Titre : Les Jeunes : courrier de quinzaine du journal "Le Patronage"
Auteur : Fédération sportive et culturelle de France. Auteur du texte
Éditeur : FSCF (Paris)
Date d'édition : 1946-12-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344198366
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 15 décembre 1946 15 décembre 1946
Description : 1946/12/15. 1946/12/15.
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k96696068
Source : Fédération sportive et culturelle de France, 2016-17894
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 04/04/2016
16 DECEMBRE 1946. Le N° : 5 Fr.
Attention !
Une année nouvelle va commencer, et vous ne possédez
pas son calendrier.
Empressez-vous de commander
CELUI DE LA FlDÉ
le pLuà pratique el le moinéi clj&t /
N'achetez pas
la viande cher...
[texte_manquant]
[texte_manquant]
Les « graffiti » — les ins-
criptions murales — sont à
la mode. Et quand les murs
deviennent insuffisants les
trottoirs s'offrent pour les
compléter : ceci au moins est
un progrès sur les temps
d'Herculanum et de Pompéi.
— Votez oui... Votez non...
Un Tel au pouvoir...
Cette semaine ma rue s'or-
ne — si j'ose dire — de pra-
tiques invitations :
— N'achetez pas la viande
cher... Pour faire baisser les
prix, acheteurs faites la grève!
Quelle ménagère refuserait
de souscrire à d'aussi sages
conseils. A mon tour J'ap-
plaudis.
Mais tout aussitôt je pense
à autre chose : je pense que
le boucher n'est pas l'unique
« fournisseur » de l'homme et
que l'homme ne vit pas seule-
ment de viande... ou de pain.
La nourriture matérielle
me conduit à la nourriture
spirituelle et de l'étal du bou-
cher je saute au kiosque à
journaux. 1.1 .
Oh là, que de pauvretés bê-
tes à faire pleurer et, pis en-
core, quel assortiment de poi-
sons de toute espèce : poison
social, poison moral, poison
de l'esprit et poison de l'âme !
Et ça s'achète !
Et qui l'achète ?
Souvent de braves gens ou
qui croient et paraissent tels,
des gens qui trembleraient
d'attraper un rhume et qui
s'intoxiquent chaque matin à
forte dose jusqu'à se tuer, des
gens qui refuseraient de faire
mal à une mouche et qui se
rendent, par cet achat, com-
plices des pires méfaits.
Peut-être vous !
Alors on pousse des cris
d'effroi : « La France baisse...
elle court aux abîmes..., etc. ».
A qui la faute ? C'est très
beau de parler des « crimes
de la plume »...... N'y a-t-il pas
aussi les crimes des lecteurs.
N'achetez pas la viande
cher ; elle baissera de prix...
nous sommes d'accord. Mais
n'achetez pas non plus cette
soi-disant littérature pourrie
et faisandée : on ne l'impri-
mera pas si elle ne trouve pas
preneur.
La force des « méchants »
est surtout faite de la faibles-
se des honnêtes gens, de leur
sottise... et souvent de leur
complicité.
f i
Une rubrique ardue mais indispensable
Celle de la préparation militaire
HORAIRE DES SEANCES
k D'INSTRUCTION
Extrait de la note 3818 du 8 novembre
1946 (aux généraux commandant les
Régions).
Il m'a été rendu compte des condi-
tions parfpis très rigides quant aux
horaires suivant lesquels étaient appli-
quées les obligations d'instruction du
Service prémilitaire.
J'ai l'honneur d'attirer .votre atten-
tion sur cette question particulièrement
importante. x
D'abord, deux faits dominent la ques-
tion :
-7 en premier lieu, la notion d'obli-
gation dont l'importance en durée a
été fixée par la note 2.300 (1) ;
— en second lieu, le fait que les jeu-
nes recrues du S.P. ont à poursuivre
leurs activités civiles pendant leur an-
née d'instruction.
(1) Voir Les Jeunes du 1er août 46.
*
Ensuite, il est -évident que sur le
plan de l'absolu, les obligations se dé-
comptent forcément en journées d'une
durée théorique de 8 heures mais ce
qui importe essentiellement c'est le res-
pect du programme et par lui l'obten-
tion du résultat voulu par le comman-
dement.
La circulaire 2.300 précise que les
commandants d'unités-cadres établis-
sent l'emploi du temps des centres par
périodes mensuelles sous une forme :
— précise quant aux buts à attein-
dre,
— souple quant aux modalités et ho-
raires.
" Cette souplesse doit permettre de si-
tuer, dans la majeure partie des cas,
les séances d'instruction hors des heu-
res normales de travail des intéressés.
