Titre : La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports
Éditeur : P. Lafitte (Paris)
Date d'édition : 1901-11-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32888685g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 1179 Nombre total de vues : 1179
Description : 17 novembre 1901 17 novembre 1901
Description : 1901/11/17 (N166). 1901/11/17 (N166).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9605361j
Source : Musée Air France, 2013-54106
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/07/2015
LA'Vlt AU GRAND Aut
Lia Course à Pied
lté Prix Roosevelt
et le Prix Stavaut
L
es sports, quels qu'ils soient: cyclisme, automobile, hippisme,
athlétisme el les autres, vivent et acquièrent leur vogue non
seulement par l'attrait qu'ils présentent, mais aussi et surtout
par le classicisme de leurs épreuves.
Le public, — ou tout au moins une partie, néophytes et gens
que le hasard a conduits là, mis à part — ne vient pas, attiré
par le battage fait autour d'une grande réunion sportive que
les journaux spéciaux et logiquement intéressés lui disent
sensationnelle, mais parce qu'il sait que le passé de l'épreuve
est un sûr garant de son succès, et qu'il pourra revivre les
émotions éprouvées là les années précédentes et dont il a
conservé le souvenir.
Chaque initié connaît les noms des grands vainqueurs qui
ont illustré l'event pour lequel il se passionne ; il sait que quelques-
uns, révélation heureuse, y ont accompli leur première prouesse
et franchi le premier pas de la renommée, et il est anxieux
de savoir quel sera l'heureux prédestiné qui leur succédera
après une lutte d'autant plus ardente que le trophée est plus
célèbre et, par conséquent, plus envié.
Nul sport mieux que la course à pied ne vit de ce classicisme ; la raison en est
simple : son public, encore bien restreint, comprend un nombre infime de profanes,
noyé dans la grande masse des sportifs initiés.
Baget Hamond Frimart
Une série du Prix Ravaut.
Au deuxième plan le starter Genet tient d'une main le drapeau et de l'autre le revolver du départ.
N
ous étions, environ 2000 rangés, le ier novembre dernier, sous les ombrages frais
— oh combien ! —de la jolie piste du Racing-Club de France, au bois de
Boulogne, impatients d'assister aux péripéties de la grande réunion de courses à
pied qui se donne annuellement le jour de la Toussaint..
Anxiété ne pouvait être mieux justifiée, puisqu'il s'agissaitdes épreuves classiques
dites Prix Roosevelt et Prix Ravaut (ex-prix de France), du nom de leurs fondateurs.
Impossible, en effet, de rêver historique plus éloquent que celui du Prix Roosevelt
dont la création, qui re-
Le tirage au sort des places pour le prix Ravaut.
Le coureur bordelais Kuhn sort du chapeau de l'officiel Lécuyer le
numéro de sa place au départ.
monte à 1891, fut due au
banquier parisien bien
connu. Chaque année, cette
épreuve groupa l'élite de
nos athlètes amateurs spé-
cialistes des grandes di-
stances. Parmi ceux qui y
participèrent il nous suffit
de citer en
1891 J. Borel Ier en 16 m.
9 s. 3/5 Bourdier 2- et Merlin 3e ;
en 1892 : Albert Chauvelot Ier en
16 m. 17 s. ; F. Meïers 2e J. Cha-
stanié 3e; en 1893 F. Meïers ier
en 16 m. 21 s. ; F. Bourdier 2e
Chastanié 3- ; en 1894 : Bourdier
Ier en 16 m. 48 s. 4/5 ; J. Soalhat
21 ; Trubert 3" ; Turlo 4° et Borel
en 1895 A. Lermusiaux Ier en
15 m. 48 s. 4/5 ; P. Cabessut- 2e ;
Pican 31 ; Bourdier, de Fleurac ;
Soalhat, Trubert, Genet, Mouchot,
Turlo et Meïers ; en 1896 : F. Bour-
dier lcr en 16 m. 25 s. 3/5 Pican
2e Desquand -ze Genet, Meïers,
Dupré, Trubert, Gray et Touquet ;
en 1897 F. Bourdier Ier en 15 m.
45 s. 4/5 Touquet, Gray et Pican ;
en 189S A. Tunmer Ier en 15 m.
58 s. ris; Desquand 2e; Cham-
poudry 3e Pican, Champion, Mar-
lins, Ragueneau. Jeanjean, Tou-
quet, Hennetin, Régn ier, Segers et
Meïers en 1899 : Deloge Ier en
Au départ du prix d'Angleterre (80 m. steeple).
En attendant leur tour les concurrents se reposent sur l'herbe un peu humide.
