvier 1924 24 janvier 1924
Description : 1924/01/24 (A14,N186). 1924/01/24 (A14,N186).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97905229
Source : INSEP (Institut National du Sport de l'Expertise et de la Performance), 2013-54014
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 31/07/2017
60 LE MIROIR DES SPORTS
UN EXPLOIT SENSATIONNEL DANS LA COUPE D'ANGLETERRE
L'équipe amateur des Corinthians. a battu Blackburn Rovers,
un des meilleurs clubs de la première Ligue Professionnelle.
Londres.
ON peut, je pense, affirmer, sans crainte
d'être contredit, qu'aucune compé-
tition sportive de caractère purement
national n'est aussi connue, aussi suivie,
en dehors des frontières du pays où elle a
lieu, que la Coupe d'Angleterre de Football.
Si, dans sa patrie même, cette épreuve
n'intéresse pas les gens de toutes les classes
sociales et de toutes les professions, comme
le fait, par exemple, le cricket, par contre,
elle présente un attrait supérieur à n'importe
quelle autre manifestation sportive pour
le « grand public » des classes ouvrières et
de la petite bourgeoisie. Ce qui, à vrai dire,
dénote une évolution appréciable, due au
temps et aux circonstances, chez les Anglais.
Car la Coupe d'Angleterre fut fondée en
1871, dix-sept ans avant la formation de
la Ligue Professionnelle,
principalement sur l'ini-
tiative des étudiants, an-
ciens ou présents, d'Ox-
ford et de Cambridge. A
cette époque, les univer-
sitaires représentaient,
infiniment plus que main-
tenant, les hautes classes
sociales du pays.
Depuis 1884, l'épreuve
n'a jamais été gagnée que
par une équipe profes-
sionnelle. Il est juste de
dire cependant, à ce sujet,
que jusqu'à l'année der-
, nière les fameux amateurs
ditsCorinthiansn'avaient
pas pris part à la compé-
tition ; mais, pendant leur
« grande période », ils ont
plusieurs fois écrasé le
gagnant professionnel de
la Coupe. Par exemple,
en 1903, Bury, ayant rem-
porté la finale par 6 à 0,
fut battu par les Corin-
thians, par 10 buts à 3 !
La fameuse compéti-
tion a pris actuellement
une envergure colossale,
puisque des milliers de
clubs la disputent et que
ses éliminatoires prélimi-
naires commencent dès le
mois de septembre. Mais
les grandes équipes pro-
fessionnelles, toutes celles
de première et seconde
divisions, et une douzaine
(sur 44) de celles de
troisième, plus, maintenant, les Corinthians,
sont exemptes jusqu'au premier tour élimina-
toire proprement dit, qui s'est déroulé le
12 janvier et qui réunit en tout 64 partants.
Les rencontres du 12 janvier offraient
un intérêt au moins égal à celui des années
précédentes, et même supérieur, du fait
que les Corinthians, qui débutèrent * dans
la Coupe l'an dernier, se trouvaient cette
fois appelés à affronter justement les fameux
Blackburn Rovers, qui, dans la Coupe, ont
un passé égalé seulement par Aston Villa,
ce qui est un avantage très considérable (si
étrange que cela puisse paraître), comme les
faits le prouvent. Par-dessus le marché, les
Blackburn Rovers, qui ont une équipe bien
soudée, solide dans toutes ses lignes, com-
prenant plusieurs internationaux, n'ont rem-
porté presque que des succès ces temps der-
niers et se trouvent actuellement en pleine
forme et très haut placés dans le classement
de la Ligue. Il s'agissait donc d'une sérieuse
épreuve pour les amateurs, qui n'ont pas
la possibilité de s'entraîner et de jouer
ensemble aussi complètement et aussi souvent
que les professionnels, et qui n'ont qu'une
expérience très limitée des matches de Coupe.
La victoire espérée s'est bien réalisée.
Si les amateurs n ont gagné que par 1 but
à 0, leur triomphe fut bien plus net que le
résultat ne l'indique, car, dans l'ensemble
de la partie, ils se montrèrent nettement plus
effectifs dans presque toutes les lignes, et
avec un peu plus de sang-froid près des buts
(mais aussi quelle épreuve pour les nerfs
qu'un match de Coupe !) leur victoire aurait
pu très bien se traduire par 2 ou 3 buts de
plus, sans que leurs adversaires eussent eu
se plaindre du sort.
Rien de plus intéressant que le contraste
entre le style des amateurs, ou pour mieux
dire des Corinthians, et celui des pros, en
avants surtout. Chez ces derniers, une série
de passes à V homme, parfait contrôle du
ballon, beaucoup de dribbling, mais tout
cela rendant lentes les attaques et permettant
à la défense des amateurs de se replier à
temps. Au contraire, les avants Corinthians
AVANT L'ATTAQUE DU PROFESSIONNEL DE BLACKBURN (à gauche), LE CORDfTHIAN A DÉGAGÉ
\
déplaçaient constamment le jeu, puis leurs
passes, au centre, étaient données bien en
avant, à ras de terre, là où le partenaire allait
se trouver. D'où le peu de nécessité de dribbler
et, surtout, des attaques rapides, laissant
souvent loin en arrière une partie de la
défense adverse. Aussi les Corinthians furent-
ils bien plus souvent réellement dangereux ; et
s'ils avaient montré un peu plus de maîtrise
d'eux-mêmes, ils n'auraient pas manqué de
rentrer deux ou trois autres buts. Leurs
avants, Creek et Hegan surtout, parurent
aussi plus rapides que ceux des pros. Mais
c'est en demis que les amateurs établirent
leur plus nette supériorité ; c'est de là que
leur vint leur si beau triomphe. Les passes
aux avants, de la part des trois hommes,
furent parfaites, à ras de terre, d'une pré-
cision remarquable et juste où elles pouvaient
être reprises facilement en pleine course.
En défense aussi, les demis furent excellents
et meilleurs, comme ligne et individuel-
lement, que ceux d'en face, pourtant parti-
culièrement réputés. Les arrières, dans l'en-
semble, se valurent à peu près ; mais la
façon d'attaquer des Corinthians mit plus
souvent ceux de Blackburn en difficulté,
parce que leurs demis avaient été « semés »
dès l'abord. Les dégagements des arrières
Corinthians trouvèrent presque toujours leurs
avants. Dans les buts, Howard-Baker eut
moins à faire que son vis-à-vis, mais, une
fois au moins, il sauva son camp à merveille,
et ses coups de renvoi, comme toujours,
furent remarquables. Maintenant, il est
juste de dire que, comme jeu de tête et comme
contrôle, aux pieds, du ballon, Blackburn
fut nettement supérieur. Pourtant, le jeu
des Corinthians avait l'air d'être de loin le
plus fin et le plus artistique dans l'ensemble.
C'était un vrai plaisir que de le contempler,
alors que celui des pros nous laissait iroids.
Jusqu'où, dans cette histoire, ira « Corinth »
comme on l'appelle familièrement ici ? »
Personne ne peut le dire. La Coupe réserve
tant de surprises ! Mais on peut affirmer
ceci en tout cas, c'est que cette victoire a
fait plus pour rétablir le football amateur
anglais dans l'estime des
Anglais, qu'aucun autre
événement depuis vingt
ans. Elle fut acquise, non
par des méthodes de
bousculade, ni par des
tactiques déroutantes,
ni par un coup de chance,
mais par une tactique
supérieure, pratiquée par
des joueurs de qualité
supérieure aussi, sur une
des meilleures équipes
professionnelles du mo-
ment, qu'on ne peut vrai-
ment pas accuser, comme
on s'est plu à le faire si
souvent pour amoindrir
le mérite des victoires
des Corinthians, d'avoir
joué sans conviction, en
t baladeurs.
Il est clair, aussi, que,
si les Corinthians
jouaient ensemble aussi
souvent et s'ils pouvaient
s'entraîner aussi soigneu-
sement que les équipes,
professionnelles, il n'y
aurait pas une seule de
ces dernières capable de
les battre régulièrement.
Ce team des Corinthians
est nettement supérieur,
par son entente, au
« onze » amateur d'An-
gleterre. Là-dessus non
plus, il n'y a aucun
doute. Et, depuis l'an
dernier, ils ont progressé
de 20 °L. iustement et
uniquement parce que leur entente, déjà
bonne il y a un an, est devenue beaucoup
meilleure. Je les crois très capables, s'ils le
voulaient, de gagner le tournoi olympique de
Paris ; mais l'occasion, malheureusement, ne
leur en sera sans doute pas offerte. En tout
cas, ils font une impresion autrement émou-
vante que l'équipe de Belgique, qui, pourtant,
triompha à Anvers, en 1920.
Maintenant, il ressort une chose de ce
match : si les Corinthians veulent poursuivre
leurs succès dans la Coupe, ils devront ne
pas gaspiller autant d'excellentes chances
de marquer qu'ils l'ont fait le 12 janvier.
Comme tous sont des jeunes hommes, rapides
à apprendre et à comprendre, leur sang-
froid se rétablira rapidement avec un peu
plus d'expérience de ces sortes de rencontres.
Or ils joueront pour les huitièmes de finale
le 2 février, contre West Bromwich Albion,
sur le terrain de ce dernier. L'épreuve sera
dure. Notez bien que je ne crois pas « Corinth »
capable de se qualifier sans encombre pour la
finale. Au fait, cela importe peu. L'essentiel
est qu'ils aient prouvé que des athlètes racés,
rapides, intelligents, adroits, aient réussi à
tenir en échec des footballeurs de métier.
