Titre : Le Panthéon de l'industrie : journal hebdomadaire illustré
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1890-04-01
Contributeur : Georges, C.. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32831811r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 avril 1890 01 avril 1890
Description : 1890/04/01 (A16,N781)-1890/04/30. 1890/04/01 (A16,N781)-1890/04/30.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k96404920
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, FOL-V-282
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/02/2016
134 LE PANTHÉON DE L'INDUSTRIE
Voici, un peu plus loin, un nouveau type de
flambeau à qui ses multiples applications ont fait
donner le nom d'universel, et pour tout dire d'un
mot, la série complète de tous les genres de can-
délabres, de lampes, de flambeaux, de suspen-
sions, d'appareils d'éclairage, le tout exécuté
avec un soin exquis sur des modèles d'une grande
valeur artistique.
Nous avons une crainte en écrivant ces lignes :
c'est que nos lecteurs, en nous entendant vanter
le goût du dessin et les soins de l'exécution, ne
songent tout naturellement à des prix de vente
d'une grande exagération.
Ce serait une très grosse erreur; M. Coiffard,
tout en employant des matières premières de
qualité tout à fait supérieure, a réussi à baisser
ses prix aux dernières limites possibles, et ceci
est encore une des raisons qui décident tous les
acheteurs-commissionnaires à choisir parmi ces
psychés, ces candélabres, ces lustres, ces suspen-
sions où le cuivre poli, les bronzes vernis et nic-
kelés, le cristal, le verre sont utilisés avec un
goût si parfait.
M Coiffard, un ancien ouvrier, peut se vanter
d'avoir créé une très belle œuvre parisienne, et
ses trois fils, qui donnent déjà tant de preuves de
goût, ne manqueront pas de continuer dignement
une œuvre si bien inaugurée.
HERMANN.
UNE FABRIQUE
de Stéréoscopes, Graphoscopes, Mono-
cles, Miroirs merveilleux, etc.
[texte_manquant]
ERTAIINES industries semblent ne
pouvoir être portées à leur per-
fection qu'à Paris, où les fabri-
cants ont une imagination, un
esprit créateur et un goût qu'on
chercherait vainement ailleurs.
Parmi ces industries, on peut citer la fabrication
des divers instruments d'optique destinés à exa-
miner les photographies, et grâce auxquels les
sujets sont agrandis et prennent du relief.
Les plus anciens de ces instruments sont les
stéréoscopes, auxquels ont succédé les monocles;
mais depuis ils ont subi d'importants perfection-
nements, ainsi qu'on peut s'en rendre compte en
examinant les articles fabriqués par une maison
parisienne qui représente brillamment cette in-
dustrie, et à laquelle on doit d'importantes inno-
vations.
Il s'agit de la maison J.-B. Fouquet, actuelle-
ment rue Saint-Maur, 99, mais qui, par suite du
percement de l'avenue de la République, sera
transférée prochainement rue Oberkampf, 47.
Cette maison fabrique les monocles avec ou
sans stéréoscopes, avec ou sans socle, tous les
genres de stéréoscopes, y compris les stéréos-
copes américains, etlesloupes, boîtes à loupes, etc.
Mais nous devuns faire une mention spéciale
de plusieurs appareils perfectionnés inventés par
M. J.-B. Fouquet.
C'est d'abord le. Graphoscope, qui se fait en
plusieurs modèles, mais dont les principaux
avantages sont toujours de permettre, grâce à la
chambre noire qu'il renferme, de voir les vues
stéréoscopiques noires, transparentes ou sur
verre, et, grâce à une grande lentille, de voir à
un très fort grossissement les photographies sim-
ples de toutes les grandeurs.
Le modèle le plus élégant est le Graphoscope
gravé, charmant ornement de salon. A côté de cet
article de grand luxe, il y a des graphoscopes à
jumelles et à chambre noire également fort élé-
gants, en noyer, en acajou, en palissandre, en
thuya, etc., des graphoscopes de genre anglais,
d'autres à jumelles et à tiroirs, très commodes,
car ils peuvent renfermer les photographies,
d'autres à colonne avec monture en nickel. No-
tons aussi le graphoscope simplifié, très prati-
que, et les graphoscopes en boîte.
Une autre invention intéressante de M. Fou-
quet, c'est le Miroir merveilleux. Il suffit de
placer une photographie devant le miroir et l'on
obtient autant de grossissement qu'on le désire.
Ces articles se font montés sur colonnes et en
boîtes où plusieurs peuvent voir en même temps.
N'oublions pas les monocles avec appliques de
métal et surtout les stéréoscopes universels, pou-
vant contenir à l'intérieur de cinquante à deux
cents vues stéréoscopiques, noires, transparentes
ou sur verre. 11 suffit de tourner un bouton pour
voir toutes ces vues successivement. Sa hauteur
Monacle-stéréoscope à chambre et jumelles.
est de 1 m..38 et, comme son grossissement est
très fort, on peut examiner les vues tout en res-
tant assis.
Tels sont les principaux appareils que l'on re-
marque dans la maison Fouquet, qui, malgré la
supériorité et l'élégance de ces articles, sont d'un
extrême bon marché.
Cet établissement, fondé il y a longtemps déjà,
est du reste bien connu et a obtenu plusieurs mé-
dailles à Paris aux Expositions de 1875, 1878,
1879 et 1882. Il a constamment prospéré .et a ac-
quis une véritable importance. C'est lui qui four-
Stéréo-mégascope.
nit actuellement toutes les grandes maisons de
détail non seulement en France, mais encore à
l'étranger. Il a donné une grande extension à sa
fabrication et occupe toute l'année une trentaine
d'ouvriers. C'est la plus ancienne maison de ce
genre, et l'on peut ajouter que c'est la plus im-
portante et la plus complète.
UNE FONDERIE DE BRONZE
A LILLE
e r 1 -
ANS un département où lés travaux
industriels ont pris un aussi large-
développement que dans celui du
Nord, il est bien certain qu'une
grande fonderie de bronze comme
celle de M. Deschamps fonda à
Lille en 1848 (actuellement installée 212, rue
Léon-Gambetta), était appelée à rendre de grands
services, depuis surtout que M. Deschamps fils,
chargé à son tour de la direction d'une entreprise
qui avait pris, sous son fondateur, un si beau dé-
veloppement, ajouta à la fonderie des bronzes la
fabrication des soudures de cuivre, fabrication
que les départements avaient ignorée jusque-là,
depuis surtout qu'il donna au bronze un grand
nombre de nouvelles applications, pour l'exécu-
tion des utiles nouveautés dont il a doté les di-
verses industries et que nous signalerons plus
loin.
Grâce à ces progrès réalisés par les deux direc-
teurs de cette maison, on peut la classer aujour-
d'hui, sans hésitation, au nombre des premières
maisons de fonderie du Nord, et, par conséquent,
de la France entière, car chacun sait que cette in-
dustrie locale ne compte guère de rivales dans
notre pays.
Aussi l'établissement dont nous parlons n'a
pas seulement pour clients la plupart des grands
industriels de la région du Nord, elle fournit des
pièces et des appareils de bronze aux sucreries,
aux distilleries, aux brasseries, aux ateliers de
construction mécanique, aux filatures, aux tein-
tureries, aux administrations des chemins de fer
de toute la France et de l'étranger, aux villes de
Roubaix, de Tourcoing, de Lille, etc., pour le ser-
vice des eaux et pour bien d'autres applications,
aux administrations de la guerre et de la marine
et principalement à leur artillerie, etc.
Et puisque nous venons de citer, au nombre
de ses clients, le ministère de la marine, n'ou-
blions pas que la maison Deschamps alimente
depuis dix ans les constructions navales de Lo-
rient, de Cherbourg, de Rochefort, de Brest et de
Toulon.
On cite avec admiration, dans le monde mari-
time, au nombre des travaux que la maison lil-
loise a exécutés pour le port de Toulon, deux hé-
lices de 5 m. 30 de diamètre et d'un poids de
10,000 kilogrammes, qui ont été installées sur un
même cuirassé d'escadre, le Duguesclin.
Dans un genre tout clifférelit, la ville de Valpa-
raiso doit à la même maison lilloise une grille
de bronze du même poids que les hélices susdites
et qui forme autour du monument élevé en 1886
à Arturo Prat et à ses compagnons, un entourage
du plus grand effet artistique.
Mais, en dehors des bronzes d'art, que la mai-
son Deschamps est très loin de négliger, M. Des-
champs fils s'est surtout préoccupé de créer une
série de nouveaux appareils en bronze qui l'en.
dent de très nombreux services aux diverses in-
dustries et à diverses administrations publiques.
C'est ainsi qu'il a créé un système de caisse à
poudre pour l'artillerie de la marine, qui a été
adopté après de nombreux essais, qui est appelé
à rendre a la défense nationale des services dont
tous les patriotes ont le devoir d'être reconnais-
sants. •'
L'industrie lui doit aussi : un robinet à section
cylindrique et directe, qui se prête à de nom-
breuses applications ; un lubrificateur à glace qui
permet de vérifier à tout instant le graissage des
pistons dans les cylindres des machines à vapeur.
Les consommateurs de gaz lui doivent un système
de régulateur qui réalise, sur la consommation
ordinaire, une économie de 40 0/0.
Mais la plus intéressante de toutes les inven-
tions de M. Deschamps fils est, selon nous, son
indicateur de niveau d'eau dans lequel il a rem-
placé le tube de verre essentiellement fragile dont
sont pourvus les autres appareils par deux pla-
ques de verre trempé entièrement incassables.
Cet appareil, qui compte une dizaine d'années
Voici, un peu plus loin, un nouveau type de
flambeau à qui ses multiples applications ont fait
donner le nom d'universel, et pour tout dire d'un
mot, la série complète de tous les genres de can-
délabres, de lampes, de flambeaux, de suspen-
sions, d'appareils d'éclairage, le tout exécuté
avec un soin exquis sur des modèles d'une grande
valeur artistique.
Nous avons une crainte en écrivant ces lignes :
c'est que nos lecteurs, en nous entendant vanter
le goût du dessin et les soins de l'exécution, ne
songent tout naturellement à des prix de vente
d'une grande exagération.
Ce serait une très grosse erreur; M. Coiffard,
tout en employant des matières premières de
qualité tout à fait supérieure, a réussi à baisser
ses prix aux dernières limites possibles, et ceci
est encore une des raisons qui décident tous les
acheteurs-commissionnaires à choisir parmi ces
psychés, ces candélabres, ces lustres, ces suspen-
sions où le cuivre poli, les bronzes vernis et nic-
kelés, le cristal, le verre sont utilisés avec un
goût si parfait.
M Coiffard, un ancien ouvrier, peut se vanter
d'avoir créé une très belle œuvre parisienne, et
ses trois fils, qui donnent déjà tant de preuves de
goût, ne manqueront pas de continuer dignement
une œuvre si bien inaugurée.
HERMANN.
UNE FABRIQUE
de Stéréoscopes, Graphoscopes, Mono-
cles, Miroirs merveilleux, etc.
[texte_manquant]
ERTAIINES industries semblent ne
pouvoir être portées à leur per-
fection qu'à Paris, où les fabri-
cants ont une imagination, un
esprit créateur et un goût qu'on
chercherait vainement ailleurs.
Parmi ces industries, on peut citer la fabrication
des divers instruments d'optique destinés à exa-
miner les photographies, et grâce auxquels les
sujets sont agrandis et prennent du relief.
Les plus anciens de ces instruments sont les
stéréoscopes, auxquels ont succédé les monocles;
mais depuis ils ont subi d'importants perfection-
nements, ainsi qu'on peut s'en rendre compte en
examinant les articles fabriqués par une maison
parisienne qui représente brillamment cette in-
dustrie, et à laquelle on doit d'importantes inno-
vations.
Il s'agit de la maison J.-B. Fouquet, actuelle-
ment rue Saint-Maur, 99, mais qui, par suite du
percement de l'avenue de la République, sera
transférée prochainement rue Oberkampf, 47.
Cette maison fabrique les monocles avec ou
sans stéréoscopes, avec ou sans socle, tous les
genres de stéréoscopes, y compris les stéréos-
copes américains, etlesloupes, boîtes à loupes, etc.
Mais nous devuns faire une mention spéciale
de plusieurs appareils perfectionnés inventés par
M. J.-B. Fouquet.
C'est d'abord le. Graphoscope, qui se fait en
plusieurs modèles, mais dont les principaux
avantages sont toujours de permettre, grâce à la
chambre noire qu'il renferme, de voir les vues
stéréoscopiques noires, transparentes ou sur
verre, et, grâce à une grande lentille, de voir à
un très fort grossissement les photographies sim-
ples de toutes les grandeurs.
Le modèle le plus élégant est le Graphoscope
gravé, charmant ornement de salon. A côté de cet
article de grand luxe, il y a des graphoscopes à
jumelles et à chambre noire également fort élé-
gants, en noyer, en acajou, en palissandre, en
thuya, etc., des graphoscopes de genre anglais,
d'autres à jumelles et à tiroirs, très commodes,
car ils peuvent renfermer les photographies,
d'autres à colonne avec monture en nickel. No-
tons aussi le graphoscope simplifié, très prati-
que, et les graphoscopes en boîte.
Une autre invention intéressante de M. Fou-
quet, c'est le Miroir merveilleux. Il suffit de
placer une photographie devant le miroir et l'on
obtient autant de grossissement qu'on le désire.
Ces articles se font montés sur colonnes et en
boîtes où plusieurs peuvent voir en même temps.
N'oublions pas les monocles avec appliques de
métal et surtout les stéréoscopes universels, pou-
vant contenir à l'intérieur de cinquante à deux
cents vues stéréoscopiques, noires, transparentes
ou sur verre. 11 suffit de tourner un bouton pour
voir toutes ces vues successivement. Sa hauteur
Monacle-stéréoscope à chambre et jumelles.
est de 1 m..38 et, comme son grossissement est
très fort, on peut examiner les vues tout en res-
tant assis.
Tels sont les principaux appareils que l'on re-
marque dans la maison Fouquet, qui, malgré la
supériorité et l'élégance de ces articles, sont d'un
extrême bon marché.
Cet établissement, fondé il y a longtemps déjà,
est du reste bien connu et a obtenu plusieurs mé-
dailles à Paris aux Expositions de 1875, 1878,
1879 et 1882. Il a constamment prospéré .et a ac-
quis une véritable importance. C'est lui qui four-
Stéréo-mégascope.
nit actuellement toutes les grandes maisons de
détail non seulement en France, mais encore à
l'étranger. Il a donné une grande extension à sa
fabrication et occupe toute l'année une trentaine
d'ouvriers. C'est la plus ancienne maison de ce
genre, et l'on peut ajouter que c'est la plus im-
portante et la plus complète.
UNE FONDERIE DE BRONZE
A LILLE
e r 1 -
ANS un département où lés travaux
industriels ont pris un aussi large-
développement que dans celui du
Nord, il est bien certain qu'une
grande fonderie de bronze comme
celle de M. Deschamps fonda à
Lille en 1848 (actuellement installée 212, rue
Léon-Gambetta), était appelée à rendre de grands
services, depuis surtout que M. Deschamps fils,
chargé à son tour de la direction d'une entreprise
qui avait pris, sous son fondateur, un si beau dé-
veloppement, ajouta à la fonderie des bronzes la
fabrication des soudures de cuivre, fabrication
que les départements avaient ignorée jusque-là,
depuis surtout qu'il donna au bronze un grand
nombre de nouvelles applications, pour l'exécu-
tion des utiles nouveautés dont il a doté les di-
verses industries et que nous signalerons plus
loin.
Grâce à ces progrès réalisés par les deux direc-
teurs de cette maison, on peut la classer aujour-
d'hui, sans hésitation, au nombre des premières
maisons de fonderie du Nord, et, par conséquent,
de la France entière, car chacun sait que cette in-
dustrie locale ne compte guère de rivales dans
notre pays.
Aussi l'établissement dont nous parlons n'a
pas seulement pour clients la plupart des grands
industriels de la région du Nord, elle fournit des
pièces et des appareils de bronze aux sucreries,
aux distilleries, aux brasseries, aux ateliers de
construction mécanique, aux filatures, aux tein-
tureries, aux administrations des chemins de fer
de toute la France et de l'étranger, aux villes de
Roubaix, de Tourcoing, de Lille, etc., pour le ser-
vice des eaux et pour bien d'autres applications,
aux administrations de la guerre et de la marine
et principalement à leur artillerie, etc.
Et puisque nous venons de citer, au nombre
de ses clients, le ministère de la marine, n'ou-
blions pas que la maison Deschamps alimente
depuis dix ans les constructions navales de Lo-
rient, de Cherbourg, de Rochefort, de Brest et de
Toulon.
On cite avec admiration, dans le monde mari-
time, au nombre des travaux que la maison lil-
loise a exécutés pour le port de Toulon, deux hé-
lices de 5 m. 30 de diamètre et d'un poids de
10,000 kilogrammes, qui ont été installées sur un
même cuirassé d'escadre, le Duguesclin.
Dans un genre tout clifférelit, la ville de Valpa-
raiso doit à la même maison lilloise une grille
de bronze du même poids que les hélices susdites
et qui forme autour du monument élevé en 1886
à Arturo Prat et à ses compagnons, un entourage
du plus grand effet artistique.
Mais, en dehors des bronzes d'art, que la mai-
son Deschamps est très loin de négliger, M. Des-
champs fils s'est surtout préoccupé de créer une
série de nouveaux appareils en bronze qui l'en.
dent de très nombreux services aux diverses in-
dustries et à diverses administrations publiques.
C'est ainsi qu'il a créé un système de caisse à
poudre pour l'artillerie de la marine, qui a été
adopté après de nombreux essais, qui est appelé
à rendre a la défense nationale des services dont
tous les patriotes ont le devoir d'être reconnais-
sants. •'
L'industrie lui doit aussi : un robinet à section
cylindrique et directe, qui se prête à de nom-
breuses applications ; un lubrificateur à glace qui
permet de vérifier à tout instant le graissage des
pistons dans les cylindres des machines à vapeur.
Les consommateurs de gaz lui doivent un système
de régulateur qui réalise, sur la consommation
ordinaire, une économie de 40 0/0.
Mais la plus intéressante de toutes les inven-
tions de M. Deschamps fils est, selon nous, son
indicateur de niveau d'eau dans lequel il a rem-
placé le tube de verre essentiellement fragile dont
sont pourvus les autres appareils par deux pla-
ques de verre trempé entièrement incassables.
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