Titre : Les Jeunes : courrier de quinzaine du journal "Le Patronage"
Auteur : Fédération sportive et culturelle de France. Auteur du texte
Éditeur : FSCF (Paris)
Date d'édition : 1928-06-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344198366
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 24 juin 1928 24 juin 1928
Description : 1928/06/24 (A25,N358). 1928/06/24 (A25,N358).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k96625468
Source : Fédération sportive et culturelle de France, 2016-17894
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 04/04/2016
y \ - 5
444 LES JSUVE9
VERDUN ! !
1
Monsieur Leygues, Ministre de la Marine /
a été désigné par le Gouvernement pour présider la Fête
Ne perdons
aucune occasion...
1. L'ANNUAIRE FEDERAL
La nouvelle édition de l'annuaire
fédéral vient de paraître. Dès cette
semaine, conformément au vœu du
dernier Congrès, nous ferons l'envoi
à chacune de nos sociétés de l'exem-
plaire qui lui est destiné.
Comment pourrais-je ne pas me
préoccuper de l'accueil qui lui sera
fait !
Ne l'exilez pas tout droit vers les
oubliettes de l'armoire aux archives.
C'est un ami qui vous vient, dési-
reux d'être utile et de « servir ».
Il s'offre comme instrument de
travail et agent de liaison.
Découvrez ses aptitudes et em-
ployez-les en vue d'un rôle actif.
Ainsi devons-nous faire de tout auxi-
liaire qui nous arrive.
... Conduit par dame Poste, voici
donc l'annuaire chez vous.
Recevez-le, dès l'abord, avec l'in-
térêt sympathique que mérite tout
document consciencieusement pré-
paré.
Feuilletez sa première partie :
quelle mine de renseignements! Ren-
seignements sur les divers sports que
nous pratiquons, sur nos ententes fé-
dérales, nos services, notre organisa-
" tion... Rien ne vous empêche, si le
cœur vous en dit, d'accompagner
cette inspection d'un murmure flat-
teur : « C'est vraiment une machine
bien montée, notre Fédé! »
Mais, en ouvrant la seconde par-
tie, vos yeux s'illumineront de fierté.
Sur 285 pages, c'est le défilé, en li-
gnes serrées, de nos sociétés affiliées.
Défilé imposant et vivant que n'en-
combre aucune voiture d'ambulan-
ce : on a rejeté impitoyablement les
victimes de la maladie du sommeil.
Il. LE BIENFAIT
DES FAMILLES NOMBREUSES
Mais la fierté serait vaine si elle
n'était un motif de réconfort et un
stimulant pour l'action.
Je le répète encore : notre an-
nuaire est fait pour « servir ».
Qu'il serve notamment à une plus
intime et plus féconde compénétra-
tion de nos patronages.
Liaison ! Liaison ! N'est-ce pas le
conseil qu'il faut donner inlassable-
ment. C'est l'ange de la victoire et
que d'efforts perdus, que de batailles
compromises faute de liaison !
C'est pourquoi je parle sans cesse
« d'esprit fédéral ».
Membres d'une même famille, nos
patronages ne se connaîtront jamais
trop.
Que d'occasions ils laissent échap-
per d'utiliser notre pénétration si
profonde dans les moindres coins de
France : déplacements sportifs, dé-
parts pour le régiment, changements
de résidence de leurs adhérents, co-
lonies de vacances ou vacances indi-
viduelles dans tel ou tel coin de cam-
pagne.
Notre annuaire est le livre d'adres-
ses de la grande famille fédérale.
N'ignorons pas nos cousins.
Et donnons toute sa valeur à la
solidarité familiale.
III. LA MEDAILLE DE VERDUN
Nous en avons dit un mot trop
bref.
Il faut y revenir.
On sait que la Ville de Verdun a
créé, le 20 novembre 1916, une mé-
daille commémorative des eoriibats
livrés dans son secteur. Ce n'est pas
une décoration, mais l'insigne des
« Soldats de Verdun ».
Seuls ont droit à cette médaille les
anciens combattants qui se sont trou-
vés en service commandé entre le 31
juillet 1914 et le 11 novembre 1918
dans le secteur de Verdun, compris
entre l'Argonne et Saint-Miliiel dans
la zone soumise au bombardement
par canon (bombardement par avion
exclu).
Il doit en être justifié à la Corn-.
mission du Livre d'Or chargée de la
vérification (nom, prénom, grade,
n° du régiment, date et lieu de sé-
jour).
Les noms des Soldats de Verdun
sont inscrits sur le Livre d'Or con-
servé par la Ville.
L'inscription est gratuite.
Le prix de la médaille est de sepf
francs.
Un diplôme l'accompagne.
Un ruban rouge, au liséré trico-
lore, supporte la médaille.
Le port permanent du ruban est
interdit. Mais la médaille peut être
portée dans les cérémonies et cor-
tèges.
Cette médaille sera remise devant
nos gymnastes assemblés par M. le
Maire de Verdun.
Nous nous mettons à là" disposition
des sociétés pour centraliser les noms
de ceux qui ont droit à la médaille
et les justifications nécessaires.-
Les réponses devront nous parve-
nir pour le 8 jiiillet.
François IIÉBRARD.
Une machine qui mange
4.000 kilos de charbon
en trois heures
Quand j'arrivai en gare du Nord, du wa-
gon-restaurant de l'a Flèche d'Or émanait
un fumet précieux. Sur le quai, devant les
portes d'accès aux luxueux Pullman, des
petits bancs s'offraient aux pieds des jolies
lemmes qui, ayant bu le porto à l'Opéra,
déjeunent qu-elque part entre Chantilly et
la Manche, et seront à Londres pour
l'heure du thé. ' '
De par l'extrême amabilité de la Direer
tion: des Chemins de fer du Nord, je me
trouvais sur ce même quai, mais en cotte
bleue, et assez loin des wagons-jalons.
J'allais faire le beau voyage sur la locomo-
tive même, au cœur et au cerveau — si
l'on peut ainsi, au mépris de l'ariatomie,
confondre ces deux organes — du trairT
iashionable. Et, chose curieuse, mon per-
mis de « locomotive » m'était délivré en
vertu d'un décret royaJ de 1846... On igno-
rait pourtant, alors, le 120 dans l'heure !...
Que je vous présente mes compagnons
de route : M. Terby, inspecteur à la trac-
lion, ancien mécanicien, ancien chauffeur.
-63 ans d'âge et 38 ans de service, médaillé
militaire et légionnaire, et premier es-
sayeur de la 1, lèche d'Or, qu il mena d î Pa-
ris à Calais en 2 h. 50, alors. que nfainte-
nanl, à 100 à l'heure, oz: couvre la dis-
tance en un peu plus de 3 heures, un
homme amoureux" de son métier, comme
on ne sait plus aimer.
Puis Manouvrier, mécanicien, lui, un
amoureux de sa machine, jovial, souriant,
blond au départ, noir à l'arrivée ; et Le-
françois, chauffeur, brun de peil, gai,
altrle, solide. Avez-vous bien entendu ces
noms : Manouvrier, Lefrançois ? Sont-ils
-bien de chez noufi ces deux camarades qui
vont me faire vivre 180 minutes choisies ?
Le train ? Dix voitures, faisant environ
500 tonnes ; une machine pesant, avec son
tender, environ 150.000 kilos, car elle em-
porte, po'ur viatique,' 4 tonnes de charbon
et 27 tonnes d'eau
La locomotive ? Une superpacific, niasse
énorme, râblée, trapue, veinée de tubulu-
res fines et compliquée de rouages déli-
cats' qui font penser à quelque montre
géante.
Notre régime de marche ? Nous attein-
drons le 102 au kilomètre 5. Nous tien-
drons le 100 jusqu'au kilomètre 27, haut
de la rampe de Survilliers, pour descendre
sur Chantilly à 120. Nous passerons Creil
a la vitesse réglementaire de 90, remonte
rons progressivement jus,qu'à 112 vers
Clermont et le sommet de la rampe au ki-
lcmètre 86 nous verra passer à 100. Au
kilomètre 100, nous aurons roulé 59 mi-
nutes ! La gare d'Amiens ne se laisse abor
*der qu'à la vitesse réduite de 40 kilomè-
tres. D'Ailly à Abbeville, ce sera du 120,
Nous ferons à cette ville la politesse de ne
la brûler qu'à 90 à l'heure. Puis des tra-
vaux de réfection nous obligeront à aller
au pas : 30 kilomètres, n'est-ce pas du pas ?
Et parallèlement au bateau qui vient de
stopper, à la seconde précise, nous a!bor-
derons au quai maritime de la g are de Ca-
lais. i
1
Ce fut, d'abord, la marche tâtonnante,
eût-on dit, dans le dédale des voies pari-
siennes. Puis, avec chaque rail qui venait
mourir sous-nos roues, une assurance plus
1
444 LES JSUVE9
VERDUN ! !
1
Monsieur Leygues, Ministre de la Marine /
a été désigné par le Gouvernement pour présider la Fête
Ne perdons
aucune occasion...
1. L'ANNUAIRE FEDERAL
La nouvelle édition de l'annuaire
fédéral vient de paraître. Dès cette
semaine, conformément au vœu du
dernier Congrès, nous ferons l'envoi
à chacune de nos sociétés de l'exem-
plaire qui lui est destiné.
Comment pourrais-je ne pas me
préoccuper de l'accueil qui lui sera
fait !
Ne l'exilez pas tout droit vers les
oubliettes de l'armoire aux archives.
C'est un ami qui vous vient, dési-
reux d'être utile et de « servir ».
Il s'offre comme instrument de
travail et agent de liaison.
Découvrez ses aptitudes et em-
ployez-les en vue d'un rôle actif.
Ainsi devons-nous faire de tout auxi-
liaire qui nous arrive.
... Conduit par dame Poste, voici
donc l'annuaire chez vous.
Recevez-le, dès l'abord, avec l'in-
térêt sympathique que mérite tout
document consciencieusement pré-
paré.
Feuilletez sa première partie :
quelle mine de renseignements! Ren-
seignements sur les divers sports que
nous pratiquons, sur nos ententes fé-
dérales, nos services, notre organisa-
" tion... Rien ne vous empêche, si le
cœur vous en dit, d'accompagner
cette inspection d'un murmure flat-
teur : « C'est vraiment une machine
bien montée, notre Fédé! »
Mais, en ouvrant la seconde par-
tie, vos yeux s'illumineront de fierté.
Sur 285 pages, c'est le défilé, en li-
gnes serrées, de nos sociétés affiliées.
Défilé imposant et vivant que n'en-
combre aucune voiture d'ambulan-
ce : on a rejeté impitoyablement les
victimes de la maladie du sommeil.
Il. LE BIENFAIT
DES FAMILLES NOMBREUSES
Mais la fierté serait vaine si elle
n'était un motif de réconfort et un
stimulant pour l'action.
Je le répète encore : notre an-
nuaire est fait pour « servir ».
Qu'il serve notamment à une plus
intime et plus féconde compénétra-
tion de nos patronages.
Liaison ! Liaison ! N'est-ce pas le
conseil qu'il faut donner inlassable-
ment. C'est l'ange de la victoire et
que d'efforts perdus, que de batailles
compromises faute de liaison !
C'est pourquoi je parle sans cesse
« d'esprit fédéral ».
Membres d'une même famille, nos
patronages ne se connaîtront jamais
trop.
Que d'occasions ils laissent échap-
per d'utiliser notre pénétration si
profonde dans les moindres coins de
France : déplacements sportifs, dé-
parts pour le régiment, changements
de résidence de leurs adhérents, co-
lonies de vacances ou vacances indi-
viduelles dans tel ou tel coin de cam-
pagne.
Notre annuaire est le livre d'adres-
ses de la grande famille fédérale.
N'ignorons pas nos cousins.
Et donnons toute sa valeur à la
solidarité familiale.
III. LA MEDAILLE DE VERDUN
Nous en avons dit un mot trop
bref.
Il faut y revenir.
On sait que la Ville de Verdun a
créé, le 20 novembre 1916, une mé-
daille commémorative des eoriibats
livrés dans son secteur. Ce n'est pas
une décoration, mais l'insigne des
« Soldats de Verdun ».
Seuls ont droit à cette médaille les
anciens combattants qui se sont trou-
vés en service commandé entre le 31
juillet 1914 et le 11 novembre 1918
dans le secteur de Verdun, compris
entre l'Argonne et Saint-Miliiel dans
la zone soumise au bombardement
par canon (bombardement par avion
exclu).
Il doit en être justifié à la Corn-.
mission du Livre d'Or chargée de la
vérification (nom, prénom, grade,
n° du régiment, date et lieu de sé-
jour).
Les noms des Soldats de Verdun
sont inscrits sur le Livre d'Or con-
servé par la Ville.
L'inscription est gratuite.
Le prix de la médaille est de sepf
francs.
Un diplôme l'accompagne.
Un ruban rouge, au liséré trico-
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Le port permanent du ruban est
interdit. Mais la médaille peut être
portée dans les cérémonies et cor-
tèges.
Cette médaille sera remise devant
nos gymnastes assemblés par M. le
Maire de Verdun.
Nous nous mettons à là" disposition
des sociétés pour centraliser les noms
de ceux qui ont droit à la médaille
et les justifications nécessaires.-
Les réponses devront nous parve-
nir pour le 8 jiiillet.
François IIÉBRARD.
Une machine qui mange
4.000 kilos de charbon
en trois heures
Quand j'arrivai en gare du Nord, du wa-
gon-restaurant de l'a Flèche d'Or émanait
un fumet précieux. Sur le quai, devant les
portes d'accès aux luxueux Pullman, des
petits bancs s'offraient aux pieds des jolies
lemmes qui, ayant bu le porto à l'Opéra,
déjeunent qu-elque part entre Chantilly et
la Manche, et seront à Londres pour
l'heure du thé. ' '
De par l'extrême amabilité de la Direer
tion: des Chemins de fer du Nord, je me
trouvais sur ce même quai, mais en cotte
bleue, et assez loin des wagons-jalons.
J'allais faire le beau voyage sur la locomo-
tive même, au cœur et au cerveau — si
l'on peut ainsi, au mépris de l'ariatomie,
confondre ces deux organes — du trairT
iashionable. Et, chose curieuse, mon per-
mis de « locomotive » m'était délivré en
vertu d'un décret royaJ de 1846... On igno-
rait pourtant, alors, le 120 dans l'heure !...
Que je vous présente mes compagnons
de route : M. Terby, inspecteur à la trac-
lion, ancien mécanicien, ancien chauffeur.
-63 ans d'âge et 38 ans de service, médaillé
militaire et légionnaire, et premier es-
sayeur de la 1, lèche d'Or, qu il mena d î Pa-
ris à Calais en 2 h. 50, alors. que nfainte-
nanl, à 100 à l'heure, oz: couvre la dis-
tance en un peu plus de 3 heures, un
homme amoureux" de son métier, comme
on ne sait plus aimer.
Puis Manouvrier, mécanicien, lui, un
amoureux de sa machine, jovial, souriant,
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françois, chauffeur, brun de peil, gai,
altrle, solide. Avez-vous bien entendu ces
noms : Manouvrier, Lefrançois ? Sont-ils
-bien de chez noufi ces deux camarades qui
vont me faire vivre 180 minutes choisies ?
Le train ? Dix voitures, faisant environ
500 tonnes ; une machine pesant, avec son
tender, environ 150.000 kilos, car elle em-
porte, po'ur viatique,' 4 tonnes de charbon
et 27 tonnes d'eau
La locomotive ? Une superpacific, niasse
énorme, râblée, trapue, veinée de tubulu-
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géante.
Notre régime de marche ? Nous attein-
drons le 102 au kilomètre 5. Nous tien-
drons le 100 jusqu'au kilomètre 27, haut
de la rampe de Survilliers, pour descendre
sur Chantilly à 120. Nous passerons Creil
a la vitesse réglementaire de 90, remonte
rons progressivement jus,qu'à 112 vers
Clermont et le sommet de la rampe au ki-
lcmètre 86 nous verra passer à 100. Au
kilomètre 100, nous aurons roulé 59 mi-
nutes ! La gare d'Amiens ne se laisse abor
*der qu'à la vitesse réduite de 40 kilomè-
tres. D'Ailly à Abbeville, ce sera du 120,
Nous ferons à cette ville la politesse de ne
la brûler qu'à 90 à l'heure. Puis des tra-
vaux de réfection nous obligeront à aller
au pas : 30 kilomètres, n'est-ce pas du pas ?
Et parallèlement au bateau qui vient de
stopper, à la seconde précise, nous a!bor-
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lais. i
1
Ce fut, d'abord, la marche tâtonnante,
eût-on dit, dans le dédale des voies pari-
siennes. Puis, avec chaque rail qui venait
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