Personne ne leur contestera le succès sur ce
point. F. M. IIOWARD.
UN EXPLOIT SENSATIONNEL DANS LA COUPE D'ANGLETERRE
L'équipe amateur des Corinthians. a battu Blackburn Rovers,
un des meilleurs clubs de la première Ligue Professionnelle.
Londres.
ON peut, je pense, affirmer, sans crainte
d'être contredit, qu'aucune compé-
tition sportive de caractère purement
national n'est aussi connue, aussi suivie,
en dehors des frontières du pays où elle a
lieu, que la Coupe d'Angleterre de Football.
Si, dans sa patrie même, cette épreuve
n'intéresse pas les gens de toutes les classes
sociales et de toutes les professions, comme
le fait, par exemple, le cricket, par contre,
elle présente un attrait supérieur à n'importe
quelle autre manifestation sportive pour
le « grand public » des classes ouvrières et
de la petite bourgeoisie. Ce qui, à vrai dire,
dénote une évolution appréciable, due au
temps et aux circonstances, chez les Anglais.
Car la Coupe d'Angleterre fut fondée en
1871, dix-sept ans avant la formation de
la Ligue Professionnelle,
principalement sur l'ini-
tiative des étudiants, an-
ciens ou présents, d'Ox-
ford et de Cambridge. A
cette époque, les univer-
sitaires représentaient,
infiniment plus que main-
tenant, les hautes classes
sociales du pays.
Depuis 1884, l'épreuve
n'a jamais été gagnée que
par une équipe profes-
sionnelle. Il est juste de
dire cependant, à ce sujet,
que jusqu'à l'année der-
, nière les fameux amateurs
ditsCorinthiansn'avaient
pas pris part à la compé-
tition ; mais, pendant leur
« grande période », ils ont
plusieurs fois écrasé le
gagnant professionnel de
la Coupe. Par exemple,
en 1903, Bury, ayant rem-
porté la finale par 6 à 0,
fut battu par les Corin-
thians, par 10 buts à 3 !
La fameuse compéti-
tion a pris actuellement
une envergure colossale,
puisque des milliers de
clubs la disputent et que
ses éliminatoires prélimi-
naires commencent dès le
mois de septembre. Mais
les grandes équipes pro-
fessionnelles, toutes celles
de première et seconde
divisions, et une douzaine
(sur 44) de celles de
troisième, plus, maintenant, les Corinthians,
sont exemptes jusqu'au premier tour élimina-
toire proprement dit, qui s'est déroulé le
12 janvier et qui réunit en tout 64 partants.
Les rencontres du 12 janvier offraient
un intérêt au moins égal à celui des années
précédentes, et même supérieur, du fait
que les Corinthians, qui débutèrent * dans
la Coupe l'an dernier, se trouvaient cette
fois appelés à affronter justement les fameux
Blackburn Rovers, qui, dans la Coupe, ont
un passé égalé seulement par Aston Villa,
ce qui est un avantage très considérable (si
étrange que cela puisse paraître), comme les
faits le prouvent. Par-dessus le marché, les
Blackburn Rovers, qui ont une équipe bien
soudée, solide dans toutes ses lignes, com-
prenant plusieurs internationaux, n'ont rem-
porté presque que des succès ces temps der-
niers et se trouvent actuellement en pleine
forme et très haut placés dans le classement
de la Ligue. Il s'agissait donc d'une sérieuse
épreuve pour les amateurs, qui n'ont pas
la possibilité de s'entraîner et de jouer
ensemble aussi complètement et aussi souvent
que les professionnels, et qui n'ont qu'une
expérience très limitée des matches de Coupe.
La victoire espérée s'est bien réalisée.
Si les amateurs n ont gagné que par 1 but
à 0, leur triomphe fut bien plus net que le
résultat ne l'indique, car, dans l'ensemble
de la partie, ils se montrèrent nettement plus
effectifs dans presque toutes les lignes, et
avec un peu plus de sang-froid près des buts
(mais aussi quelle épreuve pour les nerfs
qu'un match de Coupe !) leur victoire aurait
pu très bien se traduire par 2 ou 3 buts de
plus, sans que leurs adversaires eussent eu
se plaindre du sort.
Rien de plus intéressant que le contraste
entre le style des amateurs, ou pour mieux
dire des Corinthians, et celui des pros, en
avants surtout. Chez ces derniers, une série
de passes à V homme, parfait contrôle du
ballon, beaucoup de dribbling, mais tout
cela rendant lentes les attaques et permettant
à la défense des amateurs de se replier à
temps. Au contraire, les avants Corinthians
AVANT L'ATTAQUE DU PROFESSIONNEL DE BLACKBURN (à gauche), LE CORDfTHIAN A DÉGAGÉ
\
déplaçaient constamment le jeu, puis leurs
passes, au centre, étaient données bien en
avant, à ras de terre, là où le partenaire allait
se trouver. D'où le peu de nécessité de dribbler
et, surtout, des attaques rapides, laissant
souvent loin en arrière une partie de la
défense adverse. Aussi les Corinthians furent-
ils bien plus souvent réellement dangereux ; et
s'ils avaient montré un peu plus de maîtrise
d'eux-mêmes, ils n'auraient pas manqué de
rentrer deux ou trois autres buts. Leurs
avants, Creek et Hegan surtout, parurent
aussi plus rapides que ceux des pros. Mais
c'est en demis que les amateurs établirent
leur plus nette supériorité ; c'est de là que
leur vint leur si beau triomphe. Les passes
aux avants, de la part des trois hommes,
furent parfaites, à ras de terre, d'une pré-
cision remarquable et juste où elles pouvaient
être reprises facilement en pleine course.
En défense aussi, les demis furent excellents
et meilleurs, comme ligne et individuel-
lement, que ceux d'en face, pourtant parti-
culièrement réputés. Les arrières, dans l'en-
semble, se valurent à peu près ; mais la
façon d'attaquer des Corinthians mit plus
souvent ceux de Blackburn en difficulté,
parce que leurs demis avaient été « semés »
dès l'abord. Les dégagements des arrières
Corinthians trouvèrent presque toujours leurs
avants. Dans les buts, Howard-Baker eut
moins à faire que son vis-à-vis, mais, une
fois au moins, il sauva son camp à merveille,
et ses coups de renvoi, comme toujours,
furent remarquables. Maintenant, il est
juste de dire que, comme jeu de tête et comme
contrôle, aux pieds, du ballon, Blackburn
fut nettement supérieur. Pourtant, le jeu
des Corinthians avait l'air d'être de loin le
plus fin et le plus artistique dans l'ensemble.
C'était un vrai plaisir que de le contempler,
alors que celui des pros nous laissait iroids.
Jusqu'où, dans cette histoire, ira « Corinth »
comme on l'appelle familièrement ici ? »
Personne ne peut le dire. La Coupe réserve
tant de surprises ! Mais on peut affirmer
ceci en tout cas, c'est que cette victoire a
fait plus pour rétablir le football amateur
anglais dans l'estime des
Anglais, qu'aucun autre
événement depuis vingt
ans. Elle fut acquise, non
par des méthodes de
bousculade, ni par des
tactiques déroutantes,
ni par un coup de chance,
mais par une tactique
supérieure, pratiquée par
des joueurs de qualité
supérieure aussi, sur une
des meilleures équipes
professionnelles du mo-
ment, qu'on ne peut vrai-
ment pas accuser, comme
on s'est plu à le faire si
souvent pour amoindrir
le mérite des victoires
des Corinthians, d'avoir
joué sans conviction, en
t baladeurs.
Il est clair, aussi, que,
si les Corinthians
jouaient ensemble aussi
souvent et s'ils pouvaient
s'entraîner aussi soigneu-
sement que les équipes,
professionnelles, il n'y
aurait pas une seule de
ces dernières capable de
les battre régulièrement.
Ce team des Corinthians
est nettement supérieur,
par son entente, au
« onze » amateur d'An-
gleterre. Là-dessus non
plus, il n'y a aucun
doute. Et, depuis l'an
dernier, ils ont progressé
de 20 °L. iustement et
uniquement parce que leur entente, déjà
bonne il y a un an, est devenue beaucoup
meilleure. Je les crois très capables, s'ils le
voulaient, de gagner le tournoi olympique de
Paris ; mais l'occasion, malheureusement, ne
leur en sera sans doute pas offerte. En tout
cas, ils font une impresion autrement émou-
vante que l'équipe de Belgique, qui, pourtant,
triompha à Anvers, en 1920.
Maintenant, il ressort une chose de ce
match : si les Corinthians veulent poursuivre
leurs succès dans la Coupe, ils devront ne
pas gaspiller autant d'excellentes chances
de marquer qu'ils l'ont fait le 12 janvier.
Comme tous sont des jeunes hommes, rapides
à apprendre et à comprendre, leur sang-
froid se rétablira rapidement avec un peu
plus d'expérience de ces sortes de rencontres.
Or ils joueront pour les huitièmes de finale
le 2 février, contre West Bromwich Albion,
sur le terrain de ce dernier. L'épreuve sera
dure. Notez bien que je ne crois pas « Corinth »
capable de se qualifier sans encombre pour la
finale. Au fait, cela importe peu. L'essentiel
est qu'ils aient prouvé que des athlètes racés,
rapides, intelligents, adroits, aient réussi à
tenir en échec des footballeurs de métier.
Personne ne leur contestera le succès sur ce
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