L'utilisation dans se but :
— des journées chômées ou de repos,
— des après-midi du samedi,
(Voir suite page 2.)
Le stage créé par la Fédé
portera ses fruits et
LES JEUNES RURAUX
• *
n unignoreront bientôt plus
aucune technique sportive
Le stage de quarante-quatre jeu-
nes ruraux de la J.A.C. dont Bagatelle
a servi de « Centre d'accueil », du
11 novembre au 8 décembre 1946,
constitue dans la petite histoire du
sport français une étape et une évo-
lution.
Une étape parce que, jusqu'ici, les
besoins physiques d'évasion des con-
tingences sur le plan rural n'ont pas
été sérieusement étudiés, sérieuse-
ment approfondis. A ce point de vue,
l'expérience du centre que dirige
Pierre Jacquard marque des dispo-
sitions nouvelles, une entreprise
constructive.
Une évolution parce que, d'autre
part, il semble bien — et les
allocutions de fin de stage l'ont
prouvé — que l'interpénétration
des sportifs de la campagne et des
sportifs de la ville pèche quelque-
fois par manque d'information réci-
proque, de compréhension mutuelle,
de rapports plus intimes.-
Pendant un mois, les stagiaires,
venus en majeure partie du sud de
la France, ont pu compléter leurs
connaissances techniques dans les
diverses branches sportives. Certes,
on a constaté, une fois de plus, que
le football était le sport le plus po-
pulaire, le plus répandu. Mais, qu'il
s'agisse du basket, de la lutte, de
l'athlétisme et, en particulier des
parcours généraux, il est évident que
les élèves ont montré de réelles dis-
positions qu'il s'agissait simplement
de discipliner et de développer.
Le cadre, dont les moniteurs Cre-
pin, Rimbourg, Ballery, Dosjoub,
Fouex, Herry, les frères Lefèvre,
qu'épaulait remarquablement, sur le
plan médical, le docteur Barrier, n'a
pas manqué de dire sa satisfaction
de la tenue générale du stage d'a-
bord, des possibilités sportives et
humaines manifestées par les jacis-
tes, ensuite.
Il convient de noter en passant que
le docteur Barrier a pu, avec le
concours des moniteurs, et spécia-
lement de Rimbourg, donner de très
utiles conseils relatifs à la gymnas-
tiqùe corrective nécessaire : beau-
coup d'épaules droites plus hautes
que l'épaule gauche, beaucoup de
sangles abdominales manquant de
souplesse et d'élasticité recevront,
si les stagiaires savent l'appliquer,
un traitement physique qui s'avèrera
fructueux et qu'il conviendra de sui-
vre de près.
Par ailleurs, il n'est pas inutile de
retenir que les élèves ont exprimé des
qualités de résistance générale qui
ont frappé les responsables et Pierre
Jacquard a tenu à insister sur ce
point. Comme il s'agissait de sujets
de 18 à 25 ans, on peut être con-
vaincu que cette qualité de résis-
tance, jointe à un dynamisme et à
une fraîcheur physiologique inhé-
rente à la vie au grand air menée
par les intéressés, feront de ceux-ci
d'excellents éducateurs, dans la plé-
nitude du ternie, si l'on ajoute qu'au
point de vue esprit toute satisfaction
a été donnée, il faut le répéter.
En résumé, l'expérience de Baga-
telle est à renouveler. Elle s'est mon-
trée concluante. Elle a frappé par
sa nécessité, par son impérieux but :
donner à la jeunesse rurale les
moyens de s'épanouir, de se perfec-
tionner, de rechercher autant et
aussi bien que la jeunesse des cités
à réaliser la notion de l'homme
complet.
Celle-ci fut l'un des objets essen-
tiels du récent congrès fédéral. Le
stage de Bagatelle fut, d'ailleurs, cité
à l'ordre du jour des débats de la
salle d'Hulst. L'essai achevé, il
s'agissait simplement d'en faire ici
le point sur un plan général qui dé-
montre, preuves à l'appui, que la
mission formatrice de l'éducation
physique et sportive n'intéresse pas
qu'une ou plusieurs fédérations,
mais aussi tous les mouvements de
jeunes, quels qu'ils soient, et tous
les jeunes, quel que soit leur idéal.
La saison des sports d'hiver
frappe à la porte...
SKIEURS,
il est temps
de prendre connaissance
u règl meut de votre Championnat
AU MONT REVARD
(2 Février 1947)
AHTICLE lar. — Les épreuves se Pour-
Pont sous les règlements généraux de la
F.S.F. et les règles techniques de la
F .F.S.
ART. 2. — Les épreuves compren-
dront :
une course de descente,
— une course de slalom,
—? une course de fond d'environ 8 km,
— un concours de saut.
