Titre : Le Miroir des sports : publication hebdomadaire illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1925-10-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38728672j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 21 octobre 1925 21 octobre 1925
Description : 1925/10/21 (N284,A15). 1925/10/21 (N284,A15).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9788488x
Source : INSEP (Institut National du Sport de l'Expertise et de la Performance), 2013-54014
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
308 LE MIROIR DES SPORTS
CE QUE SONT DEVENUS LES ANCIENS CHAMPIONS (1)
IV. — la plupart des vieux nageurs sont restés très fidèles à leur sport favori.
LA natation est, sans contredit, le sport
qui permet le plus longtemps à ses cham-
pions de s'adonner à sa pratique. Les
exemples de vieux champions poursuivant
pendant de très longues années, et quelque-
fois même jusqu'à la cinquantaine, leur car-
rière active, sont fréquents à l'étranger. La
dernière saison du vieux champion britan-
nique Radmilovic, qui, sur la brèche depuis
bientôt vingt ans, a réussi, cette année, à
s'imposer à nouveau, malgré ses quarante ans
passés, comme le meilleur nageur anglais, le
démontre péremptoirement.
Nos vieux champions font preuve, en
France, de la même ténacité, et l'exemple
de l'excellent nageur lillois Désiré Merchez,
sélectionné aux Jeux Olympiques de 1900 et
qui, cette saison même, commandait encore
l'équipe de water-polo des Pupilles de Nep-
tune de Lille, en constitue une preuve.
Le lot de nos anciens champions et de nos
vieux nageurs de premier plan a largement
approvisionné le personnel de nos établisse-
ments et de nos piscines, ce qui est normal.
Certains, tels Meneveux, le vieux cham-
pion de sauvetage ; Meister, longtemps consi-
déré comme notre meilleur sprinter ; PernÓd,
le spécialiste des épreuves maritimes ; Del-
bord, l'ancien champion de plongeons, sont
devenus propriétaires de bains froids ou de
piscines ; d'autres, tels Beulque, le capitaine
des Enfants de Neptune de Tourcoing ; Bon-
net, l'ancien champion toujours sur la brèche ;
Borocco, le vieux pionnier parisien, se sont
vu confier l'exploitation de piscines.
Voici ceux de nos anciens nageurs qui ont
trouvé leur voie dans la natation : Théo
Schreiber, un de nos nageurs des périodes
héroïques et qui s'était spécialisé dans les
séjours sous l'eau, professeur à la Piscine Cha-
zelles, à Paris ; Féret, champion de France des
100 mètres en 1900, professeur à la Piscine
de l'Automobile Club de France, à Paris ;
Hochepied, international de water-polo en
1900, professeur de natation aux Bains Lil-
lois ; Meneveux, international de water-polo
en 1900, propriétaire du Bain des Sports, à
Paris ; Malabre, un de nos premiers cham-
pions professionnels, et Cochu, champion de
France des 100 mètres 1901, professeurs de
natation en banlieue ; Armand Bonnet, le
champion professionnel d'avant-guerre et pour-
tant encore international en 1923, directeur
de la Piscine du Sporting Club de France, à
Paris ; Delbord, champion professionnel de
plongeons avant-guerre, directeur de la Pis-
cine de la Gare, à Paris ; Meister, champion
de France de vitesse de 1907 à 1913, proprié-
taire du Bain de l'Ile-aux-Fagots, à Amiens ;
Beulque, capitaine des Enfants de Neptune
de Tourcoing, directeur de la Piscine Munici-
pale de Tourcoing ; G. Borocco, ancien capi-
taine de Choisy, directeur de la Piscine Miche-
lin, à Clermont-Ferrand ; M. Violas, un des
meilleurs champions professionnels d'avant-
eruerre, Drofesseur à la Piscine OberkamDf. à
Paris ; Ñivet, bon nageur profes-
sionnel d'avant-guerre, propriétaire
du Bain du Louvre, à Paris ; Roldes,
international en 1912, professeur
au Bain des Sports, à Paris ; Pernod.
champion de France 1910*1913,
propriétaire d'un établissement de
bains, à Royan ; Barrière, champion
de France de grand fond 1913, pro-
priétaire d'un bain, à Asnières ;
Pouilley, champion de France 1919
et 1920, professeur au Bain des
Sports, à Paris.