15 m. 50 s. 4/5 ; Aubry 2"; Marlins 3' Ragueneau 4° ; Castanet, Champion, Lorgeon, Jeanjean, Pican et
Touquet en 1900 Deloge Ier en 15 m. 31 s. Ragueneau 2" ; Champoudry 3' Castanet 4e Girard et
Chastanié.
Ainsi nous avons une idée de ce que fut chaque année l'épreuve : pas-
sionnante au plus haut degré.
De fondation plus récente, le Prix Ravaut, dû à un généreux membre
du Racing- Club de France, n'en est pas moins aussi remarquable, comme
passé. Dans cette épreuve de 200 mètres plat, critérium par excellence des
coureurs de vitesse, nous vîmes tour à tour s'aligner, en :
1896 : G. Garnier, French, Charles de Saint-Cyr et Michel Soalhat. Garnier gagna facilement en
26 s. 115 battant de 2 mètres French. En 1897 Houdet battant Widmer après une lutte merveil-
leuse coude à coude en 24 s, 3/5.ÍCes deux coureurs furent d'ailleurs les meilleurs sprinters que
nous ayons eu ces dernières années. En 1898 : Houdet renouvelant son succès en 24 s, 4/5 bat-
tant French de 5 m. et G. Wood. En 1899 • Klingelhœfer icr en 24 s, 4/5 ; Houdet 2e à une
poitrine Bignon 3";; French 4", Enfin en 1900, la victoire revint à un étranger, le belge T'Ser-
stevens, qui après une lutte émouvante battit Klingelhœfer d'une poitrine en 24 s. 3/5. Faidide était
3" tt Langlais 4e.
Cette année, les deux épreuves n'ont pas démérité: succès d'organisation,
succès d'engagements et de partants, enfin succès sportif, tout s'est heureu-
sement combiné pour nous faire assister à une réunion comme il nous a
été rarement donné d'en voir.
Dans chacune des deux épreuves la lutte a été ardente au plus haut
degré, si ardente que les records français en ont souffert.
Dans le Prix Ravaut, un véritable combat de géants s'est engagé entre
les trois sprinters restant qualifiés pour l'épreuve finale Matet, et Kuhn, de
Bordeaux, et Hamond, du Racing-Club de France. Ce dernier dans un puis-
sant effort a battu nettement Matet de 5o centimètrs en 23 s. 3/5 abaissant
de 2/5 de seconde le record détenu depuis le 3o mai 1897 par Henri
Tauzin.
Le Prix Roosevelt n'a pas été moins émotionnant. Douze partants, l'élite
de nos coureurs nationaux de province et de Paris, se sont mis en ligne.
Quatre d entre eux, Ragueneau, Deloge, Champoudry et de Fleurac, se sont mon-
très nettement supérieurs à leurs concurrents. Après un fol effort tenté dès le
début de l'épreuve par Ra-
gueneau, seule tactique
d'ailleurs que ce coureur
pût employer contre des
adversaires plus vites que
lui, la première place est
restée à la merci de notre
grand champion national
Deloge, battant de Fleurac
de 3o mètres et le record
français dans le temps sp len-
dide de i5 m. 14 s. 2/5.
Plusieurs records français
furent battus, on vient de le
voir au cours de cette réu-
nion. On me permettra de
faire toutes réserves au
sujet de ces records. Non
pas que je soupçonne la
compétence du chronomé-
treur, en l'espèce, M. Pierre
Roy, le sympathique secré-
taire général de l'U. S. F.
A.S. Mais la façon adoptée
pour le chronométrage rend
illusoire ladite compétence.
En effet, le départ et l'ar-
rivée se font en deux points
différents, et il n'y a qu'un
seul chronométreur. Le star-
ter comme on peut le voir
Hamond, du Racing-Club de France, gagnant
du prix Ravaut (200 m.).
dans une de nos photographies, est muni àlafoisd'un revolver etd'un drapeau. En
même temps qu'il appuie sur la gachette du premier, il baisse le second. Au même
instant, le chronométreur déclanche sa dédoublante et les coureurs partent. Il y a donc
là quatre actes différents qui doivent être simultanés dans le temps;. tout en étant
très distants dans l'espace. Dans ces conditions les chances d'erreur dépassent de
beaucoup les 2/5 dont Hamond aurait battu le record des 200 mètres.
(C lichés P. Doyé.) ABEL LÉVEILLÉ.
688
Lia Course à Pied
lté Prix Roosevelt
et le Prix Stavaut
L
es sports, quels qu'ils soient: cyclisme, automobile, hippisme,
athlétisme el les autres, vivent et acquièrent leur vogue non
seulement par l'attrait qu'ils présentent, mais aussi et surtout
par le classicisme de leurs épreuves.
