Titre : La Gazette des eaux : revue générale des établissements de l'Europe
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1879-01-09
Contributeur : Germond de Lavigne, Alfred (1812-1891). Éditeur scientifique
Contributeur : Morice, Gaston (Dr). Éditeur scientifique
Contributeur : Graux, Lucien (1878-1944). Éditeur scientifique
Contributeur : Gardette, Victor (1872-1941). Éditeur scientifique
Contributeur : Cany, Georges (1875-1953). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32780791k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 09 janvier 1879 09 janvier 1879
Description : 1879/01/09 (A22,N1046)-1879/12/25 (A22,N1096). 1879/01/09 (A22,N1046)-1879/12/25 (A22,N1096).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k96817822
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-T43-7
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/05/2016
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- TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LA VINGT-DEUXIÈME ANNÉE
- QUESTIONS GÉNÉRALES.
- MÉLANGES.
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- .......... Page(s) .......... 11
- .......... Page(s) .......... 17
- .......... Page(s) .......... 20
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- .......... Page(s) .......... 26
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- VARIÉTÉS.
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- .......... Page(s) .......... 395
GAZETTE DES EAUX 3A7
ments et qu'elles n'ont jamais été élucidées complètement,
elles seront examinées plus loin et discutées en détail.
Aujourd'hùi, après 35 ans de fonctionnement, l'expérience
est complète et définitive; tous les médecins qui ont été char-
gés successivement du service des eaux, ont été unanimes à
reconnaitre leur efficacité et leurs vertus pour un grand nom-
bre d'affections chroniques.
L'hôpital militaire a été peu à peu agrandi, mais il est
resté, ainsi que cela avait été décidé en 1844, alors qu'il ne
s'agissait que d'essais à entreprendre, et qu'il n'y avait pas
moyen de faire autrement, il est resté, dis-je, une simple
annexe de l'hópital de Miliana, qui lui expédie chaque
matin ses vivres et tout cc qui est nécessaire à son ravitaille-
ment.
Il -est à désirer que dans un avenir procbain, lorsque, par
suite du peuplement, le pays offrira des ressources suffisan-
tes, l'annexe devienne tout à fait indépendante : cela est in-
dispensable -au poìntde vue de la surveillance, du bon fonc-
tionnement et surtout des approvisionnements de l'établisse-
ment.
Je m'occuperai plus loin des améliorations qu'il serait ur-
x gent d'introduire dans les différentes parties du service.
(A stdvre.)
NécrOIOltle.
Nous extrayqns ce qui suit de l'article nécrologique consacra par la
France du Nord à la mémoire du regrettó docteur Perrochaud,
LE Dr PAUL PERROCHAUD.
Le corps medicai de France vient de perdre un de ses
membres les plus honorés dans la personne de M. le docteur
PanI Perrochaud, offìcier de la Légion d'honneur, médecin en
chef des deux hópitaux maritimes de Berck-sur-Mer, öìi il est
décédé le 23 octobre 1879, à l'âge de 63 ans, après une lon-
gue et cruelle maladie qu'un coup de foudre termina presque
subitenient.
Du bicn qu'il a fait les deux hôpitaux de Berck sont le mo-
nument le plus complet. — admirables institutions sorties de
son initiative sans cesse en éveil, de ses travaux si originaux
et des cures exceptionnelles qu'il sut deviner et obtenir par
l'emploi scientifique et rationnel des plus simples agents na-
turels, l'eau de mer, l'air salin, un sol pur et la vie en plein
soleil, secondés par une alimentation simple et fortifianle.
Ce sont là, en effet, les seules armes avec lesquelles il a com-
battu victorieusement ces tristes fléaux de notre civilisation
surmenée, l'anemie, la chlorose, le rachitisme et toutes Ics
affections scrofuleuses.
Il y a 25 ans à peine, ces dunes comptaient dcux habitations,
masures perdues parmiles sables mobiles. Aujourd'hui Berck -
Plage, annexe de Berck-Ville, est une station balnéaire où
des milliers de malades se donnent rendez-vous pour retrou-
ver santé et vigueur. Au grand hópital maritime, l'adminis-
tration générale de l'Assistance publique de Paris a envoyé
prés de 10,000 enfants depuis l'inauguration, en 1869, de
cette bienfaisante institution, et l'établissement fonde sur son
modèle par la familJe des Rothschild en a reçu, traité- et
guéri plus de 500.
C'était done grand deuil à Berck samedi; la population
entière des deux moitiés de cette ville sentait qu'elle venait
de perdre l'auteur de saprospérité toujours grandissante; et
la reconnaissance la réunissait autour de son cercueil.
Les fleurs et les conronnes le couvraient. Un service d'hon-
neur était fait par le corps des douan!ers et par celui, des
pompiers, qui formaient la hai e. Les employés de l'hópital
avaient sollicité, comme un dernier témoignage de respect,
l'honneur de porter de la maison mortuaire jusqu'à la cha-
pelle de cet établissement celui qui avait été si longtemps leur
chef bien-aimé. Le coussin était portée par M. Moleux, pré-
sident du tribunal de Montreuil-sur-Mer. Les coins du poêIc
mortuaire étaient tenus par MM. Lacaux, directeur de l'hó-
pital maritime de Berck; A. Macquet, maire de. Berck; Weyll,
médecin-directeur de l'hópital Nathaniel de Rothschild de
Paris; le docteur Danvin, d'Hesdin; le docteur E. Livois.
doyen des médecins de Boulogne-sur-Mer présents, et le doc-
d'arabesques et de nielles d'une délicatesse infinie. A cette voùte pen.
dait une chaine dorée soutenant une lampe d'or d'un travail merveil-
leux. C'était dans le Mjhrab qu'était déposé le Coran; c'était l'elldroit
furmidable et sacré où le Dieu de l'Islam révélait sa présence, et pour
1equel fut bâtie cette magnifique mosquée, « l'un des plus merveiJleux
monuments du monde ». Le livre sacre qui, d'après M. Maccary,
était entièrement écrit de la main d'Otman, couvert d'or, orné de
perles et de rubis, était fixó par une serrure sur un escabeau de bois
d'aloès, et recouvert d'un tapis de soie. Les pèlerins admis dans ce
* lieu solennel, qui mesure 3 m ètres et demi de diamètre, devaient,
comme à la Kaaba de la Mecque, en faire la tour sept fois à genoux.
On peut remarquer que les dalies du sol sont usées circulairement par
suite de ce frot.tement continue!, et aussi que les plaques de marbre
autrefois ecuJptées qui revêLent six des côtés de l'oclogone sont effa-
cées et polies pour la mème cause.
On a parie du nombre considérable de lumières qui éclairaient la
mosquée; on y employait l *huile et la cire. Selon M. Maccary, on y
comptait 7,425.1ampes, d'autres disent 10,80o, sans compter 28 can-
délabres hérissés de bougiê's, et donL les plus grands, en argentei en
cuivre, étaient placés dans le vestibule du Mihrab. Toutes ces Jampes,
du reste, n'étaient pas habituellement employées; mais cependant,
chaque soir, on enallumait 4,700 pour la prière de YAla'.ema, et elles
dépensaient par an 24,000 livres d'huile. La consommation- en par-
fums d'ambre et d'aloèss'élevait aussi par année à 120 livres.
Nous ne disons rien des diverses distributions intérieures de la
mosquée; des chambres ré:ervéesaux mìnistres du culte et aux ser-
vants du tempie; de la tribune où se disait la prière; de la Maksurah,
enceinte privilégiée, Toisine du vestibule du Mihrab. et où pou-
vaient entrer seuisl'iman et les ulémas; c'est là qu'existait cette ch3irc
magnifique qui; d'après Ambrosia Moralès, n'avait pas d'égale au
monde par la ricbesse du travail et par la nature des matériaux, et
qu'on nommait la silla del rey Almaitsoì, ; elle avait le forme d'un char
avec quatre rou s; elle était conilruite en bois de cèdre, de sandal et
d'aloès, et le calife Allaken avait spécialement permis, IIlaJgré la loi
do Mahomet, qu'on y sculptât des images. Toutes ces distributions
n'existent plus que par le souvenir, et elles ont fait placo aux dispo.
sitions du culte chrétien que nous devons examiner maintcnant.
Lorsque le roi Saint-Ferdinand eut conquis Cordoue, le 29 juin
d'236, la mosquée fut placée sous l'advocation de 1'Assomption de la
Vierge, et purifìée par l'évêque d'Osma. On y trouva les cloches de
la cathédrale de Santiago .en Galice, qu'Almanzollr avait fait apporter
sur les épaules des prisonniers cbréLiens, et le roi les fit reporter à
Santiago par des cnptifs musulmans. Il fallut modjfier le tempie selon
les coutumes du culle. On ferma les extrémités des dix-neuf nefs
ouvertes sur le patio, et qui laissaient voir aux promeneurs le surprc-
nant spectacle de cette rangée de colonnes : une scule resta ouvertc,
celle de la sixième nef, formant l'axe de l'entrée principale et du
Mihrab. Cette ouverture, qu'on surmonta d'un frontispice carré 01\
figurent dans deux niches, flanquées de -colornes en balustre, la Vierge
et l'ange Gabriel, séparés par un vaso de lis, fut rommée la porte de
las Palmas. D'autres portes furent praliquées dans l'enceinle du mo-
numen', et, tout alenar, on employa les dernières rangées des
ments et qu'elles n'ont jamais été élucidées complètement,
elles seront examinées plus loin et discutées en détail.
Aujourd'hùi, après 35 ans de fonctionnement, l'expérience
est complète et définitive; tous les médecins qui ont été char-
gés successivement du service des eaux, ont été unanimes à
reconnaitre leur efficacité et leurs vertus pour un grand nom-
bre d'affections chroniques.
L'hôpital militaire a été peu à peu agrandi, mais il est
resté, ainsi que cela avait été décidé en 1844, alors qu'il ne
s'agissait que d'essais à entreprendre, et qu'il n'y avait pas
moyen de faire autrement, il est resté, dis-je, une simple
annexe de l'hópital de Miliana, qui lui expédie chaque
matin ses vivres et tout cc qui est nécessaire à son ravitaille-
ment.
Il -est à désirer que dans un avenir procbain, lorsque, par
suite du peuplement, le pays offrira des ressources suffisan-
tes, l'annexe devienne tout à fait indépendante : cela est in-
dispensable -au poìntde vue de la surveillance, du bon fonc-
tionnement et surtout des approvisionnements de l'établisse-
ment.
Je m'occuperai plus loin des améliorations qu'il serait ur-
x gent d'introduire dans les différentes parties du service.
(A stdvre.)
NécrOIOltle.
Nous extrayqns ce qui suit de l'article nécrologique consacra par la
France du Nord à la mémoire du regrettó docteur Perrochaud,
LE Dr PAUL PERROCHAUD.
Le corps medicai de France vient de perdre un de ses
membres les plus honorés dans la personne de M. le docteur
PanI Perrochaud, offìcier de la Légion d'honneur, médecin en
chef des deux hópitaux maritimes de Berck-sur-Mer, öìi il est
décédé le 23 octobre 1879, à l'âge de 63 ans, après une lon-
gue et cruelle maladie qu'un coup de foudre termina presque
subitenient.
Du bicn qu'il a fait les deux hôpitaux de Berck sont le mo-
nument le plus complet. — admirables institutions sorties de
son initiative sans cesse en éveil, de ses travaux si originaux
et des cures exceptionnelles qu'il sut deviner et obtenir par
l'emploi scientifique et rationnel des plus simples agents na-
turels, l'eau de mer, l'air salin, un sol pur et la vie en plein
soleil, secondés par une alimentation simple et fortifianle.
Ce sont là, en effet, les seules armes avec lesquelles il a com-
battu victorieusement ces tristes fléaux de notre civilisation
surmenée, l'anemie, la chlorose, le rachitisme et toutes Ics
affections scrofuleuses.
Il y a 25 ans à peine, ces dunes comptaient dcux habitations,
masures perdues parmiles sables mobiles. Aujourd'hui Berck -
Plage, annexe de Berck-Ville, est une station balnéaire où
des milliers de malades se donnent rendez-vous pour retrou-
ver santé et vigueur. Au grand hópital maritime, l'adminis-
tration générale de l'Assistance publique de Paris a envoyé
prés de 10,000 enfants depuis l'inauguration, en 1869, de
cette bienfaisante institution, et l'établissement fonde sur son
modèle par la familJe des Rothschild en a reçu, traité- et
guéri plus de 500.
C'était done grand deuil à Berck samedi; la population
entière des deux moitiés de cette ville sentait qu'elle venait
de perdre l'auteur de saprospérité toujours grandissante; et
la reconnaissance la réunissait autour de son cercueil.
Les fleurs et les conronnes le couvraient. Un service d'hon-
neur était fait par le corps des douan!ers et par celui, des
pompiers, qui formaient la hai e. Les employés de l'hópital
avaient sollicité, comme un dernier témoignage de respect,
l'honneur de porter de la maison mortuaire jusqu'à la cha-
pelle de cet établissement celui qui avait été si longtemps leur
chef bien-aimé. Le coussin était portée par M. Moleux, pré-
sident du tribunal de Montreuil-sur-Mer. Les coins du poêIc
mortuaire étaient tenus par MM. Lacaux, directeur de l'hó-
pital maritime de Berck; A. Macquet, maire de. Berck; Weyll,
médecin-directeur de l'hópital Nathaniel de Rothschild de
Paris; le docteur Danvin, d'Hesdin; le docteur E. Livois.
doyen des médecins de Boulogne-sur-Mer présents, et le doc-
d'arabesques et de nielles d'une délicatesse infinie. A cette voùte pen.
dait une chaine dorée soutenant une lampe d'or d'un travail merveil-
leux. C'était dans le Mjhrab qu'était déposé le Coran; c'était l'elldroit
furmidable et sacré où le Dieu de l'Islam révélait sa présence, et pour
1equel fut bâtie cette magnifique mosquée, « l'un des plus merveiJleux
monuments du monde ». Le livre sacre qui, d'après M. Maccary,
était entièrement écrit de la main d'Otman, couvert d'or, orné de
perles et de rubis, était fixó par une serrure sur un escabeau de bois
d'aloès, et recouvert d'un tapis de soie. Les pèlerins admis dans ce
* lieu solennel, qui mesure 3 m ètres et demi de diamètre, devaient,
comme à la Kaaba de la Mecque, en faire la tour sept fois à genoux.
On peut remarquer que les dalies du sol sont usées circulairement par
suite de ce frot.tement continue!, et aussi que les plaques de marbre
autrefois ecuJptées qui revêLent six des côtés de l'oclogone sont effa-
cées et polies pour la mème cause.
On a parie du nombre considérable de lumières qui éclairaient la
mosquée; on y employait l *huile et la cire. Selon M. Maccary, on y
comptait 7,425.1ampes, d'autres disent 10,80o, sans compter 28 can-
délabres hérissés de bougiê's, et donL les plus grands, en argentei en
cuivre, étaient placés dans le vestibule du Mihrab. Toutes ces Jampes,
du reste, n'étaient pas habituellement employées; mais cependant,
chaque soir, on enallumait 4,700 pour la prière de YAla'.ema, et elles
dépensaient par an 24,000 livres d'huile. La consommation- en par-
fums d'ambre et d'aloèss'élevait aussi par année à 120 livres.
Nous ne disons rien des diverses distributions intérieures de la
mosquée; des chambres ré:ervéesaux mìnistres du culte et aux ser-
vants du tempie; de la tribune où se disait la prière; de la Maksurah,
enceinte privilégiée, Toisine du vestibule du Mihrab. et où pou-
vaient entrer seuisl'iman et les ulémas; c'est là qu'existait cette ch3irc
magnifique qui; d'après Ambrosia Moralès, n'avait pas d'égale au
monde par la ricbesse du travail et par la nature des matériaux, et
qu'on nommait la silla del rey Almaitsoì, ; elle avait le forme d'un char
avec quatre rou s; elle était conilruite en bois de cèdre, de sandal et
d'aloès, et le calife Allaken avait spécialement permis, IIlaJgré la loi
do Mahomet, qu'on y sculptât des images. Toutes ces distributions
n'existent plus que par le souvenir, et elles ont fait placo aux dispo.
sitions du culte chrétien que nous devons examiner maintcnant.
Lorsque le roi Saint-Ferdinand eut conquis Cordoue, le 29 juin
d'236, la mosquée fut placée sous l'advocation de 1'Assomption de la
Vierge, et purifìée par l'évêque d'Osma. On y trouva les cloches de
la cathédrale de Santiago .en Galice, qu'Almanzollr avait fait apporter
sur les épaules des prisonniers cbréLiens, et le roi les fit reporter à
Santiago par des cnptifs musulmans. Il fallut modjfier le tempie selon
les coutumes du culle. On ferma les extrémités des dix-neuf nefs
ouvertes sur le patio, et qui laissaient voir aux promeneurs le surprc-
nant spectacle de cette rangée de colonnes : une scule resta ouvertc,
celle de la sixième nef, formant l'axe de l'entrée principale et du
Mihrab. Cette ouverture, qu'on surmonta d'un frontispice carré 01\
figurent dans deux niches, flanquées de -colornes en balustre, la Vierge
et l'ange Gabriel, séparés par un vaso de lis, fut rommée la porte de
las Palmas. D'autres portes furent praliquées dans l'enceinle du mo-
numen', et, tout alenar, on employa les dernières rangées des
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