Le sport de la natation, qui ne
s'est, à vrai dire, manifesté en
France qu'aux environs de 1900,
a déjà vu, pourtant, un certain
nombre de ses meilleurs représen-
tants disparaître, soit à la suite de
maladie, comme ce fut le cas de
l'international Jean Martin, d'As-
nières ; de l'excellent gardien de
but Joseph Verlet, du C. A. P.,
(1) Voir les numéros 281, 282 et 283 du
Miroir des Sports.
aussi fameux en natation qu'il l'était en foot-
ball ; de son camarade de club, L. Bilot ; de
l'excellent joueur de polo de Tourcoing, Frézon ;
soit par suite de la guerre, qui ravit à la nata-
tion sportive le Lillois Caby, champion de
France des 400 mètres 1911 et 1912 ; l'excel-
lent petit champion professionnel E. Estrade.
qui s'imposait comme un nageur de toute pre-
mière classe internationale ; le Tourquennois
Wullfaert, international de natation et de
water-polo ; Landry, champion de France des
1.500 mètres 1904-1905 et 1906; Legros, cham-
pion de Paris des 500 mètres 1914 ; Peyrusson,
l'intrépide plongeur professionnel, qui effectua
un plongeon de 31 m. 48 ; Harfort, recordman
de brasse 1912 ; Bredrel, champion de France
BURGESS (à gauche) ET PAULUS EN 1906
des 400 mètres en mer 1911 ; Hanouet, bon
nageur professionnel de grand fond ; Belot
enfin, qui s'était révélé à la veille même de
la guerre et paraissait d'excellente classe.
Parmi nos vieilles gloires actuellement
retraitées, il faut citer au tout premier rang
les deux vaillants pionniers Paulus et Bur-
gess. Le premier se repose à Chenevières ; le
second passe l'été au cap Gris-Nez, où il est
devenu l'entraîneur attitré de tous ceux qui
veulent tenter la traversée de la Manche.
Aux côtés de ces véritables pionniers, il
nous faut citer Paul Vasseur, le meilleur
nageur que la France ait jamais produit et
qui, invincible de 1904 à 1920 et sur toutes
distances, ,vit obscurément à Cannes, où il
se consacre, avec cette belle foi et cette téna-
cité qui lui valurent tant de victoires, à l'édu-
cation physique et morale des enfants et des
UNE ÉQUIPE FRANÇAISE DE SELECTION EN 1912
De g. à dr. : Beulque. P. Vasseur, Roldes, Thorailler, Laflray, Van Laer et Deeoin
jeunes gens confiés en grand nombre à sa garde.
Si certains de nos vieux nageurs se sont
consacrés à l'éducation de la natation, d'autres
ont pris le parti d'en chanter les bienfaits et
d'en plaider la nécessité : Victor Boin, qui,
bien que Belge, remporta le Championnat de
France des 100 mètres, en 1909, à Amiens
(il fut, du reste, disqualifié par la suite), est
un de nos confrères sportifs les plus écoutés
de Belgique ; Henri Decoin, champion de
France des 400 mètres 1911, rédige des chro-
niques sur le sport ; E.-G. Drigny, champion
de France de grand fond 1912, est fidèle col-
laborateur du Miroir des Sports, tandis
qu'André Theuriet, international aux Jeux
de Londres, se consacre à la publicité sportive.
La natation mène à tout, à la députation,
avec l'excellent nageur bônois Abbo, conçue
rent de la Traversée de Paris 1907, comme
à la Comédie-Française avec André Pollack,
un des premiers équipiers de water-polo
du S. C. U. F.
Voici ce que sont devenus la plupart des
anciens nageurs notoires : Bougoin, qui par-
ticipa aux Jeux Olympiques d'Athènes en
1906, tient un bazar à Pantin ; Félix Peutat,
ancien capitaine de la Libellule, représentant
en vins à Ris-Orangis ; son frère, l'excellent
plongeur qui se produisit au Nouveau
Cirque, électricien à Paris ; Jean Martin,
international 1909, garagiste à Verneuil-sur-
Avre ; Renou, champion de France de plon-
geons 1907, 1908, 1909, commerçant au Por-
tugal ; Bill Howeman, champion de France
des 500 mètres 1910, directeur de la maison
de filtres Buhrings, à Londres ; Van Laer, inter-
national 1910, tailleur à Tourcoing ; Sommer,
champion de France et d'Angleterre de brasse,
représentant de commerce à Paris ; Chrétien,
le spécialiste professionnel de grand fond.