Le public, — ou tout au moins une partie, néophytes et gens
que le hasard a conduits là, mis à part — ne vient pas, attiré
par le battage fait autour d'une grande réunion sportive que
les journaux spéciaux et logiquement intéressés lui disent
sensationnelle, mais parce qu'il sait que le passé de l'épreuve
est un sûr garant de son succès, et qu'il pourra revivre les
émotions éprouvées là les années précédentes et dont il a
conservé le souvenir.
Chaque initié connaît les noms des grands vainqueurs qui
ont illustré l'event pour lequel il se passionne ; il sait que quelques-
uns, révélation heureuse, y ont accompli leur première prouesse
et franchi le premier pas de la renommée, et il est anxieux
de savoir quel sera l'heureux prédestiné qui leur succédera
après une lutte d'autant plus ardente que le trophée est plus
célèbre et, par conséquent, plus envié.
Nul sport mieux que la course à pied ne vit de ce classicisme ; la raison en est
simple : son public, encore bien restreint, comprend un nombre infime de profanes,
noyé dans la grande masse des sportifs initiés.
Baget Hamond Frimart
Une série du Prix Ravaut.
Au deuxième plan le starter Genet tient d'une main le drapeau et de l'autre le revolver du départ.
N
ous étions, environ 2000 rangés, le ier novembre dernier, sous les ombrages frais
— oh combien ! —de la jolie piste du Racing-Club de France, au bois de
Boulogne, impatients d'assister aux péripéties de la grande réunion de courses à
pied qui se donne annuellement le jour de la Toussaint..
Anxiété ne pouvait être mieux justifiée, puisqu'il s'agissaitdes épreuves classiques
dites Prix Roosevelt et Prix Ravaut (ex-prix de France), du nom de leurs fondateurs.
Impossible, en effet, de rêver historique plus éloquent que celui du Prix Roosevelt
dont la création, qui re-
Le tirage au sort des places pour le prix Ravaut.
Le coureur bordelais Kuhn sort du chapeau de l'officiel Lécuyer le
numéro de sa place au départ.
monte à 1891, fut due au
banquier parisien bien
connu. Chaque année, cette
épreuve groupa l'élite de
nos athlètes amateurs spé-
cialistes des grandes di-
stances. Parmi ceux qui y
participèrent il nous suffit
de citer en
1891 J. Borel Ier en 16 m.
9 s. 3/5 Bourdier 2- et Merlin 3e ;
en 1892 : Albert Chauvelot Ier en
16 m. 17 s. ; F. Meïers 2e J. Cha-
stanié 3e; en 1893 F. Meïers ier
en 16 m. 21 s. ; F. Bourdier 2e
Chastanié 3- ; en 1894 : Bourdier
Ier en 16 m. 48 s. 4/5 ; J. Soalhat
21 ; Trubert 3" ; Turlo 4° et Borel
en 1895 A. Lermusiaux Ier en
15 m. 48 s. 4/5 ; P. Cabessut- 2e ;
Pican 31 ; Bourdier, de Fleurac ;
Soalhat, Trubert, Genet, Mouchot,
Turlo et Meïers ; en 1896 : F. Bour-
dier lcr en 16 m. 25 s. 3/5 Pican
2e Desquand -ze Genet, Meïers,
Dupré, Trubert, Gray et Touquet ;
en 1897 F. Bourdier Ier en 15 m.
45 s. 4/5 Touquet, Gray et Pican ;
en 189S A. Tunmer Ier en 15 m.
58 s. ris; Desquand 2e; Cham-
poudry 3e Pican, Champion, Mar-
lins, Ragueneau. Jeanjean, Tou-
quet, Hennetin, Régn ier, Segers et
Meïers en 1899 : Deloge Ier en
Au départ du prix d'Angleterre (80 m. steeple).
En attendant leur tour les concurrents se reposent sur l'herbe un peu humide.
15 m. 50 s. 4/5 ; Aubry 2"; Marlins 3' Ragueneau 4° ; Castanet, Champion, Lorgeon, Jeanjean, Pican et
Touquet en 1900 Deloge Ier en 15 m. 31 s. Ragueneau 2" ; Champoudry 3' Castanet 4e Girard et
Chastanié.
Ainsi nous avons une idée de ce que fut chaque année l'épreuve : pas-
sionnante au plus haut degré.
De fondation plus récente, le Prix Ravaut, dû à un généreux membre
du Racing- Club de France, n'en est pas moins aussi remarquable, comme
passé. Dans cette épreuve de 200 mètres plat, critérium par excellence des
coureurs de vitesse, nous vîmes tour à tour s'aligner, en :
1896 : G. Garnier, French, Charles de Saint-Cyr et Michel Soalhat. Garnier gagna facilement en
26 s. 115 battant de 2 mètres French. En 1897 Houdet battant Widmer après une lutte merveil-
leuse coude à coude en 24 s, 3/5.ÍCes deux coureurs furent d'ailleurs les meilleurs sprinters que
nous ayons eu ces dernières années. En 1898 : Houdet renouvelant son succès en 24 s, 4/5 bat-
tant French de 5 m. et G. Wood. En 1899 • Klingelhœfer icr en 24 s, 4/5 ; Houdet 2e à une
poitrine Bignon 3";; French 4", Enfin en 1900, la victoire revint à un étranger, le belge T'Ser-
stevens, qui après une lutte émouvante battit Klingelhœfer d'une poitrine en 24 s. 3/5. Faidide était
3" tt Langlais 4e.
Cette année, les deux épreuves n'ont pas démérité: succès d'organisation,
succès d'engagements et de partants, enfin succès sportif, tout s'est heureu-
sement combiné pour nous faire assister à une réunion comme il nous a
été rarement donné d'en voir.
Dans chacune des deux épreuves la lutte a été ardente au plus haut
degré, si ardente que les records français en ont souffert.
Dans le Prix Ravaut, un véritable combat de géants s'est engagé entre
les trois sprinters restant qualifiés pour l'épreuve finale Matet, et Kuhn, de
Bordeaux, et Hamond, du Racing-Club de France. Ce dernier dans un puis-
sant effort a battu nettement Matet de 5o centimètrs en 23 s. 3/5 abaissant
de 2/5 de seconde le record détenu depuis le 3o mai 1897 par Henri
Tauzin.
Le Prix Roosevelt n'a pas été moins émotionnant. Douze partants, l'élite
de nos coureurs nationaux de province et de Paris, se sont mis en ligne.
Quatre d entre eux, Ragueneau, Deloge, Champoudry et de Fleurac, se sont mon-
très nettement supérieurs à leurs concurrents. Après un fol effort tenté dès le
début de l'épreuve par Ra-
gueneau, seule tactique
d'ailleurs que ce coureur
pût employer contre des
adversaires plus vites que
lui, la première place est
restée à la merci de notre
grand champion national
Deloge, battant de Fleurac
de 3o mètres et le record
français dans le temps sp len-
dide de i5 m. 14 s. 2/5.
Plusieurs records français
furent battus, on vient de le
voir au cours de cette réu-
nion. On me permettra de
faire toutes réserves au
sujet de ces records. Non
pas que je soupçonne la
compétence du chronomé-
treur, en l'espèce, M. Pierre
Roy, le sympathique secré-
taire général de l'U. S. F.
A.S. Mais la façon adoptée
pour le chronométrage rend
illusoire ladite compétence.
En effet, le départ et l'ar-
rivée se font en deux points
différents, et il n'y a qu'un
seul chronométreur. Le star-
ter comme on peut le voir
Hamond, du Racing-Club de France, gagnant
du prix Ravaut (200 m.).
dans une de nos photographies, est muni àlafoisd'un revolver etd'un drapeau. En
même temps qu'il appuie sur la gachette du premier, il baisse le second. Au même
instant, le chronométreur déclanche sa dédoublante et les coureurs partent. Il y a donc
là quatre actes différents qui doivent être simultanés dans le temps;. tout en étant
très distants dans l'espace. Dans ces conditions les chances d'erreur dépassent de
beaucoup les 2/5 dont Hamond aurait battu le record des 200 mètres.
(C lichés P. Doyé.) ABEL LÉVEILLÉ.
688
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 95.01%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 95.01%.
- Collections numériques similaires Babinet Jacques Babinet Jacques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Babinet Jacques" or dc.contributor adj "Babinet Jacques")[Analyse de l'ouvrage de M. Roche, intitulé "Réflexions sur la théorie des phénomènes cométaires"] / par J. Babinet /ark:/12148/bd6t53703655.highres Exposé des nouvelles découvertes sur l'électricité et le magnétisme de MM. Oersted, Arago, Ampère, H. Davy, Biot, Erman, Schweiger, de La Rive, etc., par MM. Ampère,... et Babinet,... /ark:/12148/bpt6k53233964.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 12/16
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9605361j/f12.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9605361j/f12.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9605361j/f12.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k9605361j/f12.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9605361j
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9605361j
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k9605361j/f12.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest