Titre : Le Contrat social : revue historique et critique des faits et des idées
Auteur : Leroy, Maxime (1873-1957). Auteur du texte
Auteur : Institut d'histoire sociale (Nanterre). Auteur du texte
Éditeur : Institut d'histoire sociale (Paris)
Date d'édition : 1963-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344560781
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1963 01 janvier 1963
Description : 1963/01/01 (VOL7,N1)-1963/02/28. 1963/01/01 (VOL7,N1)-1963/02/28.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9619524g
Source : CODHOS / DAD Hauts-de-Seine / BHS La Souvarine, 2015-235431
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/12/2015
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- SOMMAIRE
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- .......... Page(s) .......... 7
- .......... Page(s) .......... 9
- .......... Page(s) .......... 17
- Dix ans après Staline
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 29
- .......... Page(s) .......... 37
- .......... Page(s) .......... 43
- Quelques livres
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 60
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- .......... Page(s) .......... 64
- .......... Page(s) .......... 65
54 DIX ANS APRÈS STALINE
pront, Suzanne Roger, A. Audra, M. Kuntz,
M. Ternand, G. Zondervan, Fouquet, Ma-
rio Prassinos, J. Lagrange, Laurent de Brunhoff,
Mireille Miaihle, M. Chevallier, A. Mercier,
Germaine Richier, Pierre Dubreuil, Louis Neillot,
Paul Colin, J. Picart-Ledoux, Andrée Fontainas,
Karl Longuet, Vénitien, Jean Effel, Nina Petrova,
A. Fougeron, J.-F. Laglenne, Vuillamy-Villand,
Dideron, Rebeyrolle, S. Dat, Tompson, de
Gallard, Zuka, Mittelberg.
Une nombreuse délégation de ces artistes'
conduite par Fernand Léger, a porté ce message
à l'ambassade soviétique hier en fin d'après-midi.
L'Humanité, 10 mars 1953.
Il ne peut être de plus grand honneur, pour un
écrivain communiste, que de recevoir le prix
qui porte le nom de l'homme que nous aimons
le plus, le guide sûr de toute l'humanité progres-
siste, envers qui Maurice Thorez nous a appris
à faire preuve en toutes circonstances d'une
confiance sans bornes, d'une fidélité d'acier,
Staline...
André Stil, prix Staline,
l' Humanité, 18 mars 1952.
Une douleur infinie s'est emparée du peuple
français et de tous les peuples du monde en
apprenant la fin de Staline. Pour l'humanité, il
ne pouvait pas être de perte plus grande.
...Nous, communistes de tous les pays, n'avons
pas de plus grand amour que celui que nous
éprouvons envers Staline. Chacun de nous,
sans hésiter, donnerait sa vie en ces jours si cela
pouvait sauver la vie du grand Staline.
André Stil, prix Staline,
Pravda, 13 mars 1953.
Nulle perte ne pouvait être plus grande pour
l'humanité.
...Pour nous, écrivains communistes du monde
entier, Staline était en nous à tout moment quand
nous écrivions. Sa pensée, sa vie guidaient notre
cœur comme notre raison.
Devant un aussi terrible malheur, le cœur de
chacun peut parler sans retenue pour le cœur
de tous. Pour moi, il y a aujourd'hui un an,
presque jour pour jour, j'étais touché par la
plus grande joie, le plus grand honneur de ma
vie : le prix portant le nom de celui que nous
pleurons aujourd'hui, notre cher camarade Sta-
line.
André Stil, prix Staline,
Etudes soviétiques, avril 1953.
L'avant-garde a gémi. Quelque chose qui craque
Et se brise et se noue dans la gorge de Jacques
La forêt forte et drue — l'orage la secoue
Songe — songe à Maurice en larmes dans Mos-
[cou...
Camarade Staline,
Ton nom il est pour nous le pain de notre vie 1
Camarade Staline,
Ton nom — qui nous fait vivre — il aidait à
[mourir !
Camarade Staline,
Ton nom — il fleurissait les yeux de nos martyrs !
Camarade Staline,
Ta ville — Stalingrad — m'a rendu ma patrie !
Camarade Staline,
Ton nom — c'est notre paix ! c'est notre cita-
[delle !
Camarade Staline,
Ton nom — à tout jamais — nous lui serons
[fidèles !
Henri Bassis,
France nouvelle, 14 mars 1953.
Des imbéciles qui se croient intelligents — et
des gens intelligents que le service du capitalisme
oblige à jouer les imbéciles — ricanent lorsqu'on
parle du génie de Staline. Mais qu'est-ce qu'il
leur faut, à la fin ?
Staline a toujours payé d'exemple. Il n'a pas
seulement créé les conditions qui permettront
à l'homme de s'épanouir demain, et indiqué la
voie de cet épanouissement. Il a été lui-même cet
homme de demain.
Jean Cathala,
France nouvelle, 14 mars 1953.
Les films où figure Staline ont aidé le peuple
soviétique à mieux saisir l'histoire en marche, à
mieux comprendre les grands problèmes d'Etat.
Montrer Staline en action, c'est souder plus
et mieux encore le peuple soviétique, son Parti
et son guide, et donc augmenter leur force ;
c'est encore consolider la confiance du peuple
dans la juste politique et dans le dévouement
illimité de ses dirigeants.
Francis Cohen,
la Nouvelle Critique, avril-mai 1953.
Au-delà des hommages du haut des dents,
des aveux contraints décernés au camarade Sta-
line, nous nous rendons compte que les idéolo-
gues de la bourgeoisie ont cherché à utiliser sa
mort pour engager une polémique de fond avec
les derniers enseignements qu'il nous a légués.
pront, Suzanne Roger, A. Audra, M. Kuntz,
M. Ternand, G. Zondervan, Fouquet, Ma-
rio Prassinos, J. Lagrange, Laurent de Brunhoff,
Mireille Miaihle, M. Chevallier, A. Mercier,
Germaine Richier, Pierre Dubreuil, Louis Neillot,
Paul Colin, J. Picart-Ledoux, Andrée Fontainas,
Karl Longuet, Vénitien, Jean Effel, Nina Petrova,
A. Fougeron, J.-F. Laglenne, Vuillamy-Villand,
Dideron, Rebeyrolle, S. Dat, Tompson, de
Gallard, Zuka, Mittelberg.
Une nombreuse délégation de ces artistes'
conduite par Fernand Léger, a porté ce message
à l'ambassade soviétique hier en fin d'après-midi.
L'Humanité, 10 mars 1953.
Il ne peut être de plus grand honneur, pour un
écrivain communiste, que de recevoir le prix
qui porte le nom de l'homme que nous aimons
le plus, le guide sûr de toute l'humanité progres-
siste, envers qui Maurice Thorez nous a appris
à faire preuve en toutes circonstances d'une
confiance sans bornes, d'une fidélité d'acier,
Staline...
André Stil, prix Staline,
l' Humanité, 18 mars 1952.
Une douleur infinie s'est emparée du peuple
français et de tous les peuples du monde en
apprenant la fin de Staline. Pour l'humanité, il
ne pouvait pas être de perte plus grande.
...Nous, communistes de tous les pays, n'avons
pas de plus grand amour que celui que nous
éprouvons envers Staline. Chacun de nous,
sans hésiter, donnerait sa vie en ces jours si cela
pouvait sauver la vie du grand Staline.
André Stil, prix Staline,
Pravda, 13 mars 1953.
Nulle perte ne pouvait être plus grande pour
l'humanité.
...Pour nous, écrivains communistes du monde
entier, Staline était en nous à tout moment quand
nous écrivions. Sa pensée, sa vie guidaient notre
cœur comme notre raison.
Devant un aussi terrible malheur, le cœur de
chacun peut parler sans retenue pour le cœur
de tous. Pour moi, il y a aujourd'hui un an,
presque jour pour jour, j'étais touché par la
plus grande joie, le plus grand honneur de ma
vie : le prix portant le nom de celui que nous
pleurons aujourd'hui, notre cher camarade Sta-
line.
André Stil, prix Staline,
Etudes soviétiques, avril 1953.
L'avant-garde a gémi. Quelque chose qui craque
Et se brise et se noue dans la gorge de Jacques
La forêt forte et drue — l'orage la secoue
Songe — songe à Maurice en larmes dans Mos-
[cou...
Camarade Staline,
Ton nom il est pour nous le pain de notre vie 1
Camarade Staline,
Ton nom — qui nous fait vivre — il aidait à
[mourir !
Camarade Staline,
Ton nom — il fleurissait les yeux de nos martyrs !
Camarade Staline,
Ta ville — Stalingrad — m'a rendu ma patrie !
Camarade Staline,
Ton nom — c'est notre paix ! c'est notre cita-
[delle !
Camarade Staline,
Ton nom — à tout jamais — nous lui serons
[fidèles !
Henri Bassis,
France nouvelle, 14 mars 1953.
Des imbéciles qui se croient intelligents — et
des gens intelligents que le service du capitalisme
oblige à jouer les imbéciles — ricanent lorsqu'on
parle du génie de Staline. Mais qu'est-ce qu'il
leur faut, à la fin ?
Staline a toujours payé d'exemple. Il n'a pas
seulement créé les conditions qui permettront
à l'homme de s'épanouir demain, et indiqué la
voie de cet épanouissement. Il a été lui-même cet
homme de demain.
Jean Cathala,
France nouvelle, 14 mars 1953.
Les films où figure Staline ont aidé le peuple
soviétique à mieux saisir l'histoire en marche, à
mieux comprendre les grands problèmes d'Etat.
Montrer Staline en action, c'est souder plus
et mieux encore le peuple soviétique, son Parti
et son guide, et donc augmenter leur force ;
c'est encore consolider la confiance du peuple
dans la juste politique et dans le dévouement
illimité de ses dirigeants.
Francis Cohen,
la Nouvelle Critique, avril-mai 1953.
Au-delà des hommages du haut des dents,
des aveux contraints décernés au camarade Sta-
line, nous nous rendons compte que les idéolo-
gues de la bourgeoisie ont cherché à utiliser sa
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