fabricant de chapeaux ; Colinet, champion
de Paris de nage sur le dos, garagiste à As-
nières ; Hermant, recordman de brasse 1913,
ambulant dans les P. T. T. ; Momon, inter-
national 1912, banquier à Paris ; Laffray,
international 1909 et capitaine de la Libel-
lule, dans une manufacture de jouets, à
Paris ; Thorailler, international 1910, dirige
une sucrerie et une grande exploitation agri-
cole, à Château-Thierry ; H. Beau, l'excellent
joueur du C. A. P., représentant de tissus à
Paris ; Andrieu, son camarade de club, repré-
sentant de fabrique, à Bruxelles ; H. Clark,
champion de France de plongeons 1913, repré-
sentant en France de la maison Huntley-
Palmer ; Rodier, international 1908, repré-
sentant de commerce à Nancy ; Demessyne.
international 1913, restaurateur à Londres ;
Hussaud, international 1920, tient un
comptoir au Sénégal ; Jouault, international
aux Jeux Interalliés de 1919, comptable aux
Halles ; Bonelli, champion de France des
400 et 1.500 mètres 1913, employé de com-
merce à Monaco ; G. Rigal, international 1909.
négociant en bois ; Bonzom, le premier cham-
pion de France de grand fond, tonnelier à
Bordeaux ; Vielledent, champion
de France de grand fond 1912, in-
dustriel à Marseille ; Prêcheur,
champion de France de plongeons
1912, danseur à l'Opéra ; Marcel
Brun, secrétaire de la vieille Union
Française de Natation, directeur
d'une maison de meubles d'art à
Paris ; Trial, champion de France
militaire 1920, professeur d'éduca-
tion physique à Saint-Nazaire ;
Thibaud, champion de France sco-
laire 1912, lieutenant d'aviation ;
Lebaillif, international 1920, repré-
sentant en extincteurs et secré-
taire de la Fédération Française
de Natation ; Duvanel, champion
de France des 1.500 mètres. 1921,
lieutenant instructeur à l'Ecole
militaire de Joinville ; enfin Char-
les, J' « as» de l'Association Spor-
tive de la Préfecture de Police,
champion de France de sauvetage,
est agent de police à Paris.
(A suivre.)
CE QUE SONT DEVENUS LES ANCIENS CHAMPIONS (1)
IV. — la plupart des vieux nageurs sont restés très fidèles à leur sport favori.
LA natation est, sans contredit, le sport
qui permet le plus longtemps à ses cham-
pions de s'adonner à sa pratique. Les
exemples de vieux champions poursuivant
pendant de très longues années, et quelque-
fois même jusqu'à la cinquantaine, leur car-
rière active, sont fréquents à l'étranger. La
dernière saison du vieux champion britan-
nique Radmilovic, qui, sur la brèche depuis
bientôt vingt ans, a réussi, cette année, à
s'imposer à nouveau, malgré ses quarante ans
passés, comme le meilleur nageur anglais, le
démontre péremptoirement.
Nos vieux champions font preuve, en
France, de la même ténacité, et l'exemple
de l'excellent nageur lillois Désiré Merchez,
sélectionné aux Jeux Olympiques de 1900 et
qui, cette saison même, commandait encore
l'équipe de water-polo des Pupilles de Nep-
tune de Lille, en constitue une preuve.
Le lot de nos anciens champions et de nos
vieux nageurs de premier plan a largement
approvisionné le personnel de nos établisse-
ments et de nos piscines, ce qui est normal.
Certains, tels Meneveux, le vieux cham-
pion de sauvetage ; Meister, longtemps consi-
déré comme notre meilleur sprinter ; PernÓd,
le spécialiste des épreuves maritimes ; Del-
bord, l'ancien champion de plongeons, sont
devenus propriétaires de bains froids ou de
piscines ; d'autres, tels Beulque, le capitaine
des Enfants de Neptune de Tourcoing ; Bon-
net, l'ancien champion toujours sur la brèche ;
Borocco, le vieux pionnier parisien, se sont
vu confier l'exploitation de piscines.