ART, 3. — Les 3 premières épreuves
auront un classement distinct pour les
catégories senior et junior. Le concours
de saut est réservé aus seniors seule-
ment.
ART. 4. — Le concours de saut com-
prendra deux épreuves.
ART, 5. — Seuls les vainqueurs seniors
des courses de descente, rôe slalom et de
fond prendront le titre de Champions
fédéraux de descente, de slalom et de
fond de la F.S.F.
De même le vainqueur du concours
de saut.
ART. 6. — Il sera fait un classement
combiné des courses de descente, sla-
lom et fond pour les deux catégories
(senior et junior). Le vainqueur se-
nior prendra le titre de Champion du
combiné de la F.S.F. Le classeraient sera
effectué par application du barème de
la F.S.F.
ART. 7. — Chaque vainqueur des
épreuves, tant en seniors qu'en juniors,
recevra une plaquette de la F.S.F., le
second recevra une breloque.
ART. 8. — Les engagements, accompa-
gnés du montant des droits d'engage-
ment : 30 fr. pour les seniors, 20 fr.
pour les juniors, doivent parvenir
avant le 20 janvier au siège de la Fédé-
ration revêtus du visa de l'Union Dé-
partementale et de la signature du di-
recteur ou président de la société ;
celle-ci impliquant que les engagés sont
aptes physiquement à disputer les
épreuves.
ART. 9. — Les vainqueurs des épreu-
ves :
— descente, slalom, fond, combiné et
saut seniors ;
— descente, slalom, fond et combiné
juniors ;
auront droit ' au remboursement de
leurs frais de déplacement sur la base
des tarifs en vigueur à la date du
championnat et en 3" classe des che-
mins de fer.
Les cumuls ne sont pas autorisés.
ART. 10. — Tous les cas non prévus
dans le présent règlement seront tran-
chés par la Commission Sportive de
France.
UNE IŒl\'CONTlŒ IXTEnl'ÍA'rIOl\'AIÆ
qui devrait coiuiaitre d'autres répétitions :
Ahace-ëuiKNc:
un ImmEnSE SUCCÈS s
L'A.G.R. arrache de justesse
v la victoire
Fritsch Oscar (St-Joseph. de JJlllhullse)
se classe 1er
Une manifestation comme celle qui
s'est déroulée le 17 novembre au Pa-
lais des Fêtes à Strasbourg sera diffi-
cile à égaler tant pour l'excellence du
sport démontré que pour l'organisation
vraiment modèle. Ce fut un grand, un
très grand succès pour l'A.G.H., succès
moral et sportif. Moral en ce sens que
cette démonstration a révélé aux yeux
du grand public la vitalité de notre
mouvement et des capacités qu'on ne
lui accordait guère. Succès sportif par
la victoire sur un adversaire de très
grande classe.
Par ce match l'A.G.R. vient d'attein-
dre dans le monde sportif un prestige
qui la classe parmi les tous premiers
et ce n'est que justice.
Les personnalités officielles étaient
nombreuses à assister à la rencontre.
Elles ont reconnu sans exception que le
spectacle présenté atteignait la perfec-
tion.
La presse de son côté a émis le même
jugement et nous ne pouvons qu'enre-
gistrer avec satisfaction ces avis auto-
risés.
Le match lui-même s'est déroulé mé-
thodiquement sans heurts.
Après les hymnes nationaux et la
présentation des équipes la rencontre
débuta par les anneaux où les Suisses
dominaient légèrement et recueillirent
47 p. contre 46,35 pour l'Alsace. Meil-
leures notes : Briindler et Merkli 9,80,
Fritsch et Schmitt 9,50.
L'équipe de l'A.G.R. rattrapa son re-
tard aux barres parallèles en récoltant
47,05 contre 45,05. Fritsch réalisa 9,90
et Herinann 9,70. Les meilleurs Suisses
furent Merkli 9,60 et Relier 9,40. Les
exercices de l'équipe alsacienne furent
plus difficiles à cet agrès.
Renversement au cheval d'arçons. Les
Suisses, plus homogènes et moins mal-
chanceux, se l'adjugent avec 45,60 con-
tre 43,90 et mènent dans l'ensemble
avec 0,35 p. \,
Suivent les préliminaires où les Al-
saciens font merveille. Leurs exercices
sont tout en souplesse et truffés de
sauts périlleux. Ils l'emportent par
47,85 contre 45,70 et gagnent le match
par cette épreuve, car ils sont dominés
à la barre fixe par 47,90 contre 46,45.
Finalement l'A. G. R. l'emporte par
231,60 contre 231,25 et Fritsch Oscar de
la St-Joseph de Mulhouse se classe pre-
mier avec une avance de 0,10 p. devant
Merkli Heinrich de Wettingen. Ainsi de
bout en bout le résultat final fut in-
certain et tint en haleine les specta-
teurs qui ne s'attendaient certes pas à
voir des exercices d'une telle classe.
Une promotion
cent fois méritée
ID. Francis BOU ET
Vice-Président- de la Fédé
Chevalier de la Légion d'Honneur
A l'annonce de certaines promo-
tions ou nominations, il n'est pas
rare qu'on entende murmurer avec
ironie :
« Ses relations lui auront au
moins servi à quelque chose 1 »
En ce qui concerne M. Francis
Bouet, notre nouveau dignitaire de
la Légion d'Honneur, s'il est permis
de parler de ses relations qui, à vrai
dire, sont innombrables, il convient
d'ajouter qu'il ne les doit qu'à son
extrême affabilité, à ses remarqua-
bles qualités d'organisateur ou de
grand chef social. 4
Mais il convient encore d'écrire
que ce ne sont pas ses relations qui
ont fait du vice-président de la
F.G.S.P.F. et président de l'Union
Régionale d'Anjou un chevalier de
la Légion d'honneur au titre des
sports.
Il ne le doit, ce ruban rouge, qu'à
45 ans de dévouement à la cause de
son club : la Jeune France de Cho- ,
let, à son Union,'à sa « Fédé ».
Sa modestie en souffrirait si nous
énumérions ici tout ce que nous de-
vons au grand réalisateur qu'est M.
Francis Bouet.
Qu'il nous permette simplement
de lui confier ceci :
Son élévation nous vaut une satis-
faction supplémentaire, celle de pen-
ser que le travail, l'intelligence et le
dévouement trouvent quelquefois
leur récompense.
m
Ce dont on pouvait douter parfois.
Tant en basket qu'en ping-pong...
...Les surprises n'ont pas manqué au cours
des derniers -matches de caupes nationales
RESULTATS DES 1/16 DE FINALE (15 DECEMBRE 1946) JUNIORS
201. Tourcoing Sports bat Championnet Sports, 18-17-
202. Avenir Caupenne bat A. Bourbaki Pau, 27-17.
203. Jeune Garde St-Etienne bat Rhône Sportif Lypn, forfait. '
204. C. S. Autun bat E.S.M. La Guillotière, 26-18.
205. Avenir St-Romain, Le Puy bat Fraternelle d'Oullins, 23-9.
206. Avant-Garde Montbéliard bat Jeanne-d'Arc St-Michel, Lyon, forfait.
207. Etoile de èlisson bat Avenir St-Pavin, Le Mans, 21-20.
208. St-Georges Batignolles, Nantes bat Aurore de Vitré, 44-17.
209. Jeanne-d'Arc St-Servan bat Similienne, Nantes, forfait.
210. Rempart Sportif Tours ' bat Etoile N. D. Châteauroux, 23-15.
211. A. S. St-Hyppolite, Paris bat A. S. St-André, Fécamp, 32-29.
212. Jeanne-d'Arc Charleville bat A. S. Guynemer, Neuilly, 33-16.
213. A. S. Lorraine, Nancy bat A. G. de La Motte, Vesoul, 29-8.
214. A. S. Vallières bat Bleus de Bar-le-Duc, 23-20.
215. Orphelinat St-Louis, Paris bat Alerte de Juvisy, 37-10.
216. Jeanne-d'Arc Ménilmontant bat J. Micy, La Chap.-St-Mesmin, 40-21.
RESULTATS DES 1/16 DE FINALE 15 DECEMBRE 1946. (SENIORS)
401. A. S. Lorraine, Nancy bat St-Joseph Strasbourg, 28-23.
402. Rhône Sportif, Lyon bat Avenir Domène, .23-18.
403. Hermine de Nantes bat La Flèche Bordeaux, . 42-24.
406. J. Garde St-Christophe Nantes bat Stade Ch. de Blois, Guingamp, 29-28.
407. Jeanne-d'Arc Asnières bat A.S. St-Rogatien Nantes, 26-11.
408. G.A.S. Chantilly bat Tourcoing Sports, 40-24.
409. Alsace Bagnolet bat Sport. Illkirch-Graffenstaden, 30-23.
410. U.S. St-Th.-d'Aquin Le Havre bat Cadets Bon-Pasteur Paris, 26-25.
411. La Fertonne, F.-Champenoise bat S -Charles Alfortville, 28-15.
412. Championnet Sports bat Etoile S. Gargan-Livry, 34-16.
413. Bayards St-Jean de Poitiers bat Jeunesse Sp. Patronage Issy, 37-32.
414. Jeanne-d'Arc Charleville bat U. S. Charonne Paris, forfait:
415. La Martiale de Limoges bat Cadets St-Etienne Toulouse, 27-23.
416. C. S. Autun bat P. A. C. Roanne, 57-32.
Attention !
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CELUI DE LA FlDÉ
le pLuà pratique el le moinéi clj&t /
N'achetez pas
la viande cher...
[texte_manquant]
[texte_manquant]
Les « graffiti » — les ins-
criptions murales — sont à
la mode. Et quand les murs
deviennent insuffisants les
trottoirs s'offrent pour les
compléter : ceci au moins est
un progrès sur les temps
d'Herculanum et de Pompéi.
— Votez oui... Votez non...
Un Tel au pouvoir...
Cette semaine ma rue s'or-
ne — si j'ose dire — de pra-
tiques invitations :
— N'achetez pas la viande
cher... Pour faire baisser les
prix, acheteurs faites la grève!
Quelle ménagère refuserait
de souscrire à d'aussi sages
conseils. A mon tour J'ap-
plaudis.
Mais tout aussitôt je pense
à autre chose : je pense que
le boucher n'est pas l'unique
« fournisseur » de l'homme et
que l'homme ne vit pas seule-
ment de viande... ou de pain.
La nourriture matérielle
me conduit à la nourriture
spirituelle et de l'étal du bou-
cher je saute au kiosque à
journaux. 1.1 .
Oh là, que de pauvretés bê-
tes à faire pleurer et, pis en-
core, quel assortiment de poi-
sons de toute espèce : poison
social, poison moral, poison
de l'esprit et poison de l'âme !
Et ça s'achète !
Et qui l'achète ?
Souvent de braves gens ou
qui croient et paraissent tels,
des gens qui trembleraient
d'attraper un rhume et qui
s'intoxiquent chaque matin à
forte dose jusqu'à se tuer, des
gens qui refuseraient de faire
mal à une mouche et qui se
rendent, par cet achat, com-
plices des pires méfaits.
Peut-être vous !
Alors on pousse des cris
d'effroi : « La France baisse...
elle court aux abîmes..., etc. ».
A qui la faute ? C'est très
beau de parler des « crimes
de la plume »...... N'y a-t-il pas
aussi les crimes des lecteurs.
N'achetez pas la viande
cher ; elle baissera de prix...
nous sommes d'accord. Mais
n'achetez pas non plus cette
soi-disant littérature pourrie
et faisandée : on ne l'impri-
mera pas si elle ne trouve pas
preneur.
La force des « méchants »
est surtout faite de la faibles-
se des honnêtes gens, de leur
sottise... et souvent de leur
complicité.
f i
Une rubrique ardue mais indispensable
Celle de la préparation militaire
HORAIRE DES SEANCES
k D'INSTRUCTION
Extrait de la note 3818 du 8 novembre
1946 (aux généraux commandant les
Régions).
Il m'a été rendu compte des condi-
tions parfpis très rigides quant aux
horaires suivant lesquels étaient appli-
quées les obligations d'instruction du
Service prémilitaire.
J'ai l'honneur d'attirer .votre atten-
tion sur cette question particulièrement
importante. x
D'abord, deux faits dominent la ques-
tion :
-7 en premier lieu, la notion d'obli-
gation dont l'importance en durée a
été fixée par la note 2.300 (1) ;
— en second lieu, le fait que les jeu-
nes recrues du S.P. ont à poursuivre
leurs activités civiles pendant leur an-
née d'instruction.
(1) Voir Les Jeunes du 1er août 46.
*
Ensuite, il est -évident que sur le
plan de l'absolu, les obligations se dé-
comptent forcément en journées d'une
durée théorique de 8 heures mais ce
qui importe essentiellement c'est le res-
pect du programme et par lui l'obten-
tion du résultat voulu par le comman-
dement.
La circulaire 2.300 précise que les
commandants d'unités-cadres établis-
sent l'emploi du temps des centres par
périodes mensuelles sous une forme :
— précise quant aux buts à attein-
dre,
— souple quant aux modalités et ho-
raires.
" Cette souplesse doit permettre de si-
tuer, dans la majeure partie des cas,
les séances d'instruction hors des heu-
res normales de travail des intéressés.
L'utilisation dans se but :
— des journées chômées ou de repos,
— des après-midi du samedi,
(Voir suite page 2.)
Le stage créé par la Fédé
portera ses fruits et
LES JEUNES RURAUX
• *
n unignoreront bientôt plus
aucune technique sportive
Le stage de quarante-quatre jeu-
nes ruraux de la J.A.C. dont Bagatelle
a servi de « Centre d'accueil », du
11 novembre au 8 décembre 1946,
constitue dans la petite histoire du
sport français une étape et une évo-
lution.
Une étape parce que, jusqu'ici, les
besoins physiques d'évasion des con-
tingences sur le plan rural n'ont pas
été sérieusement étudiés, sérieuse-
ment approfondis. A ce point de vue,
l'expérience du centre que dirige
Pierre Jacquard marque des dispo-
sitions nouvelles, une entreprise
constructive.
Une évolution parce que, d'autre
part, il semble bien — et les
allocutions de fin de stage l'ont
prouvé — que l'interpénétration
des sportifs de la campagne et des
sportifs de la ville pèche quelque-
fois par manque d'information réci-
proque, de compréhension mutuelle,
de rapports plus intimes.-
Pendant un mois, les stagiaires,
venus en majeure partie du sud de
la France, ont pu compléter leurs
connaissances techniques dans les
diverses branches sportives. Certes,
on a constaté, une fois de plus, que
le football était le sport le plus po-
pulaire, le plus répandu. Mais, qu'il
s'agisse du basket, de la lutte, de
l'athlétisme et, en particulier des
parcours généraux, il est évident que
les élèves ont montré de réelles dis-
positions qu'il s'agissait simplement
de discipliner et de développer.
Le cadre, dont les moniteurs Cre-
pin, Rimbourg, Ballery, Dosjoub,
Fouex, Herry, les frères Lefèvre,
qu'épaulait remarquablement, sur le
plan médical, le docteur Barrier, n'a
pas manqué de dire sa satisfaction
de la tenue générale du stage d'a-
bord, des possibilités sportives et
humaines manifestées par les jacis-
tes, ensuite.
Il convient de noter en passant que
le docteur Barrier a pu, avec le
concours des moniteurs, et spécia-
lement de Rimbourg, donner de très
utiles conseils relatifs à la gymnas-
tiqùe corrective nécessaire : beau-
coup d'épaules droites plus hautes
que l'épaule gauche, beaucoup de
sangles abdominales manquant de
souplesse et d'élasticité recevront,
si les stagiaires savent l'appliquer,
un traitement physique qui s'avèrera
fructueux et qu'il conviendra de sui-
vre de près.
Par ailleurs, il n'est pas inutile de
retenir que les élèves ont exprimé des
qualités de résistance générale qui
ont frappé les responsables et Pierre
Jacquard a tenu à insister sur ce
point. Comme il s'agissait de sujets
de 18 à 25 ans, on peut être con-
vaincu que cette qualité de résis-
tance, jointe à un dynamisme et à
une fraîcheur physiologique inhé-
rente à la vie au grand air menée
par les intéressés, feront de ceux-ci
d'excellents éducateurs, dans la plé-
nitude du ternie, si l'on ajoute qu'au
point de vue esprit toute satisfaction
a été donnée, il faut le répéter.
En résumé, l'expérience de Baga-
telle est à renouveler. Elle s'est mon-
trée concluante. Elle a frappé par
sa nécessité, par son impérieux but :
donner à la jeunesse rurale les
moyens de s'épanouir, de se perfec-
tionner, de rechercher autant et
aussi bien que la jeunesse des cités
à réaliser la notion de l'homme
complet.
Celle-ci fut l'un des objets essen-
tiels du récent congrès fédéral. Le
stage de Bagatelle fut, d'ailleurs, cité
à l'ordre du jour des débats de la
salle d'Hulst. L'essai achevé, il
s'agissait simplement d'en faire ici
le point sur un plan général qui dé-
montre, preuves à l'appui, que la
mission formatrice de l'éducation
physique et sportive n'intéresse pas
qu'une ou plusieurs fédérations,
mais aussi tous les mouvements de
jeunes, quels qu'ils soient, et tous
les jeunes, quel que soit leur idéal.
La saison des sports d'hiver
frappe à la porte...
SKIEURS,
il est temps
de prendre connaissance
u règl meut de votre Championnat
AU MONT REVARD
(2 Février 1947)
AHTICLE lar. — Les épreuves se Pour-
Pont sous les règlements généraux de la
F.S.F. et les règles techniques de la
F .F.S.
ART. 2. — Les épreuves compren-
dront :
une course de descente,
— une course de slalom,
—? une course de fond d'environ 8 km,
— un concours de saut.
ART, 3. — Les 3 premières épreuves
auront un classement distinct pour les
catégories senior et junior. Le concours
de saut est réservé aus seniors seule-
ment.
ART. 4. — Le concours de saut com-
prendra deux épreuves.
ART, 5. — Seuls les vainqueurs seniors
des courses de descente, rôe slalom et de
fond prendront le titre de Champions
fédéraux de descente, de slalom et de
fond de la F.S.F.
De même le vainqueur du concours
de saut.
ART. 6. — Il sera fait un classement
combiné des courses de descente, sla-
lom et fond pour les deux catégories
(senior et junior). Le vainqueur se-
nior prendra le titre de Champion du
combiné de la F.S.F. Le classeraient sera
effectué par application du barème de
la F.S.F.
ART. 7. — Chaque vainqueur des
épreuves, tant en seniors qu'en juniors,
recevra une plaquette de la F.S.F., le
second recevra une breloque.
ART. 8. — Les engagements, accompa-
gnés du montant des droits d'engage-
ment : 30 fr. pour les seniors, 20 fr.
pour les juniors, doivent parvenir
avant le 20 janvier au siège de la Fédé-
ration revêtus du visa de l'Union Dé-
partementale et de la signature du di-
recteur ou président de la société ;
celle-ci impliquant que les engagés sont
aptes physiquement à disputer les
épreuves.
ART. 9. — Les vainqueurs des épreu-
ves :
— descente, slalom, fond, combiné et
saut seniors ;
— descente, slalom, fond et combiné
juniors ;
auront droit ' au remboursement de
leurs frais de déplacement sur la base
des tarifs en vigueur à la date du
championnat et en 3" classe des che-
mins de fer.
Les cumuls ne sont pas autorisés.
ART. 10. — Tous les cas non prévus
dans le présent règlement seront tran-
chés par la Commission Sportive de
France.
UNE IŒl\'CONTlŒ IXTEnl'ÍA'rIOl\'AIÆ
qui devrait coiuiaitre d'autres répétitions :
Ahace-ëuiKNc:
un ImmEnSE SUCCÈS s
L'A.G.R. arrache de justesse
v la victoire
Fritsch Oscar (St-Joseph. de JJlllhullse)
se classe 1er
Une manifestation comme celle qui
s'est déroulée le 17 novembre au Pa-
lais des Fêtes à Strasbourg sera diffi-
cile à égaler tant pour l'excellence du
sport démontré que pour l'organisation
vraiment modèle. Ce fut un grand, un
très grand succès pour l'A.G.H., succès
moral et sportif. Moral en ce sens que
cette démonstration a révélé aux yeux
du grand public la vitalité de notre
mouvement et des capacités qu'on ne
lui accordait guère. Succès sportif par
la victoire sur un adversaire de très
grande classe.
Par ce match l'A.G.R. vient d'attein-
dre dans le monde sportif un prestige
qui la classe parmi les tous premiers
et ce n'est que justice.
Les personnalités officielles étaient
nombreuses à assister à la rencontre.
Elles ont reconnu sans exception que le
spectacle présenté atteignait la perfec-
tion.
La presse de son côté a émis le même
jugement et nous ne pouvons qu'enre-
gistrer avec satisfaction ces avis auto-
risés.
Le match lui-même s'est déroulé mé-
thodiquement sans heurts.
Après les hymnes nationaux et la
présentation des équipes la rencontre
débuta par les anneaux où les Suisses
dominaient légèrement et recueillirent
47 p. contre 46,35 pour l'Alsace. Meil-
leures notes : Briindler et Merkli 9,80,
Fritsch et Schmitt 9,50.
L'équipe de l'A.G.R. rattrapa son re-
tard aux barres parallèles en récoltant
47,05 contre 45,05. Fritsch réalisa 9,90
et Herinann 9,70. Les meilleurs Suisses
furent Merkli 9,60 et Relier 9,40. Les
exercices de l'équipe alsacienne furent
plus difficiles à cet agrès.
Renversement au cheval d'arçons. Les
Suisses, plus homogènes et moins mal-
chanceux, se l'adjugent avec 45,60 con-
tre 43,90 et mènent dans l'ensemble
avec 0,35 p. \,
Suivent les préliminaires où les Al-
saciens font merveille. Leurs exercices
sont tout en souplesse et truffés de
sauts périlleux. Ils l'emportent par
47,85 contre 45,70 et gagnent le match
par cette épreuve, car ils sont dominés
à la barre fixe par 47,90 contre 46,45.
Finalement l'A. G. R. l'emporte par
231,60 contre 231,25 et Fritsch Oscar de
la St-Joseph de Mulhouse se classe pre-
mier avec une avance de 0,10 p. devant
Merkli Heinrich de Wettingen. Ainsi de
bout en bout le résultat final fut in-
certain et tint en haleine les specta-
teurs qui ne s'attendaient certes pas à
voir des exercices d'une telle classe.
Une promotion
cent fois méritée
ID. Francis BOU ET
Vice-Président- de la Fédé
Chevalier de la Légion d'Honneur
A l'annonce de certaines promo-
tions ou nominations, il n'est pas
rare qu'on entende murmurer avec
ironie :
« Ses relations lui auront au
moins servi à quelque chose 1 »
En ce qui concerne M. Francis
Bouet, notre nouveau dignitaire de
la Légion d'Honneur, s'il est permis
de parler de ses relations qui, à vrai
dire, sont innombrables, il convient
d'ajouter qu'il ne les doit qu'à son
extrême affabilité, à ses remarqua-
bles qualités d'organisateur ou de
grand chef social. 4
Mais il convient encore d'écrire
que ce ne sont pas ses relations qui
ont fait du vice-président de la
F.G.S.P.F. et président de l'Union
Régionale d'Anjou un chevalier de
la Légion d'honneur au titre des
sports.
Il ne le doit, ce ruban rouge, qu'à
45 ans de dévouement à la cause de
son club : la Jeune France de Cho- ,
let, à son Union,'à sa « Fédé ».
Sa modestie en souffrirait si nous
énumérions ici tout ce que nous de-
vons au grand réalisateur qu'est M.
Francis Bouet.
Qu'il nous permette simplement
de lui confier ceci :
Son élévation nous vaut une satis-
faction supplémentaire, celle de pen-
ser que le travail, l'intelligence et le
dévouement trouvent quelquefois
leur récompense.
m
Ce dont on pouvait douter parfois.
Tant en basket qu'en ping-pong...
...Les surprises n'ont pas manqué au cours
des derniers -matches de caupes nationales
RESULTATS DES 1/16 DE FINALE (15 DECEMBRE 1946) JUNIORS
201. Tourcoing Sports bat Championnet Sports, 18-17-
202. Avenir Caupenne bat A. Bourbaki Pau, 27-17.
203. Jeune Garde St-Etienne bat Rhône Sportif Lypn, forfait. '
204. C. S. Autun bat E.S.M. La Guillotière, 26-18.
205. Avenir St-Romain, Le Puy bat Fraternelle d'Oullins, 23-9.
206. Avant-Garde Montbéliard bat Jeanne-d'Arc St-Michel, Lyon, forfait.
207. Etoile de èlisson bat Avenir St-Pavin, Le Mans, 21-20.
208. St-Georges Batignolles, Nantes bat Aurore de Vitré, 44-17.
209. Jeanne-d'Arc St-Servan bat Similienne, Nantes, forfait.
210. Rempart Sportif Tours ' bat Etoile N. D. Châteauroux, 23-15.
211. A. S. St-Hyppolite, Paris bat A. S. St-André, Fécamp, 32-29.
212. Jeanne-d'Arc Charleville bat A. S. Guynemer, Neuilly, 33-16.
213. A. S. Lorraine, Nancy bat A. G. de La Motte, Vesoul, 29-8.
214. A. S. Vallières bat Bleus de Bar-le-Duc, 23-20.
215. Orphelinat St-Louis, Paris bat Alerte de Juvisy, 37-10.
216. Jeanne-d'Arc Ménilmontant bat J. Micy, La Chap.-St-Mesmin, 40-21.
RESULTATS DES 1/16 DE FINALE 15 DECEMBRE 1946. (SENIORS)
401. A. S. Lorraine, Nancy bat St-Joseph Strasbourg, 28-23.
402. Rhône Sportif, Lyon bat Avenir Domène, .23-18.
403. Hermine de Nantes bat La Flèche Bordeaux, . 42-24.
406. J. Garde St-Christophe Nantes bat Stade Ch. de Blois, Guingamp, 29-28.
407. Jeanne-d'Arc Asnières bat A.S. St-Rogatien Nantes, 26-11.
408. G.A.S. Chantilly bat Tourcoing Sports, 40-24.
409. Alsace Bagnolet bat Sport. Illkirch-Graffenstaden, 30-23.
410. U.S. St-Th.-d'Aquin Le Havre bat Cadets Bon-Pasteur Paris, 26-25.
411. La Fertonne, F.-Champenoise bat S -Charles Alfortville, 28-15.
412. Championnet Sports bat Etoile S. Gargan-Livry, 34-16.
413. Bayards St-Jean de Poitiers bat Jeunesse Sp. Patronage Issy, 37-32.
414. Jeanne-d'Arc Charleville bat U. S. Charonne Paris, forfait:
415. La Martiale de Limoges bat Cadets St-Etienne Toulouse, 27-23.
416. C. S. Autun bat P. A. C. Roanne, 57-32.
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