Voici ceux de nos anciens nageurs qui ont
trouvé leur voie dans la natation : Théo
Schreiber, un de nos nageurs des périodes
héroïques et qui s'était spécialisé dans les
séjours sous l'eau, professeur à la Piscine Cha-
zelles, à Paris ; Féret, champion de France des
100 mètres en 1900, professeur à la Piscine
de l'Automobile Club de France, à Paris ;
Hochepied, international de water-polo en
1900, professeur de natation aux Bains Lil-
lois ; Meneveux, international de water-polo
en 1900, propriétaire du Bain des Sports, à
Paris ; Malabre, un de nos premiers cham-
pions professionnels, et Cochu, champion de
France des 100 mètres 1901, professeurs de
natation en banlieue ; Armand Bonnet, le
champion professionnel d'avant-guerre et pour-
tant encore international en 1923, directeur
de la Piscine du Sporting Club de France, à
Paris ; Delbord, champion professionnel de
plongeons avant-guerre, directeur de la Pis-
cine de la Gare, à Paris ; Meister, champion
de France de vitesse de 1907 à 1913, proprié-
taire du Bain de l'Ile-aux-Fagots, à Amiens ;
Beulque, capitaine des Enfants de Neptune
de Tourcoing, directeur de la Piscine Munici-
pale de Tourcoing ; G. Borocco, ancien capi-
taine de Choisy, directeur de la Piscine Miche-
lin, à Clermont-Ferrand ; M. Violas, un des
meilleurs champions professionnels d'avant-
eruerre, Drofesseur à la Piscine OberkamDf. à
Paris ; Ñivet, bon nageur profes-
sionnel d'avant-guerre, propriétaire
du Bain du Louvre, à Paris ; Roldes,
international en 1912, professeur
au Bain des Sports, à Paris ; Pernod.
champion de France 1910*1913,
propriétaire d'un établissement de
bains, à Royan ; Barrière, champion
de France de grand fond 1913, pro-
priétaire d'un bain, à Asnières ;
Pouilley, champion de France 1919
et 1920, professeur au Bain des
Sports, à Paris.
Le sport de la natation, qui ne
s'est, à vrai dire, manifesté en
France qu'aux environs de 1900,
a déjà vu, pourtant, un certain
nombre de ses meilleurs représen-
tants disparaître, soit à la suite de
maladie, comme ce fut le cas de
l'international Jean Martin, d'As-
nières ; de l'excellent gardien de
but Joseph Verlet, du C. A. P.,
(1) Voir les numéros 281, 282 et 283 du
Miroir des Sports.
aussi fameux en natation qu'il l'était en foot-
ball ; de son camarade de club, L. Bilot ; de
l'excellent joueur de polo de Tourcoing, Frézon ;
soit par suite de la guerre, qui ravit à la nata-
tion sportive le Lillois Caby, champion de
France des 400 mètres 1911 et 1912 ; l'excel-
lent petit champion professionnel E. Estrade.
qui s'imposait comme un nageur de toute pre-
mière classe internationale ; le Tourquennois
Wullfaert, international de natation et de
water-polo ; Landry, champion de France des
1.500 mètres 1904-1905 et 1906; Legros, cham-
pion de Paris des 500 mètres 1914 ; Peyrusson,
l'intrépide plongeur professionnel, qui effectua
un plongeon de 31 m. 48 ; Harfort, recordman
de brasse 1912 ; Bredrel, champion de France
BURGESS (à gauche) ET PAULUS EN 1906
des 400 mètres en mer 1911 ; Hanouet, bon
nageur professionnel de grand fond ; Belot
enfin, qui s'était révélé à la veille même de
la guerre et paraissait d'excellente classe.
Parmi nos vieilles gloires actuellement
retraitées, il faut citer au tout premier rang
les deux vaillants pionniers Paulus et Bur-
gess. Le premier se repose à Chenevières ; le
second passe l'été au cap Gris-Nez, où il est
devenu l'entraîneur attitré de tous ceux qui
veulent tenter la traversée de la Manche.
Aux côtés de ces véritables pionniers, il
nous faut citer Paul Vasseur, le meilleur
nageur que la France ait jamais produit et
qui, invincible de 1904 à 1920 et sur toutes
distances, ,vit obscurément à Cannes, où il
se consacre, avec cette belle foi et cette téna-
cité qui lui valurent tant de victoires, à l'édu-
cation physique et morale des enfants et des
UNE ÉQUIPE FRANÇAISE DE SELECTION EN 1912
De g. à dr. : Beulque. P. Vasseur, Roldes, Thorailler, Laflray, Van Laer et Deeoin
jeunes gens confiés en grand nombre à sa garde.
Si certains de nos vieux nageurs se sont
consacrés à l'éducation de la natation, d'autres
ont pris le parti d'en chanter les bienfaits et
d'en plaider la nécessité : Victor Boin, qui,
bien que Belge, remporta le Championnat de
France des 100 mètres, en 1909, à Amiens
(il fut, du reste, disqualifié par la suite), est
un de nos confrères sportifs les plus écoutés
de Belgique ; Henri Decoin, champion de
France des 400 mètres 1911, rédige des chro-
niques sur le sport ; E.-G. Drigny, champion
de France de grand fond 1912, est fidèle col-
laborateur du Miroir des Sports, tandis
qu'André Theuriet, international aux Jeux
de Londres, se consacre à la publicité sportive.
La natation mène à tout, à la députation,
avec l'excellent nageur bônois Abbo, conçue
rent de la Traversée de Paris 1907, comme
à la Comédie-Française avec André Pollack,
un des premiers équipiers de water-polo
du S. C. U. F.
Voici ce que sont devenus la plupart des
anciens nageurs notoires : Bougoin, qui par-
ticipa aux Jeux Olympiques d'Athènes en
1906, tient un bazar à Pantin ; Félix Peutat,
ancien capitaine de la Libellule, représentant
en vins à Ris-Orangis ; son frère, l'excellent
plongeur qui se produisit au Nouveau
Cirque, électricien à Paris ; Jean Martin,
international 1909, garagiste à Verneuil-sur-
Avre ; Renou, champion de France de plon-
geons 1907, 1908, 1909, commerçant au Por-
tugal ; Bill Howeman, champion de France
des 500 mètres 1910, directeur de la maison
de filtres Buhrings, à Londres ; Van Laer, inter-
national 1910, tailleur à Tourcoing ; Sommer,
champion de France et d'Angleterre de brasse,
représentant de commerce à Paris ; Chrétien,
le spécialiste professionnel de grand fond.
fabricant de chapeaux ; Colinet, champion
de Paris de nage sur le dos, garagiste à As-
nières ; Hermant, recordman de brasse 1913,
ambulant dans les P. T. T. ; Momon, inter-
national 1912, banquier à Paris ; Laffray,
international 1909 et capitaine de la Libel-
lule, dans une manufacture de jouets, à
Paris ; Thorailler, international 1910, dirige
une sucrerie et une grande exploitation agri-
cole, à Château-Thierry ; H. Beau, l'excellent
joueur du C. A. P., représentant de tissus à
Paris ; Andrieu, son camarade de club, repré-
sentant de fabrique, à Bruxelles ; H. Clark,
champion de France de plongeons 1913, repré-
sentant en France de la maison Huntley-
Palmer ; Rodier, international 1908, repré-
sentant de commerce à Nancy ; Demessyne.
international 1913, restaurateur à Londres ;
Hussaud, international 1920, tient un
comptoir au Sénégal ; Jouault, international
aux Jeux Interalliés de 1919, comptable aux
Halles ; Bonelli, champion de France des
400 et 1.500 mètres 1913, employé de com-
merce à Monaco ; G. Rigal, international 1909.
négociant en bois ; Bonzom, le premier cham-
pion de France de grand fond, tonnelier à
Bordeaux ; Vielledent, champion
de France de grand fond 1912, in-
dustriel à Marseille ; Prêcheur,
champion de France de plongeons
1912, danseur à l'Opéra ; Marcel
Brun, secrétaire de la vieille Union
Française de Natation, directeur
d'une maison de meubles d'art à
Paris ; Trial, champion de France
militaire 1920, professeur d'éduca-
tion physique à Saint-Nazaire ;
Thibaud, champion de France sco-
laire 1912, lieutenant d'aviation ;
Lebaillif, international 1920, repré-
sentant en extincteurs et secré-
taire de la Fédération Française
de Natation ; Duvanel, champion
de France des 1.500 mètres. 1921,
lieutenant instructeur à l'Ecole
militaire de Joinville ; enfin Char-
les, J' « as» de l'Association Spor-
tive de la Préfecture de Police,
champion de France de sauvetage,
est agent de police à Paris.
(A suivre.)
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.65%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.65%.

×
GallicaPix est une expérimentation d'indexation hybride de différentes collections de Gallica à contenu iconographique. Les illustrations y sont indexées selon les modalités habituelles de Gallica mais aussi selon des critères (type d'illustration, objets détectés dans l'illustration, couleurs, etc.) obtenus par l'application de techniques d'intelligence artificielle. Obtenir plus d'information sur GallicaPix
- Collections numériques similaires Musée national du sport. Musée national du sport. /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MnS000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 4/15
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9788488x/f4.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9788488x/f4.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9788488x/f4.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k9788488x/f4.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9788488x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9788488x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k9788488x/f4.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest